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Mae West,
il y a déjà une série de critiques sur le livre
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/?l=159
J'ai bien aimé aussi ce livre même si c'est le seul de Schmitt que j'aie lu.
il y a déjà une série de critiques sur le livre
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/?l=159
J'ai bien aimé aussi ce livre même si c'est le seul de Schmitt que j'aie lu.
Désolée, mais je ne l'avais pas trouvé dans la liste alphabétique ; De même que mon pseudo ne figure pas dans la liste alphabétique des lecteurs, mais ça, ce n'est pas grave .
De toutes façons ça m'a fait du bien d'écrire cette critique : ça m'a obligée à relire le roman et à en retirer un peu plus de sustantifique moëlle qu'à la première lecture . E E Schmidt, a aussi écrit "la secte des égoïstes" celui-là, j'ai vu qu'il avait déjà eu sa critique alors je n'en ai pas pondu . Mais je ferai peut-être une critique éclair, pour le plaisir .
De toutes façons ça m'a fait du bien d'écrire cette critique : ça m'a obligée à relire le roman et à en retirer un peu plus de sustantifique moëlle qu'à la première lecture . E E Schmidt, a aussi écrit "la secte des égoïstes" celui-là, j'ai vu qu'il avait déjà eu sa critique alors je n'en ai pas pondu . Mais je ferai peut-être une critique éclair, pour le plaisir .
Mae West, le fait qu'il y ait déjà une critique ne devrait pas t'empêcher de faire une critique éclair. Y a vraiment pas de raison !!
A+
A+
Excuse-moi Saule mais la manière dont est formulée le fait qu'il existe déjà une critique, et cela a été fait plusieurs fois ces derniers jours pas différentes personnes, peut refroidir un minimum le pauvre lecteur qui n'a pas eu le réflexe de chercher dans la base de données si il existait déjà une fiche-lecture de son bouquin.
"Il y a déjà une critique sur ce livre".
Quand on n'a pas eu vent du souci des doubons sur le site, on ne comprend pas du premier coup de quoi il en retourne et quand je lis les réactions de Mae West ou de Lamanus, je me dis qu'il y a risque d'incompréhension en énonçant de la sorte le fait pas si dramatique que cela tout de même d'un "double critiquage".
"Il y a déjà une critique sur ce livre".
Quand on n'a pas eu vent du souci des doubons sur le site, on ne comprend pas du premier coup de quoi il en retourne et quand je lis les réactions de Mae West ou de Lamanus, je me dis qu'il y a risque d'incompréhension en énonçant de la sorte le fait pas si dramatique que cela tout de même d'un "double critiquage".
dont est formulé le fait... grrrr, je ne corrige pas mes autres fautes, ça devient grave :)
Ah oui ! Je me suis fait une raison depuis longtemps des doublons, je voulais surtout l'indiquer à Mae pour qu'elle puisse lire les autres critiques. Et faire un lien entre les deux critiques, ce qui est mieux que rien en attendant que les admins corrigent.
Désolée, mais je ne l'avais pas trouvé dans la liste alphabétique
Mae West, le mieux pour éviter ce genre de "problème", c'est encore de faire une recherche (en utilisant la fenêtre ad hoc, en haut à droite). Et il vaut mieux aussi lancer une recherche assez "générale" sur le nom de l'auteur ou un mot significatif du titre. En lançant une recherche sur "Schmitt", tu aurais vu qu'il y a 2 auteurs correspondant à ce critère: Eric-Emmanuel Schmitt et Eic-Emmanuel Schmitt (ceci parce qu'il faut encore tenir compte des erreurs de la DB d'Amazon pour tout simplifier!) et à partir de là, il te suffit de cliquer sur le nom de l'auteur pour obtenir toute la liste de ses livres qui sont critiqués sur le site... C'est plus sûr et plus rapide que de consulter la liste alphabétique...
Enfin, il faut savoir aussi que les caractères accentués sont en principe significatifs, mais que là aussi les erreurs d'encodage d'Amazon viennent semer la zizanie (ce qui explique qu'on ait 3 ou 4 fiches différentes pour le Clézio par exemple).
