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Des livres au point critique
La magie s’accumule au dessus des mots, c’est pour ça que rassemblée ensemble dans des livres et dans des bibliothèques la masse de magie atteint un seuil critique, instable et prête à exploser.
Et les éruptions qui découlent de tels événements sont hautement perturbantes pour la trame même de la réalité du monde. En tout cas selon Terry Pratchett et son ookonique bibliothécaire.
Alors si nous amassons les mots dans notre tête il est possible que nous ayons déjà explosé mais de l’intérieur de la tête et par magie. C’est pour cela que l’on ne s’en aperçoit pas mais que délivré par les livres nous ayons atteint le Nirvana ou le Gérard LeNormand qui nous attends hors de l’illusion du métier à tisser des chaussettes à lanterne et napperons à vessies.
C’était mieux à vingt
Il avait toutes ses dents. Plein d’énergie et le ventre plat. La sève le parcourt comme un jeune arbre et lui fait des branches d’un émeraude doux, des frisottis vert comme un jeune saumon.
Mais les autres gros choux du carré étaient jaloux de ce bruxellois minuscule, il en auraient même fait de la bouillie s’ils ne s’étaient pas plantés à la mode de chez les choux: immobiles. Les chèvres lors d’un accident de clôture non fermée -comme par hasard...- rétablirent l’équité pour tous et supprimèrent tout communautarisme crucifère.
20 bougies et un aboutissement
Il y a vingt bougies posées sur l’autel et une nappe de soie. La cire dessinait des lignes formant un pentacle. Swaën inspira en méditant pour la sainte couverture de Bin-Shagrath son dieu et protecteur depuis son immersion dans les bassins brumeux et son voyage mystique.
Roublard dans l’ombre de l’entrée de la caverne il regarda la paume de sa main et compta les traces plus mentalement que visuellement. Chaque brûlure lui avait coûté pour plus d’expectations et de noirceur dans les mystères qui ferait de lui un des doigts de la main et permettrait de retrouver et libérer Igros.
Le sol est poussiéreux, le plafond une voûte caverneuse absorbe étrangement les flammes des chandelles coulantes, en obscurité irisée. Il y a contre un côté de la paroi un tas de tourbe. Le fond de la caverne était orné d’une peinture de créatures géantes à la peau bleu dansantes autour du foyer de leur hutte. Des Psameks venus des étoiles.
Mais le plus remarquable était les squelettes des précédents aventuriers. La quête était anecdotique mais réelle. Ce n’était qu’un intermède dans la poursuite de son objectif réel, arriver à briser sa servitude à la main et amener les siens à Phore Aermen, loin des ravages de cette guerre folle.
Le piège semblait trop élaboré,efficace pour être mécanique. Même s’il n’était pas versé dans les arts profanes il savait reconnaître la magie quand elle était aussi évidente.
Une sorcellerie plus forte que la puissance de sa prêtrise pouvait dissiper.
Deux doigts tendus devant son nez il libéra sa concentration et eut l’impression d’ouvrir les yeux pour la première fois quand l’explosion de ses sens accrus lui fit apparaître la pièce.
Les lignes d’énergie et les composants de la matière, mise au point en face et au loin à la fois.
‘Hmm il y a toujours une astuce’ se dit-il en laissant filer le pouvoir accordé par son dieu pour revenir à des sens humain.
Sa magie ne lui serait d’aucune utilité à moins…
qu’il danse dans le feu comme des géants.
Il frappa dans ses paumes en se demandant quand même s’il faisait une grosse bêtise et qu’il arriverait à esquiver le piège ou finirait avec les autres en os blanchis.
Il canalisa la force de sa foi en Bin-Shagrath en deux feu-follets dans chacune de ses mains, avança sur le sol de la caverne tout en projetant une des flammes ondulant dans sa paume sur la tourbe.
Le plafond projeta un gaz verdâtre qui s’enflamma en, étincelles scintillantes comme aspirées par le feu de tourbe. Il marqua un pas et le reste était assez simple pour un membre d’élite d’une secte d’espions organisant des guerres de l’empire. Il suffit de souffler sur les bougies magiques.
A la lumière de sa paume en feu il vit la soie glisser de l’autel pour révéler le creux d’une cache.
Enfin ce dont il avait besoin en ce moment et qui l’aiderait à poursuivre.
Un gâteau, glaçage au sucre et crème à l’intérieur.
Un mot sur le panneau d’affichage
Vente d’articles militaires de collection, provenance certifiée de conflits armés en cours ou récent. Nombreuses pièces fonctionnelles et traces d’utilisation visibles. Pour des demandes particulières n’hésitez pas à demander par avance au téléphone indiqué. Je serais dans votre quartier avec des échantillons et des images cadeaux pour les enfants, test possible sur place si vous amenez vos propres enfants.
Vinsang vendeur d’articles rares depuis plus de sang ans.
