Madame Giny.
Je lis dans mon dictionnaire :
- Islamisme : religion des Musulmans
- Musulman : adepte de l'islam.
Ce n'est pas très clair, reconnaissons-le.
Madame Giny, Je suis archi-flatté de voir que tu as lu ma critique de "Jamais sans ma Fille" (c'est l'habitude sur ce site, on se tutoie) et que tu as même reproduit une de mes citations (ponctuée de 7 points d'exclamation).
Saint Jean-Baptiste est habitué à parler dans le désert mais il se trémousse de joie à l'idée d'avoir été entendu.
Merci Madame Giny, de m'apporter cette précieuse précision, je vais ajouter une note à la définition de mon dictionnaire.
Et tant qu'on y est, si tu complétais ta fiche ?
Je lis dans mon dictionnaire :
- Islamisme : religion des Musulmans
- Musulman : adepte de l'islam.
Ce n'est pas très clair, reconnaissons-le.
Madame Giny, Je suis archi-flatté de voir que tu as lu ma critique de "Jamais sans ma Fille" (c'est l'habitude sur ce site, on se tutoie) et que tu as même reproduit une de mes citations (ponctuée de 7 points d'exclamation).
Saint Jean-Baptiste est habitué à parler dans le désert mais il se trémousse de joie à l'idée d'avoir été entendu.
Merci Madame Giny, de m'apporter cette précieuse précision, je vais ajouter une note à la définition de mon dictionnaire.
Et tant qu'on y est, si tu complétais ta fiche ?
Cher Monsieur Saint Jean Baptiste, en ces temps barbares, les abus de langages font que certains mots dérivent de leur sens premier.
Tel est le cas de 'islamisme:mouvement politico-religieux préconisant l'islamisation complète, radicale, du droit, des institutions, du gouvernement, dans les pays islamiques'.
Tu comprends maintenant pourquoi je me suis élevée contre ta critique, car d'après son sens actuel, le mot islamisme dans ta phrase était quelque peu en contradiction avec le reste de ton allégation.
Au plaisir de te reparler
Tel est le cas de 'islamisme:mouvement politico-religieux préconisant l'islamisation complète, radicale, du droit, des institutions, du gouvernement, dans les pays islamiques'.
Tu comprends maintenant pourquoi je me suis élevée contre ta critique, car d'après son sens actuel, le mot islamisme dans ta phrase était quelque peu en contradiction avec le reste de ton allégation.
Au plaisir de te reparler
Giny, tu as raison, les temps deviennent bien barbares si on ne peut même plus se fier aux définitions de son bon vieux dico !
A moins que le changement de sens qu'on donne à certains mots ne fasse partie de la barbarie des temps présents ?
Je vais y réfléchir !
Ha ! En attendant, j'y pense, arrêtons, veux-tu, de nous envoyer des "Madame" et des "cher Monsieur", ça fait un peu pompeux et ce n'est pas vraiment le style du site ! D'accord ?
A moins que le changement de sens qu'on donne à certains mots ne fasse partie de la barbarie des temps présents ?
Je vais y réfléchir !
Ha ! En attendant, j'y pense, arrêtons, veux-tu, de nous envoyer des "Madame" et des "cher Monsieur", ça fait un peu pompeux et ce n'est pas vraiment le style du site ! D'accord ?
Ok , pas de problème:-).Surtout que ce n'est pas Madame, mais Mademoiselle(eh oui, j'ai seulement 17 ans!)
Les plus grandes injustices et les plus gros Drames font rarement l'objet de romans ultra markété et médiatisé OUTRAGEUSEMENT.
Voici l'histoire inverse de se roman bas de gamme qu'est "Jamais sans ma fille" et qui n'était qu'un outil de propagande pour alimenter la haine de ce qui ne rentre pas le formatage mondiale du MAINSTREAM.
Ceux qui ont tiré des conclusions sur toute une société ou une culture voir une civilisation entière après la lecture de "Jamais sans ma fille" doivent alors si ils ont un temps soi peu de bonne foi ou d'honnêteté tiré des conclusions encore plus affligeante sur la société Française après la lecture de fait divers qui suit.
