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(Voilà, encore désoél pour la maladresse de l'autre soir et merci à Mentor pour ces chtites retouches, même si, pour le dernier point j'ai rien pu faire, il aurrait fallu changé tout le texte ^^)
J’étais assis. Là. Sur ce banc. Ce banc même qui a déjà accueilli tant de gens. J’étais en costume noir, avec un mouchoir blanc sur le veston et un chapeau haut-de-forme, tel les anciens rendez-vous galants du siècle dernier. J’attendais, une rose à la main. Après de nombreuses hésitations sur le choix et le nombre de fleurs, j’avais décidé de prendre une rose. Ni plus ni moins. Pas douze, comme les gens qui veulent se montrer romantique, car je l’avais déjà conquise et la galanterie lui importait peu. Plus jeune, j’aurais certainement joué sur la carte du romantisme, et elle aurait certainement apprécié l’allusion, mais à présent, elle et moi ne tenions absolument pas compte de se genre de choses. Et puis, l’unique rose, pour moi, c’est si poétique. N’est-ce pas le Petit Prince de Saint-Exupéry qui avait annoncé à sa seule amie la rose qu’elle était unique ? N’est-ce pas lui qui trouvait les autres roses complètement dénuées d’intérêts, quand il la comparait? C’est la même expression qui se dégage de deux personnes amoureuses. Cette personne est devenue unique a nos yeux. Elle était ma Rose. Malgré tout, ce sera la dernière fois. Le dernier rendez-vous. J’allais lui annoncer que je partirai loin d’ici, vers le sud. J’allais lui dire adieu… Une larme coula sur mon visage. Un pétale, une seule, tomba de la rose et vola au gré du vent pendant quelques mètres. C’était moi. C’était moi, ce petit pétale qui se détachait du calice, pour voler. Pendant peu de temps, c’est ça le problème. Arrivera un moment, et je le sais, où je me planterai. Mais je n’ai pas le choix. La relation que j’avais avec elle devenait trop ambiguë. Malgré cela, elle restera ma Rose. Jamais je ne l’oublierai. Je lui resterai toujours fidèle… Je regardai ma montre. Déjà 13 heures, je devais y aller. Courage. Je fermai les yeux une dernière fois avant d’aller la voir, car je savais qu’elle aussi m’attendait quelque part, juste à côté, dans le cimetière. J’étais assis. Là. Sur ce banc. J’attendais, la rose à la main, j’attendais d’avoir le courage d’y aller, poser ma rose sur la tombe de mon épouse décédée.
J’étais assis. Là. Sur ce banc. Ce banc même qui a déjà accueilli tant de gens. J’étais en costume noir, avec un mouchoir blanc sur le veston et un chapeau haut-de-forme, tel les anciens rendez-vous galants du siècle dernier. J’attendais, une rose à la main. Après de nombreuses hésitations sur le choix et le nombre de fleurs, j’avais décidé de prendre une rose. Ni plus ni moins. Pas douze, comme les gens qui veulent se montrer romantique, car je l’avais déjà conquise et la galanterie lui importait peu. Plus jeune, j’aurais certainement joué sur la carte du romantisme, et elle aurait certainement apprécié l’allusion, mais à présent, elle et moi ne tenions absolument pas compte de se genre de choses. Et puis, l’unique rose, pour moi, c’est si poétique. N’est-ce pas le Petit Prince de Saint-Exupéry qui avait annoncé à sa seule amie la rose qu’elle était unique ? N’est-ce pas lui qui trouvait les autres roses complètement dénuées d’intérêts, quand il la comparait? C’est la même expression qui se dégage de deux personnes amoureuses. Cette personne est devenue unique a nos yeux. Elle était ma Rose. Malgré tout, ce sera la dernière fois. Le dernier rendez-vous. J’allais lui annoncer que je partirai loin d’ici, vers le sud. J’allais lui dire adieu… Une larme coula sur mon visage. Un pétale, une seule, tomba de la rose et vola au gré du vent pendant quelques mètres. C’était moi. C’était moi, ce petit pétale qui se détachait du calice, pour voler. Pendant peu de temps, c’est ça le problème. Arrivera un moment, et je le sais, où je me planterai. Mais je n’ai pas le choix. La relation que j’avais avec elle devenait trop ambiguë. Malgré cela, elle restera ma Rose. Jamais je ne l’oublierai. Je lui resterai toujours fidèle… Je regardai ma montre. Déjà 13 heures, je devais y aller. Courage. Je fermai les yeux une dernière fois avant d’aller la voir, car je savais qu’elle aussi m’attendait quelque part, juste à côté, dans le cimetière. J’étais assis. Là. Sur ce banc. J’attendais, la rose à la main, j’attendais d’avoir le courage d’y aller, poser ma rose sur la tombe de mon épouse décédée.
Belle idée. Cependant quelques maladresses de style, de conjugaison et d'orthographe, de quoi rendre la lecture heurtée par moments ou un peu trop dense. Les phrases courtes peuvent, si trop employées, produire un effet de saccade et de lourdeur qui pêche un peu dans ton texte. On sent que ce monologue vient du coeur et devrait être rempli d'émotion, mais celle-ci ne transparaît pas totalement. Peut-être à cause de ce mode d'écriture qui empêche l'écriture d'être totalement fluide et naturelle.
Ceci n'est évidemment que mon avis personnel, mais je crois que ce texte vaudrait la peine que tu le retravailles un peu.
Ceci n'est évidemment que mon avis personnel, mais je crois que ce texte vaudrait la peine que tu le retravailles un peu.
Panty, je ne vais pas recopier ce que j'ai déjà mis sur le fuseau du forum général. Jsute dire que c'est un peu mieux. Restent encore pas mal de fautes, et là aussi: 2 fautes en 3 lignes dans ton avant-propos!! ;-) Allons, un petit effort et ça ira bien. Tu as une écriture sensible. Ca se ressent. Vas-y.
Je vais lire ton autre texte
Je vais lire ton autre texte
Etonnant eu égard à ton âge. De beaux passages, comme ce pétale envolé de la rose qui symbolise l'éloignement de l'être aimé. D'autres plus banaux (j'aime bien "banaux"!). Des maladresses de style qui font que pour l'essentiel on reste un peu en dehors, mais ça la répétition de l'exercice d'écriture les gommeront. La base ; avoir des idées et créer de belles images, me semble là. Alors si écrire te plait, tu peux déja le faire ici !
J'aime bien,les fautes c'est pas moi qui risque de les voir.Je pense qu'il un peu plus d'mplication dans l'écriture, parfois il faut tremper l'encre de sa plume dans l'encrier de son coeur et hop! le miracle se produit.Mais j'aime bien et j'ai lu avec plaisir (c'est le principal:le plaisir).
Ce texte témoigne d'une certaine sensibilité et si on le rapporte à l'âge de son auteur, on peut dire qu'il est prometteur.
Les maladresses gènent un peu la lecture certes mais ça, tu auras bien le temps de le travailler!
Les maladresses gènent un peu la lecture certes mais ça, tu auras bien le temps de le travailler!
Oui, surprenant sujet pour quelqu'un de ton âge, cela change aussi le regard.
Mais je n'en tiendrai aps compte. L'émotion y est mais elle manque un peu de souffle, en raison des quelques maladresses parsemées dans le texte. Un peu cliché dans l'ensemble mais s'en dégage un petit air frais...
Mais je n'en tiendrai aps compte. L'émotion y est mais elle manque un peu de souffle, en raison des quelques maladresses parsemées dans le texte. Un peu cliché dans l'ensemble mais s'en dégage un petit air frais...
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