Vindiou
Il y avait un lutin qui vivait dans la boue du chemin. Passait par là une fée volante avec un narguilé qui faisait des bulles. En explosant elles faisaient BAM BAM Pang Phuiii tels tambours et fifres…
Dans ses ailes la lumière se dispersait en paillettes scintillantes et traits colorés.
Le lutin releva sa carcasse encroûtée et battit des mains, sauta des pieds vivement.
En se secouant ainsi il s’ébroua et des gouttes crottées alourdirent l’air. La fée pirouette, s’éloignant de telles cacahuètes mais elle entendit le rire du lutin.
Ce pauvre diable rigolait à grands postillons et éclats sonores : «HouaHaHahaHAHAhahahaha
Zolie bulle zouliiiii hiHiHi »
Puis comme elle planait à distance honorable dans le ciel lui il tendit la main en faisant le réacteur d’avion avec sa bouche : « brhhh fruuuuuhhh »
Après qu’il fut à court de salive il pointa son torse qu’il tapote du doigt et dit:
«Bécile le Lutin, c’est mon nom qu’on dit par les sentes et les allées bordées de fougères et de houblon à bière. »
Puis comme il ne semblait plus baver ni parler la fée ailée s’écria à son tour:
_« Belule qui file dans les airs par delà les cimes des cyprès, sous les tonnelles où s’embrassent les justes mariés et autour des fleurs de pommiers quand crient les nouveaux nés.»
_ « Zolie Belule je pourrais planter ma graine et vous l’arrosez?» et il sortit de sa poche une graine d’avocat.
« ze veut dire qu’on pourrait danzer enzemble dans dans les arc-en-ciel et griller des écureuils frais sur des bâtons au coucher du soleil! Cé tokay? Oué?»
_«Faudrait d’abord vous laver lutin Bécile. » répondit ailes à la proposition si tentante.
Vingt et un
Troyes, Foix, Sète c’est comme Marignane, tout le monde pense à un nombre. Mais qui a gagné la guerre de Troyes? Quelles armées se battaient à Marignane et contre qui les armées s’ébattent?
Au black-jack aussi, trop c’est trop mais pile c’est gagné.
Mathématiquement c’est neuf en système dozénal (base 12) mais le lapin blanc est toujours en retard, à force de regarder sa montre il perd du temps je suppose.
Début du siècle, on recycle et on décore avec les restes du dernier.
Vinsang le vends pire
C’était un vampire anémique. Il avait un petit boulot payé à la comm. et n’était pas très comme il faut. Pour preuve pas mal des gens chez qui il sonnait refusait de le laisser rentrer. Il vendait des atrocités et devait déjà porter une mallette à roulettes lourde et forcément grinçante, les commères honnêtes fermaient leur portes et volets en l’entendant approcher. Avec un nom pareil il aurait aimé être un artiste, où s’appeler Henry. C’est sûr que ce n’était pas que son nom sur sa carte de visite: « Vinsang Des Cars Pattes, les cars qui marchent pour vous.» qui montrait que c’était un vampire. Il avait de longues dents qui lui tombait sur le menton à force de pas pouvoir se payer un steak saignant et d’avoir les crocs et il se transformait en tas de poussière quand il s’exposait au soleil. Démarcheur à domicile n’est clairement pas un métier facile même quand on a déjà vendu son âme au diable, ce qui est une bonne formation initiale pour faire bonimenteur.
Clémentine
C’est pas Amandine ni la femme du mandarin. C’est pas Cerise et elle s’habille pas comme Myrtille.
Moi je la trouve fraîche, elle me désaltère, elle est pleine de vitamines et elle a ses périodes plus productives mais paresse quand il fait trop froid. N’écoutez pas les mauvaises bouches qui disent: « pas de quartier », avec elle faut le vouloir pour avoir des pépins. Elle est douce et sucrée par nature. Voilà vous en savez plus sur elle.
Histoire d’un autre temps:
C’était un temps de trouble, des fumées de ravages s’envolaient en noirs panaches par dessus les crêtes des collines. Le jeune Swaën avait fuit les combats et laissé les peines de ses pertes derrière.
Il marchait dans la forêt sans savoir qu’il tournait en rond depuis deux jours. Les racines et baies qu’il cueillait lui donnait mal au ventre sans vraiment résoudre sa faim. L’eau dans les grandes feuilles de la végétation était abondante au matin et s’en abreuver avait gardé son esprit loin du délire. Sa plaie à la taille cicatrisait mais la fatigue, l’errance et la faim de vraie nourriture allait avoir raison de lui.
Il entendit ce qu’il pensa un cri de loup et qui se répéta en canon dans la forêt. Il chercha une branche ou une grosse pierre prêt à livrer chèrement sa dernière lutte. Mais quand il entendit des pas précipités et distingua des silhouettes furtives entre ombres et arbres il sut qu’il avait affaire à une bande de sauvageons ou de brigands qui se cachaient de leurs rapines dans ce lieu, où prenait ici les voyageurs en embuscade pour les détrousser.