Mais sans ce préambule en lisant cette histoire qui suit, vous ne retiendrais que la cruauté d'individu et pas de toute une société, car votre jugement est altéré par des représentations inculqué depuis l'enfance par les médias qui visent à diaboliser les peuples dont on veut accaparer les ressources ("Jamais sans leur pétrole"). Ainsi en cas de guerre les gens sont moins sensibles aux massacres de ceux que l'on a appris a haïr depuis l'enfance. Et puisque on nous a dit que c'était des monstre notamment dans "jamais sans ma fille" alors ils n'ont pas les même droits que nous et l'on peut commettre les pires des atrocité quand on a déshumanisé des peuples au regard de
de l'opignon.
Maintenant dite moi les conclusions que vous tirez de ce qui est plus qu'un fait divers car cela met en cause des relations diplomatiques entre deux états pourtant alliés puisque celui qui aurait pu prononcer la phrase, jamais sans ma fille, lui aussi a obtenu l'asile politique des États Unis pour se protéger des autorités de son pays qui n'est autre, que cette douce France.
Voici l'affaire que j'ai copié d'un site internet sérieux "ladepeche.fr" par soucis d'objectivité:
"
Publié le 24/06/2001 | LaDepeche.fr
Karim Kamal: une gifle pour la justice française!
SOCIETE : Il accuse la justice niçoise d'avoir « couvert » un réseau pédophile. Il vient d'obtenir le statut de réfugié politique aux Etats-Unis.
Il est désormais réfugié politique aux Etats- Unis. Le Niçois Karim Kamal, 39 ans, est le premier Français à bénéficier du droit d'asile aux USA. La justice américaine reconnaît que cet homme est victime d'un « déni de justice » au pays des droits de l'Homme...
Cette affaire très complexe serait une véritable « ratatouille niçoise ». Mais c'est bien plus grave. Car un homme est mort, et une fillette serait en danger. Cette fillette s'appelle Lauriane. Selon le quotidien Nice Matin, elle est actuellement suivie par le célèbre psychiatre marseillais Marcel Rufo.
Lauriane est la fille de Karim Kamal et de Marie-Pierre Guyot, un couple de Niçois. Karim Kamal était étudiant en marketing à Nice lorsqu'il a rencontré Marie-Pierre, la fille d'un ancien avocat général.
La fillette de 4 ans parle de « gens masqués »
Lauriane naît le 4 avril 1989. Elle n'a que deux ans lorsque ses parents se séparent. Karim, le père, la voit fréquemment pendant les vacances. En 1994, Lauriane a quatre ans et demi... et affiche devant son père un comportement « sexuellement exhibitionniste ». Karim Kamal amène sa fille chez un médecin. La fillette parle alors de « fêtes » chez sa mère, à Cagnes- sur-Mer; elle évoque des « gens masqués », parfois « nus », en présence d'autres enfants. Lauriane cite le nom de juges de Nice « qui ne sont pas gentils ».
Karim Kamal soupçonne alors son ex-femme Marie- Pierre Guyot de faire subir à leur fille des sévices sexuels. Il dépose plainte. Au moins deux médecins constatent des ecchymoses sur le corps de Lauriane, et dénoncent l'existence d'abus « psychologiques, physiques et sexuels ». Le parquet de Nice ouvre une enquête préliminaire.
C'est alors que Karim Kamal se dit « persécuté » par la justice niçoise: « Un substitut m'a conseillé de partir et d'oublier ma fille si je voulais m'en tirer »... Le 7 avril 1994, le bâtonnier de Nice ordonne à Me Miguel Grattirola, l'avocat de Karim Kamal, de se « décharger de la défense ». L'avocat obéit. Puis il écrit une lettre au président du tribunal de Nice dans laquelle il invoque l'implication de « magistrats locaux dans un réseau de prostitution enfantine ». Me Grattirola est aussitôt suspendu, blâmé, poursuivi pour « outrages à magistrats », et condamné. La Cour de cassation annulera en 1999 toutes ces poursuites.
