Pour moi se serait :
-Moulin Rouge
-Le Seigneurs des Anneaux
-Pirates des Caraibes
-Retour à Cold Mountain
-Le 5° élément
-Troie
-Titanic
-Mon beau père et moi
-Le père de la mariée
-Horizon lointain
-Grease
-Moulin Rouge
-Le Seigneurs des Anneaux
-Pirates des Caraibes
-Retour à Cold Mountain
-Le 5° élément
-Troie
-Titanic
-Mon beau père et moi
-Le père de la mariée
-Horizon lointain
-Grease
Bonjour FightingIntellectual (je ne sais pas si ce sera le jour ou la nuit quand tu liras ce qui suit)
Suite à ta liste de film précédente, pour «Dead Man » je suis d’accord à 100/100. Juste un petit commentaire, signalons quand même la musique de Neil Young, créée spécialement pour ce film. J’ajoute un lien pour une conférence de presse de Jarmush au festival de Cannes.
http://liberation.fr/page.php/…
Suite à ta liste de film précédente, pour «Dead Man » je suis d’accord à 100/100. Juste un petit commentaire, signalons quand même la musique de Neil Young, créée spécialement pour ce film. J’ajoute un lien pour une conférence de presse de Jarmush au festival de Cannes.
http://liberation.fr/page.php/…
Bonjour FightingIntellectual (je ne sais pas si ce sera le jour ou la nuit quand tu liras ce qui suit)
Suite à ta liste de film précédente, pour «Dead Man » je suis d’accord à 100/100. Juste un petit commentaire, signalons quand même la musique de Neil Young, créée spécialement pour ce film. J’ajoute un lien pour une conférence de presse de Jarmush au festival de Cannes.
http://liberation.fr/page.php/…
Zut! Bien sûr! Comment ai-je pu même oublier de le mentionner(en passant il est 11h du soir ici). La musique de Young y est dythirambique et selon moi rajoute une dimension au film, comme une voix off qui n'as pas besoin des mots. Sur le DVD on retrouve le vidéoclip de la chanson et chaque fois que je l'écoute le poil me dresse sur les bras. Merci pour le lien
Dans le désordre:
-Il était une fois en Amerique
-Il était une fois dans l' ouest
-Le bon, la brute et le truand
-Pulp Fiction
-Les affranchis
-L' impasse
-Hana Bi
-Edward aux mains d' argent
-C' est arrivé près de chez vous
-Apocalypse Now
-Il était une fois en Amerique
-Il était une fois dans l' ouest
-Le bon, la brute et le truand
-Pulp Fiction
-Les affranchis
-L' impasse
-Hana Bi
-Edward aux mains d' argent
-C' est arrivé près de chez vous
-Apocalypse Now
Peuvent varier selon l'humeur du temps
- " Roma " de Frederico Fellini, le tout premier sans aucun doute.
- " War Games " de John Badham, au début de l'informatique mais quel savoir-faire chez cet ado.
- " Nikita " de Luc Besson. Pas mal le fille ...
- " Boys dont cry " de Kemberly Peirce. A tomber dans les pommes. ( sic ! )
- " Cours, Lola, Cours " de ..., film allemand, actrice remarquable, scénario déjanté.
- " Ben Jip " du coréen Kim Ki-Duk, presque muet, une sorte d' antipôle de Woody Allen ( dont j'adore les écrits )
Encore dans vos salles, peut-être. Alors courez le voir !
En voici la fiche. Si vous voulez en voir la bande-annonce, cliquez sur Trailer :
http://www.sonyclassics.com/3iron/frame.html
Et puis tant d'autres dont " Léon ", " American Beauty ", " L'important c'est d'aimer ", ....
- " Roma " de Frederico Fellini, le tout premier sans aucun doute.
- " War Games " de John Badham, au début de l'informatique mais quel savoir-faire chez cet ado.
- " Nikita " de Luc Besson. Pas mal le fille ...
- " Boys dont cry " de Kemberly Peirce. A tomber dans les pommes. ( sic ! )
- " Cours, Lola, Cours " de ..., film allemand, actrice remarquable, scénario déjanté.