Ceci juste pour te faire part de quelques petits trucs pour te faciliter la vie... Bon, ça a l'air un peu compliqué, mais avec un peu d'habitude, on s'en sort très bien :-).
Et même si un livre a déjà été critiqué plusieurs fois, ton avis est toujours le bienvenu! D'ailleurs, je viens aussi de lire "L'Evangile selon Pilate" et je compte bien ajouter mon commentaire (je suis assez d'accord avec toi en fait :-))., ne fut-ce que pour que les lecteurs potentiels puissent se faire une opinion à partir de plusieurs avis différents.
J'ai lu, il y a quelques année, un magnifique petit livre de Roger Caillois, "Ponce-Pilate", je crois. Je ne saurais trop vous le recommander.
Une écriture splendide, et exemplaire, pour ceux qui veulent prendre une leçon de style !! :o) ). C'est vrai.. je pense que la meilleure façon de se fabriquer un beau style, c'est de lire beaucoup des auteurs qui écrivent très bien..
Une écriture splendide, et exemplaire, pour ceux qui veulent prendre une leçon de style !! :o) ). C'est vrai.. je pense que la meilleure façon de se fabriquer un beau style, c'est de lire beaucoup des auteurs qui écrivent très bien..
je pense que la meilleure façon de se fabriquer un beau style, c'est de lire beaucoup des auteurs qui écrivent très bien..Pas comme moi !! Parce que " beaucoup des auteurs qui écrivent très bien", c'est pas très beau !! :o)
De même que mon pseudo ne figure pas dans la liste alphabétique des lecteurs, mais ça, ce n'est pas grave .
Mais Mae West tu figures. Simplement le classement est peu orthodoxe. En premier critère, il considère le nombre de critiques (2 dans ton cas) puis il considère l'alphabétique. Je te rassure, tu fais bien partie du cheptel C.L.!
Mais Mae West tu figures. Simplement le classement est peu orthodoxe. En premier critère, il considère le nombre de critiques (2 dans ton cas) puis il considère l'alphabétique. Je te rassure, tu fais bien partie du cheptel C.L.!
Mae West, ton nom est bien dans la liste des lecteurs.
Mais as-tu bien les yeux en face des trous ?
(C'est pour rire, hein ! Mais quand même)
Mais as-tu bien les yeux en face des trous ?
(C'est pour rire, hein ! Mais quand même)
Voilà, je suis bien désolée, j'avais cherché plusieurs fois dans la liste alphabétique et même été assez étonnée de ne pas trouver de critique de ce ce livre et donc plutôt contente de pouvoir faire la prime. Bon, les critiques éclair, je connais, j'en ai pondu deux . Le problème des critiques éclair, c'est qu'elles passent aussi vite que l'éclair , alors personne ne les voit ?
moi je crois qu'il faut aussi donner leur chance à ceux qui arrivent en retard, par exemple, j'ai vu pour un livre que j'aimais beaucoup, la critique officielle attribue deux étoiles : c'est profondément injuste ! mais comme c'est le premier qui pond qui a raison, alors quand on ouvre la boite à critiques, on voit "Madame Bovary" une demi-étoile " ce bouquin m'a vachement ennuyé "(je caricature) Ben là, je dis, non, si une critique est aussi partielle et partiale, elle ne doit pas figurer comme critique principale . Donnons une chance à quelqu'un d'autre de donner envie de lire ce chef d'oeuvre qui n' a pas pris une ride : Mais oui, songez y ! on nage dans le bovarysme, on se noie dedans : avec la multiplication des faux besoins, et des vraies images de staracadémistes, la culture du look, de la rencontre qui fait tilt, le frisson garanti, en affiches de 2m sur 4, Madame Bovary et la scène du bal, c'est toi, moi, lui, elle ; Descendons dans la rue et scandons ce slogan : nous sommes tous, des bovarys juif-allemands, que diable, alors une demi- étoile, quel scandale !