Le doyen des juges classe le dossier
Karim Kamal n'a pas attendu d'autres nouvelles de la justice niçoise. Dès 1994, il quitte Nice et part pour les Etats-Unis. Sa soeur, Dalila Kamal-Griffin, est avocate à New-York. Karim Kamal s'installe à Los Angeles où il demande l'asile politique: « C'est ma dernière chance ». Car en France, ses parents déposent une nouvelle plainte; le doyen des juges d'instruction de Nice, Jean-Paul Renard, refuse d'ouvrir une nouvelle information.
Au printemps 1994, Karim accueille chez lui, à Los Angeles, sa fille Lauriane. Il décide de la garder avec lui. Marie- Pierre Guyot obtient alors le soutien du tribunal de Nice, et celui du consul de France à Los Angeles pour récupérer sa fille. Le FBI bloque l'avion sur la piste de l'aéroport. Mais Marie- Pierre Guyot passe par le Mexique...
Les grands-parents paternels se tournent vers le tribunal de Grasse. Le 29 février 1996, la juge des enfants Marie-Agnès Murciano ordonne le placement de Lauriane dans un foyer, en raison « d'une suspicion parfaitement sérieuse de mauvais traitements physiques et sexuels ». Marie-Pierre Guyot obtient l'annulation de l'ordonnance.
La mère obtient même la condamnation de son ex-mari. Le procureur Auméras condamne Karim Kamal, par défaut puisqu'il réside aux USA, pour tentative d'enlèvement, dénonciation calomnieuse, subornation de témoin et déchéance de son autorité parentale. Karim Kamal se tourne alors vers la justice américaine.
Le 16 décembre 2000, le juge Ronald Ohata, du tribunal fédéral de Los Angeles, rend sa décision; il accorde à Karim Kamal un droit d'asile aux Etats-Unis, en raison des « persécutions » dont celui-ci est victime, en France, depuis 1993. Cité par le journal Le Monde, le magistrat californien évoque « les actes de corruption » et « les mesures de représailles » exercées par le système judiciaire niçois.
Ce droit d'asile a été officiellement notifié ce vendredi à Los Angeles par la juge Christine Stancill. Les services d'immigration américains (INS) ont encore une semaine pour faire appel. « J'ai gagné une bataille, une sacrée bataille, mais pas la guerre, car Lauriane est toujours absente », a dit Karim Kamal. Le Niçois réfugié politique aux Etats-Unis a aussitôt annoncé son intention de déposer plainte devant le Tribunal international, et la Cour européenne des droits de l'Homme pour faire condamner la France.
A Nice, il y a au moins un juge qui n'est pas resté insensible au désarroi de Karim Kamal. C'est le procureur Montgolfier. Nommé en 1999 au tribunal de Nice, Eric de Montgolfier a, à plusieurs reprises, dénoncé « les dysfonctionnements de la justice » à propos de l'affaire Kamal. Eric de Montgolfier a récemment ouvert une enquête contre Jean- Paul Renard, le doyen des juges d'instruction de Nice, ancien maître maçon de la Grande loge nationale française, soupçonné d'avoir utilisé le fichier du casier national pour obtenir des informations. Le juge Renard sera entendu jeudi prochain par le Conseil supérieur de la magistrature.
Les deux affaires ne sont évidemment pas mêlées, et le procureur Eric de Montgolfier n'a pas manifesté l'intention de rouvrir le dossier Kamal: « J'attends des éléments nouveaux », a-t-il déclaré hier au quotidien Nice Matin.
Le juge Renard n'est pas le seul magistrat niçois à faire l'objet de quelque soupçons. Le procureur adjoint, François Thévenot, a admis avoir commis « l'imprudence » de conseiller la mère de Lauriane. Il a été trahi par l'écoute téléphonique ordonnée par un juge d'instruction de Grasse. « Thévenot a aidé Marie-Pierre à cacher Lauriane!», accuse Karim Kamal, dans l'interview qu'il accorde cette semaine à l'hebdomadaire Paris Match.
