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Aller bien ne doit pas être une routine
Celui pour qui tout va bien depuis un bon moment, ne s’aperçoit plus que tout va bien pour lui car son bien être devient une routine, ainsi il y a de forte chance pour que son esprit se concentre sur des petits désagréments qui n’entache normalement devrait pas entacher son bien être car très minimalistes. C’est alors qu’il ressentira une sensation de stress qui pourra s’amplifie jusqu’à devenir permanent, surtout dans une société ou la tentation présente éveille en nous de multiples désire que nous ne pouvons assouvir donc génère de la frustration.
A moins de faire un travail sur lui-même, il sera privé de ressentir se bien être dans la quel il baigne pourtant.
Ce qui permet d’apprécié le fait d’aller bien c’est de connaitre des moments ou quelque chose ne va pas.
Il existe aussi certain désagréments, qui a l’ instant T nous donne un malaise, mais qui une fois passé nous permettront d’apprécié le semple fait d’aller bien ou au moins a peut prés bien. Lorsque l’on sait pertinemment que ce désagrément n’est que passager, autant ne pas focalisé dessus et se pourri l’instant présent mais ce préparer à l’idée du bien être procuré par la disparition de ce désagrément.
J’ai inconsciemment développé cette technique un jour que j’avais mal aux dents, je savais que deux jour plupart j’irais chez mon dentiste et que 30 minute plus tard la douleur sera partie, alors je me suis concentré sur le faite que cette douleur présente à l’instant T sera une occasion d’apprécié le simple fait de ne pas avoir mal après mon passage sur le siège du dentiste.
Bien sûr nombre de désagréments me pose encore du fil à retordre sur lesquels je n’arrive pas à projeter de fin. Mais il existe multitude de désagrément qui nous permette d’apprécié le bien être quand ils disparaissent ou s’estompent.
Cet exemple peut paraitre stupide, mais je trouve qu’il illustre bien :
Quand ça nous démange, ça fait du bien de se gratter, alors il faut perçoir la démangeaison n’ont pas comme une sensation désagréable mais où en occasion de se soulagé en ça grattant.
Celui pour qui tout va bien depuis un bon moment, ne s’aperçoit plus que tout va bien pour lui car son bien être devient une routine, ainsi il y a de forte chance pour que son esprit se concentre sur des petits désagréments qui n’entache normalement devrait pas entacher son bien être car très minimalistes. C’est alors qu’il ressentira une sensation de stress qui pourra s’amplifie jusqu’à devenir permanent, surtout dans une société ou la tentation présente éveille en nous de multiples désire que nous ne pouvons assouvir donc génère de la frustration.
A moins de faire un travail sur lui-même, il sera privé de ressentir se bien être dans la quel il baigne pourtant.
Ce qui permet d’apprécié le fait d’aller bien c’est de connaitre des moments ou quelque chose ne va pas.
Il existe aussi certain désagréments, qui a l’ instant T nous donne un malaise, mais qui une fois passé nous permettront d’apprécié le semple fait d’aller bien ou au moins a peut prés bien. Lorsque l’on sait pertinemment que ce désagrément n’est que passager, autant ne pas focalisé dessus et se pourri l’instant présent mais ce préparer à l’idée du bien être procuré par la disparition de ce désagrément.
J’ai inconsciemment développé cette technique un jour que j’avais mal aux dents, je savais que deux jour plupart j’irais chez mon dentiste et que 30 minute plus tard la douleur sera partie, alors je me suis concentré sur le faite que cette douleur présente à l’instant T sera une occasion d’apprécié le simple fait de ne pas avoir mal après mon passage sur le siège du dentiste.
Bien sûr nombre de désagréments me pose encore du fil à retordre sur lesquels je n’arrive pas à projeter de fin. Mais il existe multitude de désagrément qui nous permette d’apprécié le bien être quand ils disparaissent ou s’estompent.
Cet exemple peut paraitre stupide, mais je trouve qu’il illustre bien :
Quand ça nous démange, ça fait du bien de se gratter, alors il faut perçoir la démangeaison n’ont pas comme une sensation désagréable mais où en occasion de se soulagé en ça grattant.
Cet exemple peut paraitre stupide, mais je trouve qu’il illustre bien :
Quand ça nous démange, ça fait du bien de se gratter, alors il faut perçoir la démangeaison n’ont pas comme une sensation désagréable mais où en occasion de se soulagé en ça grattant.
Haha ! J'ai bien ri. Comparaison très amusante, mais facilement détournable (il faut se taper la tête contre les murs car on se fait du bien quand on s'arrête?)
Ca me rappelle ce qui est présenté comme un proverbe oriental :
“Les temps difficiles produisent les hommes forts, les hommes forts engendrent les temps de prospérité et de stabilité.
Les temps de prospérité et de stabilité produisent les hommes faibles, les hommes faibles produisent les temps difficiles.”
“Les temps difficiles produisent les hommes forts, les hommes forts engendrent les temps de prospérité et de stabilité.
Les temps de prospérité et de stabilité produisent les hommes faibles, les hommes faibles produisent les temps difficiles.”
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