L'embarcation arriva au bord de la côte sous un ciel légèrement couvert. Au large l'ont pouvait voir d'autres navires, plus importants, sur lesquelles ont devinés un peu d'agitation.
Ils quittèrent le bateau précipitamment, regardant de droite et de gauche les opportunités de placement, mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, presque vautrés, sur le sable. Ils durent progresser plus avant, choisissant de s'abriter derrière les rochers.
Ils étaient plusieurs à choisir cette option. Posant sans ménagement leurs sacs sur le sable ils commencèrent à les vider de leur contenus, qui prenant un pistolet un autre s'emparant d'un fusil.
Les tirs ne se firent pas attendre. Ils gagnaient petit à petit du terrain et tentaient d'éviter les balles qui sifflaient de part et d'autres. La bataille faisait rage sur ce petit bout de côte.
« Les enfants ! Faitent attention à ne pas arroser les autres ! Restez prés de nous ! »
Le 15 août sur les plages du midi il y avait une foule de vacanciers allongés sur leurs drap de bain.
Ils quittèrent le bateau précipitamment, regardant de droite et de gauche les opportunités de placement, mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, presque vautrés, sur le sable. Ils durent progresser plus avant, choisissant de s'abriter derrière les rochers.
Ils étaient plusieurs à choisir cette option. Posant sans ménagement leurs sacs sur le sable ils commencèrent à les vider de leur contenus, qui prenant un pistolet un autre s'emparant d'un fusil.
Les tirs ne se firent pas attendre. Ils gagnaient petit à petit du terrain et tentaient d'éviter les balles qui sifflaient de part et d'autres. La bataille faisait rage sur ce petit bout de côte.
« Les enfants ! Faitent attention à ne pas arroser les autres ! Restez prés de nous ! »
Le 15 août sur les plages du midi il y avait une foule de vacanciers allongés sur leurs drap de bain.
Je ne sais pas combien de milliers de morts en quelques secondes avant même d'arriver à la plage.
Je ne sais pas combien de milliers de morts en quelques secondes avant même d'arriver à la plage.
Sauf erreur de ma part, je crois qu'il n'est question que d'enfants qui jouent au pistolet à eau sur une plage où les corps se font bronzer un 15 aôut mais là c'est quand même trop tiré par les cheveux ( les balles qui sifflent ??) !
Je ne sais pas combien de milliers de morts en quelques secondes avant même d'arriver à la plage.
Sauf erreur de ma part, je crois qu'il n'est question que d'enfants qui jouent au pistolet à eau sur une plage où les corps se font bronzer un 15 aôut mais là c'est quand même trop tiré par les cheveux ( les balles qui sifflent ??) !
C'est bien ça...les balles ce sont les jeux de raquettes que l'on utilise sur les plages. Cependant je reconnais que ce texte est un peu faible, mais je trouvais marrant l'idée avec le titre, une faiblesse de ma part.
L'idée est vraiment bien, et franchement dans la réalité, il y a des endroits où ça ressemble à ça...Moi j'ai bien aimé cette phrase
"Les enfants ! Faites attention à ne pas arroser les autres ! Restez prés de nous ! »
qui replace bien la situation qu'on pensait grave...
Il n'y a oui que les "balles" qui (d)'étonnent un peu :-) mais le reste est sympa...
"Les enfants ! Faites attention à ne pas arroser les autres ! Restez prés de nous ! »
qui replace bien la situation qu'on pensait grave...
Il n'y a oui que les "balles" qui (d)'étonnent un peu :-) mais le reste est sympa...
les "balles" des pistolets à eau
les "balles" des pistolets à eau
ce n'est pas ce qu'explique Spirit
les "balles" des pistolets à eau
Ah oui, pas lu. Merci.
Je vois bien le désir de construire une ambiguïté pour surprendre le lecteur, mais je trouve que ça manque d'efficacité.
ce n'est pas ce qu'explique Spirit
Ah oui, pas lu. Merci.