Imprudence... Coïncidence... Dimanche dernier, sur une petite route de Corse, le journaliste Nicolas Giudici était abattu par balles. Nicolas Giudici était le meilleur ami de Karim Kamal. Nicolas Giudici avait même témoigné en sa faveur, en 1995, en évoquant le comportement « sexuellement atypique » de la petite Lauriane, et rapportant des propos pour le moins troublants sur les bébés tenus par Marie-Pierre Guyot.
« Je souhaite de tout coeur que la mort de Nicolas ne soit pas liée à l'affaire », dit Karim Kamal.
Une affaire qui est loin d'être terminée. Le tribunal de Nice est dans le collimateur de la justice américaine.
Sabine BERNEDE
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Voici l'histoire inverse de se roman bas de gamme qu'est "Jamais sans ma fille" et qui n'était qu'un outil de propagande pour alimenter la haine de ce qui ne rentre pas le formatage mondiale du MAINSTREAM.
Ceux qui ont tiré des conclusions sur toute une société ou une culture voir une civilisation entière après la lecture de "Jamais sans ma fille" doivent alors si ils ont un temps soi peu de bonne foi ou d'honnêteté tiré des conclusions encore plus affligeante sur la société Française après la lecture de fait divers qui suit.
Mais sans ce préambule en lisant cette histoire qui suit, vous ne retiendrais que la cruauté d'individu et pas de toute une société, car votre jugement est altéré par des représentations inculqué depuis l'enfance par les médias qui visent à diaboliser les peuples dont on veut accaparer les ressources ("Jamais sans leur pétrole"). Ainsi en cas de guerre les gens sont moins sensibles aux massacres de ceux que l'on a appris a haïr depuis l'enfance. Et puisque on nous a dit que c'était des monstre notamment dans "jamais sans ma fille" alors ils n'ont pas les même droits que nous et l'on peut commettre les pires des atrocité quand on a déshumanisé des peuples au regard de
de l'opignon.
Maintenant dite moi les conclusions que vous tirez de ce qui est plus qu'un fait divers car cela met en cause des relations diplomatiques entre deux états pourtant alliés puisque celui qui aurait pu prononcer la phrase, jamais sans ma fille, lui aussi a obtenu l'asile politique des États Unis pour se protéger des autorités de son pays qui n'est autre, que cette douce France.
Voici l'affaire que j'ai copié d'un site internet sérieux "ladepeche.fr" par soucis d'objectivité:
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Publié le 24/06/2001 | LaDepeche.fr
Karim Kamal: une gifle pour la justice française!
SOCIETE : Il accuse la justice niçoise d'avoir « couvert » un réseau pédophile. Il vient d'obtenir le statut de réfugié politique aux Etats-Unis.
Il est désormais réfugié politique aux Etats- Unis. Le Niçois Karim Kamal, 39 ans, est le premier Français à bénéficier du droit d'asile aux USA. La justice américaine reconnaît que cet homme est victime d'un « déni de justice » au pays des droits de l'Homme...
Cette affaire très complexe serait une véritable « ratatouille niçoise ». Mais c'est bien plus grave. Car un homme est mort, et une fillette serait en danger. Cette fillette s'appelle Lauriane. Selon le quotidien Nice Matin, elle est actuellement suivie par le célèbre psychiatre marseillais Marcel Rufo.
Lauriane est la fille de Karim Kamal et de Marie-Pierre Guyot, un couple de Niçois. Karim Kamal était étudiant en marketing à Nice lorsqu'il a rencontré Marie-Pierre, la fille d'un ancien avocat général.
La fillette de 4 ans parle de « gens masqués »
Lauriane naît le 4 avril 1989. Elle n'a que deux ans lorsque ses parents se séparent. Karim, le père, la voit fréquemment pendant les vacances. En 1994, Lauriane a quatre ans et demi... et affiche devant son père un comportement « sexuellement exhibitionniste ». Karim Kamal amène sa fille chez un médecin. La fillette parle alors de « fêtes » chez sa mère, à Cagnes- sur-Mer; elle évoque des « gens masqués », parfois « nus », en présence d'autres enfants. Lauriane cite le nom de juges de Nice « qui ne sont pas gentils ».
