N.kkey 13/05/2005 @ 11:51:26
Voici une petite nouvelle que j'apprecie enormenent. Je met en avant mon personnage préféré : Sieñdella. J'ai ecrit de nombreux épisodes avec elle, et je l'honnore à travers cette nouvelle, que j'espère, vous apprecierez


Sieñdella de Saîan




Peut-on imaginer que dans un univers parallèle se situe une planète du nom d’Utopia ? Cela est impossible sans la source de toute chose : l’imagination ; symbole de l’espoir et du rêve des Hommes.
Et si quelqu’un venait tout détruire, que ferait-on ? Nous chercherons à le combattre, afin de protéger ce qui est unique chez les êtres que nous sommes. Mais si plusieurs personnes ou encore le monde se soumet à sa propre destruction engendrée par un monde ayant perdu ses illusions, que ferions-nous ? Nous attendrions un héros qui serait le gardien de toutes choses et qui nous rendrait ce qui nous est précieux.

Sieñdella de Saîan, jeune fille originaire de l’ethnie de Saîan, l’un des plus petits pays de la planète d’Utopia, au sud. Une contrée agréable où les mystères de l’humanité semble côtoyer ses habitants dans une habitude mystique étrange.
Quelque part dans l’une des maisons de bois situés dans la nature luxuriante et enivrante des bambous et fleurs colorées. Un décor posé et rafraîchissant.
« Dis papa, je peux devenir ce que je veux quand je serais adulte ?, fit une petite fille aux yeux verts pétillants.
-Oui », répondit un homme âgé d’une quarantaine d’années possédant ce même regard, « Tu possèdes un pouvoir secret.
-Un pouvoir secret ! », fit la fillette enjouée, secouant ses deux grandes mèches de cheveux tenus à l’arrière de sa tête par deux ronds de métal, « Je veux savoir comment on s’en sert ! Dis-moi ! Dis-moi !
-Hum…C’est un pouvoir très puissant qui est capable de bouleverser le monde…Je ne sais pas si tu es prête à t’en servir maintenant.
-SI ! SI ! Je pourrai devenir, ainsi, la plus grande joueuse de Hautbois ! »
Son père se pencha vers elle, prenant une voix malicieuse :
« Toi, la plus grande joueuse de Hautbois ? Tu as seulement huit ans…révéler ce secret maintenant…je ne sais pas. »
La petite Sieñdella lui sauta autour du cou, renversant ainsi son père dans un élan chaleureux et burlesque.
« Allez ! Dis-moi ! »
Il se mit à rire devant la spontanéité que faisait preuve sa fille chérie :
« Soit ! Soit ! », il posa un doigt sur la poitrine de son enfant, au niveau du cœur, « Ici, réside le pouvoir du Maître T’srèv. Un pouvoir qui te permettra de réaliser ce que tu veux. C’est une force que tout le monde possède, mais que bien des personnes ne savent plus utiliser. Certains en ont perdu l’usage. A toi de transcender le monde !
-De Transcender ? »
Il la souleva afin de la redresser sur ses jambes :
« Tu es resplendissante, fit-il en lui caressant la joue, Dommage que ta mère ne soit pas là pour te voir.
En tout cas, n’oublie jamais que tout le monde peut changer le monde ou réaliser ses rêves. Tu deviendras ce que tu veux. Tu es la source de fleuve du changement qui emporte le monde. »
Sieñdella prit un air morose. Elle fit d’une petite voix touchante :
« Papa ? Quand est-ce qu’on reverra maman ?
-Bientôt. Nous sommes séparés de plus de cent kilomètres, et par une frontière, mais nos trois cœurs sont réunis.
-Ouais, ben ça ne répond pas à ma question, ça ! », fit-elle avec malice.
Son père se mit à rire, d’un rire puissant :
« Tu n’es qu’une coquine ! Allons, nous devons nous préparer pour un petit voyage au village de I’li.
-Super ! Encore un voyage ! J’adore les voyages !
-Peut-être, mais ne pense pas échapper à tes devoirs d’écoles ! »
Elle fit de gros yeux ronds :
« Voui, voui…mais j’ai obtenu de bons résultats jusqu’à présent…enfin, c’est suffisant, quoi… »

Le héros au masque de Porcelaine. Un personnage mystérieux et aux innombrables descriptions. Célèbre dans tout Utopia, il est venu bouleverser le monde depuis le pays de Boré situé dans l’Ouest de la planète, jusqu’à Dakkon à l’extrême opposé. Des actions étranges remplient de naïveté et de sincérité, qui ont bouleversé tout un peuple.
Une femme aux yeux verts, qui porte le secret du monde au fond de son âme. Réalisant une ambition obscure symbole de tout un peuple. Sieñdella de Saîan mène la dans à travers sa musique capable de bercer les âmes les plus réticentes. Son Hautbois enchante, emporte la brise harmonique soufflant sur un tempo effréné et rationnel. Le fleuve de nos espoirs coulant enfin vers la mer des rêves.