- " Ben Jip " du coréen Kim Ki-Duk, presque muet, une sorte d' antipôle de Woody Allen ( dont j'adore les écrits )
Encore dans vos salles, peut-être. Alors courez le voir !
En voici la fiche. Si vous voulez en voir la bande-annonce, cliquez sur Trailer :
http://www.sonyclassics.com/3iron/frame.html
Et puis tant d'autres dont " Léon ", " American Beauty ", " L'important c'est d'aimer ", ....
Je vais me laisser un peu aller et en citer 20 pour ne pas rester sur ma faim;)
1. Blade Runner (Ridley Scott) (1982)
2. Pulp Fiction (Quentin Tarantino) (1994)
3. Rashomon (Akira Kurosawa) (1950)
4. Le Parrain (Francis Ford Coppola) (1972)
5. Il était une fois en Amérique (Sergio Leone) (1984)
6. Apocalypse Now (Francis Ford Coppola) (1979)
7. Raging Bull (Martin Scorcese) (1980)
8. Heat (Michael Mann) (1996)
9. 2001, l'odyssée de l'espace (Stanley Kubrick) (1968)
10. Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone) (1968)
11. Vol au-dessus d'un nid de coucou (Milos Forman) (1975)
12. Taxi Driver (Martin Scorcese) (1975)
13. Scarface (Brian De Palma) (1983)
14. Million Dollar Baby (Clint Eastwood) (2004)
15. Le Parrain 2 (Francis Ford Coppola) (1974)
16. Kagemusha, l'ombre du guerrier (Akira Kurosawa) (1980)
17. Brazil (Terry Gilliam) (1985)
18. Barry Lyndon (Stanley Kubrick) (1975)
19. La nuit du chasseur (Charles Laughton) (1955)
20. L'impasse (Brian De Palma) (1993)
1. Blade Runner (Ridley Scott) (1982)
2. Pulp Fiction (Quentin Tarantino) (1994)
3. Rashomon (Akira Kurosawa) (1950)
4. Le Parrain (Francis Ford Coppola) (1972)
5. Il était une fois en Amérique (Sergio Leone) (1984)
6. Apocalypse Now (Francis Ford Coppola) (1979)
7. Raging Bull (Martin Scorcese) (1980)
8. Heat (Michael Mann) (1996)
9. 2001, l'odyssée de l'espace (Stanley Kubrick) (1968)
10. Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone) (1968)
11. Vol au-dessus d'un nid de coucou (Milos Forman) (1975)
12. Taxi Driver (Martin Scorcese) (1975)
13. Scarface (Brian De Palma) (1983)
14. Million Dollar Baby (Clint Eastwood) (2004)
15. Le Parrain 2 (Francis Ford Coppola) (1974)
16. Kagemusha, l'ombre du guerrier (Akira Kurosawa) (1980)
17. Brazil (Terry Gilliam) (1985)
18. Barry Lyndon (Stanley Kubrick) (1975)
19. La nuit du chasseur (Charles Laughton) (1955)
20. L'impasse (Brian De Palma) (1993)
Voici des films québécois intéressants et récents:
Gaz Bar Blues (relations père/fils) ****
La Grande Séduction (Village isolé des grands centres) ***
Crazy (sur l'homosexualité) ****
La Neuvaine (sur les guérisons de l'âme) ****
L'Horloge biologique (l'homme de la trentaine) ** et demi
À ne pas voir
Nouvelle-France
Aurore,
Les Boys (C'est amusant quand même)
L'Idole (quelque chose)
Gaz Bar Blues (relations père/fils) ****
La Grande Séduction (Village isolé des grands centres) ***
Crazy (sur l'homosexualité) ****
La Neuvaine (sur les guérisons de l'âme) ****
L'Horloge biologique (l'homme de la trentaine) ** et demi
À ne pas voir
Nouvelle-France
Aurore,
Les Boys (C'est amusant quand même)
L'Idole (quelque chose)
Impossible de faire le tri, chacun de ses films devenant mon préféré lorsque je le vois !
