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Une polémique prend forme autour de ce livre en France. Pour éviter les frais d'un procès, l'éditeur a décidé de retirer l'ouvrage de la vente. En vain, le procès aura quand même lieu.
Une pétition est lancée pour soutenir l'éditeur.
http://renaud-camus.org/messages_lire.php3/…
Mon premier mouvement a bien sûr été de signer.
Mais le second a été de lire le livre avant de m'engager dans quoi que ce soit (question de rigueur). Mais le livre, bien sûr, n'est plus trouvable.
Alors, est-ce que Kinbote pourrait me le prêter? Je suis joignable à l'adresse suivante: v.scigala@laposte.net
Une pétition est lancée pour soutenir l'éditeur.
http://renaud-camus.org/messages_lire.php3/…
Mon premier mouvement a bien sûr été de signer.
Mais le second a été de lire le livre avant de m'engager dans quoi que ce soit (question de rigueur). Mais le livre, bien sûr, n'est plus trouvable.
Alors, est-ce que Kinbote pourrait me le prêter? Je suis joignable à l'adresse suivante: v.scigala@laposte.net
Je suis allé lire la lettre de soutien et je trouve qu'effectivement la démarche de l'éditeur doit être soutenue.
Il se fait que, certainement après une lecture trop rapide, ce livre m'a semblé un banal ouvrage de commande (par rapport à l'oeuvre poétique de Cliff), ce qu'il ne serait qu'en partie vu que William Cliff y injecterait des propos qui ont déplu à ses commanditaires...
Il se fait que, certainement après une lecture trop rapide, ce livre m'a semblé un banal ouvrage de commande (par rapport à l'oeuvre poétique de Cliff), ce qu'il ne serait qu'en partie vu que William Cliff y injecterait des propos qui ont déplu à ses commanditaires...
Merci de votre aide.
Le fait que rien ne vous ait particulièrement choqué lors d'une lecture non prévenue renforce l'impression que les poursuites engagées sont absurdes.
Je ne sais ce qu'il en est en Belgique, mais l'atmosphère en France devient doucement insupportable: dès qu'un livre risque de déplaire, il est caviardé ou non publié.
Il n'est plus possible de se forger une opinion personnelle: c'est notre droit à juger qu'on nous retire.
Le fait que rien ne vous ait particulièrement choqué lors d'une lecture non prévenue renforce l'impression que les poursuites engagées sont absurdes.
Je ne sais ce qu'il en est en Belgique, mais l'atmosphère en France devient doucement insupportable: dès qu'un livre risque de déplaire, il est caviardé ou non publié.
Il n'est plus possible de se forger une opinion personnelle: c'est notre droit à juger qu'on nous retire.
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