Merci pour l'info ! Désolée mais je suis inculte en ce qui concerne Sartre...Il n'y a pas à s'excuser de ne pas avoir lu Sartre ! Simplement, il est bien d'être guidé sans être forcé par rapport à son âge et ses envies ou les nécessités scolaires. Il n'y a pas de honte non plus donc à apprécier Cartland ou les Harlequins quand on veut se délasser et rêver, du San Antonio quand on veut parfaire son argot et rire de Béru, du Christie quand on a envie de se creuser un peu pour déjouer les pièges qui s'accumulent devant Poirot ou Marple et du Sartre à d'autres moments et pour d'autres motifs. Personnellement j'ai lu Huis-clos, Les mouches, La nausée et Les mains sales lorsque j'avais environ 16-17ans et cela m'a passionnée. Le panel doit être aussi large que possible, voikà tout et ne pas se tromper d'objectif. Alors le titre "le droit de lire n'importe quoi" est à mon avis à connotation trop péjorative parce que tu as fait une petite liste dans laquelle il n'y avait aucun "n'importe quoi".
Continue à lire ce qu'on te conseillera ou ce que les critiques de CL te donneront envie de découvrir !
Merci pour l'info ! Désolée mais je suis inculte en ce qui concerne Sartre...Il n'y a pas à s'excuser de ne pas avoir lu Sartre ! Simplement, il est bien d'être guidé sans être forcé par rapport à son âge et ses envies ou les nécessités scolaires. Il n'y a pas de honte non plus donc à apprécier Cartland ou les Harlequins quand on veut se délasser et rêver, du San Antonio quand on veut parfaire son argot et rire de Béru, du Christie quand on a envie de se creuser un peu pour déjouer les pièges qui s'accumulent devant Poirot ou Marple et du Sartre à d'autres moments et pour d'autres motifs. Personnellement j'ai lu Huis-clos, Les mouches, La nausée et Les mains sales lorsque j'avais environ 16-17ans et cela m'a passionnée. Le panel doit être aussi large que possible, voikà tout et ne pas se tromper d'objectif. Alors le titre "le droit de lire n'importe quoi" est à mon avis à connotation trop péjorative parce que tu as fait une petite liste dans laquelle il n'y avait aucun "n'importe quoi".
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Je n'ai pas voulu insinuer que les Harlequin ou les Cartland ou Sartre ou même les A. Christie étaient "n'importe quoi", au contraire... J'ai simplement voulu dire que c'était pas mon genre... Et des genres, il y en a pour tout le monde !
Merci pour l'info ! Désolée mais je suis inculte en ce qui concerne Sartre...Il n'y a pas à s'excuser de ne pas avoir lu Sartre ! Simplement, il est bien d'être guidé sans être forcé par rapport à son âge et ses envies ou les nécessités scolaires. Il n'y a pas de honte non plus donc à apprécier Cartland ou les Harlequins quand on veut se délasser et rêver, du San Antonio quand on veut parfaire son argot et rire de Béru, du Christie quand on a envie de se creuser un peu pour déjouer les pièges qui s'accumulent devant Poirot ou Marple et du Sartre à d'autres moments et pour d'autres motifs. Personnellement j'ai lu Huis-clos, Les mouches, La nausée et Les mains sales lorsque j'avais environ 16-17ans et cela m'a passionnée. Le panel doit être aussi large que possible, voikà tout et ne pas se tromper d'objectif. Alors le titre "le droit de lire n'importe quoi" est à mon avis à connotation trop péjorative parce que tu as fait une petite liste dans laquelle il n'y avait aucun "n'importe quoi".
Continue à lire ce qu'on te conseillera ou ce que les critiques de CL te donneront envie de découvrir !
Je n'ai pas voulu insinuer que les Harlequin ou les Cartland ou Sartre ou même les A. Christie étaient "n'importe quoi", au contraire... J'ai simplement voulu dire que c'était pas mon genre... Et des genres, il y en a pour tout le monde !