;-)).
moi je crois qu'il faut aussi donner leur chance à ceux qui arrivent en retard, par exemple, j'ai vu pour un livre que j'aimais beaucoup, la critique officielle attribue deux étoiles : c'est profondément injuste ! mais comme c'est le premier qui pond qui a raison, alors quand on ouvre la boite à critiques, on voit "Madame Bovary" une demi-étoile " ce bouquin m'a vachement ennuyé "(je caricature) Ben là, je dis, non, si une critique est aussi partielle et partiale, elle ne doit pas figurer comme critique principale . Donnons une chance à quelqu'un d'autre de donner envie de lire ce chef d'oeuvre qui n' a pas pris une ride : Mais oui, songez y ! on nage dans le bovarysme, on se noie dedans : avec la multiplication des faux besoins, et des vraies images de staracadémistes, la culture du look, de la rencontre qui fait tilt, le frisson garanti, en affiches de 2m sur 4, Madame Bovary et la scène du bal, c'est toi, moi, lui, elle ; Descendons dans la rue et scandons ce slogan : nous sommes tous, des bovarys juif-allemands, que diable, alors une demi- étoile, quel scandale !
;-)).
Alors là, oui, on va descendre dans la rue, Mae West... mais pour exiger que tu nous "pondes" une critique éclair de cette chère Emma :-)!
Sinon, je suis plus ou moins d'accord avec toi. Je trouve que c'est dommage quand la première critique passe "à côté" du sujet, comme c'est le cas pour 'Mme Bovary" (en tout cas, disons que nous sommes nombreux à penser que Maya était passée "à côté"...). Et ça me fait encore plus râler quand je lis une première critique du genre "Je n'ai lu que les 50 premières pages, mais je trouve ça nul..." (Ah, mes pauvres enfants de minuit... Ils méritaient mieux, je pense...).
Ceci dit, il n'y a pas de règles concernant la longueur des critiques éclairs et celui qui pense que la première critique d'un livre est bâclée peut toujours "rattrapper" la situation en postant une critique éclair bien étoffée. Et pour ce qui est de "reclasser" les critiques d'un livre, j'ai peur que ce ne soit pas possible, ou du moins que cela représente beaucoup trop de travail pour nos gentils webmasters (qui sont bénévoles et qui font un très beau travail avec ce site, faut-il le rappeler...)
Sinon, je suis plus ou moins d'accord avec toi. Je trouve que c'est dommage quand la première critique passe "à côté" du sujet, comme c'est le cas pour 'Mme Bovary" (en tout cas, disons que nous sommes nombreux à penser que Maya était passée "à côté"...). Et ça me fait encore plus râler quand je lis une première critique du genre "Je n'ai lu que les 50 premières pages, mais je trouve ça nul..." (Ah, mes pauvres enfants de minuit... Ils méritaient mieux, je pense...).
Ceci dit, il n'y a pas de règles concernant la longueur des critiques éclairs et celui qui pense que la première critique d'un livre est bâclée peut toujours "rattrapper" la situation en postant une critique éclair bien étoffée. Et pour ce qui est de "reclasser" les critiques d'un livre, j'ai peur que ce ne soit pas possible, ou du moins que cela représente beaucoup trop de travail pour nos gentils webmasters (qui sont bénévoles et qui font un très beau travail avec ce site, faut-il le rappeler...)
Eh oui, le site est loin d'être parfait mais avec un peu d'effort de la part des critiqueurs, on peut l'améliorer! Car comme le rappelle notre chère Fée, les webmasters font ce travail pour des clopinettes! Donc, c'est à nous de faire gaffe pour les doublons et quant au conflit critique/critique-éclair, un critiqueur sérieux lira aussi bien les critiques que les critiques-éclairs! Alors si la critique principale n'est pas tip-top, il lira quand même les autres critiques. C'est pourquoi, pour ma part, je considère les critiques-éclairs comme des critiques principales et les triantent comme telles! Ce n'est pas parce qu'elles ont le nom d'éclair qu'elles doivent être courtes! Ce sont en fait, des seconds avis, aussi important que le premier!
Très bien Mae W, faute avouée est à moitié pardonnée. Parce que c'est toi, je propose qu'elle te soit entièrement pardonnée.
Mais que veux-tu dire avec les critiques éclair qui filent comme l'éclair ?¨Pas du tout ! Les critiques éclairs restent aussi longtemps que les autres !
