C'est vrai que quand ça va mal, la lecture ne marche pas.
Idem.
Le sudoku par contre m'a aidé à m'extraire de la difficile réalité. Et les documentaires animaliers. C'est idiot mais lors d'un événement dramatique, ils m'ont aidée à faire le vide, penser à autre chose quelques minutes par jour et ainsi me reposer de pensées dévastatrices.
moi, ça a été les puzzles géants;-)
@Radetsky
Une trouvaille sympa...Tu ne crois pas que ce pourrait être un montage (bien fait)?
Une trouvaille sympa...Tu ne crois pas que ce pourrait être un montage (bien fait)?
Pour la position de l'ours, j'en ai vu un qui l'avait adoptée aussi (celui du zoo de Montpellier)! J'ai de sérieux doutes sur la fleur en revanche...
@RadetskyHypothèse tout à fait valable....
Une trouvaille sympa...Tu ne crois pas que ce pourrait être un montage (bien fait)?
C'est vrai que quand ça va mal, la lecture ne marche pas.
Idem.
Le sudoku par contre m'a aidé à m'extraire de la difficile réalité. Et les documentaires animaliers. C'est idiot mais lors d'un événement dramatique, ils m'ont aidée à faire le vide, penser à autre chose quelques minutes par jour et ainsi me reposer de pensées dévastatrices.
moi, ça a été les puzzles géants;-)
Et moi le tricot! (et la broderie)
On va finir par tout savoir! ;-)
C'est vrai que quand ça va mal, la lecture ne marche pas.
Idem.
Le sudoku par contre m'a aidé à m'extraire de la difficile réalité. Et les documentaires animaliers. C'est idiot mais lors d'un événement dramatique, ils m'ont aidée à faire le vide, penser à autre chose quelques minutes par jour et ainsi me reposer de pensées dévastatrices.
moi, ça a été les puzzles géants;-)
Et moi le tricot! (et la broderie)
On va finir par tout savoir! ;-)
Et moi j'ai beaucoup lu mais incapable de me rappeler vraiment quoi :-) Je remercie quand même Elisabeth George qui a réussi à me permettre de m'absorber dans des histoires psycho-sociales-policières...à rallonges !
C'est sans doute un peu cu-cuche de dire ça mais, puisqu'on en est aux confidences, quand j'ai eu des grands malheurs, ce sont des lectures de la vie des saints, des martyrs, des pères de l'Eglise, qui m'ont tiré d'affaire...
On va finir par tout savoir! ;-)
Ah oui, surtout Sainte Thérèse.
La mort et la maladie rôdent autour de moi et de mes proches depuis quatre ans. Il est vraiment difficile d'échapper à la tristesse et la déprime sans la solidarité familiale ou amicale.
En même temps, personne n'y échappe! Les livres et les philosophes peuvent distraire ou mieux ,faire face à cette condition , mais cela semble souvent très théorique, trop théorique!!!
La litttérature semble bien futile dans ces situations!
Se battre, mais accepter avec lucidité ou même être assez fort pour répondre par une certaine "joie de vivre" au pessimisme résultant de l'analyse de notre condition , mais il s'agit d'être solide et vaillant!!!!
Pas facile.
Courage!
A+
En même temps, personne n'y échappe! Les livres et les philosophes peuvent distraire ou mieux ,faire face à cette condition , mais cela semble souvent très théorique, trop théorique!!!
La litttérature semble bien futile dans ces situations!
Se battre, mais accepter avec lucidité ou même être assez fort pour répondre par une certaine "joie de vivre" au pessimisme résultant de l'analyse de notre condition , mais il s'agit d'être solide et vaillant!!!!
Pas facile.
Courage!
A+
On va finir par tout savoir! ;-)
C'est sans doute un peu cu-cuche de dire ça mais, puisqu'on en est aux confidences, quand j'ai eu des grands malheurs, ce sont des lectures de la vie des saints, des martyrs, des pères de l'Eglise, qui m'ont tiré d'affaire...
Tant mieux.
J'ai du mal à comprendre ça mais en même temps je t'envie presque.
En ce moment je ne vais pas très fort et j'avoue que je réagis plutôt comme Donatien (à qui vont toutes mes pensées en ce moment), la littérature me semble bien futile, et puis en même temps j'ai terriblement besoin d'elle.
Paradoxal...
Mes pensées vont à vous deux. Il est vrai que contre la maladie et la mort on est très démunis et que même la littérature ne peut pas grand chose.
Trop souvent, on mange son pain blanc et on ne s'en rend compte qu'après et on se dit alors "si j'avais su, j'en aurai mieux profité". (petite philo de comptoir)
Trop souvent, on mange son pain blanc et on ne s'en rend compte qu'après et on se dit alors "si j'avais su, j'en aurai mieux profité". (petite philo de comptoir)
Courage, Donatien !
La mort et la maladie rôdent autour de moi et de mes proches depuis quatre ans. Il est vraiment difficile d'échapper à la tristesse et la déprime sans la solidarité familiale ou amicale.
En même temps, personne n'y échappe! Les livres et les philosophes peuvent distraire ou mieux ,faire face à cette condition , mais cela semble souvent très théorique, trop théorique!!!
La litttérature semble bien futile dans ces situations!
Se battre, mais accepter avec lucidité ou même être assez fort pour répondre par une certaine "joie de vivre" au pessimisme résultant de l'analyse de notre condition , mais il s'agit d'être solide et vaillant!!!!
Pas facile.
Courage!