Quand il aperçut la jeune femme vêtue de peaux de bêtes il était trop tard, la hampe de sa lance percuta sa tempe. Sa conscience faible et fatiguée sombra dans l’obscurité de l’évanouissement tandis que ses compères de larcins s’attroupait autour de lui.
Elle s’appelait Nadza ce qui signifiait bleu du ciel dans la langue de son village d’origine.
Comme lui elle avait fui les guerres des clans de l’empire et avait rejoint les brigands de la bande de Perlemain. Maintenant après son temps de service dans les grottes d’où il n’était pas sortit depuis sa capture dans les bois il pouvait choisir s’il voulait partir auquel cas un guide le mènerait les yeux bandés hors de la forêt ou aspirer à rejoindre la bande en temps que membre actif.
Les grottes n’étaient pas des lieux étroits, poussiéreux et arides mais un habitat vaste sur plusieurs étages aménagés en quartiers principalement d’habitations, parcourus de couloirs et agrémentés de torchères. Il avait même entendu des chevaux probablement plus proche d’une issue mais dans assez d’espaces pour pouvoir les y loger. Mais ses lieux là lui étaient interdits pour son service qui consistait à différentes tâches domestiques et de transport de colis de ravitaillement.
Le chauffage était rare sinon inexistant mais la température étrangement douce.
Lors de son initiation il avais réussit la première puis la seconde épreuve.
Nadza était brune aux yeux gris, petite musculeuse et agile. Rien n’était bleu chez elle.
En tant que captif elle avait été sa garante, c’est à dire que c’est elle principalement qui avait à le surveiller. Comme il n’avait nulle intention de s’échapper ou de nuire à ses ravisseurs il avait échangé quelques conversations au fil de son temps de captif.
La première épreuve avait été une salle des dangers à passer, il s’en était sortit facilement bien qu’il se soit blessé en mésestimant la distance entre des hachoirs montés sur des cordes qui tournait.
La force et l’agilité était nécessaire pour réussir et survivre à l’épreuve de plusieurs pièges et dangers à éviter pour arriver au bout d’un parcours. C’est son habileté d’acrobate équestre qui avait permis seule son passage de l’épreuve de justesse.
La seconde épreuve avais été un choix moral déguisé et l’interrogea sur la nature même de cette bande de brigands, cela semblait trop élaboré pour de simples vagabonds réunis en bande de pillards. Après avoir déjoué la surveillance de gardes il avais eu le choix de tuer pour réussir à s’emparer d’un sac d’or ou d’échouer. Sa réussite avait été son échec à tuer l’un des Perlemain.
La troisième épreuve n’était pas décrite, elle consistait en fait à un interrogatoire avec les chefs.
Ses réponses, son comportement et son stress avaient furent évaluées. Igros l’un des doigts (les 5 chefs supérieur de la bande) le reçut une nouvelle fois pour déclarer la décision du conseil.
Ce fut une cérémonie d’acceptation dans une des grottes inférieure où bouillonnait une eau de source chaude. Il hurla lors du dernier rite d’intronisation, quand Igros lui appuya longtemps avec la lame de couteau une perle chauffée longuement dans un brasier.
La plaie guérie définitivement en une semaine et la marque de la perle était incrustée dans sa chair de façon significative. Période pendant laquelle il s’entraîna au maniement d’armes et fit connaissance avec d’autres des novices quoique plus anciens que lui. On lui fournit aussi un pourpoint de cuir clouté et un trousseau d’habits usés mais de bonne facture.
Il allait participer aux opérations des brigands. Mais quelle type d’opérations il n’en savait toujours rien et commençait à douter que ce fut un raid pour voler les villes ravagées et fermes alentour.
Igros avait 6 marques de perles sur sa main qui n’était pas gantée. Une au départ de chaque doigt, une au centre et une sur le dos de la main. C’était son fils Blomhof qui mènerait la première mission de Swaën, Nadza aussi en ferait partie de ce qu’il avait compris même si elle ne serait pas aux côtés du reste de la troupe pendant le voyage.
annonce
Je vends des poissons d’occasions, vidés et nettoyés de leur arrêtes, prévoir sac anti-odeur et répulsif à félins. Certaines pièces peuvent être incomplètes ou appartenir à des espèces de poissons non aquatiques mais toutes sont garanties conformes par la Cogema et respectueuse du label Cosa Nostra.
Je serais EXCEPTIONNELLEMENT dans votre rue le 30 du mois pour vous montrer des échantillons de personnes, un pot de gelée d’yeux offert pour les 100 première commandes effectuées avant le lever du soleil. Vinsang, représentant professionnel, peut être revenant à d’autres dates, contactez moi au numéro indiqué.
