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Merci pour votre critique que, bien que différente, voire opposée à mon ressenti, est argumentée.
De plus, j'ai peut-être compris quelque chose lorsque vous associez polar et poésie. En ce qui concerne la poésie "classique", la première et son bac français ont réussi à ce que je supporte plus ce type de littérature. C'est probablement ce qui a engendré ce rejet.
Pour Camus ou Proust, je n'ai pas dit que les retrouve dans ce roman. J'ai seulement dit que j'y ai retrouvé l'ennui engendré par ces auteurs. J'ai lu "la peste" durant la période de confinement. Je n'en pouvais plus de ces dissertations sans fin dont je ne comprenais pas l'intention. Proust, je l'ai essayé, réessayé, je l'ai tenté sous plusieurs formes, y compris la BD... c'est au-dessus de mes forces. Je m'ennuie profondément : ça n'avance pas, les personnages ne savent pas ce qu'ils veulent, on n'aboutit à rien, même pas à un questionnement pour soi.
Si cet auteur est apprécie, c'est qu'il a des mérites, mais, comme déjà dit dans ma critique, ce type de littérature n'est définitivement pas pour moi. Cela me laisse une frustration de ne pas pouvoir l'apprécier, tout comme j'aimerais apprécier les randonnées mais je m'y ennuie autant qu'à lire Proust... Proust est encore devant la randonnée je pense.
La poésie de Prévert me plaît par contre.
Je ne suis pas hostile à un croisement entre polar et poésie mais il me semble que ce sont deux univers bien différents... ou alors, un meurtre dans la milieu de la poésie pour une question de vers boiteux ?
Bien cordialement
De plus, j'ai peut-être compris quelque chose lorsque vous associez polar et poésie. En ce qui concerne la poésie "classique", la première et son bac français ont réussi à ce que je supporte plus ce type de littérature. C'est probablement ce qui a engendré ce rejet.
Pour Camus ou Proust, je n'ai pas dit que les retrouve dans ce roman. J'ai seulement dit que j'y ai retrouvé l'ennui engendré par ces auteurs. J'ai lu "la peste" durant la période de confinement. Je n'en pouvais plus de ces dissertations sans fin dont je ne comprenais pas l'intention. Proust, je l'ai essayé, réessayé, je l'ai tenté sous plusieurs formes, y compris la BD... c'est au-dessus de mes forces. Je m'ennuie profondément : ça n'avance pas, les personnages ne savent pas ce qu'ils veulent, on n'aboutit à rien, même pas à un questionnement pour soi.
Si cet auteur est apprécie, c'est qu'il a des mérites, mais, comme déjà dit dans ma critique, ce type de littérature n'est définitivement pas pour moi. Cela me laisse une frustration de ne pas pouvoir l'apprécier, tout comme j'aimerais apprécier les randonnées mais je m'y ennuie autant qu'à lire Proust... Proust est encore devant la randonnée je pense.
La poésie de Prévert me plaît par contre.
Je ne suis pas hostile à un croisement entre polar et poésie mais il me semble que ce sont deux univers bien différents... ou alors, un meurtre dans la milieu de la poésie pour une question de vers boiteux ?
Bien cordialement
Bonjour.
Je vous remercie de l'intérêt pour ma critique et regrette que vous n'ayez pas pu apprécier ce roman, mais chacun perçoit les choses à sa façon, avec sa sensibilité. Je ne me suis jamais ennuyé avec Camus et Proust, qui ne se ressemblent pas du tout. Pour Proust, je peux le concevoir plus aisément. Peut-être une forme de clacissisme ou d'académisme vous a-t-il rebuté. Mais il me semble que l'originalité de cette oeuvre dans sa forme et les rebondissements de sa narration permettent d'emporter l'adhésion.
Je vous remercie de l'intérêt pour ma critique et regrette que vous n'ayez pas pu apprécier ce roman, mais chacun perçoit les choses à sa façon, avec sa sensibilité. Je ne me suis jamais ennuyé avec Camus et Proust, qui ne se ressemblent pas du tout. Pour Proust, je peux le concevoir plus aisément. Peut-être une forme de clacissisme ou d'académisme vous a-t-il rebuté. Mais il me semble que l'originalité de cette oeuvre dans sa forme et les rebondissements de sa narration permettent d'emporter l'adhésion.
.Mimi62, ça peut se comprendre, ne faisons pas de complexe. Moi aussi j’avais relu « la Peste » et je m’étais ennuyé. C’est terriblement daté. Il paraît qu’à l’époque, sous l’occupation, il fallait y voir une critique du nazisme ! Mais… boff !
Pour Camus ou Proust, (...) J'ai seulement dit que j'y ai retrouvé l'ennui engendré par ces auteurs. J'ai lu "la peste" (...)
Proust, je l'ai essayé, réessayé, je l'ai tenté sous plusieurs formes, y compris la BD... c'est au-dessus de mes forces. Je m'ennuie profondément (...) ce type de littérature n'est définitivement pas pour moi. Cela me laisse une frustration de ne pas pouvoir l'apprécier, (...)
Sur mon élan, j’avais relu « l’Étranger » et ça m’a réconcilié avec Camus.
Proust est un phénomène de la littérature. Il a ses supporters inconditionnels et ses pires détracteurs parmi les grands connaisseurs des classiques. Donc, pas de complexe !
Personnellement, je le lis de temps en temps, par petites tranches, et plutôt par curiosité. Je trouve que c’est à la fois prodigieux et un peu pelant. Mais je continue… surtout quand il pleut dehors.
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