Bravo Tistou, au vif de l'actualité Clienne...
Un sonnet piquant et bien trouvé!
Mais bon, les révélations à propos de Loup, ce n'était peut-être pas le moment...
Un sonnet piquant et bien trouvé!
Mais bon, les révélations à propos de Loup, ce n'était peut-être pas le moment...
Moujik à femme :
2 !!!!
Pourquoi, tu en voulais trois? ;o)
Qu’ils durent battre l’orge pour faire leur amidon.
Vraiment, on lui aura tout fait à ce pauvre amidon!
Mais dis donc, ce n'est pas mal du tout Mentor, c'est même bien. Tu t'en tires avec tous les honneurs pour un débutant et même si tu n'étais pas débutant
MENTOR: pas mal du tout même si dix ou onze pieds, on ne sait jamais trop! Triste texte que le tien mais très bon aussi, vraiment bravo!
En amour je n'étais pas calé
Je consultais souvent ma psychiatre
Elle m'apprenait là, pas acariâtre
Au divan positions décalées
Son corsage n'était pas gelé
Je suivais les leçons opiniâtre
Epris de frénésie idolâtre
Oscillant : avancer, reculer
Quand je dus souffrir son abandon
Il me tarda fort qu'une fermière
Voulu mes connaissances dernière
Mais la vie n'est pas toujours très gaie
Depuis lors en amours je pagaie
Depuis que nous sommes amis, donc.
Je consultais souvent ma psychiatre
Elle m'apprenait là, pas acariâtre
Au divan positions décalées
Son corsage n'était pas gelé
Je suivais les leçons opiniâtre
Epris de frénésie idolâtre
Oscillant : avancer, reculer
Quand je dus souffrir son abandon
Il me tarda fort qu'une fermière
Voulu mes connaissances dernière
Mais la vie n'est pas toujours très gaie
Depuis lors en amours je pagaie
Depuis que nous sommes amis, donc.
si si! néophyte jusqu'au bout des pieds... des alexandrins... qui sont d'ailleurs bien boiteux... Merci quand même! ;-))
Qu’ils durent battre l’orge pour faire leur amidon.
Vraiment, on lui aura tout fait à ce pauvre amidon!
Mais dis donc, ce n'est pas mal du tout Mentor, c'est même bien. Tu t'en tires avec tous les honneurs pour un débutant et même si tu n'étais pas débutant
Qu’ils durent battre l’orge pour faire leur amidon.
Vraiment, on lui aura tout fait à ce pauvre amidon!
Mais dis donc, ce n'est pas mal du tout Mentor, c'est même bien. Tu t'en tires avec tous les honneurs pour un débutant et même si tu n'étais pas débutant
Il en a peut-être eu assez d'être rigide, cet amidon! Laissons-le être ce qui lui plait, ce soir!
En amour je n'étais pas calé
Je consultais souvent ma psychiatre
Elle m'apprenait là, pas acariâtre
Au divan positions décalées
Son corsage n'était pas gelé
Je suivais les leçons opiniâtre
Epris de frénésie idolâtre
Oscillant : avancer, reculer
Quand je dus souffrir son abandon
Il me tarda fort qu'une fermière
Voulu mes connaissances dernière
Mais la vie n'est pas toujours très gaie
Depuis lors en amours je pagaie
Depuis que nous sommes amis, donc.
Ca, Freud le disait bien, le transfert, faut s'en méfier.
Et SJB??
J'appelle la Préfecture ! Ils ont eu SJB !
Loup! Et Tistou qui venait d'évoquer ton homosexualité, serait-ce une contre-attaque???
En tout cas, j'ai bien ri face à ton apprentissage des choses de l'amour, quelle touchante sincérité! ;o)
Un peu de sérieux, c'est rythmé et drôle, un sonnet délirant du samedi soir, c'est toujours un plaisir!
En tout cas, j'ai bien ri face à ton apprentissage des choses de l'amour, quelle touchante sincérité! ;o)
Un peu de sérieux, c'est rythmé et drôle, un sonnet délirant du samedi soir, c'est toujours un plaisir!
Blue j'adore ton N° 2! ;-)
Suis pas très fier de moi ;-) Finalement dur dur ces vers de plus ou moins neuf pieds !En amour je n'étais pas calé
Je consultais souvent ma psychiatre
Elle m'apprenait là, pas acariâtre
Au divan positions décalées
Son corsage n'était pas gelé
Je suivais les leçons opiniâtre
Epris de frénésie idolâtre
Oscillant : avancer, reculer
Quand je dus souffrir son abandon
Il me tarda fort qu'une fermière
Voulu mes connaissances dernière
Mais la vie n'est pas toujours très gaie
Depuis lors en amours je pagaie
Depuis que nous sommes amis, donc.