Je n'ai pas voulu insinuer que les Harlequin ou les Cartland ou Sartre ou même les A. Christie étaient "n'importe quoi", au contraire... J'ai simplement voulu dire que c'était pas mon genre... Et des genres, il y en a pour tout le monde !Et moi je n'ai pas voulu dire que tu "insinuais" quoi que ce soit ! Ouh la, les forums en décalé, ça prête à toutes les incompréhensions et les malentendus possibles... Dommage.
Pour répondre à Alcofribas Nasier(d'où vient ce pseudo si difficile à retenir?) qui trouve navrant qu'on trouve ce genre de "littérature" sur les rayons d'une bibliothèque publique, j'aurais un avis un peu plus nuancé. Je travaille en section jeunesse d'une bibl. publique, avec beaucoup d'animations scolaires. J'y présente entre autres à des ados des livres que j'ai aimés, en en lisant des extraits, etc...Certains élèves n'ont comme référence que les titres de feuilletons télé tels Charmed ou Buffy et m'en réclament les livres parce qu'ils sont en terrain connu et que cela les effraie moins. Alors ces livres sont sur les rayons au milieu des autres, ils sont l'accroche pour des ados dont c'est parfois (si si!) la première expérience d'un livre lu jusqu'au bout. La fois suivante, ils oseront prendre un autre livre dont l'extrait lu les aura tentés. C'est vraiment dans certains cas tout un apprivoisement...
Je pense a peu près comme toi. Je crois d'abord qu'il vaut mieux lire "n'importe quoi" que ne rien lire du tout.
Ensuite, quelqu'un qui commence à lire ne saura pas forcément par où commencer, et il sera peut-être attiré par ce qui lui semble plus facile.
C'est à mon avis ici que se joue le rôle du bilbiothécaire ou du libraire ou de tout autre intermédiaire.
Merci pour l'info ! Désolée mais je suis inculte en ce qui concerne Sartre...Il n'y a pas à s'excuser de ne pas avoir lu Sartre ! Simplement, il est bien d'être guidé sans être forcé par rapport à son âge et ses envies ou les nécessités scolaires. Il n'y a pas de honte non plus donc à apprécier Cartland ou les Harlequins quand on veut se délasser et rêver, du San Antonio quand on veut parfaire son argot et rire de Béru, du Christie quand on a envie de se creuser un peu pour déjouer les pièges qui s'accumulent devant Poirot ou Marple et du Sartre à d'autres moments et pour d'autres motifs. Personnellement j'ai lu Huis-clos, Les mouches, La nausée et Les mains sales lorsque j'avais environ 16-17ans et cela m'a passionnée. Le panel doit être aussi large que possible, voikà tout et ne pas se tromper d'objectif. Alors le titre "le droit de lire n'importe quoi" est à mon avis à connotation trop péjorative parce que tu as fait une petite liste dans laquelle il n'y avait aucun "n'importe quoi".
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Le titre du forum "le droit de lire n'importe quoi" est extrait de l'essai de Pennac "Comme un Roman".
Mais en réfléchissant petit à petit à la question, et en lisant les différents posts, je me demande maintenant :
1) Sur quels critères décider qu'un livre est "n'importe quoi" ou est moins bon qu'un autre ?
2) Qui aurait la légitimité pour décider de ces critères ?
Le titre du forum "le droit de lire n'importe quoi" est extrait de l'essai de Pennac "Comme un Roman".
Mais en réfléchissant petit à petit à la question, et en lisant les différents posts, je me demande maintenant :
1) Sur quels critères décider qu'un livre est "n'importe quoi" ou est moins bon qu'un autre ?
2) Qui aurait la légitimité pour décider de ces critères ?
Fabienne, je suis contente de te retrouver et d'abord, je voudrais te présenter mes excuses pour la façon cavalière dont je t'ai accueillie l'autre jour.
Tes questions ne manquent pas d'intérêt.
Et elles pourraient s'appliquer aussi bien à toutes les formes d'art, d'expression, de mode vestimentaire et même aux choix des programmes télévisés. L'humain est ainsi fait qu'il catégorise, hiérarchise, évalue à l'aune de ses propres valeurs ou des valeurs du groupe dont il revendique de faire partie et supporte très peu que d'aucuns pensent autrement. C'est l'origine de tous les racismes, qu'ils soient de nature ethnique, sociale, religieuse, culturelle, ... Chacun, souvent en toute bonne foi, se croit l'inventeur du fil à couper le beurre et veut rallier le monde à ses opinions. Cela ne changera jamais mais n'empêche pas d'essayer avec la meilleure volonté.