- Le Sens de la Vie des Monty Pythons
- Lost in Translation de Sofia Coppola
- In the Mood for Love et 2046 de Wong Kar Wai (à quelques pubs pour LG près)
- Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki
- L'Empire Contre Attaque de Georges Lucas
Mais surtout les trois derniers films de Mamoru Oshii à savoir l'animé Ghost in the Shell, le crépusculaire Avalon (le premier film à traiter du virtuel de façon vraiment pertinente) et le non moins mélancolique Innocence dont les distributeurs occidentaux ont vraiment tirés une des plus mauvaises et trompeuses campagne de promotion jamais vues ! (entre autre, l'affiche à la "Rambo")
Un cran en dessous il y a : Underground, Amadeus, Rimbaud/Verlaine, les autres Monty Pythons, la première moitié du premier Matrix...
Dans les films à venir, j'attend avec une impatience teintée de méfiance "Sympathy for Lady Vengeance", le dernier Park Chan-Wook qui a reçu récemment des critiques très contradictoires.
- Le Sens de la Vie des Monty Pythons
- Lost in Translation de Sofia Coppola
- In the Mood for Love et 2046 de Wong Kar Wai (à quelques pubs pour LG près)
- Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki
- L'Empire Contre Attaque de Georges Lucas
Mais surtout les trois derniers films de Mamoru Oshii à savoir l'animé Ghost in the Shell, le crépusculaire Avalon (le premier film à traiter du virtuel de façon vraiment pertinente) et le non moins mélancolique Innocence dont les distributeurs occidentaux ont vraiment tirés une des plus mauvaises et trompeuses campagne de promotion jamais vues ! (entre autre, l'affiche à la "Rambo")
Un cran en dessous il y a : Underground, Amadeus, Rimbaud/Verlaine, les autres Monty Pythons, la première moitié du premier Matrix...
Dans les films à venir, j'attend avec une impatience teintée de méfiance "Sympathy for Lady Vengeance", le dernier Park Chan-Wook qui a reçu récemment des critiques très contradictoires.
Ah, et j'ai oublié de mentionner les films d'Almodovar, "Femmes au bord de la crise de nerfs" ou "Parle avec elle"
D’accord, j’ai déjà embêté le monde avec ça sur un autre fil, il y a pas mal de temps, mais j’en remets une couche pour descendre « Fight Club » de son piédestal. N’y voyez pas la volonté de critiquer ceux qui l’ont aimé mais plutôt l’envie de casser l’étrange pouvoir consensuel d’un film qui se prétend contestataire. Et puis, ce qui suit a été rédigé il y a pas mal de temps : j’avoue avoir un peu oublié le film depuis. C’est tout ce qu’il mérite d’ailleurs…
Je sais bien que "Fight club" tient du film-culte avec tout ce que la relation au culte comporte d'irrationnel, mais honnêtement, sous des dehors provocs et soi-disant profondément philosophiques (???), je trouve que c'est un navet pour jeunes. La "critique de la société de consommation" dans ce film, c'est à crever de rire; allez, comme film comique, ça tient peut-être la route...
Une esthétique de pub au service d'un propos de jeu vidéo à tendances droite extrême. Une rhétorique philosophico-politique d'une indigence enfantine. Si la contestation politique ou sociétale c'est ça, le gaucho que je suis trouve soudain la bourgeoisie pleine d’intelligence en comparaison... Un "retournement" final qui tente vainement de glisser un doute dans cette certitude: c'est un navet pour adolescents à la virilité encore inquiète.
Il n'y a aucun mépris lorsque je dis ça. On peut aimer des navets (j'en aime de fort nombreux pour des raisons diverses). Etre un adolescent n'est pas une tare, loin de là. Et avoir une "virilité encore inquiète" est normal à cet âge où l'on est en questionnement sur soi-même.
