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Voilà, mon premier texte.Je vais pas faire d'autres commentaires, je vous laisse la primeur, espérons juste que vous ne soyez pas trop décus
Elle entra. Nimbée de lumière, elle étendait sa grâce autour d’elle. Assise sur un banc, je l’attendais.Ca faisait 3 ans que je l’attendais, malgré les humiliations, les pleurs et les cris, le désespoir qui me rongeait le cœur, la rage, la haine. Tout cela n’était plus que souvenirs maintenant, elle était enfin là.
Je me rappelais avec netteté de ses gestes graciles, de ses formes délicieusement attirantes, tentantes, de mon envie de la toucher, cette envie dévorante qui me brûlait à petit feu chaque fois que je la voyais, l’envie de la caresser, de la protéger, de l’étouffer de mes baisers maladroits. J’avais ce besoin maladif d’être auprès d’elle, de la sentir, sentir l’odeur un peu âcre de sa peau, me noyer dans ses cheveux .Elle, indulgente, laissait faire avec sa candeur habituelle, me repoussait quelque fois avec douceur. Elle ne voulait pas comprendre, se refusait à s’expliquer cette passion qui excédait l’amitié, et mon amour se transforma peu à peu en rage.
Rage d’être incomprise, rejetée, repoussée par ma seule raison de vivre. Je m’isolai de longs mois, et quand enfin je sortis de mon mutisme, elle n’était plus là. Evaporée comme par magie. C’est à ce moment-là que mes promenades habituelles dans le parc commencèrent. Je savais, que d’une manière ou d’une autre, elle m’y rejoindrait un jour. Ce jour était enfin arrivé.
Ses yeux effleurèrent les miens un moment, et pour la première fois, je pus voir dans son regard autre chose que de la pitié ou du dégoût : de l’amour .Je pouvais enfin mourir en paix.
Elle entra. Nimbée de lumière, elle étendait sa grâce autour d’elle. Assise sur un banc, je l’attendais.Ca faisait 3 ans que je l’attendais, malgré les humiliations, les pleurs et les cris, le désespoir qui me rongeait le cœur, la rage, la haine. Tout cela n’était plus que souvenirs maintenant, elle était enfin là.
Je me rappelais avec netteté de ses gestes graciles, de ses formes délicieusement attirantes, tentantes, de mon envie de la toucher, cette envie dévorante qui me brûlait à petit feu chaque fois que je la voyais, l’envie de la caresser, de la protéger, de l’étouffer de mes baisers maladroits. J’avais ce besoin maladif d’être auprès d’elle, de la sentir, sentir l’odeur un peu âcre de sa peau, me noyer dans ses cheveux .Elle, indulgente, laissait faire avec sa candeur habituelle, me repoussait quelque fois avec douceur. Elle ne voulait pas comprendre, se refusait à s’expliquer cette passion qui excédait l’amitié, et mon amour se transforma peu à peu en rage.
Rage d’être incomprise, rejetée, repoussée par ma seule raison de vivre. Je m’isolai de longs mois, et quand enfin je sortis de mon mutisme, elle n’était plus là. Evaporée comme par magie. C’est à ce moment-là que mes promenades habituelles dans le parc commencèrent. Je savais, que d’une manière ou d’une autre, elle m’y rejoindrait un jour. Ce jour était enfin arrivé.
Ses yeux effleurèrent les miens un moment, et pour la première fois, je pus voir dans son regard autre chose que de la pitié ou du dégoût : de l’amour .Je pouvais enfin mourir en paix.
Je ne trouve pas ça du tout mauvais Giny, bien au contraire !
D'aprés ce que tu nous avais dit je m'attendais à pire ;0)
Court texte, mais intéressant, j'ai du lire deux fois pour bien comprendre, j'espère avoir compris, et j'aime bien.
L'écriture est fluide, où as-tu été chercher que tu étais nulle !!
J'ai hâte de voir tes prochains textes.
