Page 1 de 1
Dans son livre "une éducation anglaise", Christian Lehmann parle d'une convention mondiale de la science-fiction qui eut lieu à Brighton fin des années 70, et parle à cette occasion de son oncle maternel, Lutehr Rohan, auteur de science-fiction, qui mourut durant la convention. Quelqu'un connaît-il cet auteur? L'avez-vous lu?
Bon, à force de vouloir écrire plus vite que son ombre... c'est Luther qu'il faut lire, évidemment!
Je n'ai pas compris l'histoire de son oncle comme ça.
Son oncle ne serait pas écrivain, mais un manager en Angleterre, homme alcoolique très violent.
Et les Rohan serait une de ses racines aristocratiques.
Si vous avez plus de renseignements ça m'interesse.
Extrait tiré sur le site "Lire"
Une éducation anglaise n'est pas un traité de sociologie, mais un recueil de souvenirs d'autant plus variés que leur auteur a des racines fort diverses. Aristocratiques par les Rohan. Exotiques par l'île Maurice. Explosives par la Corse. Et britanniques par la branche maternelle.
En vacances chez sa grand-mère, en Corse, Christian Lehmann commençait à ne plus supporter la «violence gratuite» de garçons du cru quand avait surgi un couple d'Anglais - sa cousine et son mari - qui l'avait invité à Londres. Coup de foudre pour les rues chaudes de Soho, les piers de Brighton, le nonsense des Monty Python. Et pour toutes ces filles... Mais il allait s'apercevoir que, sous son allure si engageante, son oncle était une bête féroce. Il l'avait entendu hurler, en pleine nuit, contre sa femme. Ce très brillant manager de trente-cinq ans faisait partie de ces violents dont l'alcool libère la nature véritable.
Son oncle ne serait pas écrivain, mais un manager en Angleterre, homme alcoolique très violent.
Et les Rohan serait une de ses racines aristocratiques.
Si vous avez plus de renseignements ça m'interesse.
Extrait tiré sur le site "Lire"
Une éducation anglaise n'est pas un traité de sociologie, mais un recueil de souvenirs d'autant plus variés que leur auteur a des racines fort diverses. Aristocratiques par les Rohan. Exotiques par l'île Maurice. Explosives par la Corse. Et britanniques par la branche maternelle.
En vacances chez sa grand-mère, en Corse, Christian Lehmann commençait à ne plus supporter la «violence gratuite» de garçons du cru quand avait surgi un couple d'Anglais - sa cousine et son mari - qui l'avait invité à Londres. Coup de foudre pour les rues chaudes de Soho, les piers de Brighton, le nonsense des Monty Python. Et pour toutes ces filles... Mais il allait s'apercevoir que, sous son allure si engageante, son oncle était une bête féroce. Il l'avait entendu hurler, en pleine nuit, contre sa femme. Ce très brillant manager de trente-cinq ans faisait partie de ces violents dont l'alcool libère la nature véritable.
Eh bien, je suppose que l'auteur de l'article du journal "Lire" avait lu le livre en diagonale, confondant le mari de Susan (voir mon résumé) et donc le cousin du narrateur, violent et alcoolique jeune loup , en effet, avec le père de Susan, et donc oncle du narrateur, écrivain de science-fiction, et professeur à l'université d'Oxford sur qui je cherche de plus amples renseignements.
J'ai trouvé cet article du canard enchaîné sur le site de Christian Lehmann.
Mais je suis désolée, rien de plus sur le fait que tonton Luther soit un auteur.
Qui finira par déconcerter jusqu'au tonton Luther, le vilain petit canard des descendants des Rohan, qui a rompu les ponts familiaux depuis leur arrivée en Angleterre. Il enseigne à Oxford et fréquente des fondus de science-fiction : c'est lui qui offrira au jeune homme " Le Seigneur des anneaux " de Tolkien, à ne lire qu'en anglais bien sûr, avec un mode d'emploi pour atteindre très vite au deuxième, voire au troisième degré de la compréhension. Ce qui s'avèrera fort utile lors de la convention mondiale de la SF à Brighton, en 1973, dont Lehmann donne une relation digne du regretté Van Vogt. Un grand livre modeste, où les confessions d'un enfant du ferry, comme l'on voudra…
Mais je suis désolée, rien de plus sur le fait que tonton Luther soit un auteur.
Qui finira par déconcerter jusqu'au tonton Luther, le vilain petit canard des descendants des Rohan, qui a rompu les ponts familiaux depuis leur arrivée en Angleterre. Il enseigne à Oxford et fréquente des fondus de science-fiction : c'est lui qui offrira au jeune homme " Le Seigneur des anneaux " de Tolkien, à ne lire qu'en anglais bien sûr, avec un mode d'emploi pour atteindre très vite au deuxième, voire au troisième degré de la compréhension. Ce qui s'avèrera fort utile lors de la convention mondiale de la SF à Brighton, en 1973, dont Lehmann donne une relation digne du regretté Van Vogt. Un grand livre modeste, où les confessions d'un enfant du ferry, comme l'on voudra…
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre