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A propos de la légitimité de la détention privés de droit de propriété, je pose sous forme de question, ce qui serait mes affirmation, vous avez les droit de contredire, je suis curieux d'avoir vos points de vues.
La propriété des uns ne doit pas empiété sur celle des autres ?
La propriété privé ne doit pas s’étendre sur les zone regorgeant de ressource communes ?
La propriété des uns ne doit pas empiété sur celle des autres ?
La propriété privé ne doit pas s’étendre sur les zone regorgeant de ressource communes ?
Le problème de la propriété est vieux comme la lune et c’est l’enjeu de beaucoup de guerres.
A qui appartiennent l’Antarctique ? une île déserte ? un trésor au fond de l’océan ? une mine de charbon qui s’étend sous plusieurs communes à 600 mètres de profondeur ? Les fabuleuses mines de cuivre du Katanga qui était peuplé à l’époque de la découverte de 4 bergers avec 12 moutons ?
Marx disait que la terre appartient à celui qui l’exploite. Et c’est aussi mon avis.
Le Pape François a dit que la propriété privée est légitime à condition de partager avec tous les biens dont jouit la propriété. C’est aussi mon avis, quoique ça peut mener loin.
Mais un Docteur en Droit t’en dirait plus et mieux que moi.
A qui appartiennent l’Antarctique ? une île déserte ? un trésor au fond de l’océan ? une mine de charbon qui s’étend sous plusieurs communes à 600 mètres de profondeur ? Les fabuleuses mines de cuivre du Katanga qui était peuplé à l’époque de la découverte de 4 bergers avec 12 moutons ?
Marx disait que la terre appartient à celui qui l’exploite. Et c’est aussi mon avis.
Le Pape François a dit que la propriété privée est légitime à condition de partager avec tous les biens dont jouit la propriété. C’est aussi mon avis, quoique ça peut mener loin.
Mais un Docteur en Droit t’en dirait plus et mieux que moi.
Ouff " la terre appartient à celui qui l’exploite" c'est exatement ce que le dit, me^me si je pense cela reste a nuancé
Une justification du revenu universel, c'est que les resources naturelles appartiennent à tous le monde, même ceux qui ne les exploitent pas. C'est pas faux non plus !
C'est pas faux non, quand je dis "appartient à ceux qui l'exploitent" c'est déjà pour différencier ceux qui la travaillent de ceux qui s'en accaparent, si non ceux qui la travaille appariement aussi a ceux qui s'en accaparent.
C'est pas faux non, quand je dis "appartient à ceux qui l'exploitent" c'est déjà pour différencier ceux qui la travaillent de ceux qui s'en accaparent, si non ceux qui la travaille appariement aussi a ceux qui s'en accaparent.
XooHooX : je n'ai pas compris ce que tu veux dire dans ta dernière phrase. Quelle est la distinction que tu veux établir ?
je n'ai pas compris ce que tu veux dire dans ta dernière phrase. Quelle est la distinction que tu veux établir ?
Une terre productive, il y a celui a qui elle appartient, qui peut être un payant, lui et exploitant direct, mais un terre de production minière comme du fer, appartient à un exploitant indirect, ce qui veut dire, un exploitant qui ne travail pas mais qui fait travailer des hommes, dans ce cas, il y a les exploitant directe qui sont au service d'exploitant indirect en quelque sorte, dans les plupart des productions, le temps de vie des exploitant directe appartient aux exploitant indirect qui eux sont les propriétaires.
Réflexion sous un autre angle : si tant est qu'une personne appartienne à son pays, dans quel sens en est-elle propriétaire ?
Réflexion sous un autre angle : si tant est qu'une personne appartienne à son pays, dans quel sens en est-elle propriétaire ?
D'un point de vu personnel, je dirait, appartenir a son pays serait appartenir aux décideurs qui sont un peut les propriétaires de la zone nationale. On appartient au processus de la nature avant tout, régis par les lois de la nature comme la gravité, les lois des hommes voudrais que certains hommes apartienent à d'autres, Enfin certaines lois, car si l'on en vient à la question des lois, qui est celons moi fortement lié à celle de la propriété, le sujet est très complexe.
