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Remords inutile coulé dans mon écorce
Jusqu’à me brûler
Serpent de bronze qui dans chaque strie s’efforce
De déambuler
Impétueux, bouillant quand tu sors de la forge
En toute innocence
De nervure en nervure, ton corps qui regorge
De réminiscences
S’imprime dans ma tête, attend que je te suive
Jusqu’à ta demeure
Laissant sur ton trajet des traces corrosives
Afin que je meure
En me disant que le remords n’a pas sa place
Au rang des vertus
Qu’il n’y a rien sous le Soleil qui ne remplace
Une vie perdue.
Pourquoi ne dis-tu pas ce que ma vie recèle
Dans ta somnolence
Et qu’il n’existe d’âme aussi grande que celle
Qui souffre en silence ?
Jusqu’à me brûler
Serpent de bronze qui dans chaque strie s’efforce
De déambuler
Impétueux, bouillant quand tu sors de la forge
En toute innocence
De nervure en nervure, ton corps qui regorge
De réminiscences
S’imprime dans ma tête, attend que je te suive
Jusqu’à ta demeure
Laissant sur ton trajet des traces corrosives
Afin que je meure
En me disant que le remords n’a pas sa place
Au rang des vertus
Qu’il n’y a rien sous le Soleil qui ne remplace
Une vie perdue.
Pourquoi ne dis-tu pas ce que ma vie recèle
Dans ta somnolence
Et qu’il n’existe d’âme aussi grande que celle
Qui souffre en silence ?
J'ai lu, relu, re²lu, jusqu'à réussir à former une image mentale de ces quelques vers. Très terre à terre, j'en viens à interpréter la forge (non pas comme l'idée d'une inititation) en un élément un peu médiéval. Un homme sort de la forge, et à côté de lui, bloqué dans son corps d'arbre (maléfice? sorcellerie?), un autre homme le regarde, le désire - mais est impuissant à exprimer ce désir, bloqué dans son enveloppe d'écorces - et en souffre (dernier vers). C'est sans doute à mille lieues de ce que tu imaginais ou voulais transmettre. Mais dans tous les cas, ça ne laisse pas indifférent.
Merci Lobe ! Je pensais plus à un serpent de bronze chaud qui se déplace dans ses veines...
Mais ce poème est un peu trop imprécis, il faudrait revoir quelques trucs.
Mais ce poème est un peu trop imprécis, il faudrait revoir quelques trucs.
Merci Lobe ! Je pensais plus à un serpent de bronze chaud qui se déplace dans ses veines...
Mais ce poème est un peu trop imprécis, il faudrait revoir quelques trucs.
Et l'alternance de vers longs et de vers cours pourraient presque faire penser aux ondulations de ce serpent...
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