Je voudrais bien en savoir plus sur cette cosmogonie dévoilée parcimonieusement. au travers des chapitres "Le temps du jeu". Suspense maintenu à une centaine de pages de la fin! J'en attends beaucoup pour éclairer le propos et j'espère que je ne resterai pas sur ma faim bien que la perplexité de Ludmilla me le fasse craindre;-(
Voilà pourquoi je n'avais pas parlé des dernières pages.
Moi aussi, j'attendais une "révélation" ou pour le moins une sorte d'explication qui mettrait toutes les pièces en place, ou qui apporterait un éclairage sur les différents chapitres, dans les pages consacrées au Jeu. J'avais même envisagé qu'elle interpelle le lecteur, qui, comme nous l'avions évoqué, quitterait sa place d'observateur (pour ne pas dire voyeur).
Je suis encore en retard mais j'ai presque terminé...
Je laisse ici mon impression dans la même veine des partie 6 & 7. Je me doute que pour certains, cela fera réchauffé de lancer le sujet... Tout le monde a fini? :-D
L'atmosphère se plombe de plus en plus, l'absurdité des vies s'accentue, dans une forme de lutte à vide où l'espoir tenant dans les petites choses finit par disparaître.
Le sixième monde entraîne la disparition... vide comme un caveau. Grisailles et échos du rien, je m'inquiète un peu de la fin qui approche.
La structure, à l'intérieur des chapitres, des vies partagées dans ce livre, semble tenir à un fin fil qui tourne en tous sens, tente de se stabiliser pour s'emmêler et nous laisser un brin désorienté.
Je m'étendrai davantage une fois vraiment fini...
Je laisse ici mon impression dans la même veine des partie 6 & 7. Je me doute que pour certains, cela fera réchauffé de lancer le sujet... Tout le monde a fini? :-D
L'atmosphère se plombe de plus en plus, l'absurdité des vies s'accentue, dans une forme de lutte à vide où l'espoir tenant dans les petites choses finit par disparaître.
Le sixième monde entraîne la disparition... vide comme un caveau. Grisailles et échos du rien, je m'inquiète un peu de la fin qui approche.
La structure, à l'intérieur des chapitres, des vies partagées dans ce livre, semble tenir à un fin fil qui tourne en tous sens, tente de se stabiliser pour s'emmêler et nous laisser un brin désorienté.
Je m'étendrai davantage une fois vraiment fini...
J'ai terminé déjà depuis quelques jours et vient mettre mon dernier grain de sel dans ce fil silencieux.
Certains ne devaient pas élaborer leur point de vue? ;-)
Pour ma part, j'ai apprécié cette forme de réalisme psycho-magique comme je le disais au début (bien que le style se modère au fil du roman) mais tout en espérant un symbolisme un peu plus significatif.
J’y trouve beaucoup de dispersion (philosophique ? initiatique ? spirituelle ? historique ?) et, en quelque sorte, une forme de prise de pouvoir littéraire presque déifié sur ses personnages. Elle crée, élabore, trace la carte, se réapproprie l’Histoire pour, dans un univers un peu décalé, permettre des résonnances, fait apparaître ou naître ses créatures humaines pour les entraîner vers la dislocation, la dissolution, l’effacement. Elle ose donner un goût de magie de connexion brute à une dimension animale, mystique, pour finalement effacer et laisser s’éteindre dans le dénuement, le désespoir et l’absurdité tous ceux à qui elle avait donné vie.
Qu’ai-je appris au final ? Pas grand-chose. J’ai pris des photos en chemin, me suis attachée à Isidor et la Glaneuse mais sans excès, et je les laisse à leur effacement avec un petit sentiment de frustration, d’injustice, voire de trahison…
Certains ne devaient pas élaborer leur point de vue? ;-)
Pour ma part, j'ai apprécié cette forme de réalisme psycho-magique comme je le disais au début (bien que le style se modère au fil du roman) mais tout en espérant un symbolisme un peu plus significatif.
J’y trouve beaucoup de dispersion (philosophique ? initiatique ? spirituelle ? historique ?) et, en quelque sorte, une forme de prise de pouvoir littéraire presque déifié sur ses personnages. Elle crée, élabore, trace la carte, se réapproprie l’Histoire pour, dans un univers un peu décalé, permettre des résonnances, fait apparaître ou naître ses créatures humaines pour les entraîner vers la dislocation, la dissolution, l’effacement. Elle ose donner un goût de magie de connexion brute à une dimension animale, mystique, pour finalement effacer et laisser s’éteindre dans le dénuement, le désespoir et l’absurdité tous ceux à qui elle avait donné vie.
Qu’ai-je appris au final ? Pas grand-chose. J’ai pris des photos en chemin, me suis attachée à Isidor et la Glaneuse mais sans excès, et je les laisse à leur effacement avec un petit sentiment de frustration, d’injustice, voire de trahison…
Septu, j'attends ta Crrrrritique !
Septu, j'attends ta Crrrrritique !
Elle est en ligne!
Tiens toujours ses promesses Maître Yoda! :-)))
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