Presque vers qui riment à rien, 5
4,
Oh mers vous grondez constamment la terre
Oh montagnes vous poussez le ciel en haut
Oh flammes vous brûlez la chandelle debout
Oh oiseaux vous volez les bras tels nos jambes
3,
Hé pourquoi le préfet interdit l’humain
Hé qu’est que j’ai pour avoir cette tête
Hé c’est une fuite où les robinets rigolent
Hé il y a plus d’eau chaude, c’est glacial
2,
Ah te voilà il reste du gigot froid
Ah la bonne heure un petit verre
Ah cette confiance que tu me fais là
Ah la mémoire de . un instant de recueillement
1,
Que dire quand on a plus assez de merci?
Que faire d’autre quand on aime trop et assez pour partir
Quoi il y a marqué ouverture facile, saloperie
Qui est tu? me veux tu? C’est toi que je suis
0,
Bonne année
N’oubliez pas de trouver des résolutions:
Insérez ici n’importe quelle phrase ci dessus et essayez de vous y tenir, recommencez l’année prochaine et reprenez du gigot, c’est de l’agneau il y aussi des pois-cassés, les deux c’est bon froid.
La magie s’accumule au dessus des mots, c’est pour ça que rassemblée ensemble dans des livres et dans des bibliothèques la masse de magie atteint un seuil critique, instable et prête à exploser.
Et les éruptions qui découlent de tels événements sont hautement perturbantes pour la trame même de la réalité du monde. En tout cas selon Terry Pratchett et son ookonique bibliothécaire.
Alors si nous amassons les mots dans notre tête il est possible que nous ayons déjà explosé mais de l’intérieur de la tête et par magie. C’est pour cela que l’on ne s’en aperçoit pas mais que délivré par les livres nous ayons atteint le Nirvana ou le Gérard LeNormand qui nous attends hors de l’illusion du métier à tisser des chaussettes à lanterne et napperons à vessies.
C’était mieux à vingt
Il avait toutes ses dents. Plein d’énergie et le ventre plat. La sève le parcourt comme un jeune arbre et lui fait des branches d’un émeraude doux, des frisottis vert comme un jeune saumon.
Mais les autres gros choux du carré étaient jaloux de ce bruxellois minuscule, il en auraient même fait de la bouillie s’ils ne s’étaient pas plantés à la mode de chez les choux: immobiles. Les chèvres lors d’un accident de clôture non fermée -comme par hasard...- rétablirent l’équité pour tous et supprimèrent tout communautarisme crucifère.
20 bougies et un aboutissement
Il y a vingt bougies posées sur l’autel et une nappe de soie. La cire dessinait des lignes formant un pentacle. Swaën inspira en méditant pour la sainte couverture de Bin-Shagrath son dieu et protecteur depuis son immersion dans les bassins brumeux et son voyage mystique.
Roublard dans l’ombre de l’entrée de la caverne il regarda la paume de sa main et compta les traces plus mentalement que visuellement. Chaque brûlure lui avait coûté pour plus d’expectations et de noirceur dans les mystères qui ferait de lui un des doigts de la main et permettrait de retrouver et libérer Igros.
Le sol est poussiéreux, le plafond une voûte caverneuse absorbe étrangement les flammes des chandelles coulantes, en obscurité irisée. Il y a contre un côté de la paroi un tas de tourbe. Le fond de la caverne était orné d’une peinture de créatures géantes à la peau bleu dansantes autour du foyer de leur hutte. Des Psameks venus des étoiles.
Mais le plus remarquable était les squelettes des précédents aventuriers. La quête était anecdotique mais réelle. Ce n’était qu’un intermède dans la poursuite de son objectif réel, arriver à briser sa servitude à la main et amener les siens à Phore Aermen, loin des ravages de cette guerre folle.
Le piège semblait trop élaboré,efficace pour être mécanique. Même s’il n’était pas versé dans les arts profanes il savait reconnaître la magie quand elle était aussi évidente.
Une sorcellerie plus forte que la puissance de sa prêtrise pouvait dissiper.
Deux doigts tendus devant son nez il libéra sa concentration et eut l’impression d’ouvrir les yeux pour la première fois quand l’explosion de ses sens accrus lui fit apparaître la pièce.
Les lignes d’énergie et les composants de la matière, mise au point en face et au loin à la fois.
‘Hmm il y a toujours une astuce’ se dit-il en laissant filer le pouvoir accordé par son dieu pour revenir à des sens humain.
Sa magie ne lui serait d’aucune utilité à moins…
qu’il danse dans le feu comme des géants.
Il frappa dans ses paumes en se demandant quand même s’il faisait une grosse bêtise et qu’il arriverait à esquiver le piège ou finirait avec les autres en os blanchis.
