Des mater ma quoi, Mopp?
Pardon, c'est samedi soir, on rigole. Et dire que d'autres, en ce moment même, bossent dur à odiner dans un autre coin du site...
Ben venez !!!
:0)))))))
Des mater ma quoi, Mopp?
Pardon, c'est samedi soir, on rigole. Et dire que d'autres, en ce moment même, bossent dur à odiner dans un autre coin du site...
Ben venez !!!
:0)))))))
Veni vidi vici (victoire collective partagée avec les autres participants).
Je ne vous demande pas, Lyra Will, ce que vous faisiez le 11.02.1979 mais, peut-être, ce que vous ferez le 11.02.2079...
Je ne vous demande pas, Lyra Will, ce que vous faisiez le 11.02.1979 mais, peut-être, ce que vous ferez le 11.02.2079...
Moi, c'est très simple, j'ai donné rendez-vous avec un pissenlit dont je sucerai la racine (carrée)
Moi, c'est très simple, j'ai donné rendez-vous avec un pissenlit dont je sucerai la racine (carrée)
Je ne vous demande pas, Lyra Will, ce que vous faisiez le 11.02.1979 mais, peut-être, ce que vous ferez le 11.02.2079...
Moi, c'est très simple, j'ai donné rendez-vous avec un pissenlit dont je sucerai la racine (carrée)
Super, Mopp! Mais qui sait, tu feras peut-être autre chose. A la vitesse où les sciences progressent!
1979.
Thatcher et Reagan nous font définitivement dire adieu aux espoirs de lendemains qui chantent. On s’avance plutôt vers l’avenir qui gémit.
D’ailleurs, on découvre l’existence du gluon, c’est assez dire que la fange commence à nous coller à la peau.
En ce qui me concerne, je vis en maison communautaire avec d’autres barbus et des filles sans soutien-gorge. Dans les deux cas, nous obéissons strictement aux contraintes de la mode post soixante-huitarde et je vous jure qu’elle a de très bons côtés. Non, je ne parle pas de la barbe.
Je vais au cinéma plusieurs fois par semaine, plus souvent dans des salles alternatives qui montrent des vieux machins. Mais tout de même, il en est de presque récents.
Par exemple, j’ai noté dans mon agenda d’époque, que le 21 janvier, à 20h30, j’allais voir « Jonas qui aura 25 ans en l’an 2000 » de Alain Tanner. Et bien ça y est. Jonas a même bientôt trente ans. Doit être déçu Jonas.
Le même jour, mais dans l’après-midi, j’avais vu le « Molière » d’Ariane Mnouchkine. Dire qu’il y a peu, à la télévision française, on a bêtement élu le plus grand Français de tous les temps et que Molière s’est retrouvé quelque part entre l’abbé Pierre, Coluche, Michel Drucker et un général. Doit être déçu aussi Molière.
La semaine allant du 5 au 11 février, j’ai des activités professionnelles. Notamment, je vais dans une section du Mouvement Coopératif Féminin pour y présenter et y commenter un film de 1976 décrivant la vie d’une « Commune anarchiste » au Brésil. C’était de Jean-Louis Comolli et cela s’appelait « La Cecilia ». Je suis allé voir sur internet et j’ai appris qu’il n’existait plus aucune copie complète de ce film. Là, c’est moi qui suis déçu.
Et enfin, le 11 février au soir, j’ai noté que j’allais voir un vieux film avec L. Il s’agissait de « Cléo de 5 à 7 » d’Agnès Varda. Et bien je vous le dis tout net, je n’ai aucun souvenir de ce film. Je ne l’ai pas vu en ce fameux 11 février 1979. Sans doute est-ce dû au fait que je comptais m’y rendre avec L., qui n’était pas ma compagne attitrée. Nous sommes plutôt restés chez elle. Cela, je m’en souviens.
Le 11 février 1979, on ne connaissait pas encore le Sida et on ne trompait pourtant jamais sa partenaire… puisqu’on lui racontait tout après, et qu’elle faisait de même.
Et personne n’était déçu.
Thatcher et Reagan nous font définitivement dire adieu aux espoirs de lendemains qui chantent. On s’avance plutôt vers l’avenir qui gémit.
D’ailleurs, on découvre l’existence du gluon, c’est assez dire que la fange commence à nous coller à la peau.
En ce qui me concerne, je vis en maison communautaire avec d’autres barbus et des filles sans soutien-gorge. Dans les deux cas, nous obéissons strictement aux contraintes de la mode post soixante-huitarde et je vous jure qu’elle a de très bons côtés. Non, je ne parle pas de la barbe.
Je vais au cinéma plusieurs fois par semaine, plus souvent dans des salles alternatives qui montrent des vieux machins. Mais tout de même, il en est de presque récents.
Par exemple, j’ai noté dans mon agenda d’époque, que le 21 janvier, à 20h30, j’allais voir « Jonas qui aura 25 ans en l’an 2000 » de Alain Tanner. Et bien ça y est. Jonas a même bientôt trente ans. Doit être déçu Jonas.