Karim Kamal soupçonne alors son ex-femme Marie- Pierre Guyot de faire subir à leur fille des sévices sexuels. Il dépose plainte. Au moins deux médecins constatent des ecchymoses sur le corps de Lauriane, et dénoncent l'existence d'abus « psychologiques, physiques et sexuels ». Le parquet de Nice ouvre une enquête préliminaire.
C'est alors que Karim Kamal se dit « persécuté » par la justice niçoise: « Un substitut m'a conseillé de partir et d'oublier ma fille si je voulais m'en tirer »... Le 7 avril 1994, le bâtonnier de Nice ordonne à Me Miguel Grattirola, l'avocat de Karim Kamal, de se « décharger de la défense ». L'avocat obéit. Puis il écrit une lettre au président du tribunal de Nice dans laquelle il invoque l'implication de « magistrats locaux dans un réseau de prostitution enfantine ». Me Grattirola est aussitôt suspendu, blâmé, poursuivi pour « outrages à magistrats », et condamné. La Cour de cassation annulera en 1999 toutes ces poursuites.
Le doyen des juges classe le dossier
Karim Kamal n'a pas attendu d'autres nouvelles de la justice niçoise. Dès 1994, il quitte Nice et part pour les Etats-Unis. Sa soeur, Dalila Kamal-Griffin, est avocate à New-York. Karim Kamal s'installe à Los Angeles où il demande l'asile politique: « C'est ma dernière chance ». Car en France, ses parents déposent une nouvelle plainte; le doyen des juges d'instruction de Nice, Jean-Paul Renard, refuse d'ouvrir une nouvelle information.
Au printemps 1994, Karim accueille chez lui, à Los Angeles, sa fille Lauriane. Il décide de la garder avec lui. Marie- Pierre Guyot obtient alors le soutien du tribunal de Nice, et celui du consul de France à Los Angeles pour récupérer sa fille. Le FBI bloque l'avion sur la piste de l'aéroport. Mais Marie- Pierre Guyot passe par le Mexique...
Les grands-parents paternels se tournent vers le tribunal de Grasse. Le 29 février 1996, la juge des enfants Marie-Agnès Murciano ordonne le placement de Lauriane dans un foyer, en raison « d'une suspicion parfaitement sérieuse de mauvais traitements physiques et sexuels ». Marie-Pierre Guyot obtient l'annulation de l'ordonnance.
La mère obtient même la condamnation de son ex-mari. Le procureur Auméras condamne Karim Kamal, par défaut puisqu'il réside aux USA, pour tentative d'enlèvement, dénonciation calomnieuse, subornation de témoin et déchéance de son autorité parentale. Karim Kamal se tourne alors vers la justice américaine.
Le 16 décembre 2000, le juge Ronald Ohata, du tribunal fédéral de Los Angeles, rend sa décision; il accorde à Karim Kamal un droit d'asile aux Etats-Unis, en raison des « persécutions » dont celui-ci est victime, en France, depuis 1993. Cité par le journal Le Monde, le magistrat californien évoque « les actes de corruption » et « les mesures de représailles » exercées par le système judiciaire niçois.
Ce droit d'asile a été officiellement notifié ce vendredi à Los Angeles par la juge Christine Stancill. Les services d'immigration américains (INS) ont encore une semaine pour faire appel. « J'ai gagné une bataille, une sacrée bataille, mais pas la guerre, car Lauriane est toujours absente », a dit Karim Kamal. Le Niçois réfugié politique aux Etats-Unis a aussitôt annoncé son intention de déposer plainte devant le Tribunal international, et la Cour européenne des droits de l'Homme pour faire condamner la France.