Décor sombre.
Hall étouffant situé dans la ville autarcique de Cloners, au fin fond des canyons ténébreux. Un combat épique se déroule. Un combat spirituel et physique qui transcende les deux adversaires dans une transe où leurs cœurs et leurs armes s’entrechoquent. Une bataille dialectique entre l’abnégation et la source des rêves et des sentiments porteurs de la création.
« Sieñdella, fit une voix froide et neutre, Tu es tout.
-Toi, tu n’es rien. Tu possèdes ni volonté, ni identité. »
Une lame noire semblant aspirer la lumière frappait avec violence l’arme noble à bord large du héros d’Utopia. L’arme sans forme contre l’arme légendaire…Le Sâdia.
Une gestuelle presque rituelle entamé par ces deux êtres exceptionnels. Le maître T’srèv contre le maître des Songes de l’abnégation, dans ce lieu étroit et enfermé sous les monts Cyls. Canyon brûlant.
« Tu n’as pas de nom…
-Tu es sur toutes les lèvres… »
Un ballet d’escrime noble les conduisait à un échange contrasté : une forme pacifique et agressive. Un respect naturel, bouleversé par une combativité innée.
« Tu es PleinKy. », fit Sieñdella d’une voix passionnée.
Leur regard se croisa entre leurs deux armes :
« En vieille langue Utopienne, on te nommerait PleinKy…le néant.
-Je suis ce que je suis, oui, répondit-il avec détachement.
-La moindre émotion t’est-elle interdite ?
-Non, aucune n’existe. »
La pureté des sentiments du néant. Du vide, où naît la pulsion création, le sentiment prend forme.
Nos deux adversaires se battaient avec ardeur, profitant du maigre relief qu’offrait le hall désert. Un endroit sans fenêtre. Seulement éclairé par des néons branlants, froids et pourtant seuls source de lumière dans ce monde de ténèbres.
« Ton ardeur ne prendra jamais le dessus sur moi ! Tu ne peux battre le néant, ainsi. Tu es l’impureté, même, fit PleinKy d’une voix monocorde.
-Je suis l’espoir des Hommes ! Symbole de leur désir à réaliser leurs rêves et du pouvoir qui est en chacun de nous. Je ne suis pas impure. Toi, tu veux détruire tout cela. »
Dans un jeu habile, le maître des songes para le Sâdia du maître T’srèv la tenant dans une position défensive délicate.
« Je ne veux pas détruire le monde. », prononça t-il d’une voix vide et pourtant solennel. Des mots qui touchèrent profondément la jeune fille.
« Que désires-tu, alors ?
-Je ne désire rien. Je ne peux désirer ou vouloir quelque chose. Je suis le néant. »
Elle se dégagea de sa prise, glissant sous la lame de son adversaire. Son visage était caché par un masque de porcelaine doté de symboles runiques, emblème d’une force dont elle ne comprenait pas le sens. Pourtant, n’était-ce pas finalement la réponse à ce combat si étrange ?
« Je ne désire rien, pourtant je te guide vers une voie qui peut te paraître étrange.
-Toi, me guider ? Comment oses-tu me dire cela ?, fit-elle accompagné d’un coup d’estoc, Je ne peux tolérer cela. Le néant n’est pas ce que je recherche !
-Tu en possèdes pourtant le symbole…ton masque.
-Mon masque…, répéta t-elle avec étonnement, Non...ce n’est pas possible.
-Si. C’est pour cela que tu ne peux pas me battre. »
Dans un élan semblant se dérouler au ralenti, PleinKy frappa le héros d’Utopia d’une force telle qu’il le propulsa sur plusieurs mètres, seulement arrêté par un mur froid et solide. Le choc provoqua une gicle de sang par la bouche de Sieñdella qui ne ressentait plus la douleur, perdue dans une méditation machiavélique sur son sort et ce pour quoi elle se battait.
Elle tomba à terre, inerte. Ses yeux grands ouverts semblaient fixés un point imaginaire : l’origine de tout cela. Le début de son combat…le pourquoi du héros.
« Sieñdella ? Sieñdella ! Que fais-tu allonger dans l’herbe ? »
La petite fille possédait un regard triste fixant le ciel magnifique qu’il y avait ce jour-ci.
« Je ne sais pas, papa. Je voulais simplement m’allonger ici. »
Il vint près d’elle, s’allongeant à son tour à ses côtés. Il fit d’une voix nostalgique remplit d’émotion :
« Ce ciel a vu la naissance de beaucoup de choses, mais il arbore un paysage différent et unique chaque jour. Façonné au grès du temps. Ta mère est née sous ce ciel, tout comme toi. Elle y est morte, tout comme toi, un jour. Ce qui rend triste, c’est ce sentiment inachevé qui nous ronge quand on a put profiter ou réaliser ce qu’on désirait.
-Je ne veux pas en parler, répondit la fillette d’une voix mélancolique, Je me sens humiliée et triste…très triste. »
Il se redressa pour se tourner vers sa fille. Il produisait une ombre étrange sur le visage tiré et tiraillé par la douleur de cette dernière.
« Tu ne dois pas arrêter de jouer du Hautbois. Cet examen est mal venu…sans compter ce morceau.
-Man…Maman aimait ce morceau…, de grosses larmes affluèrent, Elle disait qu’elle aimerait mourir sur cet air…Elle disait cela quand son visage s’éclairait de cette expression bizarre… », la fragile petite fille se mit à sangloter. Son cœur semblait se serrer, voulant oublier tous ses moments de tristesse. Sa respiration saccadée libérait les peines et douleurs qui traversait ce corps si fragile, « Je n’ai pas été digne de maman ! Elle est morte, et j’ai raté mon examen. Je devais jouer ce morceau pour elle, et j’ai brisé mon instrument… », Sieñdella pleura de grandes larmes d’une tristesse profonde. Son père la prit dans ses bras pour la consoler, mais se sentait faible et inutile devant ce chagrin ravageur.

