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Bonjour DBZ
En lisant ta chronique, je ne peux m'empêcher de penser au "Chat Murr" d'hoffmann qui lui se piquait d'art et de science.
Quant au titre, l'auteur n'aurait-il pas été inspiré (même inconsciemment) par l'incipit de "Souvenirs pieux" de Yourcenar, "L'être que j'appelle moi...", une ouverture qui m'avait suffisamment marquée pour me rester à l'esprit. Va savoir...;-)
En lisant ta chronique, je ne peux m'empêcher de penser au "Chat Murr" d'hoffmann qui lui se piquait d'art et de science.
Quant au titre, l'auteur n'aurait-il pas été inspiré (même inconsciemment) par l'incipit de "Souvenirs pieux" de Yourcenar, "L'être que j'appelle moi...", une ouverture qui m'avait suffisamment marquée pour me rester à l'esprit. Va savoir...;-)
Bonjour DBZ
En lisant ta chronique, je ne peux m'empêcher de penser au "Chat Murr" d'hoffmann qui lui se piquait d'art et de science.
Quant au titre, l'auteur n'aurait-il pas été inspiré (même inconsciemment) par l'incipit de "Souvenirs pieux" de Yourcenar, "L'être que j'appelle moi...", une ouverture qui m'avait suffisamment marquée pour me rester à l'esprit. Va savoir...;-)
Il me semble avoir vu quelque par que le titre avait une signification mais je suis passé vite dessus.
J'ai été plus inspiré par les chats qui, pour moi, évoquent surtout la littérature japonaise, j'en ai lu beaucoup chez Picquier pendant une dizaine d'années.
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