Il canalisa la force de sa foi en Bin-Shagrath en deux feu-follets dans chacune de ses mains, avança sur le sol de la caverne tout en projetant une des flammes ondulant dans sa paume sur la tourbe.
Le plafond projeta un gaz verdâtre qui s’enflamma en, étincelles scintillantes comme aspirées par le feu de tourbe. Il marqua un pas et le reste était assez simple pour un membre d’élite d’une secte d’espions organisant des guerres de l’empire. Il suffit de souffler sur les bougies magiques.
A la lumière de sa paume en feu il vit la soie glisser de l’autel pour révéler le creux d’une cache.
Enfin ce dont il avait besoin en ce moment et qui l’aiderait à poursuivre.
Un gâteau, glaçage au sucre et crème à l’intérieur.
Un mot sur le panneau d’affichage
Vente d’articles militaires de collection, provenance certifiée de conflits armés en cours ou récent. Nombreuses pièces fonctionnelles et traces d’utilisation visibles. Pour des demandes particulières n’hésitez pas à demander par avance au téléphone indiqué. Je serais dans votre quartier avec des échantillons et des images cadeaux pour les enfants, test possible sur place si vous amenez vos propres enfants.
Vinsang vendeur d’articles rares depuis plus de sang ans.
Vindiou
Il y avait un lutin qui vivait dans la boue du chemin. Passait par là une fée volante avec un narguilé qui faisait des bulles. En explosant elles faisaient BAM BAM Pang Phuiii tels tambours et fifres…
Dans ses ailes la lumière se dispersait en paillettes scintillantes et traits colorés.
Le lutin releva sa carcasse encroûtée et battit des mains, sauta des pieds vivement.
En se secouant ainsi il s’ébroua et des gouttes crottées alourdirent l’air. La fée pirouette, s’éloignant de telles cacahuètes mais elle entendit le rire du lutin.
Ce pauvre diable rigolait à grands postillons et éclats sonores : «HouaHaHahaHAHAhahahaha
Zolie bulle zouliiiii hiHiHi »
Puis comme elle planait à distance honorable dans le ciel lui il tendit la main en faisant le réacteur d’avion avec sa bouche : « brhhh fruuuuuhhh »
Après qu’il fut à court de salive il pointa son torse qu’il tapote du doigt et dit:
«Bécile le Lutin, c’est mon nom qu’on dit par les sentes et les allées bordées de fougères et de houblon à bière. »
Puis comme il ne semblait plus baver ni parler la fée ailée s’écria à son tour:
_« Belule qui file dans les airs par delà les cimes des cyprès, sous les tonnelles où s’embrassent les justes mariés et autour des fleurs de pommiers quand crient les nouveaux nés.»
_ « Zolie Belule je pourrais planter ma graine et vous l’arrosez?» et il sortit de sa poche une graine d’avocat.
« ze veut dire qu’on pourrait danzer enzemble dans dans les arc-en-ciel et griller des écureuils frais sur des bâtons au coucher du soleil! Cé tokay? Oué?»
_«Faudrait d’abord vous laver lutin Bécile. » répondit ailes à la proposition si tentante.
Vingt et un
Troyes, Foix, Sète c’est comme Marignane, tout le monde pense à un nombre. Mais qui a gagné la guerre de Troyes? Quelles armées se battaient à Marignane et contre qui les armées s’ébattent?
Au black-jack aussi, trop c’est trop mais pile c’est gagné.
Mathématiquement c’est neuf en système dozénal (base 12) mais le lapin blanc est toujours en retard, à force de regarder sa montre il perd du temps je suppose.
Début du siècle, on recycle et on décore avec les restes du dernier.
Vinsang le vends pire
C’était un vampire anémique. Il avait un petit boulot payé à la comm. et n’était pas très comme il faut. Pour preuve pas mal des gens chez qui il sonnait refusait de le laisser rentrer. Il vendait des atrocités et devait déjà porter une mallette à roulettes lourde et forcément grinçante, les commères honnêtes fermaient leur portes et volets en l’entendant approcher. Avec un nom pareil il aurait aimé être un artiste, où s’appeler Henry. C’est sûr que ce n’était pas que son nom sur sa carte de visite: « Vinsang Des Cars Pattes, les cars qui marchent pour vous.» qui montrait que c’était un vampire. Il avait de longues dents qui lui tombait sur le menton à force de pas pouvoir se payer un steak saignant et d’avoir les crocs et il se transformait en tas de poussière quand il s’exposait au soleil. Démarcheur à domicile n’est clairement pas un métier facile même quand on a déjà vendu son âme au diable, ce qui est une bonne formation initiale pour faire bonimenteur.
Clémentine
C’est pas Amandine ni la femme du mandarin. C’est pas Cerise et elle s’habille pas comme Myrtille.