Et puis, personne n'a raison, ou tort, chacun exprime ses goûts.
Et alors, si tu parles de notre chère Emma, notre très chère Emma, fais très attention à ce que tu dis, parce que ses partisans la vénèrent avec tous les honneurs dus à son rang et beaucoup sont prêts à monter aux barricades pour la défendre. Allez, je vois que tu en as parlé poliment ! ;-)
Alors, tu peux, bien sûr pensé ce que tu veux de la critique de Maya, mais nous l'avons tous trouvée excellente. Elle était bien argumentée et pleine d'humour. Elle a suscité des discussions passionnées et finalement, c'est grâce à lui qu'elle se trouve aujourd'hui sur un piédestal.
D'ailleurs peu lui importe qu'on en dise du bien ou du mal, du moment qu'on parle d'elle, elle est ravie !
Mais que veux-tu dire avec les critiques éclair qui filent comme l'éclair ?¨Pas du tout ! Les critiques éclairs restent aussi longtemps que les autres !
Et puis, personne n'a raison, ou tort, chacun exprime ses goûts.
Et alors, si tu parles de notre chère Emma, notre très chère Emma, fais très attention à ce que tu dis, parce que ses partisans la vénèrent avec tous les honneurs dus à son rang et beaucoup sont prêts à monter aux barricades pour la défendre. Allez, je vois que tu en as parlé poliment ! ;-)
Alors, tu peux, bien sûr pensé ce que tu veux de la critique de Maya, mais nous l'avons tous trouvée excellente. Elle était bien argumentée et pleine d'humour. Elle a suscité des discussions passionnées et finalement, c'est grâce à lui qu'elle se trouve aujourd'hui sur un piédestal.
D'ailleurs peu lui importe qu'on en dise du bien ou du mal, du moment qu'on parle d'elle, elle est ravie !
Oui, j'abonde dans le sens de SJB et des autres. Qu'importe qu'un livre soit mal-traité dans la critique principale ? Il n'y a pas vraiment de différences entre les critiques éclair et les autres.
Par rapport aux doublons : la correction ne demanderait rien de plus que d'executer 2 ou 3 instructions dans la base de données...même si je comprends je que les webmasters sont débordés, c'est dommage de ne pas les faire.
Par rapport aux doublons : la correction ne demanderait rien de plus que d'executer 2 ou 3 instructions dans la base de données...même si je comprends je que les webmasters sont débordés, c'est dommage de ne pas les faire.
Très bien Mae W, faute avouée est à moitié pardonnée. Parce que c'est toi, je propose qu'elle te soit entièrement pardonnée.
Mais que veux-tu dire avec les critiques éclair qui filent comme l'éclair ?¨Pas du tout ! Les critiques éclairs restent aussi longtemps que les autres !
Et puis, personne n'a raison, ou tort, chacun exprime ses goûts.
Et alors, si tu parles de notre chère Emma, notre très chère Emma, fais très attention à ce que tu dis, parce que ses partisans la vénèrent avec tous les honneurs dus à son rang et beaucoup sont prêts à monter aux barricades pour la défendre. Allez, je vois que tu en as parlé poliment ! ;-)
Alors, tu peux, bien sûr pensé ce que tu veux de la critique de Maya, mais nous l'avons tous trouvée excellente. Elle était bien argumentée et pleine d'humour. Elle a suscité des discussions passionnées et finalement, c'est grâce à lui qu'elle se trouve aujourd'hui sur un piédestal.
D'ailleurs peu lui importe qu'on en dise du bien ou du mal, du moment qu'on parle d'elle, elle est ravie !
Bien sûr qu'elle est ravie
Elle est si égocentrique ! Comment peut-on être aussi égocentrique d'ailleurs ? On se le demande !
Tiens, une citation de Flaubert, au hasard :
"Madame Bovary, c'est moi"
"Madame Bovary, c'est moi"
Oui.
Mais quelqu'un m'a dit que si Flaubert avait dit ça, c'était juste parce qu'il avait passé tellement de temps et d'effort sur ce roman, qu'il ne fallait pas l'interpréter autrement.
