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Quand l'amour meurt dans ce monde cruel,
Quand il ne reste que solitude et absence
Quand la vie s'éffrite, se traine, au son perpetuel
Des cris du coeur qui déchirent le silence.
Alors on ne voit plus le chemin qui timidement brille
Rien ne semble pouvoir faire chanter mon coeur
Et dans ma coquille, je me recroqueville
Petite, ratatinée,écrasée par la douleur.
Pourtant il me suffirait de relever la tête
De lutter, de braver, de conquérir ma peine
Pour qu'un petit rayon de lumière s'arrète
Et innonde ma vie d'un sourire blème.
Quand il ne reste que solitude et absence
Quand la vie s'éffrite, se traine, au son perpetuel
Des cris du coeur qui déchirent le silence.
Alors on ne voit plus le chemin qui timidement brille
Rien ne semble pouvoir faire chanter mon coeur
Et dans ma coquille, je me recroqueville
Petite, ratatinée,écrasée par la douleur.
Pourtant il me suffirait de relever la tête
De lutter, de braver, de conquérir ma peine
Pour qu'un petit rayon de lumière s'arrète
Et innonde ma vie d'un sourire blème.
La vie est belle... Non, non, ça n'est pas un mythe ;-)
Ca me semble trop touffu, trop tassé, pas assez aérien. Pas spécialiste et pas fou de poésie, mon avis est limité. Il faudrait que Monique te dise son avis.
Pourtant, la vie me semble si belle et les femmes tellement agréables!
Kasserine, j'ai le sentiment que ton esprit s'égare vers des pensées un peu tristes.
Le soleil brille, tout de même!
Kasserine, j'ai le sentiment que ton esprit s'égare vers des pensées un peu tristes.
Le soleil brille, tout de même!
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