Salut,
je me joins également à toutes ces voix pour regretter le départ de Patman. Bien sur, on ne se connaissait pas énormément mais au détour de quelques échanges personnels et grâce à ses avis toujours éclairés, il faisait vraiment partie de ceux qui comptent le plus pour moi sur ce site.
Alors merci Patman, _Merde_ pour la suite comme on dit chez moi, et j'espère bien qu'on te reverras malgré tout ...
Tophiv
je me joins également à toutes ces voix pour regretter le départ de Patman. Bien sur, on ne se connaissait pas énormément mais au détour de quelques échanges personnels et grâce à ses avis toujours éclairés, il faisait vraiment partie de ceux qui comptent le plus pour moi sur ce site.
Alors merci Patman, _Merde_ pour la suite comme on dit chez moi, et j'espère bien qu'on te reverras malgré tout ...
Tophiv
Dis-nous tout, Patman Tu coules tel un sous-marin dis-tu. Laisse-moi deviner .. Hum. Tu pars en croisière sur les mers ? Pour très très longtemps dis-tu.. Sauf si tu as le pied super marin, je suppose que tu vas quand même poser tes slashs sur la terre ferme ? Il paraît que même dans le village le plus isolé d'Iran, il y a un accès à Internet.. Sans PC dis-tu .. Quelle est cette île enchanteresse qui va te retenir ? Vous ne me reverrez peut-être jamais, dis-tu .Quel est donc ce bout du monde, plus loin que le pays d'hiver de Libris québécis ou de Vigno ?
Ce bout du monde, Darius, ça s'appelle le chômage.
Je regrette le départ de Patman, celui de Pétoman également. Même si je n'aie pas eu l'occasion de faire connaissance avec eux directement. A travers leurs critiques et leurs interventions (et celles des autres, bien sur) j'aie eu l'impression d'apprendre beaucoup.
Je regrette que la première page soit toujours la même.
Je regrette de ne pas savoir qui sont les Webmasters et qu'ils n'interviennent pas dans les discussions, ne serait ce que pour échanger des avis critiques sur le site, sur son avenir, son évolution éventuel.
Je regrette que la nouvelle formule de CL tarde à arriver (à moins que cela soit prévu pour le 4ème jeudi de novembre)
Je regrette que beaucoup de critiqueurs puisse avoir l'impression que CL soit en perte de vitesse, car cela laisse entrevoir des désaffections futures.
Je ne regrette pas d'avoir découvert CL, en août 2002.
Je ne regrette pas de partager ma passion pour la littérature en _publiant_ des critiques sur CL. Critiques qui sont le fruit de beaucoup d'effort pour les rendre les plus attrayantes possibles et qu'elles puissent voyager jusqu'à ce qu'elles rencontrent les futurs lecteurs des ouvrages concernés. Je sais que j'ai encore beaucoup de progrès à faire pour que mes critiques soient à la hauteur des Maîtres Es Critiques qui rôdent sur ce site.
Et ça non plus, je ne le regrette pas.
Je regrette que la première page soit toujours la même.
Je regrette de ne pas savoir qui sont les Webmasters et qu'ils n'interviennent pas dans les discussions, ne serait ce que pour échanger des avis critiques sur le site, sur son avenir, son évolution éventuel.
Je regrette que la nouvelle formule de CL tarde à arriver (à moins que cela soit prévu pour le 4ème jeudi de novembre)
Je regrette que beaucoup de critiqueurs puisse avoir l'impression que CL soit en perte de vitesse, car cela laisse entrevoir des désaffections futures.
Je ne regrette pas d'avoir découvert CL, en août 2002.
Je ne regrette pas de partager ma passion pour la littérature en _publiant_ des critiques sur CL. Critiques qui sont le fruit de beaucoup d'effort pour les rendre les plus attrayantes possibles et qu'elles puissent voyager jusqu'à ce qu'elles rencontrent les futurs lecteurs des ouvrages concernés. Je sais que j'ai encore beaucoup de progrès à faire pour que mes critiques soient à la hauteur des Maîtres Es Critiques qui rôdent sur ce site.
