Ah mais pour sûr mon cher Tistou :))
Saches que j'apprécie beaucoup le fait que :
1) tu aies commenté tout ce que j'ai posté ici, et que
2) tu aies franchement, sincèrement, donné ton point de vue
Et tu sais que tu es invité à faire de même avec les textes des autres ?
Saches que j'apprécie beaucoup le fait que :
1) tu aies commenté tout ce que j'ai posté ici, et que
2) tu aies franchement, sincèrement, donné ton point de vue
Et tu sais que tu es invité à faire de même avec les textes des autres ?
J'aime. Beaucoup. Inutile de palabrer en expliquant pourquoi, la poésie s'imprime ou s'efface, ici elle me touche. Des mots simples qui s'allient dans la force. Cela correspond à ce que j'aime lire d'habitude en la matière.
Petit regret, le mot suc qui heurte l'harmonie dans le premier texte.
Je préfère le premier texte au second, il me parle davantage et ne répond pas aux rigueurs d'écriture de la poésie, ce que semble chercher le 2e poème et ça se sent.
Petit regret, le mot suc qui heurte l'harmonie dans le premier texte.
Je préfère le premier texte au second, il me parle davantage et ne répond pas aux rigueurs d'écriture de la poésie, ce que semble chercher le 2e poème et ça se sent.
J'aime le saint Opium et ses larges fumées"y s'embrassent"? ou "s'y embrassent"? Fait exprès?!
Bleues lorsqu'en la verdure y s'embrassent des vers,
Mais j'aime aussi l'Azur que parfois les hivers
Au-dessus de mon corps viennent stériliser.
Vif, et lent - C'est l'arôme étranglé dans son fruitPas tout compris, mais j'ai été bloqué par la surabondance de verbes en 2 lignes
Qui pourrit de ne voir plus s'abattre le ciel,
Car il aimait savoir l'interminable nuit
Au-dessus de lui comme un arc-en-ciel.
Dans le rosier qui s'évapore"vrai semblable", pas aimé. Le reste: pas compris.
Se fixait un oeil vrai semblable
Au cours d'un pleur nuancé d'or
- Une flamberge sur le sable
Sourire du vers qui me mord
Là-bas, où la raison s'oppose,
Où des lys nébuleusement
S'échappait l'éternelle cause
Qui de la mort n'est plus l'amant,
A n'y désirer que la rose...
L'aurait peut-être mieux valu que je ne vinsse pas ici ce matin moi, si c'est pour poster des critiques pareilles... ;-)))
Pas trop aimé le premier poste, mais c'est personnel, j'ai du mal avec les vers libres.
J'aime le saint Opium et ses larges fuméesça j'aime assez, je ne sais pas trop pourquoi mais le mélange de bleu, d'azur, de vers et de verdure me plait. Je cherche un sens, n'en trouve aps vraiment mais tu dis que c'est normal alors passons.
Bleues lorsqu'en la verdure y s'embrassent des vers,
Mais j'aime aussi l'Azur que parfois les hivers
Au-dessus de mon corps viennent stériliser.
Vif, et lent - C'est l'arôme étranglé dans son fruitl'idée de comparer la nuit à un arc-en-ciel est plutôt originale, elle donne à réfléchir. Je m'invente des débuts de sens et ça me plait assez.
Qui pourrit de ne voir plus s'abattre le ciel,
Car il aimait savoir l'interminable nuit
Au-dessus de lui comme un arc-en-ciel.
Dans le rosier qui s'évaporeCelui-là vraiment, pas trouvé de sens mais la sonorité me plait. Te dire pourquoi je ne saurais pas mais il y a un petit quelque chose qui me parle.
Se fixait un oeil vrai semblable
Au cours d'un pleur nuancé d'or
- Une flamberge sur le sable
Sourire du vers qui me mord
Là-bas, où la raison s'oppose,
Où des lys nébuleusement
S'échappait l'éternelle cause
Qui de la mort n'est plus l'amant,
A n'y désirer que la rose...
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