Des larmes coulèrent sur le sol bétonné ; se mélangeant avec le sang, qui, dans une étrange ironie, provenait du cœur fragilisé par ce combat émotionnel.
Elle sentit qu’on la souleva brusquement avant de se faire projeter contre un autre mur. Fort heureusement, elle puisa la force dans son animal inerte accroché autour de son bras gauche : Ifërit. Son esprit se lova dans cette conscience ancestrale, augmentant ses sens. Elle réussit à pivoter dans les airs afin de ce réceptionner sur ses jambes et prit appui sur le mur pour tenter une manœuvre de contre-attaque.
« Je ne peux laisser mes souvenirs me détruirent. Cela doit devenir ma force, ma source de création. »,…dans un geste solennel, elle détacha son masque, l’incrustant dans un flot de lumière féerique dans son épée légendaire. Sieñdella transperça le Maître des Songes de part en part. Un mouvement qui semblait s’éterniser. Une avalanche de souvenirs et de sentiments qui affluaient dans l’esprit des deux combattants, dans un flot posé et vif. Un geste précis tout en douceur. Le Maître T’srèv, dans une acrobatie extraordinaire, avait transcendé ses sentiments à travers son masque pour devenir une arme. Une force libératrice qui devenait le chemin du Nouveau courant de la liberté.
« Tu as gagné, Maître Sieñdella. Tu as acquis une force qui dépasse l’entendement et pourtant si accessible à tous. Cependant, tu ne supprimeras jamais le néant car cela est le début de toutes choses. A bientôt, Maître T’srèv. Notre combat ne fait que commencer. Le combat de Sieñdella de Saîan…le combat de tous les Hommes. », sur ces dernières paroles, il disparut dans les ombres régnantes de l’étrange salle où la lumière transcendait les ténèbres. Laissant notre héros perplexe mais heureux d’avoir comprit comment changer le monde.

…Une fois notre espoir rendu, qu’en ferions-nous ? Cette question reste en suspend dans les tourments de notre esprit. Heureusement, Sieñdella veille sur nous et nos rêves. Elle est le symbole et la source de toutes choses. Mais il ne faut pas jamais oublier que nous seuls sommes les acteurs de la vie et point de création d’un monde qui n’attend que de recevoir notre volonté d’être.
« Chaque chose est précieuse et nous permet d’avancer au-delà de tout. »

N.kkey 13/05/2005 @ 22:23:41
J'ai même fait des dessins de ce personnage...pour ceux que ca interresse...

Kicilou 13/05/2005 @ 23:20:16
Je te lis demain N.kkey.

Kicilou 14/05/2005 @ 11:22:06
J'aime mieux celle-ci que d'autres que j'ai pu lire de toi. Les passages avec son enfance ancrent le tout dans quelque chose de plus réél. Ce qui fait passé plus facilement ce combat qui est assez abstrait quand même. J'ai presque toujours l'impression, quand je te lis, d'avoir affaire à un extrait de quelque chose de plus long, ou tout du moins, j'aimerais pouvoir lire quelque chose de plus long sur ce sujet. J'ai l'impression que tu n'exploites pas à fond ton sujet dans ces nouvelles. Pourquoi te cantonner à la nouvelle? Tu as créé un monde, alors écris donc un livre !

Bon, sur la forme : j'ai remarqué un endroit ou le père "rit d'un rire tonitruant" ou quelque chose comme ça : c'est répétitif.
Et puis aussi, tu devrais parlé d'une héroïne puisque c'est une fille : là, on se mélange les pinceaux entre son ennemi (masculin) et elle qui parfois et transformée en "il" à cause du "héros".

Enfin, sur la ponctuation du dialogue c'est bien ! lol. J'ai juste remarqué un endroit, je crois, où tu as fermé les guillemets avant l'incise mais bon, ce n'est pas grand chose.
Je vais te conseiller un truc : te casses pas la tête avec les guillemets, c'est un coup à faire des erreurs, ne mets que des tirets : c'est ce que fait la plupart des gens. Mais, ce que tu fais là c'est juste sinon. ;-)

N.kkey 14/05/2005 @ 11:29:17
J'aime mieux celle-ci que d'autres que j'ai pu lire de toi. Les passages avec son enfance ancrent le tout dans quelque chose de plus réél. Ce qui fait passé plus facilement ce combat qui est assez abstrait quand même. J'ai presque toujours l'impression, quand je te lis, d'avoir affaire à un extrait de quelque chose de plus long, ou tout du moins, j'aimerais pouvoir lire quelque chose de plus long sur ce sujet. J'ai l'impression que tu n'exploites pas à fond ton sujet dans ces nouvelles. Pourquoi te cantonner à la nouvelle? Tu as créé un monde, alors écris donc un livre !

Bon, sur la forme : j'ai remarqué un endroit ou le père "rit d'un rire tonitruant" ou quelque chose comme ça : c'est répétitif.
Et puis aussi, tu devrais parlé d'une héroïne puisque c'est une fille : là, on se mélange les pinceaux entre son ennemi (masculin) et elle qui parfois et transformée en "il" à cause du "héros".

Enfin, sur la ponctuation du dialogue c'est bien ! lol. J'ai juste remarqué un endroit, je crois, où tu as fermé les guillemets avant l'incise mais bon, ce n'est pas grand chose.
Je vais te conseiller un truc : te casses pas la tête avec les guillemets, c'est un coup à faire des erreurs, ne mets que des tirets : c'est ce que fait la plupart des gens. Mais, ce que tu fais là c'est juste sinon. ;-)


merci beaucoup pour les commentaires. Pour ce qui est de la répétition je vais corriger cela...Sinon, pour l'histoire de "On dirait qu'il y a une véritable histoire" c'est vrai.
Sieñdella de Saîan est une nouvelle issu d'une petite serie que j'ai gardé sous le coude pour l'instant. Il existe 5 épisodes qui forment une histoire des plus complexes qui soit où il y apleins de rebondissement.
De plus, le personnage principale (Sieñdella) est inspirer de ma petite amie que j'aime tant...un véritable clin d'oeil...