Tu parles d'or, Kil
J'adore aussi la réponse de Killis.
En ce qui concerne le sujet comme tel, pour moi c'est évident que chacun à le droit légitime de lire n'importe quoi. Mettre une définition pour déterminer ce qui est valable de ce qui ne l'est pas, je laisse ça à une certaine élite douée pour la littérature. Et ceux qui, dans cette élite, refusent d'imposer aux autres leurs propres critères, je leur dit bravo!
En ce qui concerne le sujet comme tel, pour moi c'est évident que chacun à le droit légitime de lire n'importe quoi. Mettre une définition pour déterminer ce qui est valable de ce qui ne l'est pas, je laisse ça à une certaine élite douée pour la littérature. Et ceux qui, dans cette élite, refusent d'imposer aux autres leurs propres critères, je leur dit bravo!
Kilis, pardonne-moi ce le 'Killis' de mon message précédent.
Kilis, pardonne-moi ce le 'Killis' de mon message précédent.
Pas de quoi, deux ailes comme toi Martell, ça aide pour traverser le ciel...
Lire n'importe quoi? Oui oui, je l'ai fait, et plus que vous ne pourriez l'imaginer. Je lisais les posologies de médicaments quand j'étais toute gamine (et je n'ai pas fait pharma!). Bellemare, Sant-Antonio, les romans à l'eau-de-rose de ma maman y sont aussi passés bien sûr. A l'époque, personne ne m'avait appris la différence entre livres "de production large" et livres "de production restreinte" (c'est maintenant chose faite). Je lisais donc tout ce qui me tombait sous la main, sans disctinction. Et j'ai fait de belles découvertes! Il se fait qu'au milieu de tas de choses que je ne relirais plus aujourd'hui (une fois m'a suffi) se trouvaient un Vercors ("les animaux dénaturés"), des Daninos (dont "Les carnets du Bon Dieu", excellent!), un ou deux Robert Merle...
C'est vrai, je n'ai jamais succombé à la lecture des Harlequins, mais mettez-moi dans une pièce fermée avec un Harlequin pour seule compagnie, et je lui fait sa fête en une heure tout au plus!
Finalement, c'est peut-être avec l'expérience qu'on finit par faire la différence, justement en lisant AUSSI des conneries...
Et vive les bibiothèques qui mettent en rayon le Buffy, mais avec des bibliothécaires présents pour conseiller les gamins qui sont arrivés au bout de la série et se demandent ce qu'ils vont bien pouvoir lire. C'est peut-être aussi par là que ça passe: un partage de ses expériences...
Sur ces bonnes paroles, ça m'a donné envie de relire un petit San-Antonio (bouh, la sale fille!), alors je vous laisse continuer cette petite discussion sans moi...
C'est vrai, je n'ai jamais succombé à la lecture des Harlequins, mais mettez-moi dans une pièce fermée avec un Harlequin pour seule compagnie, et je lui fait sa fête en une heure tout au plus!
Finalement, c'est peut-être avec l'expérience qu'on finit par faire la différence, justement en lisant AUSSI des conneries...
Et vive les bibiothèques qui mettent en rayon le Buffy, mais avec des bibliothécaires présents pour conseiller les gamins qui sont arrivés au bout de la série et se demandent ce qu'ils vont bien pouvoir lire. C'est peut-être aussi par là que ça passe: un partage de ses expériences...
