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Je lisais il y a peu: "...éviter de pondre un autre livre. Il y en a trop! Déambuler dans les allées entre les piles de millions d'oeuvres impérissables est un grand exercice d'humilité. Les écrivains doivent absolument arrêter d'écrire." (je demande que ceux qui reconnaissent l'auteur, veuillent bien ne pas le citer pour que sa personnalité n'influence pas les avis de chacun).
Je me suis déjà fait cette réflexion. Qu'est-ce qui peut pousser un auteur à écrire en dehors du plaisir qu'il y prend? Je veux dire: quand j'entends un écrivain de parler de quelque chose comme "sa souffrance d'écrire" ou son angoisse, sa hantîse de la page blanche... je me demande pourquoi il n'arrête pas, alors? Qui le sait? Je n'arrive pour l'instant à concevoir la pulsion d'écrire que comme un mode d'obtention d'un plaisir. Ou alors on n'écrit pas. Est-ce qu'il y a autre chose?J'envisage autre chose, mais je n'en parle pas tout de suite pour ne pas influencer vos avis. Ou encore, y en a-t-il qui pensent que le monde a besoin de leur livre?
Je me suis déjà fait cette réflexion. Qu'est-ce qui peut pousser un auteur à écrire en dehors du plaisir qu'il y prend? Je veux dire: quand j'entends un écrivain de parler de quelque chose comme "sa souffrance d'écrire" ou son angoisse, sa hantîse de la page blanche... je me demande pourquoi il n'arrête pas, alors? Qui le sait? Je n'arrive pour l'instant à concevoir la pulsion d'écrire que comme un mode d'obtention d'un plaisir. Ou alors on n'écrit pas. Est-ce qu'il y a autre chose?J'envisage autre chose, mais je n'en parle pas tout de suite pour ne pas influencer vos avis. Ou encore, y en a-t-il qui pensent que le monde a besoin de leur livre?
Je me suis trompée de forum, je voulais poser cette question dans le forum général. Je retourne l'y mettre. Rendez-vous là-bas pour cette discussion.
Mes excuses ;-}
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