D'aprés ce que tu nous avais dit je m'attendais à pire ;0)
Court texte, mais intéressant, j'ai du lire deux fois pour bien comprendre, j'espère avoir compris, et j'aime bien.
L'écriture est fluide, où as-tu été chercher que tu étais nulle !!
J'ai hâte de voir tes prochains textes.
L, revu et corrigé(grâce à Yali;)
Elle entre. Nimbée de lumière, elle étend sa grâce autour d’elle. Assise sur un banc, je l’attends.Ca faisait 3 ans que je l’attends, malgré les humiliations, les pleurs et les cris, le désespoir qui me ronge le cœur, la rage, la haine. Tout cela n’est plus que souvenirs maintenant, elle est enfin là.
Je me rappelle avec netteté de ses gestes graciles, de ses formes délicieusement attirantes, tentantes, de mon envie de la toucher, cette envie dévorante qui me brûlait à petit feu chaque fois que je la voyais, l’envie de la caresser, de la protéger, de l’étouffer de mes baisers maladroits. J’avais ce besoin maladif d’être auprès d’elle, de la sentir, sentir l’odeur un peu âcre de sa peau, me noyer dans ses cheveux .Elle, indulgente, laissait faire avec sa candeur habituelle, me repoussait quelque fois avec douceur. Elle ne voulait pas comprendre, se refusait à s’expliquer cette passion qui excédait l’amitié, et mon amour se transforma peu à peu en rage. Rage d’être incomprise, rejetée, repoussée par ma seule raison de vivre. Je m’isolai de longs mois, et quand enfin je sortis de mon mutisme, elle n’était plus là. Evaporée comme par magie. C’est à ce moment-là que mes promenades habituelles dans le parc commencèrent. Je savais, que d’une manière ou d’une autre, elle m’y rejoindrait un jour. Ce jour était enfin arrivé.
Ses yeux effleurent les miens un moment, et pour la première fois, je peux voir dans son regard autre chose que de la pitié ou du dégoût : de l’amour .Je peux enfin mourir en paix.
Elle entre. Nimbée de lumière, elle étend sa grâce autour d’elle. Assise sur un banc, je l’attends.Ca faisait 3 ans que je l’attends, malgré les humiliations, les pleurs et les cris, le désespoir qui me ronge le cœur, la rage, la haine. Tout cela n’est plus que souvenirs maintenant, elle est enfin là.
Je me rappelle avec netteté de ses gestes graciles, de ses formes délicieusement attirantes, tentantes, de mon envie de la toucher, cette envie dévorante qui me brûlait à petit feu chaque fois que je la voyais, l’envie de la caresser, de la protéger, de l’étouffer de mes baisers maladroits. J’avais ce besoin maladif d’être auprès d’elle, de la sentir, sentir l’odeur un peu âcre de sa peau, me noyer dans ses cheveux .Elle, indulgente, laissait faire avec sa candeur habituelle, me repoussait quelque fois avec douceur. Elle ne voulait pas comprendre, se refusait à s’expliquer cette passion qui excédait l’amitié, et mon amour se transforma peu à peu en rage. Rage d’être incomprise, rejetée, repoussée par ma seule raison de vivre. Je m’isolai de longs mois, et quand enfin je sortis de mon mutisme, elle n’était plus là. Evaporée comme par magie. C’est à ce moment-là que mes promenades habituelles dans le parc commencèrent. Je savais, que d’une manière ou d’une autre, elle m’y rejoindrait un jour. Ce jour était enfin arrivé.
Ses yeux effleurent les miens un moment, et pour la première fois, je peux voir dans son regard autre chose que de la pitié ou du dégoût : de l’amour .Je peux enfin mourir en paix.
Très joli texte, plein d'amour et très bien restitué.
Très beau texte, c’est exact que c’est dur de se lancer, mais de savoir que des gens te lisent cela t’encourage. Bravo la jeunesse
Merci à tous pour vos critiques!
Tu te sens comment maintenant Giny? Soulagée hein! Tu vois, ça fait du bien de se lancer dans le premier texte, on te l'avait dit :)
Je ne trouve pas ça mal du tout pour un début. Il y a peut-être quelques maladresses de style, à savoir une narration trop présente au début. Les phrases défilent sans vraiment prendre le temps de respirer mais tu restitues bien l'ambiance de ton récit, c'est réaliste. La fin est un peu trop rapide, après la longue description du début. Je crois que ça serait bien que tu allonges un peu le texte, que tu le poursuives.
Je ne trouve pas ça mal du tout pour un début. Il y a peut-être quelques maladresses de style, à savoir une narration trop présente au début. Les phrases défilent sans vraiment prendre le temps de respirer mais tu restitues bien l'ambiance de ton récit, c'est réaliste. La fin est un peu trop rapide, après la longue description du début. Je crois que ça serait bien que tu allonges un peu le texte, que tu le poursuives.
Trop court! On dirait que tu as craché ton texte comme un besoin urgent de te libérer.
Le résultat est parlant, très fort.
Mais malgré cela, cette sorte de violence mal contenue aurait peut-être pu se traduire par quelques explications plus claires quant aux raisons d'avoiur été repoussée.
C'est d'ailleurs pourquoi je n'ai pas trop compris: "repoussée par ma seule raison de vivre".
Sinon, oui, c'est un texte fort. Et beau.
Et bravo Giny d'avoir osé! Je me souviens de mon propre saut dans l'inconnu le jour où j'ai posté mon premier! En plus c'était un exo!! L'angoisse...
;-)
Le résultat est parlant, très fort.
Mais malgré cela, cette sorte de violence mal contenue aurait peut-être pu se traduire par quelques explications plus claires quant aux raisons d'avoiur été repoussée.
C'est d'ailleurs pourquoi je n'ai pas trop compris: "repoussée par ma seule raison de vivre".
Sinon, oui, c'est un texte fort. Et beau.
Et bravo Giny d'avoir osé! Je me souviens de mon propre saut dans l'inconnu le jour où j'ai posté mon premier! En plus c'était un exo!! L'angoisse...
;-)
Premier texte réussi ! J'aime bien la bousculade de sentiments, des mots qui sortent avec force.
Personnellement, j'aurais enlevé la dernière phrase, ça casse un peu le rythme, le genre, je trouve. Mais ce n'est qu'un avis personnel.
Ton texte est vraiment bon ; court mais c'est ce qui donne cette cascade qui m'a entrainée d'une traite.
Bravo Giny, à quand les suivants ?
Personnellement, j'aurais enlevé la dernière phrase, ça casse un peu le rythme, le genre, je trouve. Mais ce n'est qu'un avis personnel.
Ton texte est vraiment bon ; court mais c'est ce qui donne cette cascade qui m'a entrainée d'une traite.
Bravo Giny, à quand les suivants ?
Ben voilà, c'est le premier pas qui coûte, Giny...
Je dirai de ton texte que
1) on sent que tu a des choses à exprimer
2) que tu avais un peu la trouille pour ce premier et c'est normal
3) qu'il ne suffit pas de dire mais d'éprouver du plaisir à l'écrire
4) que ça viendra si tu en as vraiment envie
5) que c'est en écrivant qu'on arrive à écrire... et ce n'est pas un pléonasme!
Bienvenue dans "Vos écrits"
Je dirai de ton texte que
1) on sent que tu a des choses à exprimer
2) que tu avais un peu la trouille pour ce premier et c'est normal
3) qu'il ne suffit pas de dire mais d'éprouver du plaisir à l'écrire
4) que ça viendra si tu en as vraiment envie
5) que c'est en écrivant qu'on arrive à écrire... et ce n'est pas un pléonasme!
Bienvenue dans "Vos écrits"
Eh bin voilà, L vole de ses propres L ! :o)
C’est bien Giny, je trouve ! Ca se lit tout seul, on se laisse prendre par le texte..
