J'ai plutôt l'impression que c'est la critique de CCRider qui est intéressante, parce qu'en la lisant, sa critique, je me dis que le livre, lui, n'a pas l'air de s'élever beaucoup des lieux-communs.
"Les français ont gagné sept années de vie supplémentaires depuis 1973 , ils ont doublé leur pouvoir d'achat et triplé leur fortune personnelle ! On se demande bien pourquoi un tel pessimisme règne dans le pays"
Mais la réponse vient juste après,
"Pourquoi un chômage record , endémique et incompressible depuis trente ans mine tout espoir de redressement"
Et du coup on se demande comment autant de chômeurs ont pu tripler leur fortune personnelle. A moins que certains ne soient devenu plus riches et d'autre plus pauvres. Méfions nous des statistiques. Comme disait l'autre, si j'ai la tête dans le four et les pieds dans le congélateur, en moyenne j'ai bon !
En plus, le pouvoir d'achat et la fortune personnelle, est-ce qu'il pense vraiment que c'est la bonne mesure pour le bien-être ? Le fait d'avoir un travail, rien que ça est mille fois plus important. Si pour ça il faut surcharger un peu les ministères, pourquoi pas. De toute façon il me semble évident qu'avec l'automatisation il n'y aura plus jamais du travail pour tout le monde.
Quant aux 7 années gagnées, j'imagine que c'est grâce à la protection sociale et les subventions dans le domaine médical, ce qui fatalement nécessite des impôts (fiscalité vorace).
Que faire ? A part la révolution, je ne vois pas :-). De toute façon l'un ou l'autre politicien au pouvoir, c'est la même chose, c'est le "Marché" qui décide et pas eux.
"Les français ont gagné sept années de vie supplémentaires depuis 1973 , ils ont doublé leur pouvoir d'achat et triplé leur fortune personnelle ! On se demande bien pourquoi un tel pessimisme règne dans le pays"
Mais la réponse vient juste après,
"Pourquoi un chômage record , endémique et incompressible depuis trente ans mine tout espoir de redressement"
Et du coup on se demande comment autant de chômeurs ont pu tripler leur fortune personnelle. A moins que certains ne soient devenu plus riches et d'autre plus pauvres. Méfions nous des statistiques. Comme disait l'autre, si j'ai la tête dans le four et les pieds dans le congélateur, en moyenne j'ai bon !
En plus, le pouvoir d'achat et la fortune personnelle, est-ce qu'il pense vraiment que c'est la bonne mesure pour le bien-être ? Le fait d'avoir un travail, rien que ça est mille fois plus important. Si pour ça il faut surcharger un peu les ministères, pourquoi pas. De toute façon il me semble évident qu'avec l'automatisation il n'y aura plus jamais du travail pour tout le monde.
Quant aux 7 années gagnées, j'imagine que c'est grâce à la protection sociale et les subventions dans le domaine médical, ce qui fatalement nécessite des impôts (fiscalité vorace).
Que faire ? A part la révolution, je ne vois pas :-). De toute façon l'un ou l'autre politicien au pouvoir, c'est la même chose, c'est le "Marché" qui décide et pas eux.
"Les français ont gagné sept années de vie supplémentaires depuis 1973 , ils ont doublé leur pouvoir d'achat et triplé leur fortune personnelle ! On se demande bien pourquoi un tel pessimisme règne dans le pays"En général j'évite d'être grossier, mais quand je lis ça, j'ai vraiment l'impression d'être pris pour un con.. ou alors c'est l'auteur qui est con..
Ce qui me paraît suspect, moi, c'est que les personnes qui réclament à cor et à cri que les Français travaillent plus snt pour la plupart des journalistes ou d'autres personnes, bien tranquilles devant leur ordinateur chez eux et qui, souvent, n'ont pas le besoin de travailer plus pour gagner plus car ils gagnent assez comme ça. Il est facile de déclamer cela, bien à l'aise dans son bureau, les pieds dans les pantoufles. Certes, les statistiques disent ça mais si notre vie devait être régie par les statistiques...