Je vois bien le désir de construire une ambiguïté pour surprendre le lecteur, mais je trouve que ça manque d'efficacité.
@Spirit
Ne le prends pas mal...mais je constate que la plupart du temps tes textes se veulent fonctionner sur le même schéma, celui du twist final auquel on ne s'attend pas (pléonasme).
Du coup d'emblée on cherche une autre orientation que celle où tu sembles nous guider. Résultat: ça ne fonctionne plus car ça devient une sorte de recette dont je ne peux que t'inviter à sortir.
Ne vois là aucune intention désagréable de ma part mais je ne suis pas sûre que les louanges inconditionnels apportent quelque chose de positif. Soit dit en passant, c'est pour cette raison que je me suis toujours abstenue de commenter vos écrits bien qu'il me soit souvent arrivé de les lire.
Ne le prends pas mal...mais je constate que la plupart du temps tes textes se veulent fonctionner sur le même schéma, celui du twist final auquel on ne s'attend pas (pléonasme).
Du coup d'emblée on cherche une autre orientation que celle où tu sembles nous guider. Résultat: ça ne fonctionne plus car ça devient une sorte de recette dont je ne peux que t'inviter à sortir.
Ne vois là aucune intention désagréable de ma part mais je ne suis pas sûre que les louanges inconditionnels apportent quelque chose de positif. Soit dit en passant, c'est pour cette raison que je me suis toujours abstenue de commenter vos écrits bien qu'il me soit souvent arrivé de les lire.
@Spirit
Ne le prends pas mal...mais je constate que la plupart du temps tes textes se veulent fonctionner sur le même schéma, celui du twist final auquel on ne s'attend pas (pléonasme).
Du coup d'emblée on cherche une autre orientation que celle où tu sembles nous guider. Résultat: ça ne fonctionne plus car ça devient une sorte de recette dont je ne peux que t'inviter à sortir.
Ne vois là aucune intention désagréable de ma part mais je ne suis pas sûre que les louanges inconditionnels apportent quelque chose de positif. Soit dit en passant, c'est pour cette raison que je me suis toujours abstenue de commenter vos écrits bien qu'il me soit souvent arrivé de les lire.
Tu as raison en soi mes je ne conçoit les micro nouvelles qu'avec une chute sinon elles n'apportent rien, ce qui n'est pas le cas des nouvelles classique qui peuvent s'étirer sur de nombreuses pages et qui sont en fait des histoires courtes. Jim Harrison sortait des bouquins de 250/300 pages avec seulement trois nouvelles. Ce sont en fait de court romans. Les micro nouvelles sont un genre un peu à part, certes j'appuis beaucoup sur la chute et j'en ai lu qui appuyaient moins sur celle-ci mais c'est un peu ma "marque". cependant je vais essayer de moins appuyer mais j'ai peur que cela enleve de l'impact et de l'interet. et puis un recueuil de micro nouvelles peut ce lires comme un receuil de poémes, pas forcement dans la continuetée. enfin c'est mon avis.
Mais continuez cela m'apporte beaucoup.
La nuit portant conseil....
Prenons les Haïku ce sont de beaux mots qui font une sonorités particulière mais dont le sens n'est pas toujours évident, quand il y en à un, c'est une musique de mots.
Un poème est plus long et peu développer un sens.
Si j'écris une micro nouvelle et que je commence ( pour intégrer le lecteur ) à parler de la nature des lieux, des vêtements des personnages et ainsi de suite je me retrouve avec une longueur qui en fait une nouvelle classique, donc un petit roman.
Mais sur une dizaine de lignes je dois condencer les effets pour capter le lecteur, en extraire "le jus" devenus plus fort et finir par un gout prononcé.
Si j'ai choisis la micro nouvelle c'est parce que le remplissage des romans ( à moins de tomber sur un auteur excellent ) m'ennuis et me coupe du principal ( de l'essence ) du roman: les faits. ( je repete que c'est selon l'auteur ).