Des petits détails de présentation (espaces mal placés ou manquants, ...) pénibles à mes yeux délicats et qu’une relecture soigneuse pourrait éviter, mais pratiquement pas de fautes !! .. :o).. Des petites choses aussi, comme « je me rappelle avec netteté.. », pas très heureux, et limite incorrect je pense, que je remplacerais volontiers par « je me souviens », des accords de temps (ça faisait trois ans que je l’attends, .. ), des petites maladresses de style (qui me brûlait à petit feu chaque fois que.. )..
Personnellement, j’aurais tenté un passage un peu plus progressif vers l’aboutissement de « ce jour était enfin arrivé », qui arrive de façon un peu rapide et abrupte je trouve. De même, par exemple, aller à la ligne juste avant « je m’isolai de longs mois » aurait peut-être aidé à mieux marquer les différentes étapes du récit ?
Je trouve que c’est vraiment bien pour un premier écrit, Giny : on attend le suivant ! .. :o)
C’est bien Giny, je trouve ! Ca se lit tout seul, on se laisse prendre par le texte..
Des petits détails de présentation (espaces mal placés ou manquants, ...) pénibles à mes yeux délicats et qu’une relecture soigneuse pourrait éviter, mais pratiquement pas de fautes !! .. :o).. Des petites choses aussi, comme « je me rappelle avec netteté.. », pas très heureux, et limite incorrect je pense, que je remplacerais volontiers par « je me souviens », des accords de temps (ça faisait trois ans que je l’attends, .. ), des petites maladresses de style (qui me brûlait à petit feu chaque fois que.. )..
Personnellement, j’aurais tenté un passage un peu plus progressif vers l’aboutissement de « ce jour était enfin arrivé », qui arrive de façon un peu rapide et abrupte je trouve. De même, par exemple, aller à la ligne juste avant « je m’isolai de longs mois » aurait peut-être aidé à mieux marquer les différentes étapes du récit ?
Je trouve que c’est vraiment bien pour un premier écrit, Giny : on attend le suivant ! .. :o)
Un fameux texte là Giny !
Une confidence ardente pleine de vibrations et d'amour ! Tu fais honneur à ton pseudo ! ;o))
Le fait que tu t'aperçoives de certaines erreurs juste après l'avoir posté, prouve que tu l'as écrit très vite et que tu dois être assez douée. Je crois qu'on te verras encore souvent dans ce forum. C'est bien, continue ! ;o))
Une confidence ardente pleine de vibrations et d'amour ! Tu fais honneur à ton pseudo ! ;o))
Le fait que tu t'aperçoives de certaines erreurs juste après l'avoir posté, prouve que tu l'as écrit très vite et que tu dois être assez douée. Je crois qu'on te verras encore souvent dans ce forum. C'est bien, continue ! ;o))
Ben tu vois Giny ! Pas trop de temps pour commenter. Suis que de passage. Donc juste te dire que je suis contente que tu aies sauté le pas. Continue sur la lancée.
Bravo pour ce premier postage... il y a bien quelques maladresses et toujours quelques problèmes de temps mais je trouve ce texte plutôt prometteur.
L'urgence ; ça a été dit. On sent effectivement que tu voulais écrire et montrer quelque chose. Et la décision prise, tu t'es jetée sur un stylo, et quand tu as senti que tu arrivais à la fin, tu t'es dépêchée de le poster. Pour voir. Et tu aurais pu l'améliorer en le relisant, le retouchant ... En tout cas, ça s'est passé ainsi pour moi.
Alors bienvenue chez nous.
Parce que sinon, je suis sûr que tu vas trouver des choses à dire, à raconter. On le sent.
Le princiopal, et c'est ce que j'espère, c'est que ça t'ait fait plaisir.
Un tout petit peu abscons, j'ai trouvé, mais je ne boude pas mon plaisir.
Alors bienvenue chez nous.
Parce que sinon, je suis sûr que tu vas trouver des choses à dire, à raconter. On le sent.
Le princiopal, et c'est ce que j'espère, c'est que ça t'ait fait plaisir.
Un tout petit peu abscons, j'ai trouvé, mais je ne boude pas mon plaisir.
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