Et ça non plus, je ne le regrette pas.
Le site reste vaillant et si je n'ai guère
pondu de critiques depuis quelque temps, c'est
pour diverses raisons dont la paresse.
Il m'arrive assez souvent
de cliquer sur _ auteur_ et de parcourir
les critiques d'un de mes auteurs préférés. Cela est un gros avantage du site
qui devient réellement fourni , une mini-bibliothèque en somme.
Il m'arrive encore plus souvent
de cliquer sur un auteur lorsque je m'apprête à lire ou à rédiger une critique de cet auteur.
A mon avis , pour relancer C.L., il faudrait de l'interactivité quelque part.
Dans le genre des forums du_ Monde _ lesquels suscitent un débat intéressant, sauf lorsque les discussions sont _ modérées_ , par exemple pour le Proche-Orient, ( les échanges traînent, il y a trop de temps entre lesdits échanges.
De plus, et là je m'adresse au webmaster, ne serait-il
pas possible de prévenir les auteurs des critiques ( par e-mail) lorsque leurs
articles ou leurs interventions ici sont suivis d'une critique éclair ou d'une réponse à leur remarque dans cette rubrique.. A mon avis, cela changerait beaucoup de choses.Est-ce que je me fais bien comprendre ?
On pourrait aussi bavarder sur l'actualité littéraire ou tout ce qui est connexe.
Là encore,
un e-mail, svp,
lorsqu'il y a une réaction.
J'espère que le site a les moyens de nous offrir ce petit cadeau. Je suis certain que cela
aura un effet positif, et même très positif;
Mes toutes petites idées
peuvent être creusées, bien entendu.. Je me permets de lancer la discussion avec ou sans e-mail
d'alerte. A bientôt, peut-être.
pondu de critiques depuis quelque temps, c'est
pour diverses raisons dont la paresse.
Il m'arrive assez souvent
de cliquer sur _ auteur_ et de parcourir
les critiques d'un de mes auteurs préférés. Cela est un gros avantage du site
qui devient réellement fourni , une mini-bibliothèque en somme.
Il m'arrive encore plus souvent
de cliquer sur un auteur lorsque je m'apprête à lire ou à rédiger une critique de cet auteur.
A mon avis , pour relancer C.L., il faudrait de l'interactivité quelque part.
Dans le genre des forums du_ Monde _ lesquels suscitent un débat intéressant, sauf lorsque les discussions sont _ modérées_ , par exemple pour le Proche-Orient, ( les échanges traînent, il y a trop de temps entre lesdits échanges.
De plus, et là je m'adresse au webmaster, ne serait-il
pas possible de prévenir les auteurs des critiques ( par e-mail) lorsque leurs
articles ou leurs interventions ici sont suivis d'une critique éclair ou d'une réponse à leur remarque dans cette rubrique.. A mon avis, cela changerait beaucoup de choses.Est-ce que je me fais bien comprendre ?
On pourrait aussi bavarder sur l'actualité littéraire ou tout ce qui est connexe.
Là encore,
un e-mail, svp,
lorsqu'il y a une réaction.
J'espère que le site a les moyens de nous offrir ce petit cadeau. Je suis certain que cela
aura un effet positif, et même très positif;
Mes toutes petites idées
peuvent être creusées, bien entendu.. Je me permets de lancer la discussion avec ou sans e-mail
d'alerte. A bientôt, peut-être.
Dans sa petite sélection de _On a aimé/pas aimé_, Lucien en a raté une vraiment pas mal, le commentaire grincheux de TristeSobre vaut de l'or (Ceci dit vu sa remarque à propos d'ajouter des oeuvres, on peut douter de son niveau technique). J'en profite aussi pour copier/coller l'avis plus optimiste (et visionnaire) de Leura, toujours fidèle au poste, lui.