Ca, Freud le disait bien, le transfert, faut s'en méfier.
J'ai eu du mal avec ces rimes, pas vous ?
Dans mon fauteuil calé,
J’ressemble à un psychiatre,
Aux pensées acariâtres
Et à l’air décalé.
Ma mine est opiniâtre
Et mon corps est gelé :
Celle que j’idolâtre,
De son coin reculé,
D’un regard ferme hier,
Ce jour, phrase dernière,
Me jette à l’abandon.
Ma journée n’est pas gaie
Dans le noir je pagaie.
Aurais-je un ami, dont…
***
Sur ses mains le menton calé
Regardant la psyché et l’âtre
Une vieille femme acariâtre
Songe à son passé décalé.
Son front aux rides opiniâtres
Surplombe un visage gelé.
Une photo qu’elle idolâtre
Du temps aujourd’hui reculé.
De ces douces senteurs fermières
Elle en rêvait la nuit dernière.
Au réveil : rien que l’abandon.
Elle est si seule, elle est si gaie…
Mensonge. La vie n’est pas gaie.
Aussi rugueuse qu’amidon.
Gai est vraiment à l'honneur !
Y'en a pas un pour racheter l'autre !
Où qu'est la corde que j'me pende !
"la psyché et l’âtre" Osé non ? T'appelles ça comment ? Corruption de mots, ah oui.
Si y'en a un qui t'embête tu m'le dis femme.
Ha ! Saperlipopet ! Mon fusil s'est calé!
Arrête de râler, dit mon sergent psychiatre
Ca ne te sert à rien ton humeur acariâtre
Prends donc mon épée, je vais le décaler
Ton épée, tu n'y penses ! Avec mes doigts gelés !
Allons, dit mon sergent de sa voix opiniâtre
Luttez pour l'Empereur que le monde idolâtre
Un grognard peut périr mais jamais reculer
Mais moi j'avais zieuté une belle fermière
Que j'avais repéré déjà la nuit dernière
Elle était éplorée, dans un triste abandon
- Mais pourquoi pleurez-vous ? La vie n'est-elle pas gaie ?
- Mon gars s'est fait faucher par un coup de pagaie !
- allons ! Faisons ami, lui dis-je : amideurs amidons !
Et ils vécurent heureux et .. .. (censuré) ! :o))
Arrête de râler, dit mon sergent psychiatre
Ca ne te sert à rien ton humeur acariâtre
Prends donc mon épée, je vais le décaler
Ton épée, tu n'y penses ! Avec mes doigts gelés !
Allons, dit mon sergent de sa voix opiniâtre
Luttez pour l'Empereur que le monde idolâtre
Un grognard peut périr mais jamais reculer
Mais moi j'avais zieuté une belle fermière
Que j'avais repéré déjà la nuit dernière
Elle était éplorée, dans un triste abandon
- Mais pourquoi pleurez-vous ? La vie n'est-elle pas gaie ?
- Mon gars s'est fait faucher par un coup de pagaie !
- allons ! Faisons ami, lui dis-je : amideurs amidons !
Et ils vécurent heureux et .. .. (censuré) ! :o))
TISTOU : Il m'a fait bien rire ce poème qui fini en méchoui ;-) Enfin on est d'accord, frnachement les psychiatre ... ;-)
Loupbleu, tu as fait du détournement de psy! Ca va chercher loin... ;-)) J'espère qu'elle t'a fait une réduction sur les consultes...
C'est bien trouvé et très olé-olé, pas mal du tout
C'est bien trouvé et très olé-olé, pas mal du tout
J'ai eu du mal avec tout: les rimes, les pieds, le sens et la cohérence des 3
J'ai eu du mal avec tout: les rimes, les pieds, le sens et la cohérence des 3
C'était une réponse à
"J'ai eu du mal avec ces rimes, pas vous ?"
Loup! Et Tistou qui venait d'évoquer ton homosexualité, serait-ce une contre-attaque???
En tout cas, j'ai bien ri face à ton apprentissage des choses de l'amour, quelle touchante sincérité! ;o)
Un peu de sérieux, c'est rythmé et drôle, un sonnet délirant du samedi soir, c'est toujours un plaisir!
Les psychiatres se trompent souvent. Mais on n'a pas le droit de le dire.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre