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L'explosion fut immense, son souffle nous plaquât tous au sol, nous laissant hagard et groggy.
Nous avions tous une idée de ce qu'il venait de se passer sans oser lui donner un nom. Ça devait arriver un jour, nous pensions avoir plus de temps mais non, nos dirigeants laissant aller les choses trop loin nous avaient menés vers ce carnage, cette catastrophe.
Ils nous restaient deux lampes à disposition, ceux qui n'avaient que peut étés touchés s'étaient portés au secours des autres. Certains étaient morts, d'autres blessés plus ou moins gravement. Nous n'avions pas de trousses de secours et c'est avec les moyens du bord que nous avons essayés de parer aux blessures les plus graves. Cela nous prit un temps important que nous ne pouvions mesurer car nos montres étaient toutes cassées suites aux chocs.
Ensuite se fut l'attente, vaine peut être, pourtant ils nous étaient impossible de nous déplacer à cause des blessés ; nous n'avions pas non plus de nourriture et d'eau, resté l'immobilité et l'espoir que quelqu'un viendrait nous chercher.
La première lampe nous lâchât rapidement suivit par la seconde quelques minutes après. Dans le noir les choses prennent des proportions différentes, plus angoissantes.La poussière noire continuait à retomber au sol et nous la respirions chaque instant.
Nous ne dormions pas vraiment plutôt des micro siestes qui ne nous permettaient pas de récupérer des forces.
Lorsque l'on ne peut le mesurer, le temps, semble s'allonger. Tout occupés à respirer par petite goulées cette air vicié nous ne faisions qu'écouter le silence et attendre un miracle.
Pendant que nous attendions les plus mal en point d'entre nous râlaient ce qui était rassurant car quand ont entendait plus les râles c'était souvent que notre compagnons était mort. Nous ne comptions plus, trop dure.
L'un d'entre nous tout à coup s'écria : « taisez-vous, écoutez, j'ai entendus un bruit », tout le monde se tut et effectivement nous entendîmes des bruits lointains mais qui semblaient se rapprocher. Les bruits étaient de plus en plus audibles jusqu'à emplir l'espace. Le moral remontait et soudainement une lumière jaillit devant nous, s'intensifiant petit à petit.
Une voix se fit entendre : « Gardez espoir, c'est bientôt terminé. Quand la mine c'est écroulée une équipe s'est immédiatement réunis pour creuser... »
Nous avions tous une idée de ce qu'il venait de se passer sans oser lui donner un nom. Ça devait arriver un jour, nous pensions avoir plus de temps mais non, nos dirigeants laissant aller les choses trop loin nous avaient menés vers ce carnage, cette catastrophe.
Ils nous restaient deux lampes à disposition, ceux qui n'avaient que peut étés touchés s'étaient portés au secours des autres. Certains étaient morts, d'autres blessés plus ou moins gravement. Nous n'avions pas de trousses de secours et c'est avec les moyens du bord que nous avons essayés de parer aux blessures les plus graves. Cela nous prit un temps important que nous ne pouvions mesurer car nos montres étaient toutes cassées suites aux chocs.
Ensuite se fut l'attente, vaine peut être, pourtant ils nous étaient impossible de nous déplacer à cause des blessés ; nous n'avions pas non plus de nourriture et d'eau, resté l'immobilité et l'espoir que quelqu'un viendrait nous chercher.
La première lampe nous lâchât rapidement suivit par la seconde quelques minutes après. Dans le noir les choses prennent des proportions différentes, plus angoissantes.La poussière noire continuait à retomber au sol et nous la respirions chaque instant.
Nous ne dormions pas vraiment plutôt des micro siestes qui ne nous permettaient pas de récupérer des forces.
Lorsque l'on ne peut le mesurer, le temps, semble s'allonger. Tout occupés à respirer par petite goulées cette air vicié nous ne faisions qu'écouter le silence et attendre un miracle.
Pendant que nous attendions les plus mal en point d'entre nous râlaient ce qui était rassurant car quand ont entendait plus les râles c'était souvent que notre compagnons était mort. Nous ne comptions plus, trop dure.
L'un d'entre nous tout à coup s'écria : « taisez-vous, écoutez, j'ai entendus un bruit », tout le monde se tut et effectivement nous entendîmes des bruits lointains mais qui semblaient se rapprocher. Les bruits étaient de plus en plus audibles jusqu'à emplir l'espace. Le moral remontait et soudainement une lumière jaillit devant nous, s'intensifiant petit à petit.
Une voix se fit entendre : « Gardez espoir, c'est bientôt terminé. Quand la mine c'est écroulée une équipe s'est immédiatement réunis pour creuser... »
C'est marrant cette fascination pour la guerre et les catastrophes.
Cette vision fantasmatique...
Cette vision fantasmatique...
Ce n'est ni marrant ni amusant, je suis fait pour partie de ça mais ce n'est en rien une fascination. Les journaux et autres moyen d'information ne relate pas beaucoup de bonnes nouvelles. Quand j'écris, mon " style" ( c'est très prétencieux ) veut qu'il y est une chute, j'aime ça, et donc soit elle est joyeuse ou neutre soit elle est plus noire.
...et puis tu sais c'est gentil de mettre un commentaire après mon texte (ils n'y en a pas ènormement) ce serait mieux s'il parlait du style, de la forme, même si tu le trouve mauvais tu peux le dire, car ton commentaire à plutôt à faire du coté des autres forums. Il ne m'apporte rien qui puisse me faire progresser dans mon plaisir d'écrire.
C’est un drame qui est bien raconté, d’une manière très intense et ça se lit d’un seul coup.
Tu donnes l’impression d’écrire très facilement.
Tu donnes l’impression d’écrire très facilement.
C’est un drame qui est bien raconté, d’une manière très intense et ça se lit d’un seul coup.
Tu donnes l’impression d’écrire très facilement.
Tout dépend de l'inspiration, parfois c'est un mot ou un truc que je vois ou entend et des fois je suis vide....
Merce pour ton commentaire, c'est gentil.
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