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Je me levais avec la pluie qui tambourinée aux fenêtres, je n'aimais pas les jours qui s’annonçaient ainsi, humides. Je descendis à la cuisine et chemin faisant je décidais de ne pas sortir. Je me contenterait de poursuivre l'écriture de mon livre.
Je me fit des œufs et du bacon, j'aimais bien ce petit déjeuner cela me rappelais nos vacances en Irlande. Je le pris debout devant la fenêtre que la pluie arrosait toujours. La météo n'avait pas annoncé de temps humide juste un ciel gris et un léger vent d'est mais ce ne serait pas la première erreur des services de météorologies.
Je lavais les ustensiles de mon petit déjeuner et montais dans la salle de bains prendre une douche et me brosser les dents. Cela me prit trente minutes ensuite je descendit dans mon bureau pour écrire. Les idées vinrent assez facilement et je remplis plusieurs pages avant midi. Toute cette réflexion m'avait donné fin et je me préparais deux côtelettes d'agneau avec des flageolets. S'il ne tenait qu'a moi je ne mangerais que ce plat mais mon entourage,médecin compris, me répétait sans cesses de varier mes menus, surtout avec ma vie sédentaire. Je n'allais pas me mettre à courir dehors pour ma santés surtout avec des temps comme aujourd'hui. Il pleuvait toujours.
Je retournais dans mon bureau et m’allongeais sur le vieux canapé aux ressorts distendus, je ne le changeais pas car sa vétusté m’empêchait de dormir dessus plus d'une demi heure, pas besoin de réveil et quand mon dos criait halte dans mon cerveau je me remettais à mon bureau pour poursuivre mon travail. Je restais ainsi jusqu'à cinq heures sans m’arrêter sinon pour regarder cette pluie qui sans discontinuer me pourrissait mon humeur.
Vers dix huit heures ma femme rentra de son boulot. La porte à peine refermé elle me dit : « Dis donc chéri!tu n'est pas sorti aujourd'hui les arroseurs pour la pelouse sont complètements fichus, ils marchent au maximum depuis ce matin, je suis trempé, vas donc les arrêter s'il te plaît !
Je me fit des œufs et du bacon, j'aimais bien ce petit déjeuner cela me rappelais nos vacances en Irlande. Je le pris debout devant la fenêtre que la pluie arrosait toujours. La météo n'avait pas annoncé de temps humide juste un ciel gris et un léger vent d'est mais ce ne serait pas la première erreur des services de météorologies.
Je lavais les ustensiles de mon petit déjeuner et montais dans la salle de bains prendre une douche et me brosser les dents. Cela me prit trente minutes ensuite je descendit dans mon bureau pour écrire. Les idées vinrent assez facilement et je remplis plusieurs pages avant midi. Toute cette réflexion m'avait donné fin et je me préparais deux côtelettes d'agneau avec des flageolets. S'il ne tenait qu'a moi je ne mangerais que ce plat mais mon entourage,médecin compris, me répétait sans cesses de varier mes menus, surtout avec ma vie sédentaire. Je n'allais pas me mettre à courir dehors pour ma santés surtout avec des temps comme aujourd'hui. Il pleuvait toujours.
Je retournais dans mon bureau et m’allongeais sur le vieux canapé aux ressorts distendus, je ne le changeais pas car sa vétusté m’empêchait de dormir dessus plus d'une demi heure, pas besoin de réveil et quand mon dos criait halte dans mon cerveau je me remettais à mon bureau pour poursuivre mon travail. Je restais ainsi jusqu'à cinq heures sans m’arrêter sinon pour regarder cette pluie qui sans discontinuer me pourrissait mon humeur.
Vers dix huit heures ma femme rentra de son boulot. La porte à peine refermé elle me dit : « Dis donc chéri!tu n'est pas sorti aujourd'hui les arroseurs pour la pelouse sont complètements fichus, ils marchent au maximum depuis ce matin, je suis trempé, vas donc les arrêter s'il te plaît !
Spirit est breton. La pluie qui intervient souvent dans ses écrits n'est donc qu'une sorte d'atavisme qui remonte à la surface. Pourtant ... à y bien regarder, là, il s'agirait plutôt d'une pluie second degré.
Une rareté, un texte de Spirit centré sur la dérision et l'humour.
Et à la réflexion, pas étonnant que tu nous proposes d'un coup une palanquée de textes ; tu vis en Bretagne et tu restes à écrire à ton bureau quand il pleut !
Une rareté, un texte de Spirit centré sur la dérision et l'humour.
Et à la réflexion, pas étonnant que tu nous proposes d'un coup une palanquée de textes ; tu vis en Bretagne et tu restes à écrire à ton bureau quand il pleut !
Spirit est breton. La pluie qui intervient souvent dans ses écrits n'est donc qu'une sorte d'atavisme qui remonte à la surface. Pourtant ... à y bien regarder, là, il s'agirait plutôt d'une pluie second degré.
Une rareté, un texte de Spirit centré sur la dérision et l'humour.
Et à la réflexion, pas étonnant que tu nous proposes d'un coup une palanquée de textes ; tu vis en Bretagne et tu restes à écrire à ton bureau quand il pleut !
@ Titsou : Pour le coup, l'ambiance de la nouvelle n'est pas très bretonne : pas besoin d'arrosage automatique en Bretagne !!! :D Sinon, petite blague : est-ce que tu sais comment, en Bretagne, on devine que l'été arrive ? Simple : la pluie est plus chaude !!!
@ Spirit : La chute m'a fait sourire mais, même si ce ne gâche pas le texte, j'ai été frappé par le nombre de coquilles dans le texte, dont certaines cassent un peu la lecture (comme fin pour faim) ! Je ne sais pas si tu écris directement dans la fenêtre du site mais, si c'est le cas, tu gagnerais peut-être à d'abord écrire le texte sous word, ce qui est plus facile pour une relecture, puis le copier sur le site.
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