Je vais travaillé la nouvelle et aussi mettre quelques dessins que j'ai fait via un lien

Acie 14/05/2005 @ 17:08:54
comme kicilou j'ai préféré celui-ci
cependant, toujours des fautes et des erreurs syntaxiques qui me gachent un peu l eplaisir c'est dommage
c'est assez spirituel, c'est bien trouvé, mais oui c'est un peu alambique par contre, on ne sait plus qui est qui c'est vrai avec les pronoms et les noms des maitres qui arrivent comme ca qans explications, il nous faut l'histoire ds l'ordre, pas des bribes!!! un livre, il faut un livre
;-)
bon je te corrige les fautes mais la prochaine fois pitié, relis toi

Acie 14/05/2005 @ 17:52:26
la c'est du conditionnel, donc il faut mettre aussi nous chercherions, pas nous chercherons, sinon mets tout au futur

Et si quelqu’un venait tout détruire, que ferait-on ? Nous chercherons à le combattre, afin de protéger ce qui est unique chez les êtres (que nous sommes). je mets une parenthese car je trouve ca en trop, c sous entendu

Mais si plusieurs personnes ou encore le monde se soumet à sa propre destruction engendrée par un monde ayant perdu ses illusions, que ferions-nous ?
la la formulation me gene, c'est repetitif avec le monde et engendre c'est maladroit, pkoi pas et si le monde perdait ses illusions et se soumettait de fait a sa propre destruction?

Nous attendrions un héros qui serait le gardien de toute(s) chose(s) et (qui )nous rendrait ce qui nous est précieux.

Une contrée agréable où les mystères de l’humanité semble(ent!!) côtoyer ses habitants dans une habitude mystique étrange.
la aussi, peut etre est ce trop de reparler des habitudes mystiques

Quelque part dans l’une des maisons de bois situé(e)s dans la nature luxuriante et enivrante des bambous et fleurs colorées.

« Dis papa, je peux devenir ce que je veux quand je serais (pas de s) adulte ?, fit une petite fille aux yeux verts pétillants.
La comme tu poses le decor on s'attend a un present, pas un passe simple, probleme de concordance, tu comprends?

-Oui », répondit un homme (âgé )d’une quarantaine d’années possédant ce même regard,

« Tu possèdes un pouvoir secret.
-Un pouvoir secret ! », fit la fillette enjouée, secouant ses deux grandes mèches de cheveux tenu(e)s à l’arrière de sa tête par deux ronds de métal,

-SI ! SI ! Je pourrai(s, car conditionnel) devenir, ainsi, la plus grande joueuse de Hautbois ! »

lui sauta autour (au c'est mieux)du cou, renversant ainsi son père dans un élan chaleureux et burlesque.
Il se mit à rire devant la spontanéité que (dont , que c'est pour les cod, pas les complements du nom) faisait preuve sa fille chérie :

Tu deviendras ce que tu veux. Tu es la source de (du non?)fleuve du changement qui emporte le monde. »
Sieñdella prit un air morose. Elle fit ( dit c'est mieux)d’une petite voix touchante :
« Papa ? Quand est-ce qu’on reverra maman ?
-Bientôt. Nous sommes séparés de plus de cent kilomètres, et par une frontière, mais nos trois cœurs sont réunis.
"et par une frontiere m'a genee c'est mal amene)

-Ouais, ben ça (ne) répond pas à ma

-Peut-être, mais ne pense pas échapper à tes devoirs (d’écoles inutile)!»

Elle fit de gros yeux ronds :
« Voui, voui…mais j’ai obtenu de bons résultats jusqu’à présent…enfin, c’est suffisant, quoi… »
la le discours me surprend ca ne semble pas correspondre avec l'age des precedents discours

Des actions étranges remplient (ohlala remplies )de naïveté et de sincérité, qui ont bouleversé tout un peuple.

Sieñdella de Saîan mène la dans (y a pas un e la?)à travers sa musique capable de bercer les âmes les plus réticentes. Son Hautbois enchante, emporte la brise harmonique soufflant sur un tempo effréné et rationnel.
la encore la description me chiffonne

ya souvent transcender, tu aimes? lol
. Une bataille dialectique entre l’abnégation et la source des rêves et des (les c mieux)sentiments porteurs de la création.

-Toi, tu n’es rien. Tu (ne)possèdes ni volonté, ni identité. »

Une gestuelle presque rituelle entamé(e) par ces deux êtres exceptionnels.

« En vieille langue Utopienne, on te nommerait PleinKy…le néant.
la j'aurais pas mis ca ds le dialogue mais plus en aparté

« Ton ardeur ne prendra jamais le dessus sur moi ! Tu ne peux battre le néant, ainsi. Tu es l’impureté(,) même, fit PleinKy d’une voix monocorde.

-Je suis l’espoir des Hommes ! Symbole de leur désir à réaliser leurs rêves et du pouvoir qui est en chacun de nous.(d'eux comme tu dis les hommes)
Je ne suis pas impure. Toi, tu veux détruire tout cela. » (mal formule je trouve)

Dans un jeu habile, le maître des songes para le Sâdia du maître T’srèv, la tenant dans une position défensive délicate.

« Je ne veux pas détruire le monde. », prononça t-il d’une voix vide et pourtant solennel(le). Des(Ces non?) mots (qui) touchèrent profondément la jeune fille.

Son visage (était) caché par un masque de porcelaine doté de symboles runiques, emblème d’une force dont elle ne comprenait pas le sens.

-Toi, me guider ? Comment oses-tu me dire cela ?, fit-elle (dit-elle) accompagné(e) d’un coup d’estoc,

-Si. C’est pour cela que tu ne peux (pas je l'enleverai la) me battre. »

Le choc provoqua une gicle (ée)de sang par la bouche de Sieñdella qui ne ressentait plus la douleur, perdue dans une méditation machiavélique (euh j'aurais mis manichéenne)sur son sort et ce pour quoi elle se battait.