Mais surtout, un film, même médiocre, peut marquer une génération qui se cherche, tout simplement parce qu'il rassemble des "signes de reconnaissance générationnels". Je vais prendre deux exemples qui permettront de me situer, en toute modestie, dans la génération qui est la mienne: "If..." (Lindsay Anderson, 1968) et "Zabriskie Point (Antonioni, 1970). Ces deux films sont également une critique "jeuniste", "générationnelle", de la société capitaliste, comme « Fight Club » tend à l’être. Ils sont, eux aussi, peu argumentés politiquement mais très spectaculaires sur le plan de la violence sociale affichée. Et je serais bien incapable de les situer sur une échelle des valeurs. Pourquoi? Parce qu'ils ont été conçus pour toucher MA génération d'adolescents. Et donc, je n'ai pas de recul critique (pas plus que les jeunes d'aujourd'hui n'en ont pour Fight Club).
Le cinéma est le plus grand marqueur de générations parce qu'il travaille sur les fantasmes, sur les représentations et que son abord est facile et rapide. Il est donc une machine à produire des modèles. Chaque génération est marquée par son cinéma. Et elle marque son cinéma. C'est dialectique évidemment. Sans doute que les très grands films sont (comme dans les autres domaines artistiques) ceux qui parviennent à faire sens pour des générations successives. C'est tout.
La question de savoir s'il y a ou non volonté de donner un contenu fasciste à ce film est pour moi secondaire. Je trouve que le résultat - même s'il est involontaire - est de nature à faire penser à une rhétorique d'extrême-droite. Si l’on est généreux, on y verra une dénonciation du capitalisme mais ce n'est pas incompatible avec une démarche populiste d'extrême-droite. Ce qui est par contre radicalement incompatible avec une critique de gauche de la société, c'est l'usage qui est fait de la violence dans ce film. L'extrême-gauche va présenter la violence publique, politique, militante, sous un jour favorable, mais jamais la violence privée qui sera au contraire fustigée. Or, « Fight Club », c'est la mise en avant de cette violence privée comme productrice de sens. Elle permettrait notamment de prendre conscience de soi-même comme individu ! Il n'est pas mauvais, en effet, de réagir en individu pour échapper aux efforts de manipulation de la bourgeoisie, mais une rhétorique de gauche mettra aussi, sinon surtout, l'accent sur la nécessité de réagir en tant que membre d'un groupe, d’une classe sociale.
Ce film aurait plu aux militants nazis des années 30; je ne dis pas que c'était le but, mais c'est le résultat.
Je sais bien que "Fight club" tient du film-culte avec tout ce que la relation au culte comporte d'irrationnel, mais honnêtement, sous des dehors provocs et soi-disant profondément philosophiques (???), je trouve que c'est un navet pour jeunes. La "critique de la société de consommation" dans ce film, c'est à crever de rire; allez, comme film comique, ça tient peut-être la route...
Une esthétique de pub au service d'un propos de jeu vidéo à tendances droite extrême. Une rhétorique philosophico-politique d'une indigence enfantine. Si la contestation politique ou sociétale c'est ça, le gaucho que je suis trouve soudain la bourgeoisie pleine d’intelligence en comparaison... Un "retournement" final qui tente vainement de glisser un doute dans cette certitude: c'est un navet pour adolescents à la virilité encore inquiète.
Il n'y a aucun mépris lorsque je dis ça. On peut aimer des navets (j'en aime de fort nombreux pour des raisons diverses). Etre un adolescent n'est pas une tare, loin de là. Et avoir une "virilité encore inquiète" est normal à cet âge où l'on est en questionnement sur soi-même.
Mais surtout, un film, même médiocre, peut marquer une génération qui se cherche, tout simplement parce qu'il rassemble des "signes de reconnaissance générationnels". Je vais prendre deux exemples qui permettront de me situer, en toute modestie, dans la génération qui est la mienne: "If..." (Lindsay Anderson, 1968) et "Zabriskie Point (Antonioni, 1970). Ces deux films sont également une critique "jeuniste", "générationnelle", de la société capitaliste, comme « Fight Club » tend à l’être. Ils sont, eux aussi, peu argumentés politiquement mais très spectaculaires sur le plan de la violence sociale affichée. Et je serais bien incapable de les situer sur une échelle des valeurs. Pourquoi? Parce qu'ils ont été conçus pour toucher MA génération d'adolescents. Et donc, je n'ai pas de recul critique (pas plus que les jeunes d'aujourd'hui n'en ont pour Fight Club).