C'est donc un partie pris, après je comprend que l'on puissent trouver le principe répétitif mais je crois également qu'un recueuil de micro nouvelles peut ce lire ( comme les poèmes ) par un ,deux ou trois et y revenir plus tard après d'autres lectures, c'est ce que je fais avec les poèmes.
Vos contradictions me sont précieuses car elles me permettent de me questionner, continuez.
sur wikipedia
"La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres, totalement différentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En effet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon qu'il puisse lui-même retrouver les différents composants du récit."
Prenons les Haïku ce sont de beaux mots qui font une sonorités particulière mais dont le sens n'est pas toujours évident, quand il y en à un, c'est une musique de mots.
Un poème est plus long et peu développer un sens.
Si j'écris une micro nouvelle et que je commence ( pour intégrer le lecteur ) à parler de la nature des lieux, des vêtements des personnages et ainsi de suite je me retrouve avec une longueur qui en fait une nouvelle classique, donc un petit roman.
Mais sur une dizaine de lignes je dois condencer les effets pour capter le lecteur, en extraire "le jus" devenus plus fort et finir par un gout prononcé.
Si j'ai choisis la micro nouvelle c'est parce que le remplissage des romans ( à moins de tomber sur un auteur excellent ) m'ennuis et me coupe du principal ( de l'essence ) du roman: les faits. ( je repete que c'est selon l'auteur ).
C'est donc un partie pris, après je comprend que l'on puissent trouver le principe répétitif mais je crois également qu'un recueuil de micro nouvelles peut ce lire ( comme les poèmes ) par un ,deux ou trois et y revenir plus tard après d'autres lectures, c'est ce que je fais avec les poèmes.
Vos contradictions me sont précieuses car elles me permettent de me questionner, continuez.
sur wikipedia
"La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres, totalement différentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En effet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon qu'il puisse lui-même retrouver les différents composants du récit."
les "balles" des pistolets à eau
ce n'est pas ce qu'explique Spirit
Ah oui, pas lu. Merci.
Je vois bien le désir de construire une ambiguïté pour surprendre le lecteur, mais je trouve que ça manque d'efficacité.
C'est un texte un peu faible. J'ai eu du mal à trouver des "arguments" vacances qui ressembles au débarquement. J'ai rectifié la phrase litigieuse.
@ Spirit, pour améliorer ta maîtrise de la chute et l'art de nous y amener, je ne peux que te conseiller la lecture de 3 auteurs essentiels à mes yeux :
Jacques Sernberg ; Dans les livres critiqués sur CL, je recommande "188 contes à régler" et "Futurs sans avenir". Le premier recueil annonce la couleur dans son titre; le second comporte des nouvelles plus longues, mais on ne s'y ennuie pas une seconde.
Frederic Brown : "Fantômes et farfafouilles".
André Franquin : "Gaston Lagaffe"; peut-être pas les gags des débuts, ni ceux de la fin. Disons, les planches de 400 à 800
Lorsque je regarde ma production passée, je ne peux pas m'empêcher de penser à ce qu'elle doit à ces auteurs.
Lorsque je regarde ma production passée, je ne peux pas m'empêcher de penser à ce qu'elle doit à ces auteurs.
Pour moi celle là marche bien de 'micro-nouvelle', l'humour passe bien...
Mais c'est vrai que ça manque de travail pour que ça reste mémorable.
Je veut dire rien de vraiment marquant et pas de belles phrases bien tournées, ni de style mémorable.
Ton idée reste bien exploitée mais il y a uniquement 2 dimensions alors que ça aurais été moins plat en ayant plus de dimensions(en força,nt le champ lexical de la guerre par exemple).
En espérant que tu ne pense pas que le mot critique ai quelque chose de péjoratif, c'est tout le contraire pour moi:
" Au large l'ont pouvait voir d'autres navires, plus importants, sur lesquelles ont devinés un peu d'agitation."
Quel est le sujet de la phrase? Un peu redondant ce son "ont" dans la structure de la phrase.
A quoi sert cette phrase? Je comprends que tu nous met dans le contexte du débarquement de Normandie avec le titre donc elle est un peu inutile dans l'esprit de la micro-nouvelle?
Et sans le titre elle n'ajoute rien non plus puisque l'on perds toute la compréhension jusqu'à "qui prenant un pistolet un autre s'emparant d'un fusil. ", bref c'est ton titre uniquement qui nous met dans l'anticipation.
Puisque que toute ton idée astucieuse est de jouer sur l'ambiguité n'aurais il pas été mieux qu'une phrase(surtout en début/accroche de texte) qui joue sur l'ambiguité entre une flotte de bateaux de plaisance et une de navires de guerres soit évidente, une sorte de fusil de Tchekov(ou plutôt pièce d'intrigue en laissant planer un doute) mais employé en figure littéraire aurais été mieux ou carrément la supprimer puisqu'elle n'apporte rien.
Cela marcherait très bien par ex. aussi avec des éclabnoussures et explosions de sables qui jouerait sur ton mabiguité principe de l'histoire, genre tranchée/pillonage d'obus qui serait pied de bambin jouant dans le sable et laissant des cratères...
" mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, presque vautrés, sur le sable."
Pourquoi presque alors que:
" mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, vautrés, sur le sable."
le presque atténue la phrase alors que donner de l'emphase rendrait la chute/twist plus forte.
Moi aussi j'ai été sortit de la suspension d'incrédulité par l'impression de balles de pistolets à eau. C'est dommage sur si peu de phrases et atténue aussi la puissance de la chute. Au lieu de rester marqué par la chute en fin de lecture je cherchais à comprendre de quelles balles il s'agit parce que ça ne correspond pas au projectile des pistolets à eaux, j'étais hors de ton récit et c'est dommage.
C'est bien que tu parle de Haïku car justement je vois l'haïku(une forme dont je suis pas vraiment coutumier) comme l'art du bonzaï: du ciselé , le long devenant court. P-e pour enrichir tes textes faire plus pour ensuite tailler dans le gras pour arriver à la forme raccourcie/sélectionner la meilleure tournure. Ou encore pour éviter la platitude de phrases un peu banales t'orienter vers une écriture plus poétique/lyrique/enrichie en figure de styles/assonances ou autres idées(je veut dire avec un style marqué, à toi de voir celui qui te convient).
En tout cas j'ai quand même été emporté par le récit, on est bien plongé dans le récit et ça uniquement grâce au titre "d-day". Si tu l'enléve il manque quelque chose, une radicalité selon moi pour une idée aussi radicale que la guerre ou les plages de St-Tropez à Nice(que je cvonnais bien) qui sont bondées de touristes cramant au soleil. Bonne idée prenante mais manque d'un peu de richesse/générosité dans l'écriture. Il me smeble que tu est amateur de polar et c'est p-e ça le soucis, le polar vise la crédibilité/réalisme d'une intrigue qui s'installe petit à petit, dévoilant les pièces d'un puzzle progressivement, et sur un tel texte et la forme micro-nouvelle je pense qu'il serait préférable de se concentrer sur la narration(la forme puisque le fond tient en une phrase: faire croire à la guerre mais en vrai c'est pour du faux).
J'ai pensé aussi à Frederic Brown. Mais en recueil de nouvelles l'avantage c'est que l'on ne reste pas sur sa faim à la fin de la nouvelle puisqu'on peut passer à la suivante et pareil si on a pas aimer l'une des micro-nouvelle la suivante est là pour rattraper le coup(c'est l'impression que j'ai eu en lisant Fantômes et farfafouilles).
Mais c'est vrai que ça manque de travail pour que ça reste mémorable.
Je veut dire rien de vraiment marquant et pas de belles phrases bien tournées, ni de style mémorable.