Elle tomba à terre, inerte. Ses yeux grand(s pas de s car c'est un adverbe ici)ouverts semblaient fixés (er) un point imaginaire : l’origine de tout cela

« Sieñdella ? Sieñdella ! Que fais-tu allonger (ée)dans l’herbe ? »
La petite fille possédait (on ne pas posséder un regard)un regard triste fixant le ciel magnifique qu’il y avait ce jour-ci.

ses côtés. Il fit (on ne fait pas une voix, on dit ou autre synonyme)d’une voix nostalgique remplit (ie) d’émotion :

« Ce ciel a vu la naissance de beaucoup de choses, mais il arbore un paysage différent et unique chaque jour. Façonné au grè(s pas de s) du temps.

c’est ce sentiment(d') inachevé qui nous ronge quand on (n')a (pas) put (pas de t) profiter ou réaliser ce qu’on désirait.

Il se redressa pour se tourner vers sa fille. Il produisait une ombre étrange sur (le, son?) visage tiré et tiraillé (par la, la jemettrai de) douleur (de cette dernière).
« Tu ne dois pas arrêter de jouer du Hautbois. Cet examen est (était?) mal venu…sans compter ce morceau.

voulant oublier tous ses(ces) moments de tristesse. Sa respiration saccadée libérait les peines et douleurs qui traversait(ent) ce corps si fragile,
Des larmes coulèrent sur le sol bétonné ; se mélangeant (avec, j'aurais mis au) le sang, qui, dans une étrange ironie, provenait du cœur fragilisé par ce combat émotionnel.

Elle sentit qu’on la souleva brusquement avant (de se faire, d'être?) projeter(ée) contre un autre mur.

conscience ancestrale, augmentant ses sens. (mal dit, on augmente pas ses sens, on les avive, les reveille qqch comme ca)


. Laissant notre héros perplexe mais heureux d’avoir comprit(is) comment changer le monde.

Elle est le symbole et la source de toute(s) chose(s). Mais il ne faut (pas) jamais oublier que nous seuls sommes les acteurs de la vie et point de création d’un monde qui n’attend que de recevoir notre volonté d’être


bon ne croit pas que ce soit des critiques et que cela, je te corrige tout ca car c'est mieux si tu veux la presenter a un concours ou la faire lire a d'autres qui ici pour beaucoup n'aiment pa sles fautes et ne te liront pas
j'ai aimé bcp de choses, c'est tres recherche, j'essaie simplement d'ameilorer ta mise en mots de ta pensee, car celle ci est riche et ne demande qu'a se developper encore
tres spirituel tout ca bcp d'allegories , continue nkey c'est tres bien, mais ameliore un peu ta syntaxe, meme si beaucoup de phrases sont belles, certaines sont maladroites encore

N.kkey 15/05/2005 @ 10:39:31
Je viens de parcourir et de prendre en compte tes corrections.

Je voulais te remercier pour tout cela, car je trouve que tu arrives à me recadrer aisémenent.
J'ai conscience que certaines phrases sont maladroites. J'ai encore des difficultés à exprimer tous les sentiments que j'aimeraient faire partager aux lecteurs. Mais, au fur et à mesure de venir sur les forums, j'ai progressé.
Ma petite amie a trouvé que je m'étais énormement amélioré en l'espace de 8 mois. Que c'est des énormes progrès, alors ne t'inquietes pas je ne prend pas mal le fait que tu recardres mes phrases et me corrige. SI je ne le voulais pas, je ne mettrais pas tout cela sur un forum.

Merci encore, et je met en ligne la "nouvelle version" !

N.kkey 15/05/2005 @ 10:42:14
Je viens de parcourir et de prendre en compte tes corrections.

Je voulais te remercier pour tout cela, car je trouve que tu arrives à me recadrer aisémenent.
J'ai conscience que certaines phrases sont maladroites. J'ai encore des difficultés à exprimer tous les sentiments que j'aimeraient faire partager aux lecteurs. Mais, au fur et à mesure de venir sur les forums, j'ai progressé.
Ma petite amie a trouvé que je m'étais énormement amélioré en l'espace de 8 mois. Que c'est des énormes progrès, alors ne t'inquietes pas je ne prend pas mal le fait que tu recardres mes phrases et me corrige. SI je ne le voulais pas, je ne mettrais pas tout cela sur un forum.

Merci encore, et je met en ligne la "nouvelle version" !


Sieñdella de Saîan

Peut-on imaginer que dans un univers parallèle se situe une planète du nom d’Utopia ? Cela est impossible sans la source de toute chose : l’imagination ; symbole de l’espoir et du rêve des Hommes.
Et si quelqu’un venait tout détruire, que ferait-on ? Nous chercherions à le combattre, afin de protéger ce qui est unique chez les êtres que nous sommes. Mais si plusieurs personnes ou encore le monde perdait ses illusions et se soumettait à sa propre destruction, que ferions-nous ? Nous attendrions un héros qui serait le gardien de toute chose et nous rendrait ce qui nous est précieux.