A+
Courage, c'est en hiver qu'il faut croire au printemps !
On va finir par tout savoir! ;-)
C'est sans doute un peu cu-cuche de dire ça mais, puisqu'on en est aux confidences, quand j'ai eu des grands malheurs, ce sont des lectures de la vie des saints, des martyrs, des pères de l'Eglise, qui m'ont tiré d'affaire...
Tant mieux.
J'ai du mal à comprendre ça mais en même temps je t'envie presque.
En ce moment je ne vais pas très fort et j'avoue que je réagis plutôt comme Donatien (à qui vont toutes mes pensées en ce moment), la littérature me semble bien futile, et puis en même temps j'ai terriblement besoin d'elle.
Paradoxal...
???
.................Hum..."printemps", c'est (c'était) quoi...?? Tiens, pas plus tard que mercredi matin, j'ai rallumé la cheminée ! Et je vais peut-être vendre au vide-grenier mon tuyau d'arrosage.
Courage!
A+
Courage, c'est en hiver qu'il faut croire au printemps !
La mort et la maladie rôdentCourage Donatien, courage Nance, courage Sissi...
La litttérature semble bien futile dans ces situations!
Pas facile.
La vie n'est pas toujours rose !
Oui, la vie n'est pas toujours rose !
J'ai soutenu Claire pendant son long combat (cinq ans) contre une tumeur au cerveau inopérable, la littérature nous a beaucoup aidés. Quand elle n'a plus pu lire, j'ai pratiqué à sa demande la lecture à haute voix, de romans qu'elle avait particulièrement aimés autrefois, en feuilleton, "Les garennes de Watership down" (Richard Adams), "Le merveilleux voyage de Nils Holgersson" (Selma Lagerlof), "L'enfant et la rivière" (Henri Bosco), ce dernier lu alternativement avec mon fils qui nous avait rejoints pour les deux derniers mois...
La poésie nous a été d'un grand secours aussi : Rimbaud, Aragon, Andrée Chédid, Apollinaire, Hugo, La Fontaine, Racine et des contemporains de Poitiers que nous fréquentions : Georges Bonnet (qui, de son côté, soutenait sa femme atteinte de la maladie d'Alzheimer), Odile Caradec...
Sans oublier certains textes spirituels : extraits des évangiles, François d'Assise...
Non, la littérature n'est pas futile dans ces conditions-là, au contraire, elle aide à vivre, à affronter le destin, à se familiariser avec la maladie et la souffrance, à apprivoiser la mort qui vient. C'est aussi important à mon avis que le toucher, le sourire, l'affection, l'amour, ou plutôt ça s'y additionne...
Bon courage à tous !
J'ai soutenu Claire pendant son long combat (cinq ans) contre une tumeur au cerveau inopérable, la littérature nous a beaucoup aidés. Quand elle n'a plus pu lire, j'ai pratiqué à sa demande la lecture à haute voix, de romans qu'elle avait particulièrement aimés autrefois, en feuilleton, "Les garennes de Watership down" (Richard Adams), "Le merveilleux voyage de Nils Holgersson" (Selma Lagerlof), "L'enfant et la rivière" (Henri Bosco), ce dernier lu alternativement avec mon fils qui nous avait rejoints pour les deux derniers mois...
La poésie nous a été d'un grand secours aussi : Rimbaud, Aragon, Andrée Chédid, Apollinaire, Hugo, La Fontaine, Racine et des contemporains de Poitiers que nous fréquentions : Georges Bonnet (qui, de son côté, soutenait sa femme atteinte de la maladie d'Alzheimer), Odile Caradec...
Sans oublier certains textes spirituels : extraits des évangiles, François d'Assise...
Non, la littérature n'est pas futile dans ces conditions-là, au contraire, elle aide à vivre, à affronter le destin, à se familiariser avec la maladie et la souffrance, à apprivoiser la mort qui vient. C'est aussi important à mon avis que le toucher, le sourire, l'affection, l'amour, ou plutôt ça s'y additionne...
Bon courage à tous !
Bon courage à tous !
oui, bon courage à tous pour ces moments difficiles !
Merci à vous tous.
Le seul qui parvient parfois à me soutenir est Clément Rosset qui, dans son texte "La force majeure", explique que cette force serait la JOIE de vivre,
d'admirer le "donné" afin de vaincre le "tragique" comme soutenu par Nietsche et ainsi de vaincre la crainte de la mort.
Mais cela demande une force qui manque par moment lorsque nous sommes confrontés à certaines des situations dans cette vallée de larmes.
Je crois que Montaigne aussi encourageait à tenter de bien faire "l'homme" durant cette vie et donc tenter de réagir.
Beau programme. J'attends donc le printemps tout en m'exerçant à l'admiration du donné, malgré tout.
Il est vrai que certains poètes ou musiciens peuvent aider.
A+
Le seul qui parvient parfois à me soutenir est Clément Rosset qui, dans son texte "La force majeure", explique que cette force serait la JOIE de vivre,
d'admirer le "donné" afin de vaincre le "tragique" comme soutenu par Nietsche et ainsi de vaincre la crainte de la mort.
Mais cela demande une force qui manque par moment lorsque nous sommes confrontés à certaines des situations dans cette vallée de larmes.
Je crois que Montaigne aussi encourageait à tenter de bien faire "l'homme" durant cette vie et donc tenter de réagir.
Beau programme. J'attends donc le printemps tout en m'exerçant à l'admiration du donné, malgré tout.
Il est vrai que certains poètes ou musiciens peuvent aider.
A+
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