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LE GRAND CONFINEMENT
La moitié de l'humanité a été confinée pendant des semaines.
Ce confinement sanitaire qui a pris des formes particulières dans tel pays
a contraint le plus souvent la population à rester chez elle sans sortir, si ce n'est pour des cas de force majeure : faire des courses, aller chez le médecin.
En France, comme ailleurs se sont côtoyés le meilleur et le pire :
d'un côté des actes de solidarité inédits et de l'autre des appels à la délation contre les contrevenants qui osaient brader les interdictions....
Tout un peuple a applaudi à tout rompre les soignants qui dans des conditions difficiles, au risque de leur vie ont soigné les malades du conoravirus...
Les raffuts du 20 heures qui allaient des barres d'HLM des grandes villes, aux maisons du plus petit village ont fait chaud aux cœurs même si de nombreux hospitaliers ont regretté que cette solidarité ne se soit pas exprimée dans la rue pour défendre l'hôpital public écrasé par le pouvoir libéral.
Nous étions peu nombreux à participer au mouvement social pour la défense de la sécurité sociale et du service public de santé.... c'est vrai mais écrasés devant leurs propres difficultés, beaucoup d'hommes et de femmes n'ont pas perçu l'enjeu de ce combat de préservation des acquis de 1945.
Nous sommes un certain nombre à penser que cette période difficile que nous avons traversé ensemble a été un grand moment de prise de conscience massive des carences de ce gouvernement.
Sans être de doux rêveurs nous pensons que bientôt viendra le temps des lendemains de colère et de mobilisation pour bâtir une nouvelle société.
Ce livre témoignages écrit à plusieurs mains retrace cette période en donnant la parole à des acteurs locaux et à deux talents particuliers et complémentaires : le dessinateur, aide-soignant de son métier, Nagy et le chanteur-conteur qui possède la magie de l'assemblage des mots ; Nabum.
L'un et l'autre, rencontrés sur le net m'ont accompagné plusieurs fois en apportant leur contribution à l'écriture de l'un de mes modestes ouvrages.
Aujourd'hui je leur en demande un peu plus puisqu'ils co-écrivent ce livre.
Je les en remercie comme je remercie Jean Mourot, mon camarade des années 70-80, du temps où nous combattions ensemble le capitalisme, le cléricalisme et la bureaucratie.
Vous trouverez ma contribution et celle de plusieurs militants et militantes de Vaux-le-Pénil et de Melun avec qui j' œuvre sur le terrain du combat social
Jean-François Chalot
La moitié de l'humanité a été confinée pendant des semaines.
Ce confinement sanitaire qui a pris des formes particulières dans tel pays
a contraint le plus souvent la population à rester chez elle sans sortir, si ce n'est pour des cas de force majeure : faire des courses, aller chez le médecin.
En France, comme ailleurs se sont côtoyés le meilleur et le pire :
d'un côté des actes de solidarité inédits et de l'autre des appels à la délation contre les contrevenants qui osaient brader les interdictions....
Tout un peuple a applaudi à tout rompre les soignants qui dans des conditions difficiles, au risque de leur vie ont soigné les malades du conoravirus...
Les raffuts du 20 heures qui allaient des barres d'HLM des grandes villes, aux maisons du plus petit village ont fait chaud aux cœurs même si de nombreux hospitaliers ont regretté que cette solidarité ne se soit pas exprimée dans la rue pour défendre l'hôpital public écrasé par le pouvoir libéral.
Nous étions peu nombreux à participer au mouvement social pour la défense de la sécurité sociale et du service public de santé.... c'est vrai mais écrasés devant leurs propres difficultés, beaucoup d'hommes et de femmes n'ont pas perçu l'enjeu de ce combat de préservation des acquis de 1945.
Nous sommes un certain nombre à penser que cette période difficile que nous avons traversé ensemble a été un grand moment de prise de conscience massive des carences de ce gouvernement.
Sans être de doux rêveurs nous pensons que bientôt viendra le temps des lendemains de colère et de mobilisation pour bâtir une nouvelle société.
Ce livre témoignages écrit à plusieurs mains retrace cette période en donnant la parole à des acteurs locaux et à deux talents particuliers et complémentaires : le dessinateur, aide-soignant de son métier, Nagy et le chanteur-conteur qui possède la magie de l'assemblage des mots ; Nabum.
L'un et l'autre, rencontrés sur le net m'ont accompagné plusieurs fois en apportant leur contribution à l'écriture de l'un de mes modestes ouvrages.
Aujourd'hui je leur en demande un peu plus puisqu'ils co-écrivent ce livre.
Je les en remercie comme je remercie Jean Mourot, mon camarade des années 70-80, du temps où nous combattions ensemble le capitalisme, le cléricalisme et la bureaucratie.
Vous trouverez ma contribution et celle de plusieurs militants et militantes de Vaux-le-Pénil et de Melun avec qui j' œuvre sur le terrain du combat social
Jean-François Chalot
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