Sieñdella de Saîan, jeune fille originaire de l’ethnie de Saîan, l’un des plus petits pays de la planète d’Utopia, au sud. Une contrée agréable où les mystères de l’humanité semble côtoyer ses habitants dans une habitude étrange.
Quelque part dans l’une des maisons de bois situés dans la nature luxuriante et enivrante des bambous et fleurs colorées. Un décor posé et rafraîchissant.
« Dis papa, je peux devenir ce que je veux quand je serai adulte ?, fit une petite fille aux yeux verts pétillants.
-Oui , répondit un homme d’une quarantaine d’années possédant ce même regard, Tu possèdes un pouvoir secret.
-Un pouvoir secret ! », fit la fillette enjouée, secouant ses deux grandes mèches de cheveux tenues à l’arrière de sa tête par deux ronds de métal, « Je veux savoir comment on s’en sert ! Dis-moi ! Dis-moi !
-Hum…C’est un pouvoir très puissant qui est capable de bouleverser le monde…Je ne sais pas si tu es prête à t’en servir maintenant.
-SI ! SI ! Je pourrais devenir, ainsi, la plus grande joueuse de Hautbois ! »
Son père se pencha vers elle, prenant une voix malicieuse :
« Toi, la plus grande joueuse de Hautbois ? Tu as seulement huit ans…révéler ce secret maintenant…je ne sais pas. »
La petite Sieñdella lui sauta au cou, renversant ainsi son père dans un élan chaleureux et burlesque.
« Allez ! Dis-moi ! »
Il se mit à rire devant la spontanéité que faisait preuve sa fille chérie :
« Soit ! Soit ! », il posa un doigt sur la poitrine de son enfant, au niveau du cœur, « Ici, réside le pouvoir du Maître T’srèv. Un pouvoir qui te permettra de réaliser ce que tu veux. C’est une force que tout le monde possède, mais que bien des personnes ne savent plus utiliser. Certains en ont perdu l’usage. A toi de transcender le monde !
-De Transcender ? »
Il la souleva afin de la redresser sur ses jambes :
« Tu es resplendissante, fit-il en lui caressant la joue, Dommage que ta mère ne soit pas là pour te voir.
En tout cas, n’oublie jamais que tout le monde peut changer le monde ou réaliser ses rêves. Tu deviendras ce que tu veux. Tu es la source du fleuve du changement qui emporte le monde. »
Sieñdella prit un air morose. Elle dit d’une petite voix touchante :
« Papa ? Quand est-ce qu’on reverra maman ?
-Bientôt. Nous sommes séparés de plus de cent kilomètres, mais nos trois cœurs sont réunis.
-Ouais, ben ça répond pas à ma question, ça ! », fit-elle avec malice.
Son père s’illumina et émit un rire puissant :
« Tu n’es qu’une coquine ! Allons, nous devons nous préparer pour un petit voyage au village de I’li.
-Super ! Encore un voyage ! J’adore les voyages !
-Peut-être, mais ne pense pas échapper à tes devoirs ! »
Elle fit de gros yeux ronds :
« Voui, voui…mais j’ai obtenu de bonnes notes, non ?…enfin, c’est suffisant, quoi… »

Le héros au masque de Porcelaine. Un personnage mystérieux et aux innombrables descriptions. Célèbre dans tout Utopia, il est venu bouleverser le monde depuis le pays de Boré situé dans l’Ouest de la planète, jusqu’à Dakkon à l’extrême opposé. Des actions étranges remplies de naïveté et de sincérité, qui ont bouleversé tout un peuple.
Une femme aux yeux verts, qui porte le secret du monde au fond de son âme. Réalisant une ambition obscure symbole de tout un peuple. Sieñdella de Saîan mène la danse à travers sa musique capable de bercer les âmes les plus réticentes. Son Hautbois enchante, emporte la brise harmonique soufflant sur un tempo effréné et rationnel. Le fleuve de nos espoirs coulant enfin vers la mer des rêves.