Ecrit par Leura En date du 02/02/2001
C'est le site qu'il fallait inventer, et je lui souhaite longue vie. Il peut devenir à terme, pour peu qu'on s'y mette, une référence littéraire francophone.
--------------------------------------------------------------------------------
Ecrit par TristeSobre En date du 23/01/2001
Un site esthétique, simple, sans fioritures inutiles, sobre, efficace, qui a le mérite d'offrir le service le plus intéressant du net : l’interactivité. Il s’agit d'échange de point de vue ! On ne peut que souhaiter voir de telles initiatives émerger plus fréquemment…
Une déception tout de même : j'aurais aimé avoir la possibilité d'ajouter des oeuvres qui ne sont pas présentes sur le site, mais je ne l'ai pas rencontrée. C’est peut-être une idée à développer…
Reste à savoir s'il sera possible de gérer la qualité des critiques publiées. Malgré les règles de conduite édictées, il est raisonnable d'en douter : l'expérience démontre ( forums/ chat / murs ) le contraire. En effet, la net-attitude ne s'encombre pas toujours d'étiquette. Dès qu'un site permet à ses lecteurs d’écrire sur un sujet A , on s'aperçoit & comme par hasard – que le reste de l'alphabet est une source d'inspiration clairement liée à ladite lettre ! On en vient rapidement à parler de B, C, D, E. Et rapidement A est passée aux oubliettes…
Vraiment, le net, c'est rien qu'un bordel ingérable. Je souhaite courage et réussite au valeureux Maîtres du site.
Ecrit par Leura En date du 02/02/2001
C'est le site qu'il fallait inventer, et je lui souhaite longue vie. Il peut devenir à terme, pour peu qu'on s'y mette, une référence littéraire francophone.
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Ecrit par TristeSobre En date du 23/01/2001
Un site esthétique, simple, sans fioritures inutiles, sobre, efficace, qui a le mérite d'offrir le service le plus intéressant du net : l’interactivité. Il s’agit d'échange de point de vue ! On ne peut que souhaiter voir de telles initiatives émerger plus fréquemment…
Une déception tout de même : j'aurais aimé avoir la possibilité d'ajouter des oeuvres qui ne sont pas présentes sur le site, mais je ne l'ai pas rencontrée. C’est peut-être une idée à développer…
Reste à savoir s'il sera possible de gérer la qualité des critiques publiées. Malgré les règles de conduite édictées, il est raisonnable d'en douter : l'expérience démontre ( forums/ chat / murs ) le contraire. En effet, la net-attitude ne s'encombre pas toujours d'étiquette. Dès qu'un site permet à ses lecteurs d’écrire sur un sujet A , on s'aperçoit & comme par hasard – que le reste de l'alphabet est une source d'inspiration clairement liée à ladite lettre ! On en vient rapidement à parler de B, C, D, E. Et rapidement A est passée aux oubliettes…
Vraiment, le net, c'est rien qu'un bordel ingérable. Je souhaite courage et réussite au valeureux Maîtres du site.
Critiqueuses, critiqueurs,
C'est quoi ce défaitisme ? Est-ce la chute des feuilles ?
Positivons svp.
Critiques Libres, à mon humble avis, c'est comme l'amour... et le boulot... des hauts des bas... le chômage... pour certains (bienvenue au Club). Juste un petit encouragement à tous, lisez CHAQUE JOUR, la belle phrase de Jules Renard en tête du site. Allez... bientôt St Nicolas, Noîl et tra la la la lère... A tous les accros de la lecture bon courage.
Gilou
<p>Ginette DEBOUCK (loulou)
C'est quoi ce défaitisme ? Est-ce la chute des feuilles ?
Positivons svp.
