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Quelques jours après l'écrivain américain Jim HARRISON, c'est l'écrivain hongrois Imre KERTÉSZ, l'auteur d"Être sans destin" et de "Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas", lauréat du prix Nobel de Littérature 2002, qui nous quitte à l'âge de 86 ans.
Sa fiche sur CL :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vauteur/2776
Quelques liens :
http://7sur7.be/7s7/fr/…
http://lemonde.fr/disparitions/article/…
http://liberation.fr/planete/2016/…
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Un écrivain exceptionnel que j'ai découvert dans la bibliothèque d'un cargo lors d'un de mes voyages ! Comme quoi l'équipage, s'il prend le temps de lire (et il y a beaucoup de temps en mer, malgré tout, beaucoup se sont munis d'une liseuse), bénéficie de livres de qualité !
Un écrivain qui m'a un peu ébranlé avec son livre sur sa déportation, Etre sans destin. RIP
Moi, c'est avec Liquidation que je l'avais connu, et j'ai entendu Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas au théâtre. Deux très beau texte, pleins d'intelligence et qui me m'amènent à croire qu'il s'agissait d'un beau Nobel.
Deux très beau texte, pleins d'intelligence et qui me m'amènent à croire qu'il s'agissait d'un beau Nobel.
Je vais réussir à la "convertir" au Prix Nobel de Littérature!... ;-D)
Gardons en mémoire l œuvre. Gardons en mémoire le témoignage "d être sans destin" pour ne pas être condamné à revivre notre histoire.
Deux très beau texte, pleins d'intelligence et qui me m'amènent à croire qu'il s'agissait d'un beau Nobel.
Je vais réussir à la "convertir" au Prix Nobel de Littérature!... ;-D)
Oh, je n'ai aucun mal à convenir du fait qu'il y a de très bons écrivains au palmarès du Nobel (Mann, Beckett... comptent parmi les écrivains que j'admire le plus). Le problème, au-delà de l'aspect toujours vain des prix littéraires et de certaines inconséquences (donner un million à des écrivains déjà largement reconnus, "professionnels", voire "rentiers" de leurs succès passés, et qui plus est souvent proches de la mort...) c'est qu'il y en a beaucoup d'autres qui ne l'ont pas (à commencer par Proust et Joyce qui comptent aussi parmi les écrivains que j'admire le plus) et que le Nobel, en gravant les uns dans le marbre et en oubliant/manquant les autres, donne l'impression que seuls les premiers ont existé, qu'on ne doit se souvenir que d'eux, donne une image fausse de la littérature de notre temps. Et ça me dérange.
Je n'ai jamais lu cet auteur, mais je me suis acheté Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas cette semaine.
Si je me souviens bien, le film réalisé à partir d"Etre sans destin, était fidèle au livre ! Et donc tout aussi évocateur !
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