Décor sombre.
Hall étouffant situé dans la ville autarcique de Cloners, au fin fond des canyons ténébreux. Un combat épique se déroule. Un combat spirituel et physique qui transcende les deux adversaires dans une transe où leurs cœurs et leurs armes s’entrechoquent. Une bataille dialectique entre l’abnégation et la source des rêves et les sentiments porteurs de la création.
« Sieñdella, fit une voix froide et neutre, Tu es tout.
-Toi, tu n’es rien. Tu possèdes ni volonté, ni identité. »
Une lame noire semblant aspirer la lumière frappait avec violence l’arme noble à bord large du héros d’Utopia. L’arme sans forme contre l’arme légendaire…Le Sâdia.
Une gestuelle presque rituelle entamée par ces deux êtres exceptionnels. Le maître T’srèv contre le maître des Songes de l’abnégation, dans ce lieu étroit et enfermé sous les monts Cyls. Canyon brûlant.
« Tu n’as pas de nom…
-Tu es sur toutes les lèvres… »
Un ballet d’escrime noble les conduisait à un échange contrasté : une forme pacifique et agressive. Un respect naturel, bouleversé par une combativité innée.
« Tu es PleinKy. », fit Sieñdella d’une voix passionnée.
Leur regard se croisa entre leurs deux armes :
« En vieille langue Utopienne, on te nommerait PleinKy…le néant.
-Je suis ce que je suis, oui, répondit-il avec détachement.
-La moindre émotion t’est-elle interdite ?
-Non, aucune n’existe. »
La pureté des sentiments du néant. Du vide, où naît la pulsion création, le sentiment prend forme.
Nos deux adversaires se battaient avec ardeur, profitant du maigre relief qu’offrait le hall désert. Un endroit sans fenêtre. Seulement éclairé par des néons branlants, froids et pourtant seuls source de lumière dans ce monde de ténèbres.
« Ton ardeur ne prendra jamais le dessus sur moi ! Tu ne peux battre le néant, ainsi. Tu es l’impureté même, fit PleinKy d’une voix monocorde.
-Je suis l’espoir des Hommes ! Symbole de leur désir à réaliser leurs rêves et du pouvoir qui est en chacun d’eux. Je ne te laisserais pas détruire tout cela. »
Dans un jeu habile, le maître des songes para le Sâdia du maître T’srèv la tenant dans une position défensive délicate.
« Je ne veux pas détruire le monde. », prononça t-il d’une voix vide et pourtant solennelle. Ces mots touchèrent profondément la jeune fille.
« Que désires-tu, alors ?
-Je ne désire rien. Je ne peux désirer ou vouloir quelque chose. Je suis le néant. »
Elle se dégagea de sa prise, glissant sous la lame de son adversaire. Son visage caché par un masque de porcelaine doté de symboles runiques était emblème d’une force dont elle ne comprenait pas le sens. Pourtant, n’était-ce pas finalement la réponse à ce combat si étrange ?
« Je ne désire rien, pourtant je te guide vers une voie qui peut te paraître étrange.
-Toi, me guider ? Comment oses-tu me dire cela ?, dit-elle accompagné d’un coup d’estoc, Je ne peux tolérer cela. Le néant n’est pas ce que je recherche !
-Tu en possèdes pourtant le symbole…ton masque.
-Mon masque…, répéta t-elle avec étonnement, Non...ce n’est pas possible.
-Si. C’est pour cela que tu ne peux me battre. »
Dans un élan semblant se dérouler au ralenti, PleinKy frappa l’héroïne d’Utopia d’une force telle qu’il la propulsa sur plusieurs mètres, seulement arrêté par un mur froid et solide. Le choc provoqua une giclée de sang par la bouche de Sieñdella qui ne ressentait plus la douleur, perdue dans une méditation manichéenne sur son sort et ce pour quoi elle se battait.
Elle tomba à terre, inerte. Ses yeux grand ouverts semblaient fixer un point imaginaire : l’origine de tout cela. Le début de son combat…le pourquoi du héros.
« Sieñdella ? Sieñdella ! Que fais-tu allongée dans l’herbe ? »
La petite fille adoptait un regard triste fixant le ciel magnifique qu’il y avait ce jour-ci.
« Je ne sais pas, papa. Je voulais simplement m’allonger ici. »
Il vint près d’elle, s’allongeant à son tour à ses côtés. Il prit une voix nostalgique remplie d’émotion :
« Ce ciel a vu la naissance de beaucoup de choses, mais il arbore un paysage différent et unique chaque jour. Façonné au gré du temps. Ta mère est née sous ce ciel, tout comme toi. Elle y est morte, tout comme toi, un jour. Ce qui rend triste, c’est ce sentiment d’inachevé qui nous ronge quand on n’a pas pu profiter ou réaliser ce qu’on désirait.
-Je ne veux pas en parler, répondit la fillette d’une voix mélancolique, Je me sens humiliée et triste…très triste. »
Il se redressa pour se tourner vers sa fille. Il produisait une ombre étrange sur son visage tiré et tiraillé de douleur.
« Tu ne dois pas arrêter de jouer du Hautbois. Cet examen était mal venu…sans compter ce morceau.
-Man…Maman aimait ce morceau…, de grosses larmes affluèrent, Elle disait qu’elle aimerait mourir sur cet air…Elle disait cela quand son visage s’éclairait de cette expression bizarre… », la fragile petite fille se mit à sangloter. Son cœur semblait se serrer, voulant oublier tous ces moments de tristesse. Sa respiration saccadée libérait les peines et douleurs qui traversaient ce corps si fragile, « Je n’ai pas été digne de maman ! Elle est morte, et j’ai raté mon examen. Je devais jouer ce morceau pour elle, et j’ai brisé mon instrument… », Sieñdella pleura de grandes larmes d’une tristesse profonde. Son père la prit dans ses bras pour la consoler, mais se sentait faible et inutile devant ce chagrin ravageur.

Des larmes coulèrent sur le sol bétonné ; se mélangeant au sang, qui, dans une étrange ironie, provenait du cœur fragilisé par ce combat émotionnel.
Elle sentit qu’on la souleva brusquement avant d’être projetée contre un autre mur. Fort heureusement, elle puisa la force dans son animal inerte accroché autour de son bras gauche : Ifërit. Son esprit se lova dans cette conscience ancestrale, accroissant ses sens. Elle réussit à pivoter dans les airs afin de ce réceptionner sur ses jambes et prit appui sur le mur pour tenter une manœuvre de contre-attaque.
« Je ne peux laisser mes souvenirs me détruirent. Cela doit devenir ma force, ma source de création. »,…dans un geste solennel, elle détacha son masque, l’incrustant dans un flot de lumière féerique dans son épée légendaire. Sieñdella transperça le Maître des Songes de part en part. Un mouvement qui semblait s’éterniser. Une avalanche de souvenirs et de sentiments qui affluaient dans l’esprit des deux combattants, dans un flot posé et vif. Un geste précis tout en douceur. Le Maître T’srèv, dans une acrobatie extraordinaire, avait transcendé ses sentiments à travers son masque pour devenir une arme. Une force libératrice qui devenait le chemin du Nouveau courant de la liberté.
« Tu as gagné, Maître Sieñdella. Tu as acquis une force qui dépasse l’entendement et pourtant si accessible à tous. Cependant, tu ne supprimeras jamais le néant car cela est le début de toutes choses. A bientôt, Maître T’srèv. Notre combat ne fait que commencer. Le combat de Sieñdella de Saîan…le combat de tous les Hommes. », sur ces dernières paroles, il disparut dans les ombres régnantes de l’étrange salle où la lumière transcendait les ténèbres. Laissant notre héros perplexe mais heureux d’avoir compris comment changer le monde.

…Une fois notre espoir rendu, qu’en ferions-nous ? Cette question reste en suspend dans les tourments de notre esprit. Heureusement, Sieñdella veille sur nous et nos rêves. Elle est le symbole et la source de toute chose. Mais il ne faut jamais oublier que nous seuls sommes les acteurs de la vie et point de création d’un monde qui n’attend que de recevoir notre volonté d’être.
« Chaque chose est précieuse et nous permet d’avancer au-delà de tout. »

Acie 15/05/2005 @ 12:10:23
je suis contente que ca ait pu t'aider
je lirai cet apres midi la nouvelle version avec plaisir, j'avais deja aime lapremiere de toute facon

N.kkey 15/05/2005 @ 16:38:04
Merci encore pour ce compliment.

Maintenant, il faut que les éditions le Manuscrit se dépeche de me donner la maquette du premier épisode de Sieñdella de Saîan...pour que je puisse promouvoir cette série que j'adore tant.