Critiques Libres, à mon humble avis, c'est comme l'amour... et le boulot... des hauts des bas... le chômage... pour certains (bienvenue au Club). Juste un petit encouragement à tous, lisez CHAQUE JOUR, la belle phrase de Jules Renard en tête du site. Allez... bientôt St Nicolas, Noîl et tra la la la lère... A tous les accros de la lecture bon courage.
Gilou
<p>Ginette DEBOUCK (loulou)
Bravo Loulou pour ton optimisme. Dans la vie il y a des hauts et des bas. A mon avis, être en bas, çà fait parfois du bien, çà permet de reprendre son élan. Mon intervention était sans doute trop optimiste, Lucien m'a remis vertement à ma place. Je me doutais bien que ma remarque euphorique manquait cruellement de prosaïsme. Mais bon, faut laisser à quelques nostalgiques dont je suis, le droit d'encore plaisanter sur tout et sur rien. Et puis, on peut quand même garder son humour, non ? Que serait la vie sinon ? Tant qu'on a la santé, qu'on vit dans un pays où il n'y a pas la guerre et dans un Etat-Providence, de quoi peut-on bien se plaindre ? Je suis résolument et inconditionnellement une indécrottable optimiste.
Allez, A+ et croyez-moi, il y a toujours une solution à tout...
Allez, A+ et croyez-moi, il y a toujours une solution à tout...
Je ne sais pas si ma remarque était verte, Darius. Je venais d'apprendre une chose que tu ignorais, c'est tout. J'espère que l'ami Patman nous donnera bientôt de bonnes nouvelles. Quant au site... c'est vrai que les commentaires du genre _c'était mieux de mon temps_ ressortent à chaque équinoxe. Les critiqueurs vieillissent, peut-être... Ceci dit, tu as raison Darius : ce site est un beau sous-marin jaune où la liberté règne. Peut-être que ceux qui regrettent l'absence d'un capitaine à bord du sous-marin sont de ceux qui cherchent encore et toujours un maître, ou un dieu...
Les sous-marins ce sont plutôt certains critiqueurs qui disparaissent puis refont surface par intermittence, ce qui est tout à fait sympathique. Notre cher site m'évoque une image de bateau fantôme, abandonné par son capitaine Webmaster et qui dérive tranquillement dans le vaste océan du net. Mais les avis précédents montrent bien que l'absence de capitaine est paliée par l'enthousiasme des braves critiqueurs que nous sommes.
Ah! Si l'air du large vient nous fouetter le sang, l'optimisme revient avec cette bienfaisante bourrasque. On comptait déjà les survivants sur le radeau de la Méduse, voici qu'on navigue sur un sous-marin jaune anarcho-littéraire, puis on dérive comme des fantômes calmes. Laissons-nous aller à l'enthousiasme; il nous permet d'effacer toutes ces vagues grises qui nous soulèvent à peine le coeur en passant sous notre quille. Bonjour joyeux matelots. Je saluerais bien aussi les matelotes mais ce serait les confiner dans la cambuse et ce n'est pas mon genre.
Oceano nox Oh ! combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Combien ont disparu, dure et triste fortune ! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous l'aveugle océan à jamais enfouis !
Combien de patrons morts avec leurs équipages ! L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ; L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Vous roulez à travers les sombres étendues, Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus.
Oh ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve, Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Ceux qui ne sont pas revenus !
On s'entretient de vous parfois dans les veillées. Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées, Mêle encor quelque temps vos noms d'ombre couverts Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures, Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures, Tandis que vous dormez dans les goémons verts !
On demande : - Où sont-ils ? sont-ils rois dans quelque île ? Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? - Puis votre souvenir même est enseveli. Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli.
Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ? Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur, Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Parlent encor de vous en remuant la cendre De leur foyer et de leur coeur !
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !
Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? O flots, que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous! <p>Victor Hugo (Victor Hugo)
Combien de patrons morts avec leurs équipages ! L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ; L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Vous roulez à travers les sombres étendues, Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus.
