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J'ai oublié de revenir sur la notion d'engagement évoquée aussi par Sartre.
Bien sûr qu'une très grande partie de la littérature est engagée. Camus et Gao Xingjan décrivent bien cette nécessité, pour eux, dans leur discours de Suède.
Oui, c'est un des rôle de l'écrivain que de rester critique face à la société et de tenter de corriger celle-ci quand il le faut, tout au moins d'en signaler les défauts, à ses yeux.
Vu ainsi la plupart des grands écrivains peuvent être considérés comme engagés d'une façon ou d'une autre. Mais pas nécessairement dans toutes leurs oeuvres.
Et la lutte des classes (dans le sens habituel qu'ont pris ces termes) n'y prend pas nécessairement l'importance que Sartre lui donne...
Bien sûr qu'une très grande partie de la littérature est engagée. Camus et Gao Xingjan décrivent bien cette nécessité, pour eux, dans leur discours de Suède.
Oui, c'est un des rôle de l'écrivain que de rester critique face à la société et de tenter de corriger celle-ci quand il le faut, tout au moins d'en signaler les défauts, à ses yeux.
Vu ainsi la plupart des grands écrivains peuvent être considérés comme engagés d'une façon ou d'une autre. Mais pas nécessairement dans toutes leurs oeuvres.
Et la lutte des classes (dans le sens habituel qu'ont pris ces termes) n'y prend pas nécessairement l'importance que Sartre lui donne...
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