A Nice, il y a au moins un juge qui n'est pas resté insensible au désarroi de Karim Kamal. C'est le procureur Montgolfier. Nommé en 1999 au tribunal de Nice, Eric de Montgolfier a, à plusieurs reprises, dénoncé « les dysfonctionnements de la justice » à propos de l'affaire Kamal. Eric de Montgolfier a récemment ouvert une enquête contre Jean- Paul Renard, le doyen des juges d'instruction de Nice, ancien maître maçon de la Grande loge nationale française, soupçonné d'avoir utilisé le fichier du casier national pour obtenir des informations. Le juge Renard sera entendu jeudi prochain par le Conseil supérieur de la magistrature.
Les deux affaires ne sont évidemment pas mêlées, et le procureur Eric de Montgolfier n'a pas manifesté l'intention de rouvrir le dossier Kamal: « J'attends des éléments nouveaux », a-t-il déclaré hier au quotidien Nice Matin.
Le juge Renard n'est pas le seul magistrat niçois à faire l'objet de quelque soupçons. Le procureur adjoint, François Thévenot, a admis avoir commis « l'imprudence » de conseiller la mère de Lauriane. Il a été trahi par l'écoute téléphonique ordonnée par un juge d'instruction de Grasse. « Thévenot a aidé Marie-Pierre à cacher Lauriane!», accuse Karim Kamal, dans l'interview qu'il accorde cette semaine à l'hebdomadaire Paris Match.
Imprudence... Coïncidence... Dimanche dernier, sur une petite route de Corse, le journaliste Nicolas Giudici était abattu par balles. Nicolas Giudici était le meilleur ami de Karim Kamal. Nicolas Giudici avait même témoigné en sa faveur, en 1995, en évoquant le comportement « sexuellement atypique » de la petite Lauriane, et rapportant des propos pour le moins troublants sur les bébés tenus par Marie-Pierre Guyot.
« Je souhaite de tout coeur que la mort de Nicolas ne soit pas liée à l'affaire », dit Karim Kamal.
Une affaire qui est loin d'être terminée. Le tribunal de Nice est dans le collimateur de la justice américaine.
Sabine BERNEDE
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Qu'il y ait des dysfonctionnements dans la justice française, personne ne le nie vraiment, et elle fait régulièrement l'objet de condamnation par la Cour européenne des droits humains et des libertés fondamentales.
Néanmoins, malgré Outreau et le cas que vous soulevez, la France reste, et heureusement, un état de droit, que vous le vouliez ou non.
Les Iraniennes et Iraniens n'ont pas les mêmes droits que nous, et c'est bien l'objet d'un scandale. Ils sont sous le joug d'une théocratie autoritaire et violente. Il n'y a donc pas lieu à les condamner, bien au contraire.
Vous ne parlez pas de l'endoctrinement d'Etat, sous le coup d'un Islam radical, et c'est bien dommage. Et c'est tout le problème soulevé par Jamais sans ma fille. Ce qu'il en ressort réellement, c'est que ce qui est à condamner est davantage le régime que ses victimes.
Aussi, j'ai remarqué que votre texte est copié comme critique sous Jamais sans ma famille et sa suite : c'est partiellement hors sujet. Je suis navré de vous le spécifier.
Des comportements pathologiques, que je réprouve, il y en aura partout, même dans les pays libéraux respectant l'Etat de droit. De même, le viol, le proxénétisme, le commerce et la consommation de produits stupéfiants, répréhensibles et pénalement sanctionnés dans les démocraties occidentales, sont des pratiques séculaires qu'il faut continuer de combattre.
Sur le plan des idées, il en va de même des intégrismes, de quelque nature qu'ils soient.
Néanmoins, malgré Outreau et le cas que vous soulevez, la France reste, et heureusement, un état de droit, que vous le vouliez ou non.
Les Iraniennes et Iraniens n'ont pas les mêmes droits que nous, et c'est bien l'objet d'un scandale. Ils sont sous le joug d'une théocratie autoritaire et violente. Il n'y a donc pas lieu à les condamner, bien au contraire.
Vous ne parlez pas de l'endoctrinement d'Etat, sous le coup d'un Islam radical, et c'est bien dommage. Et c'est tout le problème soulevé par Jamais sans ma fille. Ce qu'il en ressort réellement, c'est que ce qui est à condamner est davantage le régime que ses victimes.
Aussi, j'ai remarqué que votre texte est copié comme critique sous Jamais sans ma famille et sa suite : c'est partiellement hors sujet. Je suis navré de vous le spécifier.
Des comportements pathologiques, que je réprouve, il y en aura partout, même dans les pays libéraux respectant l'Etat de droit. De même, le viol, le proxénétisme, le commerce et la consommation de produits stupéfiants, répréhensibles et pénalement sanctionnés dans les démocraties occidentales, sont des pratiques séculaires qu'il faut continuer de combattre.
Sur le plan des idées, il en va de même des intégrismes, de quelque nature qu'ils soient.
Par ailleurs, que pensez-vous du débat lancé sur la place de l'Islam en France ? Est-il pertinent ? Si oui, qu'en dire ?
Voici quelques idées de lecture pour enrichir la question :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4499
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/8420
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7470
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4499
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/8420
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/7470
De même, le viol, le proxénétisme, le commerce et la consommation de produits stupéfiants, répréhensibles et pénalement sanctionnés dans les démocraties occidentales, sont des pratiques séculaires qu'il faut continuer de combattre.
Je ne suis pas convaincu que toutes ces pratiques soient à combattre ou simplement à mettre sur le même pied.
De même, le viol, le proxénétisme, le commerce et la consommation de produits stupéfiants, répréhensibles et pénalement sanctionnés dans les démocraties occidentales, sont des pratiques séculaires qu'il faut continuer de combattre.
Je ne suis pas convaincu que toutes ces pratiques soient à combattre ou simplement à mettre sur le même pied.
Oui, un peu de beu de temps en temps, ça fait pas de mal ;-)
Entre autre, mais même le proxénétisme n'est pas forcément condamnable selon moi. :o)
Entre autre, mais même le proxénétisme n'est pas forcément condamnable selon moi. :o)
Là je ne suis pas sûr de bien te suivre...
Moi non plus, franchement pas. Bravo pour la dignité de la femme. Qu'il ne faille pas stigmatiser la prostitution, que la consommation de stupéfiants soit moins grave que son commerce, je l'entends. Mais, pour l'absolution du proxénétisme, là, je n'adhère vraiment pas.
Quid du sujet initial ?
Quid du sujet initial ?
Oui c'est terrain très glissant.
Mais je trouve néanmoins qu'on ferme un peu trop les yeux sur certaines corruptions en France, cherchant toujours à en faire plus ou moins une exception. Qui était au courant de cette affaire révoltante? Et je suis bien sûr qu'il doit en exister beaucoup d'autres. C'est vrai qu'en évoquant la violation des droits de l'homme, nos pays occidentaux cherchent toujours des exemples à l'"extérieur" en fonction de leurs propres convictions.....
"Jamais sans ma fille" est un exemple qui correspond à une époque où l'Iran était sous la dictature des Imams (ce que nous aurions dû voir venir et non pas encourager l'arrivée de Khoméni...). En lisant "un candide en terre sainte" de Régis Debray, je me rends compte qu'il existe de nombreux courants dans l'islamisme suivant les pays où il est présent et il est caricatural et réducteur d'en faire le "grand méchant" ennemi de toutes les autres religions ou politiques.
Mais je trouve néanmoins qu'on ferme un peu trop les yeux sur certaines corruptions en France, cherchant toujours à en faire plus ou moins une exception. Qui était au courant de cette affaire révoltante? Et je suis bien sûr qu'il doit en exister beaucoup d'autres. C'est vrai qu'en évoquant la violation des droits de l'homme, nos pays occidentaux cherchent toujours des exemples à l'"extérieur" en fonction de leurs propres convictions.....
"Jamais sans ma fille" est un exemple qui correspond à une époque où l'Iran était sous la dictature des Imams (ce que nous aurions dû voir venir et non pas encourager l'arrivée de Khoméni...). En lisant "un candide en terre sainte" de Régis Debray, je me rends compte qu'il existe de nombreux courants dans l'islamisme suivant les pays où il est présent et il est caricatural et réducteur d'en faire le "grand méchant" ennemi de toutes les autres religions ou politiques.