Moi je la trouve fraîche, elle me désaltère, elle est pleine de vitamines et elle a ses périodes plus productives mais paresse quand il fait trop froid. N’écoutez pas les mauvaises bouches qui disent: « pas de quartier », avec elle faut le vouloir pour avoir des pépins. Elle est douce et sucrée par nature. Voilà vous en savez plus sur elle.
Histoire d’un autre temps:
C’était un temps de trouble, des fumées de ravages s’envolaient en noirs panaches par dessus les crêtes des collines. Le jeune Swaën avait fuit les combats et laissé les peines de ses pertes derrière.
Il marchait dans la forêt sans savoir qu’il tournait en rond depuis deux jours. Les racines et baies qu’il cueillait lui donnait mal au ventre sans vraiment résoudre sa faim. L’eau dans les grandes feuilles de la végétation était abondante au matin et s’en abreuver avait gardé son esprit loin du délire. Sa plaie à la taille cicatrisait mais la fatigue, l’errance et la faim de vraie nourriture allait avoir raison de lui.
Il entendit ce qu’il pensa un cri de loup et qui se répéta en canon dans la forêt. Il chercha une branche ou une grosse pierre prêt à livrer chèrement sa dernière lutte. Mais quand il entendit des pas précipités et distingua des silhouettes furtives entre ombres et arbres il sut qu’il avait affaire à une bande de sauvageons ou de brigands qui se cachaient de leurs rapines dans ce lieu, où prenait ici les voyageurs en embuscade pour les détrousser.
Quand il aperçut la jeune femme vêtue de peaux de bêtes il était trop tard, la hampe de sa lance percuta sa tempe. Sa conscience faible et fatiguée sombra dans l’obscurité de l’évanouissement tandis que ses compères de larcins s’attroupait autour de lui.
Elle s’appelait Nadza ce qui signifiait bleu du ciel dans la langue de son village d’origine.
Comme lui elle avait fui les guerres des clans de l’empire et avait rejoint les brigands de la bande de Perlemain. Maintenant après son temps de service dans les grottes d’où il n’était pas sortit depuis sa capture dans les bois il pouvait choisir s’il voulait partir auquel cas un guide le mènerait les yeux bandés hors de la forêt ou aspirer à rejoindre la bande en temps que membre actif.
Les grottes n’étaient pas des lieux étroits, poussiéreux et arides mais un habitat vaste sur plusieurs étages aménagés en quartiers principalement d’habitations, parcourus de couloirs et agrémentés de torchères. Il avait même entendu des chevaux probablement plus proche d’une issue mais dans assez d’espaces pour pouvoir les y loger. Mais ses lieux là lui étaient interdits pour son service qui consistait à différentes tâches domestiques et de transport de colis de ravitaillement.
Le chauffage était rare sinon inexistant mais la température étrangement douce.
Lors de son initiation il avais réussit la première puis la seconde épreuve.
Nadza était brune aux yeux gris, petite musculeuse et agile. Rien n’était bleu chez elle.
En tant que captif elle avait été sa garante, c’est à dire que c’est elle principalement qui avait à le surveiller. Comme il n’avait nulle intention de s’échapper ou de nuire à ses ravisseurs il avait échangé quelques conversations au fil de son temps de captif.
La première épreuve avait été une salle des dangers à passer, il s’en était sortit facilement bien qu’il se soit blessé en mésestimant la distance entre des hachoirs montés sur des cordes qui tournait.
La force et l’agilité était nécessaire pour réussir et survivre à l’épreuve de plusieurs pièges et dangers à éviter pour arriver au bout d’un parcours. C’est son habileté d’acrobate équestre qui avait permis seule son passage de l’épreuve de justesse.
La seconde épreuve avais été un choix moral déguisé et l’interrogea sur la nature même de cette bande de brigands, cela semblait trop élaboré pour de simples vagabonds réunis en bande de pillards. Après avoir déjoué la surveillance de gardes il avais eu le choix de tuer pour réussir à s’emparer d’un sac d’or ou d’échouer. Sa réussite avait été son échec à tuer l’un des Perlemain.
La troisième épreuve n’était pas décrite, elle consistait en fait à un interrogatoire avec les chefs.
Ses réponses, son comportement et son stress avaient furent évaluées. Igros l’un des doigts (les 5 chefs supérieur de la bande) le reçut une nouvelle fois pour déclarer la décision du conseil.
Ce fut une cérémonie d’acceptation dans une des grottes inférieure où bouillonnait une eau de source chaude. Il hurla lors du dernier rite d’intronisation, quand Igros lui appuya longtemps avec la lame de couteau une perle chauffée longuement dans un brasier.
La plaie guérie définitivement en une semaine et la marque de la perle était incrustée dans sa chair de façon significative. Période pendant laquelle il s’entraîna au maniement d’armes et fit connaissance avec d’autres des novices quoique plus anciens que lui. On lui fournit aussi un pourpoint de cuir clouté et un trousseau d’habits usés mais de bonne facture.