Si quelqu'un sait le fin mot, ça m'intrigue.
Saule, si cela peut t'aider, je te recopie un passage d'une lettre de Flaubert à Louise Colet (que j'avais déjà mis ailleurs, quelque part, sur le site). On y voit que Flaubert n'est pas seulement son personnage principal, mais qu'il est tout à la fois les chevaux, les feuilles, le vent...
« J'ai un casque de fer sur le crâne. Depuis 2 heures de l'après-midi (sauf 25 minutes à peu près pour dîner), j'écris de la Bovary. Je suis à leur Baisade, en plein, au milieu. On sue et on a la gorge serrée. Voilà une des rares journées de ma vie que j'ai passée dans l'Illusion, complètement, et depuis un bout jusqu'à l'autre. Tantôt, à six heures, au moment où j'écrivais le mot ‘attaque de nerfs’, j'étais si emporté, je gueulais si fort, et sentais si profondément ce que ma petite femme éprouvait, que j'ai eu peur moi-même d'en avoir une. (...) N'importe, bien ou mal, c'est une délicieuse chose que d'écrire ! que de ne plus être soi, mais de circuler dans toute la création dont on parle. Aujourd'hui, par exemple, homme et femme tout ensemble, amant et maîtresse à la fois, je me suis promené à cheval dans une forêt, par un après-midi d'automne, sous des feuilles jaunes, et j'étais les chevaux, les feuilles, le vent, les paroles qu'ils se disaient et le soleil rouge qui faisait s'entre-fermer leurs paupières noyées d'amour. »
« J'ai un casque de fer sur le crâne. Depuis 2 heures de l'après-midi (sauf 25 minutes à peu près pour dîner), j'écris de la Bovary. Je suis à leur Baisade, en plein, au milieu. On sue et on a la gorge serrée. Voilà une des rares journées de ma vie que j'ai passée dans l'Illusion, complètement, et depuis un bout jusqu'à l'autre. Tantôt, à six heures, au moment où j'écrivais le mot ‘attaque de nerfs’, j'étais si emporté, je gueulais si fort, et sentais si profondément ce que ma petite femme éprouvait, que j'ai eu peur moi-même d'en avoir une. (...) N'importe, bien ou mal, c'est une délicieuse chose que d'écrire ! que de ne plus être soi, mais de circuler dans toute la création dont on parle. Aujourd'hui, par exemple, homme et femme tout ensemble, amant et maîtresse à la fois, je me suis promené à cheval dans une forêt, par un après-midi d'automne, sous des feuilles jaunes, et j'étais les chevaux, les feuilles, le vent, les paroles qu'ils se disaient et le soleil rouge qui faisait s'entre-fermer leurs paupières noyées d'amour. »
Merci Bolcho ! Ca montre effectivement à quel point il s'est investi dans ce roman.
Ma question se rapportait à un point que j'avais soulevé dans un autre forum (probablement le même que le tien), à propos de l'attirance un peu ambivalente qu'on éprouve pour la brave Emma.
Jung, ou un auteur qui écrivait sur Jung, je ne sais plus, comparait Madame Bovary aux sirènes de la mythologie grecque qui ensorcelaient les marins par leurs chants et les noyaient par le fond (ceci afin illustrer le côté sombre de l'anima).
Je trouvais la comparaison judicieuse. C'est un peu comme Mishima et sa fascination morbide pour le suicide qui nous renvoie à nous-même. (cfr la critique de Lamanus sur Murakami)
Ma question se rapportait à un point que j'avais soulevé dans un autre forum (probablement le même que le tien), à propos de l'attirance un peu ambivalente qu'on éprouve pour la brave Emma.
Jung, ou un auteur qui écrivait sur Jung, je ne sais plus, comparait Madame Bovary aux sirènes de la mythologie grecque qui ensorcelaient les marins par leurs chants et les noyaient par le fond (ceci afin illustrer le côté sombre de l'anima).
Je trouvais la comparaison judicieuse. C'est un peu comme Mishima et sa fascination morbide pour le suicide qui nous renvoie à nous-même. (cfr la critique de Lamanus sur Murakami)
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