Sur ces bonnes paroles, ça m'a donné envie de relire un petit San-Antonio (bouh, la sale fille!), alors je vous laisse continuer cette petite discussion sans moi...
et pourquoi ne pourrait-on pas lire n'importe quoi ? quand on travaille du lundi au vendredi, que l'on fait un boulot stressant, ou ennuyant et fatiguant, faudrait-il en rentrant chez soi ouvrir Thucydide ou (je cherche dans ma bibliothèque un écrivain "sérieux") Châteaubriand ?
et ce que je trouve par ailleurs assez ironique dans la phrase de Pennac, c'est que s'il écrit des romans des plus divertissant, c'est vraiment du n'importe quoi (Malaussène peut-il exister, avec ou sa sa famille bizzzare).
plutôt que de juger des lectures des autres, chaque lecteur ferait bien de s'interroger sur les raisons qui le font lire tel ou tel livre et dans quelles circonstances il le lit.
Les livres que je lis dans le métro ne sont pas les mêmes que ceux que je lis sur mon canapé ou durant mes vacances. Le métro a droit aux livres peu volumineux tels Brautigan ou Hornby, les vacances ont droit à La guerre du Péloponnèse (il faudrait que je reparte, je n'ai pas eu le temps de la finir durant mes dernières vacances).
en résumé, aucune raison de se prendre la tête, personne ne fait de dissertation philosophique lorsqu'il choisi un livre dans une librairie.
il y a ceux qui achètent systématiquement les lauréats des divers prix et les trouvent géniiiaux en société tout en se contentant le reste du temps de leur journal TV.
il y a ceux qui sont trop timorés pour assumer leurs lectures parce que celles-ci ne correspondent pas à de "hauts" critères, et qui finissent par regarder la TV.
même dans le choix de nos livres, nous sommes influencés par la société qui nous a façonnés et nous façonnes encore.
alors, pour éviter 1984, laissons entrer dans les bibliothèques publiques et privées tous les livres, sans leur demander à l'entrée une fiche de lecture prouvant leur valeur littéraire ou instructive.
lire, c'est avant tout du plaisir.
et ce que je trouve par ailleurs assez ironique dans la phrase de Pennac, c'est que s'il écrit des romans des plus divertissant, c'est vraiment du n'importe quoi (Malaussène peut-il exister, avec ou sa sa famille bizzzare).
plutôt que de juger des lectures des autres, chaque lecteur ferait bien de s'interroger sur les raisons qui le font lire tel ou tel livre et dans quelles circonstances il le lit.
Les livres que je lis dans le métro ne sont pas les mêmes que ceux que je lis sur mon canapé ou durant mes vacances. Le métro a droit aux livres peu volumineux tels Brautigan ou Hornby, les vacances ont droit à La guerre du Péloponnèse (il faudrait que je reparte, je n'ai pas eu le temps de la finir durant mes dernières vacances).
en résumé, aucune raison de se prendre la tête, personne ne fait de dissertation philosophique lorsqu'il choisi un livre dans une librairie.
il y a ceux qui achètent systématiquement les lauréats des divers prix et les trouvent géniiiaux en société tout en se contentant le reste du temps de leur journal TV.
il y a ceux qui sont trop timorés pour assumer leurs lectures parce que celles-ci ne correspondent pas à de "hauts" critères, et qui finissent par regarder la TV.
même dans le choix de nos livres, nous sommes influencés par la société qui nous a façonnés et nous façonnes encore.
alors, pour éviter 1984, laissons entrer dans les bibliothèques publiques et privées tous les livres, sans leur demander à l'entrée une fiche de lecture prouvant leur valeur littéraire ou instructive.
lire, c'est avant tout du plaisir.
Jvais vous avouer que quand je suis aux WC, je lis les magazines Hors-Bord de mon père, et un magazine sur les cuisines et salles de bain (et puis c'est sympa, ca me fait reflechir a comment j'organiserais mon chez moi ;-)) Donc oui, le droit de lire n'importe quoi...Je suis de ceux qui pensent qu'on doit lire Mein Kampf : pas pour la doctrine et les idées non non non surtout pas (enfin pas dans mon cas) mais pour voir la démence de l'homme et pourquoi ca a tant plus a ses 'amis' ; vous pensez quoi de ce livre, a lire ou pas?
Il est certes dommage de s'adonner seulement à la lecture de romans SF ou à l'eau-de-rose, mais, finalement, pourquoi pas.