Et puis je vois qu'on tape encore sur les fonctionnaires, ces parasites de la société (savent-ils qu'il y en a qui arrivent au travail à 7h30 et en sortent le soir, après 18 h?? Des mutants, sûrement...).
Et comme le remarque Saule, depuis quand notre bonheur est proportionnel à notre salaire?
Et tu proposes la révolution : why not! Mais avec quoi remplacer le système actuel où tout le monde sera content?? Je n'ai pas de solution sous la main, moi...
Et puis je vois qu'on tape encore sur les fonctionnaires, ces parasites de la société (savent-ils qu'il y en a qui arrivent au travail à 7h30 et en sortent le soir, après 18 h?? Des mutants, sûrement...).
Et comme le remarque Saule, depuis quand notre bonheur est proportionnel à notre salaire?
Et tu proposes la révolution : why not! Mais avec quoi remplacer le système actuel où tout le monde sera content?? Je n'ai pas de solution sous la main, moi...
"A moins que certains ne soient devenu plus riches et d'autre plus pauvres"
Tu as mis le doigt dessus, Saule, c'est exactement cela que disent d'autres statistiques, dont on a peut-être oublié de parler dans cet ouvrage.
L'image du four et du congélo n'est pas dans les statistiques, mais je crois quand même que c'est exactement ça aussi.
Tu as mis le doigt dessus, Saule, c'est exactement cela que disent d'autres statistiques, dont on a peut-être oublié de parler dans cet ouvrage.
L'image du four et du congélo n'est pas dans les statistiques, mais je crois quand même que c'est exactement ça aussi.
Que nenni Saule, point de révolution. CCRider est contre l’État, contre le fisc et contre les syndicats, mais on a déjà connu ça dans l’histoire. Je trouve qu’il devrait aller au bout de sa pensée comme le général baron de Marbot dans ses mémoires que je lis avec délectation : « (…) j’abhorre tout ce qui tendrait à ramener la démocratie, tant je suis convaincu que les masses sont aveugles, et que le pire gouvernement est celui du peuple ». Voilà quelqu’un qui n’y allait pas par quatre chemins pour dire sa pensée !
Je voudrais aussi féliciter CCRider qui a eu l’immense courage de nous présenter ce livre qu’il dit « courageux ». C’est qu’il en faut de nos jours du courage pour exprimer une idée de droite libérale à l’heure sombre où seuls tous les medias, et peut-être aussi Monsieur et Madame Tout-le-Monde, osent proférer de tels brûlots ! Bravo d’avoir eu, vous aussi, ce courage de dire tout haut ce que tout le monde hurle déjà partout, à savoir que les « idéologies », c’est mauvais pour les sous.
Et puis, comme vous le laissez entendre, les dirigeants socialistes actuels, en France (et ailleurs), sont, il faut le dire, de dangereux révolutionnaires toujours prêts à défendre les travailleurs (quand viennent les élections). Sous des dehors patelins, leur chef François Hollande est sans doute le pire des conspirateurs. Son nom lui même n’est pas honnête. Est-il plutôt « François » ou plutôt « Hollande », il faudrait savoir. Français ou étranger, batave qui plus est ? Agent double à coup sûr. Il s’est rangé, comme tout le monde, sous la bannière généreuse de l’économie de marché, mais il ne chante pas assez haut les mérites de l’entreprise, des patrons, des bénéfices, de la multiplication des heures de travail, etc.
Ah ! L’idéal de la démocratie (on parle bien ici de « démocratie parlementaire bourgeoise » n’est-ce pas, et pas d’un système où le peuple aurait son mot à dire…), ce serait de laisser les travailleurs voter pendant que les patrons se contenteraient de diriger (« C’est le ‘marché’ qui décide » comme le dit si justement Saule). Ce serait à chacun selon ses marottes. Et Dieu pour tous.
Pourquoi s’acharner à vouloir préserver notre modèle européen où les protections sociales diverses amollissent les travailleurs ?
