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Le ciel était bleu, magnifiquement éclairé par un soleil resplendissant. Elle marchait d'une démarche pesante comme si ses épaules portaient un poids immense. Les trottoirs étaient bondés d'estivants allants de boutiques en boutiques, tenant leurs enfants par la main. Les marchands de glaces étaient débordés. Les voix fusaient de tous cotés, riants et pleins de vie. Et pourtant elle marchait d'un pas pesants, semblants aller de l'avant mais souhaitant faire la route en sens inverse. Elles regardait fréquemment un petit morceaux de papiers sur lequel était inscrit une adresse. Ses yeux regardaient les noms des rues et les numéros jusqu'à trouver celui qui correspondait à sa petite feuille. Elle resta quelques secondes devant la porte, hésitant à frapper ce qu'elle fini par faire . Aussitôt la porte s'ouvrit et une femme à l'air doux ouvrit en disant : « c'est le rendez vous de seize heures quinze ? » elle répondit d'une voix mal assuré « oui, si c'est bien ici pour le... » La femme la fit entrer et lui indiqua une porte à gauche « entrez, enlevez votre manteau et votre foulard et asseyez vous j'arrive tout de suite ».
Le salon était quelconque, son regard en faisait le tour sans en mémoriser les objets comme si elle ne devrait pas se trouver ici. Une autre porte s'ouvrit et la femme l'invita à la suivre « enlevez votre culotte et votre jupe et allongez vous sur le lit, ce ne sera pas long ».
La femme prit divers instruments dans une bassine métallique. « bougez le moins possible » au bout d'un temps qu'elle ne parvint pas à compter la femme reprit la parole « vous pouvez vous rhabiller, vous risquez des saignements mais c'est tout à fait normal, si cela dure vous me contactez par la voie habituelle, je vous donne quelques comprimés contre la douleur, ne portez rien de lourd dans les prochains jours »
Elle se rhabilla et se dirigeant vers le porte d'entrée dit ses premiers mots « et pour le règlement ? » la femme lui souri « ne vous inquiétez pas c'est pour la cause ».
Dans le rue le soleil déclinait et les promeneurs se faisaient plus rare .
Le salon était quelconque, son regard en faisait le tour sans en mémoriser les objets comme si elle ne devrait pas se trouver ici. Une autre porte s'ouvrit et la femme l'invita à la suivre « enlevez votre culotte et votre jupe et allongez vous sur le lit, ce ne sera pas long ».
La femme prit divers instruments dans une bassine métallique. « bougez le moins possible » au bout d'un temps qu'elle ne parvint pas à compter la femme reprit la parole « vous pouvez vous rhabiller, vous risquez des saignements mais c'est tout à fait normal, si cela dure vous me contactez par la voie habituelle, je vous donne quelques comprimés contre la douleur, ne portez rien de lourd dans les prochains jours »
Elle se rhabilla et se dirigeant vers le porte d'entrée dit ses premiers mots « et pour le règlement ? » la femme lui souri « ne vous inquiétez pas c'est pour la cause ».
Dans le rue le soleil déclinait et les promeneurs se faisaient plus rare .
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