Quand je suis invité chez quelqu'un, ma plus grande indiscrétion consiste à regarder le contenu de la bibliothèque, et j'apprécie quand il s'avère hétéroclite : je me dis que ce doit être quelqu'un d'assez riche, aux centres d'intérêts les plus divers, qui prend la vie dans son ensemble, à pleines dents, et avec qui on peut discuter de tout. Lire du Higgins Clark ou du Barbara Cartland n'est en rien fatalement infamant.
Pour faire suite au message de Petoman, je suis assidu des revues people quand je vais chez le coiffeur, et là, je lie vraiment n'importe quoi, et, le pire, c'est que je n'en ai même pas honte. A cet endroit-là, il n'y a vraiment pas de quoi, tout le monde fait pareil !
Quand je suis invité chez quelqu'un, ma plus grande indiscrétion consiste à regarder le contenu de la bibliothèque, et j'apprécie quand il s'avère hétéroclite : je me dis que ce doit être quelqu'un d'assez riche, aux centres d'intérêts les plus divers, qui prend la vie dans son ensemble, à pleines dents, et avec qui on peut discuter de tout. Lire du Higgins Clark ou du Barbara Cartland n'est en rien fatalement infamant.
Pour faire suite au message de Petoman, je suis assidu des revues people quand je vais chez le coiffeur, et là, je lie vraiment n'importe quoi, et, le pire, c'est que je n'en ai même pas honte. A cet endroit-là, il n'y a vraiment pas de quoi, tout le monde fait pareil !
En tentant de rédiger une réponse construite et basée sur des arguments tangibles à cette question qui me met hors de moi… Au brouillon, d’abord, je me rends compte qu’à la place de "bouquin" la correction automatique du logiciel Word m’écrit "bousin ". La réponse est là ! Lorsque je parle "bouquin"on ne me réponde pas "bousin " ! En deux mots, que l’on m’aide dans mes orientations de lecture, oui, mais par pitié que les intellectuels et autres accros des abrégés ne me disent pas ce dont je dois me nourrir !
on voit très bien la démence de l'homme de l'autre côté des barbelé, plutôt que Mein Kempf, on peut lire Si c'est un homme de Primo Levi.
Il est certes dommage de s'adonner seulement à la lecture de romans SF ou à l'eau-de-rose, mais, finalement, pourquoi pas.
Et voilà ! La SF, encore considérée comme de la "sous-lecture". Allez ! Quelques titres qui, n'en déplaise aux tenants de la grande littérature, font partie de la SF : 1984, Le meilleur des mondes, Farenheit 451, Nous autres.
Il y en a d'autres, moins connus, qui sont restés cachés dans les rayons SF mais qui valent la peine d'être découverts.
Il est certes dommage de s'adonner seulement à la lecture de romans SF ou à l'eau-de-rose, mais, finalement, pourquoi pas.
Et voilà ! La SF, encore considérée comme de la "sous-lecture". Allez ! Quelques titres qui, n'en déplaise aux tenants de la grande littérature, font partie de la SF : 1984, Le meilleur des mondes, Farenheit 451, Nous autres.
Il y en a d'autres, moins connus, qui sont restés cachés dans les rayons SF mais qui valent la peine d'être découverts.
Je reconnais que la formulation est un peu maladroite. Je regrette surtout qu'on se consacre à un seul genre de livres.
Je ne dévalorise en rien la science-fiction : j'ai mis 5 étoiles aux Chroniques martiennes et à Fahrenheit 451. J'ai bien aimé 1984 et le Meilleur des mondes, qu'il me semble ne pas avoir encore critiqués.
Ne caricature quand même pas trop les propos des autres : il me semble avoir introduit dans la base et critiqué des livres de genre assez divers, et pas seulement de "grande littérature".
Sur ces bonnes paroles, ça m'a donné envie de relire un petit San-Antonio (bouh, la sale fille!), alors je vous laisse continuer cette petite discussion sans moi...
Mallollo, c'est dommage, parce que c'était une discussion bien intéressante ! ;-)
Et bienvenue sur ce site à l'ardente Ottintoise que tu parais être !
Au plaisir aussi de lire ta prochaine critique du San Antonio !
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