Prenons exemple sur les États-Unis, ce grand pays qui diffuse la « démocratie » dans le monde sans s’embarrasser de fioritures douteuses et de subtilités byzantines. Il y a 20 ans, les chefs d’entreprises y gagnaient 39 fois le salaire d’un travailleur moyen. Ce n’était pas vivable. Aujourd’hui, la situation des chefs s’améliore un tant soit peu puisque leurs revenus sont passés à 1000 fois ceux des travailleurs.
Non, je ne me suis pas trompé dans les zéros.
Mille fois.
Et l’info n’est pas donnée par une feuille de choux communiste, mais par Newsweek du 31 janvier, page 27, 3e colonne, ligne 50. L’ensemble de l’article vaut le déplacement d’ailleurs.
Allez Monsieur CCRider, comme vous le dites si bien « l’entreprise n’est peut-être pas un lieu aussi diabolique et néfaste que certains l’ont dit ».
Non, effectivement, pour les entrepreneurs, c’est même un lieu juteux.
Je voudrais aussi féliciter CCRider qui a eu l’immense courage de nous présenter ce livre qu’il dit « courageux ». C’est qu’il en faut de nos jours du courage pour exprimer une idée de droite libérale à l’heure sombre où seuls tous les medias, et peut-être aussi Monsieur et Madame Tout-le-Monde, osent proférer de tels brûlots ! Bravo d’avoir eu, vous aussi, ce courage de dire tout haut ce que tout le monde hurle déjà partout, à savoir que les « idéologies », c’est mauvais pour les sous.
Et puis, comme vous le laissez entendre, les dirigeants socialistes actuels, en France (et ailleurs), sont, il faut le dire, de dangereux révolutionnaires toujours prêts à défendre les travailleurs (quand viennent les élections). Sous des dehors patelins, leur chef François Hollande est sans doute le pire des conspirateurs. Son nom lui même n’est pas honnête. Est-il plutôt « François » ou plutôt « Hollande », il faudrait savoir. Français ou étranger, batave qui plus est ? Agent double à coup sûr. Il s’est rangé, comme tout le monde, sous la bannière généreuse de l’économie de marché, mais il ne chante pas assez haut les mérites de l’entreprise, des patrons, des bénéfices, de la multiplication des heures de travail, etc.
Ah ! L’idéal de la démocratie (on parle bien ici de « démocratie parlementaire bourgeoise » n’est-ce pas, et pas d’un système où le peuple aurait son mot à dire…), ce serait de laisser les travailleurs voter pendant que les patrons se contenteraient de diriger (« C’est le ‘marché’ qui décide » comme le dit si justement Saule). Ce serait à chacun selon ses marottes. Et Dieu pour tous.
Pourquoi s’acharner à vouloir préserver notre modèle européen où les protections sociales diverses amollissent les travailleurs ?
Prenons exemple sur les États-Unis, ce grand pays qui diffuse la « démocratie » dans le monde sans s’embarrasser de fioritures douteuses et de subtilités byzantines. Il y a 20 ans, les chefs d’entreprises y gagnaient 39 fois le salaire d’un travailleur moyen. Ce n’était pas vivable. Aujourd’hui, la situation des chefs s’améliore un tant soit peu puisque leurs revenus sont passés à 1000 fois ceux des travailleurs.
Non, je ne me suis pas trompé dans les zéros.
Mille fois.
Et l’info n’est pas donnée par une feuille de choux communiste, mais par Newsweek du 31 janvier, page 27, 3e colonne, ligne 50. L’ensemble de l’article vaut le déplacement d’ailleurs.
Allez Monsieur CCRider, comme vous le dites si bien « l’entreprise n’est peut-être pas un lieu aussi diabolique et néfaste que certains l’ont dit ».
Non, effectivement, pour les entrepreneurs, c’est même un lieu juteux.
Qui connaît l'adresse du fan-club de Bolcho? Je veux ma carte de membre à vie!!!
Et une petite "monarchie tempérée par l'assassinat"?
Et puis je vois qu'on tape encore sur les fonctionnaires, ces parasites de la société (savent-ils qu'il y en a qui arrivent au travail à 7h30 et en sortent le soir, après 18 h?? Des mutants, sûrement...).
