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Voici donc la suite de ma critique. Merci !
Cette description du Japon actuel est extrêmement effrayante. Un leitmotiv : la perte de tout repaire.
Pour simplifier ce qui se veut être un résumé - bien subjectif ! -, j'épinglerai quelques pages :
- La pauvre vie des salariés japonais.
- Le test : " L'âge où les maris deviennent encombrants ". Texto : votre travail est votre seule raison d'être - Vous ne communiquez pas plus avec votre femme qu'avec vos enfants - vous n'avez aucun passe-temps, etc...
- Le test : " Qu'aimeriez-vous dire à votre famille ? " Texto : je voudrais que ma femme augmente mon argent de poche - je voudrais avoir le droit de dire " je n'en peux plus ! ", etc...
- Quelques beaux cas de Karôshi ( mort de surmenage ).
- Buts recherchés par les femmes et les hommes.
- Le quartier de " Sanya, last exit ", un ghetto pour ceux qui ont tout lâché et qui n'existent plus.
Vous l'aurez compris, Muriel Jolivet nous parle ici des victimes de la récession, des enchaînés à leurs entreprises.
Et pour couronner le tout, on retrouve ici et là, des propos plus qu'accablants sur la société japonaise.
Si vous avez une haute considération pour le Japon et tout ce qu'il entraîne avec lui, gardez vos illusions et ne lisez surtout pas ce livre. Pour ma part, il m'a enlevé toute envie d'y mettre un jour les pieds. Mais je conserverai toujours la part la plus appréciable : la découverte de cette culture admirable et délicieuse.
Cette description du Japon actuel est extrêmement effrayante. Un leitmotiv : la perte de tout repaire.
Pour simplifier ce qui se veut être un résumé - bien subjectif ! -, j'épinglerai quelques pages :
- La pauvre vie des salariés japonais.
- Le test : " L'âge où les maris deviennent encombrants ". Texto : votre travail est votre seule raison d'être - Vous ne communiquez pas plus avec votre femme qu'avec vos enfants - vous n'avez aucun passe-temps, etc...
- Le test : " Qu'aimeriez-vous dire à votre famille ? " Texto : je voudrais que ma femme augmente mon argent de poche - je voudrais avoir le droit de dire " je n'en peux plus ! ", etc...
- Quelques beaux cas de Karôshi ( mort de surmenage ).
- Buts recherchés par les femmes et les hommes.
- Le quartier de " Sanya, last exit ", un ghetto pour ceux qui ont tout lâché et qui n'existent plus.
Vous l'aurez compris, Muriel Jolivet nous parle ici des victimes de la récession, des enchaînés à leurs entreprises.
Et pour couronner le tout, on retrouve ici et là, des propos plus qu'accablants sur la société japonaise.
Si vous avez une haute considération pour le Japon et tout ce qu'il entraîne avec lui, gardez vos illusions et ne lisez surtout pas ce livre. Pour ma part, il m'a enlevé toute envie d'y mettre un jour les pieds. Mais je conserverai toujours la part la plus appréciable : la découverte de cette culture admirable et délicieuse.
Attention : pour des raisons techniques, la suite de ma critique se situe juste plus bas. Merci !
Heu... On peut savoir quels sont ces problèmes techniques qui t'obligent à systématiquement saucissoner tes critiques (fort intéressantes du reste :-)) entre critique et forum?
Si j'en crois mon expérience, il peut bel et bien y avoir un problème si tu laisses passer trop de temps entre le moment où tu commences à enregistrer le livre dans la base de données du site et le moment où tu termines ta critique. Mais si tu prépares ta critique dans word ou dans notepad avant d'entamer la procédure pour introduire une nouvelle critique, tu devrais pouvoir faire un simple copier-coller de toute ta critique dans la fenêtre ad hoc, et ce problème ne se pose plus... Nous sommes nombreux à le faire, et ça marche...
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