Le cinéma est le plus grand marqueur de générations parce qu'il travaille sur les fantasmes, sur les représentations et que son abord est facile et rapide. Il est donc une machine à produire des modèles. Chaque génération est marquée par son cinéma. Et elle marque son cinéma. C'est dialectique évidemment. Sans doute que les très grands films sont (comme dans les autres domaines artistiques) ceux qui parviennent à faire sens pour des générations successives. C'est tout.
La question de savoir s'il y a ou non volonté de donner un contenu fasciste à ce film est pour moi secondaire. Je trouve que le résultat - même s'il est involontaire - est de nature à faire penser à une rhétorique d'extrême-droite. Si l’on est généreux, on y verra une dénonciation du capitalisme mais ce n'est pas incompatible avec une démarche populiste d'extrême-droite. Ce qui est par contre radicalement incompatible avec une critique de gauche de la société, c'est l'usage qui est fait de la violence dans ce film. L'extrême-gauche va présenter la violence publique, politique, militante, sous un jour favorable, mais jamais la violence privée qui sera au contraire fustigée. Or, « Fight Club », c'est la mise en avant de cette violence privée comme productrice de sens. Elle permettrait notamment de prendre conscience de soi-même comme individu ! Il n'est pas mauvais, en effet, de réagir en individu pour échapper aux efforts de manipulation de la bourgeoisie, mais une rhétorique de gauche mettra aussi, sinon surtout, l'accent sur la nécessité de réagir en tant que membre d'un groupe, d’une classe sociale.
Ce film aurait plu aux militants nazis des années 30; je ne dis pas que c'était le but, mais c'est le résultat.
A quand un Critiques Libres dédié au cinéma ? :p
"Ce film aurait plu aux militants nazis des années 30; je ne dis pas que c'était le but, mais c'est le résultat."
Jamais lu une connerie pareille.
Jamais lu une connerie pareille.
"Ce film aurait plu aux militants nazis des années 30; je ne dis pas que c'était le but, mais c'est le résultat."
Jamais lu une connerie pareille.
Jamais lu une connerie pareille.
pour moi ce sera(ne pas tenir compte de 'lordre)
duel de spilberg
se souvenir des jolies choses.
la vie est belle.
midnigh express.
psychose de hitchckoh
sueurs froides de hitchckok.
swinwing pool.
l'adversaire.
le pianiste.
la fille de ketung.
duel de spilberg
se souvenir des jolies choses.
la vie est belle.
midnigh express.
psychose de hitchckoh
sueurs froides de hitchckok.
swinwing pool.
l'adversaire.
le pianiste.
la fille de ketung.
Pour moi, y en a vraiment trois qui me sautent au visage dans des genres très differents d'ailleurs:
delivrance de john boorman
elephant man de david lynch
sur la route de madison de eastwood clint
a la fin de chacun d'eux j'étais sur le cul !
delivrance de john boorman
elephant man de david lynch
sur la route de madison de eastwood clint
a la fin de chacun d'eux j'étais sur le cul !
bonjour, je viens d'arriver sur le forum.
J'ai aimé,
Avril Enchanté de ?
Le Patchwork de la vie de Moorhouse
Le diner de con
Babe 1
Train de vie
Chocolat
Barry Lindon
Les liaisons dangereuses
Le festin de Babette
deux heures - le quart avant J Christ
La vie est belle
J'ai aimé,
Avril Enchanté de ?
Le Patchwork de la vie de Moorhouse
Le diner de con
Babe 1
Train de vie
Chocolat
Barry Lindon
Les liaisons dangereuses
Le festin de Babette
deux heures - le quart avant J Christ
La vie est belle
Bonjour,
Pour ma part, c'est plutôt varié mais je garantie que j'exècre le genre : horreur.
1. Wonderful Days
Réalisé par Kim Moon-Saeng, film d'animation coréen.
Magnifique! Sublime! Grandiose! Les dessins sont tellement beaux et l'histoire est recherchée. A voir absolument
2. Harry Potter - A l'Ecole des Sorciers
3. Million dollar baby
De Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Morgan Freeman.
4. Underworld
Réalisé par Len Wiseman
Avec Kate Beckinsale, Scott Speedman, Bill Nighy
5. Le Château ambulant
De Hayao Miyazaki, avec Chieko Baisho, Takuya Kimura.
6. Le Cinquième Element
Réalisé par Luc Besson
Avec Bruce Willis, Milla Jovovich
7. Le Roi Lion
Un disney culte !
8. Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl
9. Princesse Mononoké
10. Le Voyage de Chihiro
Et tous les Miyazaki !! Absolument tous.. :p Si vous ne le connaissez pas.. shame on you lol ^^
Pour ma part, c'est plutôt varié mais je garantie que j'exècre le genre : horreur.
1. Wonderful Days
Réalisé par Kim Moon-Saeng, film d'animation coréen.
Magnifique! Sublime! Grandiose! Les dessins sont tellement beaux et l'histoire est recherchée. A voir absolument
2. Harry Potter - A l'Ecole des Sorciers
3. Million dollar baby
De Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Morgan Freeman.
4. Underworld
Réalisé par Len Wiseman
Avec Kate Beckinsale, Scott Speedman, Bill Nighy
5. Le Château ambulant
De Hayao Miyazaki, avec Chieko Baisho, Takuya Kimura.
6. Le Cinquième Element
Réalisé par Luc Besson
Avec Bruce Willis, Milla Jovovich
7. Le Roi Lion
Un disney culte !
8. Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl
9. Princesse Mononoké
10. Le Voyage de Chihiro
Et tous les Miyazaki !! Absolument tous.. :p Si vous ne le connaissez pas.. shame on you lol ^^
Bonne idée de passer de la littérature au cinéma puisque l'un s'inspire de l'autre.
1- Les Lumières de la ville (1928) Chaplin. Le cinéma est grand et Chaplin est son prophète. Dans ce film se glissent un sourire et peut-être une larme. La scène finale est d'une magnificence incommensurable, j'en pleure à chaque fois.
2- Citizen Kane Orson Welles. L'Autre grand du 7è art. Welles touche les cieux avec ce film qui décrit les vicissitudes de l'âme humaine, grandeur et décadences de Randolph Hearst, c'était vraiment osé à l'époque (imaginez Tim burton réaliser un film sur Bill Gates et vous approcherez du choc qu'ont vécu les cinéphiles des années 40.
3- Le voleur de bicyclette - De Sica. C'est sans doute l'âge d'or du cinéma italien qui offre au public tout l'humanisme des néoréalistes. Décor naturel et acteurs amateurs servant une histoire simple sont les ingrédients de ce mouvement cinématographique malheureusement sans suite dans notre époque contemporaine.
4- La nuit du Chasseur. La violence de Robert Mitchum en pasteur prêchant l'amour et la haine (comme le prouvent les tatouages sur ses mains) et l'innocence des deux enfants dans cette scène d'anthologie (reprise l'année dernière dans le film "L'été où j'ai grandi") où l'on voit les deux minots courir le long d'une rivière avec en gros plan des animaux effrayants.
5- Elephant man (1981) Lynch. Le réalisateur hors norme nous saisit le coeur et les trippes avec cette ode à la tolérance d'après l'histoire vraie de John Merrick. C'est un vrai éloge à la différence (un peu comme le Garçon aux cheveux verts de Losey). Le noir est blanc est approprié pour rehausser le ton lugubre du Londres victorien.
6- Nous nous sommes tant aimés (Scola). Vittorio Gassmann était un immense acteur, et les années 70 faisaient briller le cinéma italien intensément comme une luciole qui sait sa mort prochaine. L'amitié entre deux hommes et une femme qui traverse le temps glorifie ce sentiment plus que tout autre film.