Oh ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve, Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Ceux qui ne sont pas revenus !
On s'entretient de vous parfois dans les veillées. Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées, Mêle encor quelque temps vos noms d'ombre couverts Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures, Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures, Tandis que vous dormez dans les goémons verts !
On demande : - Où sont-ils ? sont-ils rois dans quelque île ? Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? - Puis votre souvenir même est enseveli. Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli.
Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ? Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur, Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Parlent encor de vous en remuant la cendre De leur foyer et de leur coeur !
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !
Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? O flots, que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous! <p>Victor Hugo (Victor Hugo)
Bonjour.
Aujourd'hui (dimanche) c'est encore la foire du livre à Tournai (Halle aux draps) - On y trouve bon nombre d'écrivains et de maisons d'éditions de Belgique, du Nord de la France... et des bouquinistes.
Je vous renvoie aux Editions Les Pierres (Tournai) conduites par Pierre DAILLY. Ce sympathique gaillard propose des éditions artisanales de livrets dans sa collection _a e i eau u_. Quelques voyelles frémissantes pour des consonnes qui infusent ! Des échantillons d'eau de cailloux ou de rosée. Des petits livres (20 pages) sous forme d'objet à suspendre pour faire signe, à ranger sur un fil tendu entre la liberté du vide et le choix du ciel. J'ai acquis _Hors la vue_ de Pierre Dailly, un livret sans le moindre dépôt légal, sans le moindre numéro ISBN, un livret extrait d'une édition amicale tirée à un petit nombre d'exemplaires pour donner suite à la lecture du Jardin sous les paupières de Philippe Mathy, un autre gars du Hainaut littéraire.
Voilà, je n'ai pas parlé de Victor Hugo, ni de Baudelaire, mais j'ai cité le nom d'un poète...
Si vous passez par là, ... Bonne route.
Aujourd'hui (dimanche) c'est encore la foire du livre à Tournai (Halle aux draps) - On y trouve bon nombre d'écrivains et de maisons d'éditions de Belgique, du Nord de la France... et des bouquinistes.
Je vous renvoie aux Editions Les Pierres (Tournai) conduites par Pierre DAILLY. Ce sympathique gaillard propose des éditions artisanales de livrets dans sa collection _a e i eau u_. Quelques voyelles frémissantes pour des consonnes qui infusent ! Des échantillons d'eau de cailloux ou de rosée. Des petits livres (20 pages) sous forme d'objet à suspendre pour faire signe, à ranger sur un fil tendu entre la liberté du vide et le choix du ciel. J'ai acquis _Hors la vue_ de Pierre Dailly, un livret sans le moindre dépôt légal, sans le moindre numéro ISBN, un livret extrait d'une édition amicale tirée à un petit nombre d'exemplaires pour donner suite à la lecture du Jardin sous les paupières de Philippe Mathy, un autre gars du Hainaut littéraire.
Voilà, je n'ai pas parlé de Victor Hugo, ni de Baudelaire, mais j'ai cité le nom d'un poète...
Si vous passez par là, ... Bonne route.
Il fait gris, froid, et la pluie pleure sur nos vitres, mais gardons tout de même un petit rayon de soleil, bien à nous. Critiques libres, c'est un peu le hasard des rencontres, les plaisirs partagés, mais aussi les coups de gueule et les mauvaises passes. Gardons confiance en la bande d'irréductibles critiqueurs qui restent fidèles au poste, et ceux qui malheureusement doivent s'éloigner, pour un temps ou définitivement, sont néanmoins toujours là, par ce qu'ils ont un jour apporté.
Critiques libres, c'est un endroit où il fait toujours bon revenir, malgré tout.
Allez les amis, haut les coeurs et gardons le moral coûte que coûte!
Critiques libres, c'est un endroit où il fait toujours bon revenir, malgré tout.
Allez les amis, haut les coeurs et gardons le moral coûte que coûte!