Le même jour, mais dans l’après-midi, j’avais vu le « Molière » d’Ariane Mnouchkine. Dire qu’il y a peu, à la télévision française, on a bêtement élu le plus grand Français de tous les temps et que Molière s’est retrouvé quelque part entre l’abbé Pierre, Coluche, Michel Drucker et un général. Doit être déçu aussi Molière.
La semaine allant du 5 au 11 février, j’ai des activités professionnelles. Notamment, je vais dans une section du Mouvement Coopératif Féminin pour y présenter et y commenter un film de 1976 décrivant la vie d’une « Commune anarchiste » au Brésil. C’était de Jean-Louis Comolli et cela s’appelait « La Cecilia ». Je suis allé voir sur internet et j’ai appris qu’il n’existait plus aucune copie complète de ce film. Là, c’est moi qui suis déçu.
Et enfin, le 11 février au soir, j’ai noté que j’allais voir un vieux film avec L. Il s’agissait de « Cléo de 5 à 7 » d’Agnès Varda. Et bien je vous le dis tout net, je n’ai aucun souvenir de ce film. Je ne l’ai pas vu en ce fameux 11 février 1979. Sans doute est-ce dû au fait que je comptais m’y rendre avec L., qui n’était pas ma compagne attitrée. Nous sommes plutôt restés chez elle. Cela, je m’en souviens.
Le 11 février 1979, on ne connaissait pas encore le Sida et on ne trompait pourtant jamais sa partenaire… puisqu’on lui racontait tout après, et qu’elle faisait de même.
Et personne n’était déçu.
1979.
Thatcher et Reagan nous font définitivement dire adieu aux espoirs de lendemains qui chantent. On s’avance plutôt vers l’avenir qui gémit.
D’ailleurs, on découvre l’existence du gluon, c’est assez dire que la fange commence à nous coller à la peau.
En ce qui me concerne, je vis en maison communautaire avec d’autres barbus et des filles sans soutien-gorge. Dans les deux cas, nous obéissons strictement aux contraintes de la mode post soixante-huitarde et je vous jure qu’elle a de très bons côtés. Non, je ne parle pas de la barbe.
Je vais au cinéma plusieurs fois par semaine, plus souvent dans des salles alternatives qui montrent des vieux machins. Mais tout de même, il en est de presque récents.
Par exemple, j’ai noté dans mon agenda d’époque, que le 21 janvier, à 20h30, j’allais voir « Jonas qui aura 25 ans en l’an 2000 » de Alain Tanner. Et bien ça y est. Jonas a même bientôt trente ans. Doit être déçu Jonas.
Le même jour, mais dans l’après-midi, j’avais vu le « Molière » d’Ariane Mnouchkine. Dire qu’il y a peu, à la télévision française, on a bêtement élu le plus grand Français de tous les temps et que Molière s’est retrouvé quelque part entre l’abbé Pierre, Coluche, Michel Drucker et un général. Doit être déçu aussi Molière.
La semaine allant du 5 au 11 février, j’ai des activités professionnelles. Notamment, je vais dans une section du Mouvement Coopératif Féminin pour y présenter et y commenter un film de 1976 décrivant la vie d’une « Commune anarchiste » au Brésil. C’était de Jean-Louis Comolli et cela s’appelait « La Cecilia ». Je suis allé voir sur internet et j’ai appris qu’il n’existait plus aucune copie complète de ce film. Là, c’est moi qui suis déçu.
Et enfin, le 11 février au soir, j’ai noté que j’allais voir un vieux film avec L. Il s’agissait de « Cléo de 5 à 7 » d’Agnès Varda. Et bien je vous le dis tout net, je n’ai aucun souvenir de ce film. Je ne l’ai pas vu en ce fameux 11 février 1979. Sans doute est-ce dû au fait que je comptais m’y rendre avec L., qui n’était pas ma compagne attitrée. Nous sommes plutôt restés chez elle. Cela, je m’en souviens.
Le 11 février 1979, on ne connaissait pas encore le Sida et on ne trompait pourtant jamais sa partenaire… puisqu’on lui racontait tout après, et qu’elle faisait de même.
Et personne n’était déçu.
Belle intervention, Bolcho !
1979.
Ou 1799 ? Tout ça paraît presque aussi "hors d'âge", Bolcho. Une autre époque, une autre ère. Tu as bien fait de garder tes agendas....
juste pour info, je suis le gars de Reignier (fr) qui a mis la critique "inventeur de destin" ... 2 pseudos pour brouiller les pistes :-)) explications sur espace perso ...
Mais alors, tu te dévoiles, Charles! Tu vas devoir t'inventer un troisième pseudo ;o)
pour vous, ce n'est pas secret. Juste pour mes amis non virtuels qui consulte le site et connaissent mon autre pseudo :-)
le 11/02/1979, j'avais 3 ans et demi. J'habitais une maison à la campagne. pas encore l'école, maman qui ne travaillait pas, un gentil chat .... ce devait être le bonheur .... et l'on croit naïvement que le meilleur reste à venir ...
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