7- Parle avec elle (2002) Almodovar. L'amour offert par le héros à la femme comateuse est tellement vrai, tellement bien joué, que l'on est pas surpris par son pouvoir de guérison. Les femmes sont tellement belles et tellement aimées dans ce film qu'on désirerait en rencontrer de telles pour insuffler un peu force dans notre vie.
8 - La dentellière (1976) Goretta. Isabelle Huppert est la meilleure actrice de ces trente dernières années, son talent est inaltérable et n'a pas connu de traversée du désert contrairement à tant d'autres. Ici, elle incarne la souffrance de l'amour blessé, de la femme délaissée et incomprise. Le mépris de l'esprit cartésien masculin face à la pureté du sentiment féminin. La scène finale jouée par le héros déstabilisé par l'anéantissement de sa compagne internée en HP est bouleversante.
9 - M le maudit - Fritz Lang. Ce film prophétique révèle la violence du peuple allemand des années 30, on tremble à la vue des hommes aux manteaux de cuir dans la scène du jugement qui préfigure ce que sera la Gestapo. Peter Lorr est fascinant tant il "est" le mal.
10 - Il était une fois en Amérique (Leone) - Du grand cinéma, dans ce film fleuve qui relate l'histoire d'une famille de mafieux profitant de la prohibition et descendant jusqu'au ptréfond de l'inhumain.
Il y a tant d'autres films que j'aimerais évoquer : La guerre des étoiles (de la grande SF), Blade runner, Brazil, La peau douce, Les 400 coups, l'homme qui aimait les femmes et cette phrase sublime : "les jambes des femmes sont comme des compas qui arpentent la Terre pour lui donner son équilibre et son harmonie", La cérémonie, Land and Freedom, Goodbye Lenine, Vas, vis et deviens, La pluie noire, Le roi et l'oiseau, Casque d'or, les Diaboliques...
1- Les Lumières de la ville (1928) Chaplin. Le cinéma est grand et Chaplin est son prophète. Dans ce film se glissent un sourire et peut-être une larme. La scène finale est d'une magnificence incommensurable, j'en pleure à chaque fois.
2- Citizen Kane Orson Welles. L'Autre grand du 7è art. Welles touche les cieux avec ce film qui décrit les vicissitudes de l'âme humaine, grandeur et décadences de Randolph Hearst, c'était vraiment osé à l'époque (imaginez Tim burton réaliser un film sur Bill Gates et vous approcherez du choc qu'ont vécu les cinéphiles des années 40.
3- Le voleur de bicyclette - De Sica. C'est sans doute l'âge d'or du cinéma italien qui offre au public tout l'humanisme des néoréalistes. Décor naturel et acteurs amateurs servant une histoire simple sont les ingrédients de ce mouvement cinématographique malheureusement sans suite dans notre époque contemporaine.
4- La nuit du Chasseur. La violence de Robert Mitchum en pasteur prêchant l'amour et la haine (comme le prouvent les tatouages sur ses mains) et l'innocence des deux enfants dans cette scène d'anthologie (reprise l'année dernière dans le film "L'été où j'ai grandi") où l'on voit les deux minots courir le long d'une rivière avec en gros plan des animaux effrayants.
5- Elephant man (1981) Lynch. Le réalisateur hors norme nous saisit le coeur et les trippes avec cette ode à la tolérance d'après l'histoire vraie de John Merrick. C'est un vrai éloge à la différence (un peu comme le Garçon aux cheveux verts de Losey). Le noir est blanc est approprié pour rehausser le ton lugubre du Londres victorien.
6- Nous nous sommes tant aimés (Scola). Vittorio Gassmann était un immense acteur, et les années 70 faisaient briller le cinéma italien intensément comme une luciole qui sait sa mort prochaine. L'amitié entre deux hommes et une femme qui traverse le temps glorifie ce sentiment plus que tout autre film.