En sortant du trente et quarante Je ne possédais plus un radis De l'héritage de ma tante Tout autre que moi se serait dit Je vais me faire sauter la cervelle Me suicider d'un coup de couteau M'empoisonner me fiche à l'eau Enfin des morts bien naturelles Mais voulant finir en beauté Je me suis tué à répéter :
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Toutes ces petites misères Seront passagères Tout ça s'arrangera Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
Je rentre à Paris mais mon notaire M'annonce : votre père plein d'attention Vous colle un conseil judiciaire Et vingt-cinq louis par mois de pension Et comme je ne vois plus personne Dont vous puissiez être héritier Faut travailler prendre un métier C'est le conseil que je vous donne Uniquement vous voudriez Que je vole le pain d'un ouvrier
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Ces petites misères Seront passagères Tout ça s'arrangera Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
<p>Maurice Chevalier (Maurice)
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Toutes ces petites misères Seront passagères Tout ça s'arrangera Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
Je rentre à Paris mais mon notaire M'annonce : votre père plein d'attention Vous colle un conseil judiciaire Et vingt-cinq louis par mois de pension Et comme je ne vois plus personne Dont vous puissiez être héritier Faut travailler prendre un métier C'est le conseil que je vous donne Uniquement vous voudriez Que je vole le pain d'un ouvrier
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Ces petites misères Seront passagères Tout ça s'arrangera Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
Dans la vie faut pas s'en faire Moi je ne m'en fais pas Je n'ai pas un caractère A me faire du tracas Croyez-moi sur terre Faut jamais s'en faire Moi je ne m'en fais pas
<p>Maurice Chevalier (Maurice)
Au revoir Patman, merci de m'avoir fait découvrir Adamek! Bonne chance.<p>Federica Dotta (fede)
Bravo, Lucien, pour cette présentation d'une face pas assez connue de Perec.
Oui, la contrainte est source de poésie, d'ouverture aux nouveaux langages.
Merci pour cette info.
Oui, la contrainte est source de poésie, d'ouverture aux nouveaux langages.
Merci pour cette info.
AVIS AUX AMATEURS DE TOLKIEN : Pour tous ceux qui auront la chance d'être sur Paris (ou d'habiter tout près), la BNF (le site du 13ème ardt) a programmé une exposition, de mi-décembre à mi-février, axée sur l'oeuvre de Tolkien, et en particulier Le Seigneur des Anneaux. Au programme, les illustrations et tableaux de John Howe et Alan Lee, des interventions de médiévistes et d'autres choses encore. Les dates sont à confirmer et préciser, je me ferai un plaisir de tenir tout le monde au courant. Inutile de dire que je considère cet événement comme un cadeau de No‘l ;-)
My Lord, si tu lis cette rubrique, je te souhaite la bienvenue ! Je découvre que parmi tes livres préférés, tu apprécies un certain Guillaume Josso _si vrai qu'on le touche_ mais hélas épuisé... J'ai eu beau chercher sur le web, je n'ai rien trouvé..
Tout d'abord, un grand signe d'amitié à Patman dont j'ai apprécié les commentaires et les infos culturelles... que les choses se passent au mieux pour toi, Patman, et comme me disait ma grand-mère quand j'étais toute petite _tout ce que ton petit coeur désire_...
Un appel à tous (et urgent, en plus!) : il me faudrait des titres de romans pôur des ados (plus ou moins 14 ans) dans lesquels la ville a une place essentielle.En collections jeunesse, j'ai beaucoup d'idées, dans la littérature générale, beaucoup moins. Au secours!!!!!!...et merci d'avance!
Un appel à tous (et urgent, en plus!) : il me faudrait des titres de romans pôur des ados (plus ou moins 14 ans) dans lesquels la ville a une place essentielle.En collections jeunesse, j'ai beaucoup d'idées, dans la littérature générale, beaucoup moins. Au secours!!!!!!...et merci d'avance!
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