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Je me permets de solliciter les lecteurs de Vies minuscules de Pierre Michon pour avoir leur opinion sur ce livre. En effet, en découvrant la critique désastreuse qui se trouve sur ce site, je m'interroge. Ce livre a été pour moi la véritable découverte de mes 10 dernières années. J'en ai apprécié le style, il est vrai ardu, mais également le propos, cette volonté de rendre compte des oubliés, des gens simples, des "moins que rien".
Merci de partager vos expériences de lecture de ce livre, cela m'aidera peut-être à comprendre cette critique que je juge pour le moment totalement injustifiée.
Merci de partager vos expériences de lecture de ce livre, cela m'aidera peut-être à comprendre cette critique que je juge pour le moment totalement injustifiée.
Ben, pourquoi ne pas commencer par mettre une critique éclair sur le livre ?
A+
A+
C'est fait!
Contribution tardive...
La critique de Balamento n’est pas une critique, c’est, comme son titre le suggère, le récit d’un échec de lecture (qui aurait davantage sa place en « critique éclair » qu’en critique). Balamento n’a pas critiqué « Vies minuscules » car il ne l’a pas lu, et il est seul responsable de sa non-lecture : il cherche dans ce roman un livre qui n’existe pas et finit par s’indigner que l’auteur n’écrive pas un livre comme il les aime. De plus, bien qu’il prenne la peine de préciser qu’il n’avait pas d’a priori, sa lecture est plombée par un préjugé tenace : Pierre Michon écrit avec un style savant pour faire croire qu’il est un grand littérateur, qu’il vise au panthéon littéraire, bref qu’il est un peu snob. Avec de telles idées en tête, la lecture était fichue d’avance, c’est comme déguster un grand cru de Bordeaux avec une salade en vinaigrette...
Mais au fond, n’y a-t-il pas de la jalousie qui s’ignore dans ses propos ?
La critique de Balamento n’est pas une critique, c’est, comme son titre le suggère, le récit d’un échec de lecture (qui aurait davantage sa place en « critique éclair » qu’en critique). Balamento n’a pas critiqué « Vies minuscules » car il ne l’a pas lu, et il est seul responsable de sa non-lecture : il cherche dans ce roman un livre qui n’existe pas et finit par s’indigner que l’auteur n’écrive pas un livre comme il les aime. De plus, bien qu’il prenne la peine de préciser qu’il n’avait pas d’a priori, sa lecture est plombée par un préjugé tenace : Pierre Michon écrit avec un style savant pour faire croire qu’il est un grand littérateur, qu’il vise au panthéon littéraire, bref qu’il est un peu snob. Avec de telles idées en tête, la lecture était fichue d’avance, c’est comme déguster un grand cru de Bordeaux avec une salade en vinaigrette...
Mais au fond, n’y a-t-il pas de la jalousie qui s’ignore dans ses propos ?
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