Cela me fait penser à une blague que vous connaissez peut-être :
" - Moi, mon père, c'est l'homme le plus rapide du monde, il est conducteur de voitures de courses."
" - Ah, non pardon, l'homme le plus rapide du monde, c'est mon père, il est pilote de chasse ! "
" - Ah mes amis, vous n'y êtes pas du tout ! L'homme le plus rapide du monde, c'est mon père : tous les jours il devrait rentrer du travail à 17 heures, mais en fait, il est à la maison à 16 h, c'est un fonctionnaire ! "
Rassurez-vous, Mesdames, Messieurs les fonctionnaires, on peut suivant les circonstances, changer à volonté le métier suscité ! Ce qui compte, c'est que dans les assemblées, cette blague fait toujours rire.
J'ai pas compris Sibylline.
Ce qui m'inquiète, moi, c'est que le jours ou tout les employés seront devenu des "gagnants" (enfin des "battants" quoi), la sécurité sociale va en prendre un coup avec les congés maladie pour cause de "burn-out", sans compter toute les névroses dans l'environnement familial du battant aussi.
J'exagère bien sûr, mais c'est vrai que le terme battant ça m'exaspère toujours.
Quand je pense que je reprends le travail demain ! Après cinq mois de pause-carrière...
Mais sérieusement : ce qu'on peut faire ? Pas grand chose, mais quand même s'informer et ne pas accepter toute les idées reçues qui circulent. Allez c'est promis, je commande le livre Howard Zinn "Karl Marx, le retour" !
Ce qui m'inquiète, moi, c'est que le jours ou tout les employés seront devenu des "gagnants" (enfin des "battants" quoi), la sécurité sociale va en prendre un coup avec les congés maladie pour cause de "burn-out", sans compter toute les névroses dans l'environnement familial du battant aussi.
J'exagère bien sûr, mais c'est vrai que le terme battant ça m'exaspère toujours.
Quand je pense que je reprends le travail demain ! Après cinq mois de pause-carrière...
Mais sérieusement : ce qu'on peut faire ? Pas grand chose, mais quand même s'informer et ne pas accepter toute les idées reçues qui circulent. Allez c'est promis, je commande le livre Howard Zinn "Karl Marx, le retour" !
Quand je pense que je reprends le travail demain ! Après cinq mois de pause-carrière...
Oh Saule! Je penserai à toi demain. Je sens que ça va être dur!
Courage. Tu as en toi tout ce que tu as emmagasiné de ton périple. Tu es plus fort qu'eux.
Oh Saule! Je penserai à toi demain. Je sens que ça va être dur!
Courage. Tu as en toi tout ce que tu as emmagasiné de ton périple. Tu es plus fort qu'eux.
Et une petite "monarchie tempérée par l'assassinat"?
S'il vous plait Sibylline, explique et développe bièvement.
Au besoin, illustre par un exemple. ;-)
Monarchie tempérée par l'assassinat : dès qu'on n'est pas content d'une mesure, on guillotine le roi!! Ouais!!!!
Tout ce que je sais, c'est que les têtes vont rouler...
Tout ce que je sais, c'est que les têtes vont rouler...
Qui connaît l'adresse du fan-club de Bolcho? Je veux ma carte de membre à vie!!!
Je veux bien faire la révolution avec vous, mais à condition qu'en cas de victoire les bonnes places soient attribuées aux révolutionnaires.
Au terme d'une diatribe mémorable un Leader de syndicat avait conclu :
et à partir de maintenant, nous ne travaillerons plus qu'un seul jour par semaine !
Alors un syndiqué s'était levé et avait dit : d'accord, mais pas le lundi !
et à partir de maintenant, nous ne travaillerons plus qu'un seul jour par semaine !
Alors un syndiqué s'était levé et avait dit : d'accord, mais pas le lundi !
Je veux bien faire la révolution avec vous, mais à condition qu'en cas de victoire les bonnes places soient attribuées aux révolutionnaires.
