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Cuné, tu as écrit que les potes lui détaillent la courgette. J'aimerais des précisions. Expression inconnue au Québec. J'imagine que c'est la bobette qui soutient la courgette. J'imagine aussi que tu connais le sens de bobette à force de fréquenter la littérature québécoise. Bien content que tu apprécies un auteur québécois. Malheureusement celui-là ne tombe pas dans mes cordes, mais je lis quand même ses oeuvres à cause du travail que je fais pendant ma retraite active. Les Québécois l'adorent en général, surtout les trentenaires. La suite du Principe du geyser est Un peu de fatigue. J'imagine aussi que tu le savais. Gros succès son dernier roman. Dans celui-là, le héros va se battre pour la garde de l'enfant.
J'ai lu en effet que tu t'étais donné pour mission de lire tous les auteurs québécois depuis 1998, du travail en perspective, je suis admirative ! ;o)
J'ai découvert ces auteurs en frequentant le club des rats de biblio-net, je suis tombée sous le charme.
En l'occurence ici "détailler la courgette" n'est pas une expression, mais un acte au 1er degré; en effet, dans la dernière scène le héros prépare un couscous et son ami qui passe s'installe avec lui et épluche les légumes, "faisant un sort à la courgette en la détaillant". J'aimais bien l'image de cette scène toute quotidienne, dégageant pour moi toute la proximité de l'amitié simple.
En passant tu as le bonjour de Mousseline à qui tu manques beaucoup.
Je comprends tout à fait que Stéphane Bourguignon plaise plus à un public de trentenaires, sa littérature est sans prétention mais très évocatrice, on sent qu'il est habitué à écrire pour la télévision.
J'apprécie beaucoup ce genre de livre "léger" après une brique intense et dramatique comme Suite française d'Irène Némirovsky, que je venais de lire.
Je ne manquerai pas de lire la suite, en effet !
J'en profite aussi pour te remercier de tes belles critiques, elles me guident souvent dans mes choix et sont des modèles du genre, pleines d'érudition.
Bonnes lectures à toi.
J'ai découvert ces auteurs en frequentant le club des rats de biblio-net, je suis tombée sous le charme.
En l'occurence ici "détailler la courgette" n'est pas une expression, mais un acte au 1er degré; en effet, dans la dernière scène le héros prépare un couscous et son ami qui passe s'installe avec lui et épluche les légumes, "faisant un sort à la courgette en la détaillant". J'aimais bien l'image de cette scène toute quotidienne, dégageant pour moi toute la proximité de l'amitié simple.
En passant tu as le bonjour de Mousseline à qui tu manques beaucoup.
Je comprends tout à fait que Stéphane Bourguignon plaise plus à un public de trentenaires, sa littérature est sans prétention mais très évocatrice, on sent qu'il est habitué à écrire pour la télévision.
J'apprécie beaucoup ce genre de livre "léger" après une brique intense et dramatique comme Suite française d'Irène Némirovsky, que je venais de lire.
Je ne manquerai pas de lire la suite, en effet !
J'en profite aussi pour te remercier de tes belles critiques, elles me guident souvent dans mes choix et sont des modèles du genre, pleines d'érudition.
Bonnes lectures à toi.
J'ai lu Le Principe du geyser en 1996. Ma mémoire n'a retenu que peu de choses de ce roman. C'est pourquoi je n'ai pas accolé une critique éclair à la tienne.
En parlant de courgette, sache que c'est un mot employé dans les milieux branchés bien qu'il se répande de plus en plus. Au Québec, on désigne cette plante sous le nom de zuchini.
En parlant de courgette, sache que c'est un mot employé dans les milieux branchés bien qu'il se répande de plus en plus. Au Québec, on désigne cette plante sous le nom de zuchini.
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