Si il y a d'autres lecteurs dans la salle, lol...j'attend avec impatience vos critiques pour améliorer ma nouvelle.

N.kkey 16/05/2005 @ 15:55:41
Pour ce qui est de faire un livre...ben j'ai ecris des épisodes sur SIeñdella de Saîan

et je suis en cours d'écriture d'un livre du nom de Séalda T'srèv. Un livre où on voit tous les différents personnages que j'ai présenté jusqu'à maintenant dans mes nouvelles...

Tistou 03/06/2005 @ 15:54:03
Tu aurais certainement plus de critiques N.kkey si tu t'intéressais aussi à ce que font les autres. Tiens je pense en particulier à ceci, qui correspond à tes centres d'intérêt :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Celle ci est plus accessible que les autres, pour un non-féru de S.F. tout au moins, en cela qu'on n'est pas débordé par une avalanche de noms de personnages, de pays, ... tous plus exotiques les une que les autres. Il y a des moments plus fouillés que d'autres qui s'imprimemt bien dans la mémoire, ou qui sont suffisamment visuels, et d'autres que je ressens comme l'hitoire pour l'histoire. Et ça, ça n'est pas ce qui m'attire le plus. Ca me fait penser (inspiré de) à Starwars, mais ce n'est pas ma tasse de thé. Encore une fois. Et pourtant, tu vois, ça ne m'empêche pas de te critiquer !

N.kkey 06/06/2005 @ 11:21:56
Tu aurais certainement plus de critiques N.kkey si tu t'intéressais aussi à ce que font les autres. Tiens je pense en particulier à ceci, qui correspond à tes centres d'intérêt :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Celle ci est plus accessible que les autres, pour un non-féru de S.F. tout au moins, en cela qu'on n'est pas débordé par une avalanche de noms de personnages, de pays, ... tous plus exotiques les une que les autres. Il y a des moments plus fouillés que d'autres qui s'imprimemt bien dans la mémoire, ou qui sont suffisamment visuels, et d'autres que je ressens comme l'hitoire pour l'histoire. Et ça, ça n'est pas ce qui m'attire le plus. Ca me fait penser (inspiré de) à Starwars, mais ce n'est pas ma tasse de thé. Encore une fois. Et pourtant, tu vois, ça ne m'empêche pas de te critiquer !


Je fais des critiques souvent sur les autres textes. Mais il m'arrive surtout de parcourir les post sans laisser de commentaire.
J'essaye plutôt de voir des textes autres que SF pour m'interresser à autre chose.

Pour ce qui est de l'inspiration, c'est plus compliqué que Star wars :
C'est une impiration religieuse et esotérique. Je créé des civilisations et des religions, pour mettre en avant --ou briser- des vieux mythes passés et pour montrer le nouveau souffle qui parcourt les gens. Un ras le bol des religions se fait sentir, et une nouvelle forme de pensée se met en place. J'ai voulu, à travers mes textes, mettre cela en avant et créé un monde qui s'appuierait sur de nouvelles moeurs qui concerneraient cette spiritualité nouvelle qui se met en place actuelement.

N.kkey 20/06/2005 @ 10:09:22
Ecoutez tous!!

Je suis trop heureux! Sieñdella, le personnage dont il est question dans la nouvelle qui est presentée dans ce post, arrive dans les Librairies (enfin que sur Internet pour l'instant) dans une Série du nom de....Sieñdella de Saîan.

Il y a 5 Nouvelles dessus, formant une histoire sous forme d'épisodes. Le premier est disponible sur :
[url]http://manuscrit.com/catalogue/textes/… [/url]

La nouvelle que je vous est presenté dans le Post ne fait pas partie de la Série. C'est une nouvelle à part, mais cela donne une bonne presentation de l'Univers.

Spirit
avatar 20/06/2005 @ 11:39:06
Bravo!...je suis content pour toi, tiens nous au courant des retombées (vtes livres, pdf). Bonne chance à toi.
Ecoutez tous!!

Je suis trop heureux! Sieñdella, le personnage dont il est question dans la nouvelle qui est presentée dans ce post, arrive dans les Librairies (enfin que sur Internet pour l'instant) dans une Série du nom de....Sieñdella de Saîan.

Il y a 5 Nouvelles dessus, formant une histoire sous forme d'épisodes. Le premier est disponible sur :
[url]http://manuscrit.com/catalogue/textes/… [/url]

La nouvelle que je vous est presenté dans le Post ne fait pas partie de la Série. C'est une nouvelle à part, mais cela donne une bonne presentation de l'Univers.

N.kkey 20/06/2005 @ 23:06:26
Je vous tiendrais au courant!! Meme si je me demande comment je vais me faire connaitre, moi, dérrière ce petit ecran que l'on appelle internet

Spirit
avatar 21/06/2005 @ 19:12:20
Si j'ai bien lu cette partie du contrat tu peux acheter des livres et les vendres toi même,si c'est bien le cas vas y, démarche tes relations et les libraires dans ton coin.C'est le moment!
Je vous tiendrais au courant!! Meme si je me demande comment je vais me faire connaitre, moi, dérrière ce petit ecran que l'on appelle internet

N.kkey 23/06/2005 @ 10:40:23
oui je peux faire ca...le problème c'est que je ne sais pas comment on fait pour démarcher...je n'y connais rien

Tulipe noire
avatar 23/06/2005 @ 10:59:49
oui je peux faire ca...le problème c'est que je ne sais pas comment on fait pour démarcher...je n'y connais rien
Tu emportes une pile de bouquins dans ton petit caddie (R) à roulettes et tu entres sans complexe dans toutes les librairies que tu trouves. Tu demandes à rencontrer le patron et tu fais ta promo. Rien de plus simple et rien de plus chiant, mais si tu veux vraiment, tu trouveras et le courage et les mots...
Bonne chance!

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