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Mon premier baiser !!! Hummm premier émoi si envoûtant. Alors, ce premier baiser s’appelait…Sébastien. Blond, des yeux d’un bleus où l’on se noie bien volontiers, bronzé, etc. Du haut de ses 17 ans, il faisait bondir mon cœur de midinette âgée de 14 ans.
Bon, en fait, mon VRAI premier baiser s’appelait Mikaël. Le souci c’est que ce n’était pas un baiser donné volontairement, mais plutôt un baiser volé car je refusais OBSTINEMENT de le lui donner !! Il n’en ai pas sorti vainqueur puisque je l’ai mordu au bras et que 4 ans plus tard il m’en avait reparlé (il m’avait dit, ce jour là, qu’il avait encore la marque. Eh oui, je dois être une descendante de Dracula !!!). Voilà pour l’anecdote, à présent revenons à nos moutons.
Donc mon premier baiser CONSANTANT s’appelait (pour mon cœur en tout cas) Sébastien. Je l’ai rencontré en vacance à la Montagne, dans les Pyrénées si mes souvenirs sont bons. En réalité j’avais flashé sur son copain mais, en l’occurrence, lui n’avait pas de vue sur moi. Je n’ai jamais compris ce que Sébastien me trouvait car je n’avais rien d’attirant. La veille du départ le coiffeur m’avait quelque peu loupé et je ressemblais à un adorable petit mouton avec, pas de bol, un magnifique chemin de fer en guise de sourire. Et, pour couronné le tout, un corset à cause d’une scoliose. J’étais donc une espèce de croisement entre la….CREATURE de Frankenstein et un mouton tout frisé. Pas besoin de vous dire que je n'étais pas TRES BIEN dans ma peau !! Les seules choses qui pouvaient à peu près me sauver, c’était mes yeux bleus avec du jaune autour de la pupille et mon corps. Je n'étais pas trop mal foutu, de toute façon j’avais pas le choix vu que j’avais un truc en plastique qui prenait un malin plaisir à me serrer la taille quand je mangeais un peu trop !
En tout cas, Sébastien, m’avait trouvé à son goût. Bien évidemment, on s’est embrassé le DERNIER soir de mes vacances. Je m’en souviens comme si c’était hier (en fait ça fait jamais que 10 ans), on dansait un slow langoureux tout serré l’un contre l’autre (oui, c’est pas original, je sais). J’avais le cœur qui battait la mesure seulement il était resté coincé sur l’autre musique qui n’était rien d’autre qu’un rock. Ah! Où alors, je paniquais. Oui, je crois qu’il s’agissait plutôt d’un cœur battant la mesure de la panique. Enfin j’étais au Paradis et en Enfer en même temps. Au Paradis car j’étais hyper heureuse d’être dans ses bras et tout contre lui, un pur moment de bonheur. En Enfer car je n’avais AUCUNE idée de comment l’embrasser sans passer pour une nulle, je ne maîtrisais plus rien. Je ne savais plus ce que je voulais, ce que je refusais. Je ne savais plus si j’avais raison ou tort. J’étais paumée, sur un nuage rose entourée de volutes de fumées bleues mais complètement paumée ! On est resté ensemble tard dans la nuit (attention, on n'a rien fait de mal) à se racontait tout et n’importe quoi. On avait des étoiles pleins les yeux, comme toujours dans ces cas-là, c’était tout simplement parfait. Le départ fût dur, les jours d’après aussi mais la vie à repris son cours. Mes vacances m’avaient changé la vie, j’étais ENFIN sortie avec un garçon.
Aaah les premières fois c’est tellement génial. Que se soit les TOUTES premières où les premières dans une nouvelle relation ! On a toujours le cœur qui se trompe de rythme, les jambes en pelotent, les yeux pleins d’étoiles, la tête dans les nuages et aussi des projets pleins la bouche. Parfois on retombe durement dans la réalité et d’autres fois c’est la réalité qui vient nous rejoindre dans notre océan de bonheur.
Et la première fois que j’ai fait l’amour. Hummmmm, mais ça c’est une autre histoire et, celle-là, je la garde dans les tiroirs secrets de mon cerveau. Non, mais alors !!!!!!
Bon, en fait, mon VRAI premier baiser s’appelait Mikaël. Le souci c’est que ce n’était pas un baiser donné volontairement, mais plutôt un baiser volé car je refusais OBSTINEMENT de le lui donner !! Il n’en ai pas sorti vainqueur puisque je l’ai mordu au bras et que 4 ans plus tard il m’en avait reparlé (il m’avait dit, ce jour là, qu’il avait encore la marque. Eh oui, je dois être une descendante de Dracula !!!). Voilà pour l’anecdote, à présent revenons à nos moutons.
Donc mon premier baiser CONSANTANT s’appelait (pour mon cœur en tout cas) Sébastien. Je l’ai rencontré en vacance à la Montagne, dans les Pyrénées si mes souvenirs sont bons. En réalité j’avais flashé sur son copain mais, en l’occurrence, lui n’avait pas de vue sur moi. Je n’ai jamais compris ce que Sébastien me trouvait car je n’avais rien d’attirant. La veille du départ le coiffeur m’avait quelque peu loupé et je ressemblais à un adorable petit mouton avec, pas de bol, un magnifique chemin de fer en guise de sourire. Et, pour couronné le tout, un corset à cause d’une scoliose. J’étais donc une espèce de croisement entre la….CREATURE de Frankenstein et un mouton tout frisé. Pas besoin de vous dire que je n'étais pas TRES BIEN dans ma peau !! Les seules choses qui pouvaient à peu près me sauver, c’était mes yeux bleus avec du jaune autour de la pupille et mon corps. Je n'étais pas trop mal foutu, de toute façon j’avais pas le choix vu que j’avais un truc en plastique qui prenait un malin plaisir à me serrer la taille quand je mangeais un peu trop !