Il allait participer aux opérations des brigands. Mais quelle type d’opérations il n’en savait toujours rien et commençait à douter que ce fut un raid pour voler les villes ravagées et fermes alentour.
Igros avait 6 marques de perles sur sa main qui n’était pas gantée. Une au départ de chaque doigt, une au centre et une sur le dos de la main. C’était son fils Blomhof qui mènerait la première mission de Swaën, Nadza aussi en ferait partie de ce qu’il avait compris même si elle ne serait pas aux côtés du reste de la troupe pendant le voyage.
annonce
Je vends des poissons d’occasions, vidés et nettoyés de leur arrêtes, prévoir sac anti-odeur et répulsif à félins. Certaines pièces peuvent être incomplètes ou appartenir à des espèces de poissons non aquatiques mais toutes sont garanties conformes par la Cogema et respectueuse du label Cosa Nostra.
Je serais EXCEPTIONNELLEMENT dans votre rue le 30 du mois pour vous montrer des échantillons de personnes, un pot de gelée d’yeux offert pour les 100 première commandes effectuées avant le lever du soleil. Vinsang, représentant professionnel, peut être revenant à d’autres dates, contactez moi au numéro indiqué.
Presque vers qui riment à rien, 5
4,
Oh mers vous grondez constamment la terre
Oh montagnes vous poussez le ciel en haut
Oh flammes vous brûlez la chandelle debout
Oh oiseaux vous volez les bras tels nos jambes
3,
Hé pourquoi le préfet interdit l’humain
Hé qu’est que j’ai pour avoir cette tête
Hé c’est une fuite où les robinets rigolent
Hé il y a plus d’eau chaude, c’est glacial
2,
Ah te voilà il reste du gigot froid
Ah la bonne heure un petit verre
Ah cette confiance que tu me fais là
Ah la mémoire de . un instant de recueillement
1,
Que dire quand on a plus assez de merci?
Que faire d’autre quand on aime trop et assez pour partir
Quoi il y a marqué ouverture facile, saloperie
Qui est tu? me veux tu? C’est toi que je suis
0,
Bonne année
N’oubliez pas de trouver des résolutions:
Insérez ici n’importe quelle phrase ci dessus et essayez de vous y tenir, recommencez l’année prochaine et reprenez du gigot, c’est de l’agneau il y aussi des pois-cassés, les deux c’est bon froid.
je joint une contribution amicale de F
Vingt ans,
tout autant de printemps,
hivers,
automnes, étés, passés,
trépassés; engloutis dans les strates des mémoires,
gardés au chaud, comme des marrons au coin du feu réconfortants et effrayants à la fois...
Vingt ans,
tout autant de printemps,
hivers,
automnes, étés, passés,
trépassés; engloutis dans les strates des mémoires,
gardés au chaud, comme des marrons au coin du feu réconfortants et effrayants à la fois...
Il y a toujours chez toi comme un débordement de mots et d'idées. Je me demande parfois si tu ne tapes pas sur deux claviers à la fois, ou si tes pattes de derrière ne sont pas elles aussi au travail à la Zerty. Mais qui? Comment? De quoi ?
Bref, je me perds un peu sur la longueur, aussi, je préfère quand tu fais court, avec "Un mot sur un panneau d'affichage", "Vindiou" et "Annonce" dans mon tiercé de tête. (j'ai gagné ?)
Bref, je me perds un peu sur la longueur, aussi, je préfère quand tu fais court, avec "Un mot sur un panneau d'affichage", "Vindiou" et "Annonce" dans mon tiercé de tête. (j'ai gagné ?)
Ca part dans tous les sens avec une écriture maîtrisée mi-sérieuse mi-délirante, pleine de verve, d'imagination, d'humour, des calembours presque too much... J'attendais que les récits se rejoignent, ou au moins se fassent écho, mais j'avoue que je suis un peu perdu !
Bouh, bouh, bouh mais qu'est-ce donc ? Où sommes-nous ? Ben dans un texte de Magicite bien sûr. Magicite. En voilà un qui n'a pas volé son pseudo. Dans Magicite, qu'entend-on ? Magi, comme magicien, magicien des mots.
Magicite doit considérer les mots à l'aune des recommandations des Grand et Petit Albert. Les ouvrages à destination de ceux qui veulent en découdre avec la réalité.
Où voulais-tu en venir précisément ? Quoi ? Tu ne le savais pas toi-même ? alors c'est gagné. Les graies de mystère sont semées et ils poussent, ils poussent ...
Sans parler de la contribution amicale de F. Merci F ! Nouveau pseudo sur C.L. ?