Ton idée reste bien exploitée mais il y a uniquement 2 dimensions alors que ça aurais été moins plat en ayant plus de dimensions(en força,nt le champ lexical de la guerre par exemple).
En espérant que tu ne pense pas que le mot critique ai quelque chose de péjoratif, c'est tout le contraire pour moi:
" Au large l'ont pouvait voir d'autres navires, plus importants, sur lesquelles ont devinés un peu d'agitation."
Quel est le sujet de la phrase? Un peu redondant ce son "ont" dans la structure de la phrase.
A quoi sert cette phrase? Je comprends que tu nous met dans le contexte du débarquement de Normandie avec le titre donc elle est un peu inutile dans l'esprit de la micro-nouvelle?
Et sans le titre elle n'ajoute rien non plus puisque l'on perds toute la compréhension jusqu'à "qui prenant un pistolet un autre s'emparant d'un fusil. ", bref c'est ton titre uniquement qui nous met dans l'anticipation.
Puisque que toute ton idée astucieuse est de jouer sur l'ambiguité n'aurais il pas été mieux qu'une phrase(surtout en début/accroche de texte) qui joue sur l'ambiguité entre une flotte de bateaux de plaisance et une de navires de guerres soit évidente, une sorte de fusil de Tchekov(ou plutôt pièce d'intrigue en laissant planer un doute) mais employé en figure littéraire aurais été mieux ou carrément la supprimer puisqu'elle n'apporte rien.
Cela marcherait très bien par ex. aussi avec des éclabnoussures et explosions de sables qui jouerait sur ton mabiguité principe de l'histoire, genre tranchée/pillonage d'obus qui serait pied de bambin jouant dans le sable et laissant des cratères...
" mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, presque vautrés, sur le sable."
Pourquoi presque alors que:
" mais tout autour d'eux ce n'était que corps allongés, vautrés, sur le sable."
le presque atténue la phrase alors que donner de l'emphase rendrait la chute/twist plus forte.
Moi aussi j'ai été sortit de la suspension d'incrédulité par l'impression de balles de pistolets à eau. C'est dommage sur si peu de phrases et atténue aussi la puissance de la chute. Au lieu de rester marqué par la chute en fin de lecture je cherchais à comprendre de quelles balles il s'agit parce que ça ne correspond pas au projectile des pistolets à eaux, j'étais hors de ton récit et c'est dommage.
C'est bien que tu parle de Haïku car justement je vois l'haïku(une forme dont je suis pas vraiment coutumier) comme l'art du bonzaï: du ciselé , le long devenant court. P-e pour enrichir tes textes faire plus pour ensuite tailler dans le gras pour arriver à la forme raccourcie/sélectionner la meilleure tournure. Ou encore pour éviter la platitude de phrases un peu banales t'orienter vers une écriture plus poétique/lyrique/enrichie en figure de styles/assonances ou autres idées(je veut dire avec un style marqué, à toi de voir celui qui te convient).
En tout cas j'ai quand même été emporté par le récit, on est bien plongé dans le récit et ça uniquement grâce au titre "d-day". Si tu l'enléve il manque quelque chose, une radicalité selon moi pour une idée aussi radicale que la guerre ou les plages de St-Tropez à Nice(que je cvonnais bien) qui sont bondées de touristes cramant au soleil. Bonne idée prenante mais manque d'un peu de richesse/générosité dans l'écriture. Il me smeble que tu est amateur de polar et c'est p-e ça le soucis, le polar vise la crédibilité/réalisme d'une intrigue qui s'installe petit à petit, dévoilant les pièces d'un puzzle progressivement, et sur un tel texte et la forme micro-nouvelle je pense qu'il serait préférable de se concentrer sur la narration(la forme puisque le fond tient en une phrase: faire croire à la guerre mais en vrai c'est pour du faux).