En tout cas, Sébastien, m’avait trouvé à son goût. Bien évidemment, on s’est embrassé le DERNIER soir de mes vacances. Je m’en souviens comme si c’était hier (en fait ça fait jamais que 10 ans), on dansait un slow langoureux tout serré l’un contre l’autre (oui, c’est pas original, je sais). J’avais le cœur qui battait la mesure seulement il était resté coincé sur l’autre musique qui n’était rien d’autre qu’un rock. Ah! Où alors, je paniquais. Oui, je crois qu’il s’agissait plutôt d’un cœur battant la mesure de la panique. Enfin j’étais au Paradis et en Enfer en même temps. Au Paradis car j’étais hyper heureuse d’être dans ses bras et tout contre lui, un pur moment de bonheur. En Enfer car je n’avais AUCUNE idée de comment l’embrasser sans passer pour une nulle, je ne maîtrisais plus rien. Je ne savais plus ce que je voulais, ce que je refusais. Je ne savais plus si j’avais raison ou tort. J’étais paumée, sur un nuage rose entourée de volutes de fumées bleues mais complètement paumée ! On est resté ensemble tard dans la nuit (attention, on n'a rien fait de mal) à se racontait tout et n’importe quoi. On avait des étoiles pleins les yeux, comme toujours dans ces cas-là, c’était tout simplement parfait. Le départ fût dur, les jours d’après aussi mais la vie à repris son cours. Mes vacances m’avaient changé la vie, j’étais ENFIN sortie avec un garçon.
Aaah les premières fois c’est tellement génial. Que se soit les TOUTES premières où les premières dans une nouvelle relation ! On a toujours le cœur qui se trompe de rythme, les jambes en pelotent, les yeux pleins d’étoiles, la tête dans les nuages et aussi des projets pleins la bouche. Parfois on retombe durement dans la réalité et d’autres fois c’est la réalité qui vient nous rejoindre dans notre océan de bonheur.
Et la première fois que j’ai fait l’amour. Hummmmm, mais ça c’est une autre histoire et, celle-là, je la garde dans les tiroirs secrets de mon cerveau. Non, mais alors !!!!!!
Et bien, j'espère que Monique aura la gentillesse de me lire ce soir en revenant. S'iiiiil te plaiiiiit Mo!
Corrige "CONSANTANT" avant que la future correctrice de maison d'édition n'intervienne (Serait-ce Monique?).
Je sens dans ce texte, facile à lire, une libération. On a l'impression que ce premier baiser palie à une grosse frustration plus qu'à un amour profond. Mais c'est aussi bien comme ça.
Le personnage (ou toi même) se caricature, c'est une bonne pointe d'humour.
Je sens dans ce texte, facile à lire, une libération. On a l'impression que ce premier baiser palie à une grosse frustration plus qu'à un amour profond. Mais c'est aussi bien comme ça.
Le personnage (ou toi même) se caricature, c'est une bonne pointe d'humour.
Oupsss : CONSENTANT. Merci j'ai pas fais gaffe. La caricature c'est la mienne. Eh oui, c'est difficile la vie !!!!!
Tu as eu beaucoup de courage à parler de toi. La dérision, ça aide un peu.
Merci Kim mais n'exagérons rien, je ne suis pas un monstre quand même. Quoique à 14 ans, hum!
Kiiiiim où es-tu ??? Tu participes à l'avis de texte de demain ?
Manifestement pas de la fiction. Je dirais que ça fait trop relation d'un évènement plus qu'essayer de nous le faire vivre. Du coup, on reste en dehors, en voyeur. Est-ce que je me fais bien comprendre?
J'ai donc moyennement apprécié mais compte tenu de l'importance de l'évènement, en ce qui te concerne, je ne devrais peut être pas dire cela?
Merci en tous cas de la confiance que tu nous portes en te livrant ainsi.
J'ai donc moyennement apprécié mais compte tenu de l'importance de l'évènement, en ce qui te concerne, je ne devrais peut être pas dire cela?
Merci en tous cas de la confiance que tu nous portes en te livrant ainsi.
Aaaaaaah, mais qu'est-ce qu'il te trouvait, ce Sébastien?? Car d'après la description de toi-même, tu aurais fait fuir n'importe quel garçon! ;o)
Le ton est léger, on lit le texte le sourire aux lèvres... J'aime beaucoup!
Le ton est léger, on lit le texte le sourire aux lèvres... J'aime beaucoup!
C'est bien Erika, tu ne renonces pas et même tu progresses. On sent chez toi un potentiel narratif, c'est évident. Plus tu écriras et mieux ce sera. Mais essaie -je ne sais pas comment- de faire attention à l'orthographe, prends des cours de grammaire ou étudie toi-même car cela bloque gravement le lecteur, surtout la conjugaison. C'est important, tu sais. Allez! courage!
Suis assez d'acord avec Tistou, c'est presque confidentiel, tourné vers toi… Erika, concentre-toi sur le fait que tu NOUS racontes et pas que TU te racontes. Tu vois?
J'en retiens également que pour ambrasser une fille, mieux vaut se nommer Sébastien (Voir texte de Mo), ce qui fait que, ben, j'ai pas de chance, ou je me suis trompé d'époque.
J'en retiens également que pour ambrasser une fille, mieux vaut se nommer Sébastien (Voir texte de Mo), ce qui fait que, ben, j'ai pas de chance, ou je me suis trompé d'époque.
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