A propos de C.L., Magicite, lui, c'est depuis le 04/01/2006 qu'il s'est inscrit sur C.L.. Un peu plus de cinq après il franchissait la porte de Vos Ecrits (le 23/09/2011) (ce devait être dans le cadre des 10 ans de C.L. ? Et le texte laissait assez bien présager de la suite ... C'est ici
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Magicite doit considérer les mots à l'aune des recommandations des Grand et Petit Albert. Les ouvrages à destination de ceux qui veulent en découdre avec la réalité.
Où voulais-tu en venir précisément ? Quoi ? Tu ne le savais pas toi-même ? alors c'est gagné. Les graies de mystère sont semées et ils poussent, ils poussent ...
Sans parler de la contribution amicale de F. Merci F ! Nouveau pseudo sur C.L. ?
A propos de C.L., Magicite, lui, c'est depuis le 04/01/2006 qu'il s'est inscrit sur C.L.. Un peu plus de cinq après il franchissait la porte de Vos Ecrits (le 23/09/2011) (ce devait être dans le cadre des 10 ans de C.L. ? Et le texte laissait assez bien présager de la suite ... C'est ici
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Magicite prolifique comme toujours, tu as du t'amuser lors de cet exercice, mais c'est parti dans tous les sens, ou alors tu as mis bout à bout toutes les idées qui te sont passées par la tête sans vraiment choisir ?
C'est dommage, parce qu'on ne peut pas vraiment relier le tout, et difficile de commenter un texte en particulier !
Hey hey, je ne sais même pas ce que j'ai lu, je sais juste que je me suis marrée ! Pourquoi y a-t-il Gérard Le normand dans ton texte ? Mystère. Puis le texte sur Sète et Marignan, le lutin et la libellule, les poissons d'occasion... c'est un peu barré, non ? Chute dans l'inconnue garantie. Cela se lit comme les petites annonces étranges d'un magazine. Y'a pas à dire, foisonnement d'imagination dans ce chapeau de magicien !
Tu as bien fait de citer Terry Pratchett dès le début. Ce m'a permis de laisser de côté toute rationalité !
Il faut s'accrocher pour se repérer parmi tous ces écrits plus ou moins longs.
J'ai énormément aimé les jeux de mots qui m'ont souvent fait sourire.
Impressionnant !
Il faut s'accrocher pour se repérer parmi tous ces écrits plus ou moins longs.
J'ai énormément aimé les jeux de mots qui m'ont souvent fait sourire.
Impressionnant !
Je m'y perds, s'agit-il d'un ou plusieurs textes qui, comme les cadeaux s'amoncelant sous les sapins, viennent nous submerger au cas où on en aurait pas assez?
Pour les 20 ans, fallait-il qu'on soit gâtés? ;-) Ou le choix était-il trop difficile? ;-)
Bref, merci pour cette abondance où j'ai pu dénicher quelques pépites.
Pour les 20 ans, fallait-il qu'on soit gâtés? ;-) Ou le choix était-il trop difficile? ;-)
Bref, merci pour cette abondance où j'ai pu dénicher quelques pépites.
Aïe , je te réservais pour la fin parce que je me doutais que ça serait hard !
Je dois vieillir car d'habitude j'arrive à trouver la substentifique moelle de tes écrits...Mais là j'avoue j'ai renoncé..Mais je me suis donc reportée sur toutes les jolies images qui semblaient voler dans un univers très particulier, et il y en avait beaucoup...Magie sûrement, un côté Peter Pan avec la jolie libellule...la Clementine m'a interpellée puisque c'est le prénom de ma petite fille, je lui ferai donc part de ton appréciation , par tranches ou par...Par contre la gelée d'yeux m'a un peu ecoeurée...
J'ai comme l'impression que tu t'es libéré d'un fouilli qui lançait des flêches de toutes part :-)
J'espère que tu vas mieux car un de tes derniers écrits te décrivait dans un état plutôt inquiétant...Là tu as l'air d'avoir repris de la pêche :-)
J'ai bien aimé le poème de F. Il m'était plus accessible :-)
Magicite l'indéfinissable !
Je dois vieillir car d'habitude j'arrive à trouver la substentifique moelle de tes écrits...Mais là j'avoue j'ai renoncé..Mais je me suis donc reportée sur toutes les jolies images qui semblaient voler dans un univers très particulier, et il y en avait beaucoup...Magie sûrement, un côté Peter Pan avec la jolie libellule...la Clementine m'a interpellée puisque c'est le prénom de ma petite fille, je lui ferai donc part de ton appréciation , par tranches ou par...Par contre la gelée d'yeux m'a un peu ecoeurée...
J'ai comme l'impression que tu t'es libéré d'un fouilli qui lançait des flêches de toutes part :-)
J'espère que tu vas mieux car un de tes derniers écrits te décrivait dans un état plutôt inquiétant...Là tu as l'air d'avoir repris de la pêche :-)
J'ai bien aimé le poème de F. Il m'était plus accessible :-)
Magicite l'indéfinissable !
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