Ven, je n'ai pas parlé de la femme, la prostitution n'est pas a sexe unique si je puis dire.
Et si le proxénétisme exploitation est bien entendu condamnable dans mon esprit (comme tous les types d'exploitation) il me semble qu'il peut y avoir du proxénétisme collaboratif consenti.
Je suppose que nous sommes d'accord dans ce sens?
Pour ce qui est du sujet initial je n'ai pas suffisamment d'infos pour en parler. :o)
Et si le proxénétisme exploitation est bien entendu condamnable dans mon esprit (comme tous les types d'exploitation) il me semble qu'il peut y avoir du proxénétisme collaboratif consenti.
Je suppose que nous sommes d'accord dans ce sens?
Pour ce qui est du sujet initial je n'ai pas suffisamment d'infos pour en parler. :o)
La réalité est malheureusement beaucoup hédoniste que l'image qu'on aimerait en avoir, et les femmes restent assez largement majoritaires, sans exclusive, il est vrai.
Bien sûr, je n'ai pas prétendu que le proxénétisme collaboratif consenti était la règle, je disais juste qu'il ne fallait pas pour autant nier son existence en ne voyant que le proxénétisme exploitation.
Je crains qu'il ne soit qu'assez marginal. Et est-il bien moral ? J'avoue en douter. En tout cas, quelle que soit sa forme, il est illégal. C'est un délit.
C'est, en tout cas, certainement un sujet complexe, avec la question, également, des maisons closes.
Mais on s'éloigne du sujet que nous soumet cette chère dame.
C'est, en tout cas, certainement un sujet complexe, avec la question, également, des maisons closes.
Mais on s'éloigne du sujet que nous soumet cette chère dame.
"proxénétisme collaboratif consenti"...
Kesséxa ? "Tu fais le trottoir. Tu me ramènes le pèze. Moi, je le place pour payer notre maison." ?
Parce que :
"proxénétisme : nom masculin :
Activité délictueuse consistant à favoriser la prostitution ou à en tirer profit."
Kesséxa ? "Tu fais le trottoir. Tu me ramènes le pèze. Moi, je le place pour payer notre maison." ?
Parce que :
"proxénétisme : nom masculin :
Activité délictueuse consistant à favoriser la prostitution ou à en tirer profit."
Nommé en 1999 au tribunal de Nice, Eric de Montgolfier a, à plusieurs reprises, dénoncé « les dysfonctionnements de la justice » à propos de l'affaire Kamal.
Ben tout est dit dans cette phrase. Il est notoire que les tribunaux de Nice rendent une justice pour le moins partiale et que seul de Montgolfier a ce qu'il faut dans le pantalon pour dire la vérité. C'est archi-notoire.
L'histoire que tu racontes est proprement affreuse, et des histoires commes celles-ci, malheureusement, ça se rencontre trop souvent dans tous les pays, de tous les bords... Il faut lutter contre ce genre de "dysfonctionnements" qui n'en sont pas car à ce niveau-là c'est voulu, il y a quelqu'un qui couvre, c'est sûr, comme dans l'affaire Alègre, comme dans d'autres... et tu as raison de le dénoncer. Il faut le dénoncer. Comme a été dénoncé l'histoire décrite dans "jamais sans ma fille".
Maintenant récupérer cela dans un préambule pseudo-moralisateur pour les pauvres français manipulés, au "jugement ... altéré par des représentations inculqué depuis l'enfance par les médias qui visent à diaboliser les peuples dont on veut accaparer les ressources ("Jamais sans leur pétrole") ", je trouve cela limite. Ne te servirais-tu pas de cette histoire dramatique, de ce père victime visiblement d'un certain niveau de copinage de sa femme avec les magistrats pour servir ta propre volonté d'en mettre un coup sur la France ? Désolée mais je ne peux pas m'empêcher de voir là volonté de régler son compte à ce pays...
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