Mais il faut que tu changes de nom avant car avec un nom pareil, tu pourrais vite te retrouver pendu au lampadaire... Tu veux pas être renommé Karl-Baptiste?? Ou Che-Jean?? Ou Vladimir Ilich Baptich?? Ça peut toujours aider, dans les temps troublés...
Comme Saule le dit très bien, c'est le marché qui décide ; plus simplement c'est le client.
Quand dans une imprimerie, par exemple, un client avec une poche gonflée par un gros porte-feuilles, tape sur la table en disant ; je veux mes imprimés pour demain ! Si le patron lui répond : c'est impossible, ici on applique les 35 heures, le client va ailleurs, et l'imprimerie pourra fermer boutique !
C'est triste mais c'est comme ça !
Quand dans une imprimerie, par exemple, un client avec une poche gonflée par un gros porte-feuilles, tape sur la table en disant ; je veux mes imprimés pour demain ! Si le patron lui répond : c'est impossible, ici on applique les 35 heures, le client va ailleurs, et l'imprimerie pourra fermer boutique !
C'est triste mais c'est comme ça !
Oh Saule! Je penserai à toi demain. Je sens que ça va être dur!
Courage. Tu as en toi tout ce que tu as emmagasiné de ton périple. Tu es plus fort qu'eux.
Merci. Et, oui, ça devrait aller. Et puis j'aurais plus de temps pour surfer sur critiqueslibres (comme je fais pas mal de support, j'ai un peu de temps entre les coups).
Vraiment 5 mois de pause ça fait du bien, je le recommande à tout ceux qui peuvent se le permettre. Et c'est sûr que les images du périple en tête ça aide.
Un traitement 1000 fois supérieur au salaire d'un travailleur ne peut que susciter des révolutions. C'est évident ! Ces chefs d'entreprise sont en train de creuser leur propre tombe.
Les travailleurs considèrent à juste titre que l'ennemi c'est le patron. Alors qu'un réalité, l'ennemi c'est la concurrence !
Je trouve qu'aucun traitement ne devrait dépasser le triple du salaire moyen de l'entreprise.
Si le salaire moyen est 50, le plus gros salaire serait 150 et pas plus.
En plus que ce serait justice, puisque à peu près personne ne vaut trois fois plus qu'un autre, ça créerait un sentiment de solidarité dans l'entreprise ; ce qui aujourd'hui fait fortement défaut.
(Bon, après ça, je vais m'appeler ; Vladimir Ilich Bapticht. Merci Benoit !)
Les travailleurs considèrent à juste titre que l'ennemi c'est le patron. Alors qu'un réalité, l'ennemi c'est la concurrence !
Je trouve qu'aucun traitement ne devrait dépasser le triple du salaire moyen de l'entreprise.
Si le salaire moyen est 50, le plus gros salaire serait 150 et pas plus.
En plus que ce serait justice, puisque à peu près personne ne vaut trois fois plus qu'un autre, ça créerait un sentiment de solidarité dans l'entreprise ; ce qui aujourd'hui fait fortement défaut.
(Bon, après ça, je vais m'appeler ; Vladimir Ilich Bapticht. Merci Benoit !)
Un traitement 1000 fois supérieur au salaire d'un travailleur ne peut que susciter des révolutions. C'est évident ! Ces chefs d'entreprise sont en train de creuser leur propre tombe.
Tu n'as qu'à lire "Une histoire populaire des Etats-Unis" d'Howard Zinn et tu verras que les patrons sont des gens bourrés de ressource et malins comme des singes! Depuis près de trois cents ans, les inégalités sont manifestes aux USA et pourtant, rien n'a changé. Les patrons ont su gérer tous les virages et ils ne vont pas s'arrêter en si bon chemin... La révolution?? Bah, ce n'est pas demain la veille, voire jamais...
Et une petite "monarchie tempérée par l'assassinat"?
Apparemment, cela demande des sous-titres.
Il s'agit d'une citation de Stendhal qui disait que cela était sans doute la meilleure forme de gouvernement.
Citation exacte: "monarchie absolue, tempérée par l'assassinat."
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