7- Parle avec elle (2002) Almodovar. L'amour offert par le héros à la femme comateuse est tellement vrai, tellement bien joué, que l'on est pas surpris par son pouvoir de guérison. Les femmes sont tellement belles et tellement aimées dans ce film qu'on désirerait en rencontrer de telles pour insuffler un peu force dans notre vie.
8 - La dentellière (1976) Goretta. Isabelle Huppert est la meilleure actrice de ces trente dernières années, son talent est inaltérable et n'a pas connu de traversée du désert contrairement à tant d'autres. Ici, elle incarne la souffrance de l'amour blessé, de la femme délaissée et incomprise. Le mépris de l'esprit cartésien masculin face à la pureté du sentiment féminin. La scène finale jouée par le héros déstabilisé par l'anéantissement de sa compagne internée en HP est bouleversante.
9 - M le maudit - Fritz Lang. Ce film prophétique révèle la violence du peuple allemand des années 30, on tremble à la vue des hommes aux manteaux de cuir dans la scène du jugement qui préfigure ce que sera la Gestapo. Peter Lorr est fascinant tant il "est" le mal.
10 - Il était une fois en Amérique (Leone) - Du grand cinéma, dans ce film fleuve qui relate l'histoire d'une famille de mafieux profitant de la prohibition et descendant jusqu'au ptréfond de l'inhumain.
Il y a tant d'autres films que j'aimerais évoquer : La guerre des étoiles (de la grande SF), Blade runner, Brazil, La peau douce, Les 400 coups, l'homme qui aimait les femmes et cette phrase sublime : "les jambes des femmes sont comme des compas qui arpentent la Terre pour lui donner son équilibre et son harmonie", La cérémonie, Land and Freedom, Goodbye Lenine, Vas, vis et deviens, La pluie noire, Le roi et l'oiseau, Casque d'or, les Diaboliques...
1. Citizen Kane de Orson Wells
2. La bon, la brute et le truand de Sergio Leone
3. La Ligne Rouge de Terrence Mannick (mention spéciale aux musiques!)
4. Lord Of War de Andrew Niccol
5. Mulholland Drive de David Lynch
6. Full Metal jacket de Stanley Kubrick
7. The Big lebowski des frères Cohen
8. 2001 A Space Odyssey de Stanley Kubrick
9. Princess Mononoké de Miyazaki
10. Old Boy de Park
2. La bon, la brute et le truand de Sergio Leone
3. La Ligne Rouge de Terrence Mannick (mention spéciale aux musiques!)
4. Lord Of War de Andrew Niccol
5. Mulholland Drive de David Lynch
6. Full Metal jacket de Stanley Kubrick
7. The Big lebowski des frères Cohen
8. 2001 A Space Odyssey de Stanley Kubrick
9. Princess Mononoké de Miyazaki
10. Old Boy de Park
Mes dix films préférés:
MULHOLLAND DRIVE
PSYCHOSE
OLD BOY
LE PARRAIN (les trois, que je compte comme un seul)
SHINING
KILL BILL ( 1et 2)
PULP FICTION
MEMENTO
TWIN PEAKS (FIRE WALK WITH ME)
SEVEN
J'ai quand meme envie de rajouter:
FENETRE SUR COUR
2001 L'ODYSSEE DE l'ESPACE
RASHOMON
L'IMPASSE
LOST HIGHWAY
THE THING
21 GRAMMES
LA MORT AUX TROUSSES
SCARFACE
Et je m'arrete là ayant déjà dépassé le quota.
MULHOLLAND DRIVE
PSYCHOSE
OLD BOY
LE PARRAIN (les trois, que je compte comme un seul)
SHINING
KILL BILL ( 1et 2)
PULP FICTION
MEMENTO
TWIN PEAKS (FIRE WALK WITH ME)
SEVEN
J'ai quand meme envie de rajouter:
FENETRE SUR COUR
2001 L'ODYSSEE DE l'ESPACE
RASHOMON
L'IMPASSE
LOST HIGHWAY
THE THING
21 GRAMMES
LA MORT AUX TROUSSES
SCARFACE
Et je m'arrete là ayant déjà dépassé le quota.
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