J'ai pensé aussi à Frederic Brown. Mais en recueil de nouvelles l'avantage c'est que l'on ne reste pas sur sa faim à la fin de la nouvelle puisqu'on peut passer à la suivante et pareil si on a pas aimer l'une des micro-nouvelle la suivante est là pour rattraper le coup(c'est l'impression que j'ai eu en lisant Fantômes et farfafouilles).
Merci pour tous vos commentaires, sur une nouvelle faible, certes, mais qui ne peut que me faire avançer . Je trouve que VE prend tout son sens ainsi. Je ne suis pas contre la critique car les votres tendent à me montrer mes erreurs et mes impasses. Merci encore.
Je ne savais pas qu'on avait un atelier d'écriture , avec des correcteurs :-))
Pitié il ne faut pas écrire "comme"...
Spontanéité...VE c'est pour ca non ?
Pitié il ne faut pas écrire "comme"...
Spontanéité...VE c'est pour ca non ?
Je pense que Magicite en toute bienveillance a parfaitement joué le jeu au contraire. Ses remarques me paraissent tout à fait pertinentes et cette implication n'est-elle pas ce que Spirit a toujours demandé.?
Je réfute toute spontanéité en la matière (sauf peut-être pour certains exercices de VE vu les contraintes de temps). Un texte abouti demande au contraire beaucoup de travail et de remise sur le métier, la difficulté étant qu'au final cela ne doit pas se voir...
Je réfute toute spontanéité en la matière (sauf peut-être pour certains exercices de VE vu les contraintes de temps). Un texte abouti demande au contraire beaucoup de travail et de remise sur le métier, la difficulté étant qu'au final cela ne doit pas se voir...
Je pense que Magicite en toute bienveillance a parfaitement joué le jeu au contraire. Ses remarques me paraissent tout à fait pertinentes et cette implication n'est-elle pas ce que Spirit a toujours demandé.?
Je réfute toute spontanéité en la matière (sauf peut-être pour certains exercices de VE vu les contraintes de temps). Un texte abouti demande au contraire beaucoup de travail et de remise sur le métier, la difficulté étant qu'au final cela ne doit pas se voir...
Je ne vois pas pourquoi on devrait "réfuter " toute spontanéité en écriture ! Et surtout cette spontanéité est simplement le reflet d'une intention et envie profonde...et surtout elle n'exclue pas le travail de correction et de reprise au contraire ! De plus qu'est-ce donc qu'un texte "abouti" ? Qui en est vraiment capable d'en juger ? Tout dépend de ce qu'à priori on est sensible , de ce qui caractérise le style et c'est très subjectif...Vouloir "faire comme" tel ou tel auteur au départ peut satisfaire pour un travail bien fait, mais sur ce modèle on va se trouver avec des milliers d'ecrits !!! L'inspiration c'est bien autre chose....
Je ne critique pas les remarques faites sur le texte de Spirit et qui sont sans doute pertinentes ; celles de Magicite m'ont amusées car Magicite est bien hors normes et son style est unique et pour moi c'est ce qui est intéressant....:-)
Spirit a de l'imagination, de l'envie à l'extrême , personnellement je ne vois pas pourquoi nous devrions le corriger pour le conduire vers une sorte de normalité qui ne correspond pas forcément à une meilleure qualiité...
Moi je trouve qu'il ne fait pas l'effort de nous presenter un texte corrigé de l'ortographe. Je sais tres bien que l'on peut tous faire des fautes et je ne juge pas ça mais ça déforme ces textes au point parfois de créer des incompréhensions ; certains corrigés deviennent très beaux et ça me fait mal pour lui....Je ne me serais jamais permis de dire ça s'il n'y avait pas eu toutes ces corrections sur son texte...Et je ne me permettrais non plus de lui dire comment écrire...
On est d'accord ce n'est que mon avis...
Orthotraphe :,))
Bonjour, ne vous prenez pas la tête pour ce texte . je prend en compte tout ce que vous dites et tenterais de rectifier à l'avenir ( sans y laisser l'âme de mes textes ). Mais merci de prendre position pour ou contre.
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