Réflexion sous un autre angle : si tant est qu'une personne appartienne à son pays, dans quel sens en est-elle propriétaire ?
Par exemple tout les Quataris sont propriétaires des gisements pétroliers sous leur pieds. Mais évidemment tous ne sont pas capables ni en mesure de les exploiter, il faut donc que le Cheik redistribue plus ou moins équitablement les richesses qui en découle.
C'est la justification du revenu universel: de part le fait d'être sur la terre on à droit à un partie des ressources de la terre.
Evidemment ca reste un concept, le monde est compliqué !
Réflexion sous un autre angle : si tant est qu'une personne appartienne à son pays, dans quel sens en est-elle propriétaire ?
Par exemple tout les Quataris sont propriétaires des gisements pétroliers sous leur pieds. Mais évidemment tous ne sont pas capables ni en mesure de les exploiter, il faut donc que le Cheik redistribue plus ou moins équitablement les richesses qui en découle.
C'est la justification du revenu universel: de part le fait d'être sur la terre on à droit à un partie des ressources de la terre.
Evidemment ca reste un concept, le monde est compliqué !
@Saule : L'argumentation du revenu universel est bien plus complexe, et il existe des biais dangereux. Le revenu universel, à un niveau suffisant pour vivre correctement, est défendu aux USA par les ultralibéraux car il permettrait de découpler le revenu du travail et donc de fluidifier considérablement le marché du travail. Le chômage et les retraites cesseraient d'y être adossés et les entreprises pourraient recruter et licencier beaucoup plus facilement, sans mesures d'accompagnement ou d'indemnisation. En fait, les entreprises pourraient transférer à l'Etat une part importante de leurs charges et contraintes "non productives".
L'autre biais pourrait être la désocialisation de personnes qui s'isoleraient et se contenteraient d'exister, vivotant au quotidien du revenu universel. Le risque d'une société à plusieurs vitesses est majeur. Cela dit, c'est déjà un peu le cas mais le risque en serait décuplé.
En revanche, ce que tu évoques sur l'universalité des ressources naturelles étaye le discours de certains pays d'AmS ou d'Afrique, qui demandent à être internationalement et financièrement soutenus pour la préservation de leurs forêts tropicales, qui sont des poumons verts pour le monde entier. C'est compliqué car il faudrait aussi y inscrire d'autres pays qui ont d'immenses forêts (Canada, Russie, etc.)...
Il fait répartir les bien, c'est pour moi une certitude, mais il faut aussi répartir les taches, en fonction des possibilités de chacun. L'équilibre est dur à définir, mais tant que les puissant décisionnaire, qu'ils soit pouvoir politique ou financier, resteront les propriétaires des pouvoir d'influences, le flou restera dans les esprit.
Après quand je dit "mais il faut aussi répartir les taches, en fonction des possibilités de chacun" n'oublions pas que je dit aussi "L'équilibre est dur à définir, et qui dit
"dur à définir" dit "à définir" !
Après quand je dit "mais il faut aussi répartir les taches, en fonction des possibilités de chacun" n'oublions pas que je dit aussi "L'équilibre est dur à définir, et qui dit
"dur à définir" dit "à définir" !
Comme certains présidents parleraient de droits et de devoirs.
Je dirais le devoir d'accomplir un tache pour obtenir le droit d'acquérir un bien. Il y a le bien fuit de la nature, qui pousse tout seul, celui la appartient légalement au propriétaire de la terre sur laquelle pousse ce fruit, et moralement à qui le cueille. Il y a le fuit du labeur, qui légalement appartiens à celui qui embauche celui qui accompli le labeur, qui moralement appartiens à celui qui accompli le labeur,
Je dirais le devoir d'accomplir un tache pour obtenir le droit d'acquérir un bien. Il y a le bien fuit de la nature, qui pousse tout seul, celui la appartient légalement au propriétaire de la terre sur laquelle pousse ce fruit, et moralement à qui le cueille. Il y a le fuit du labeur, qui légalement appartiens à celui qui embauche celui qui accompli le labeur, qui moralement appartiens à celui qui accompli le labeur,
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