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Pour ceux qui seraient intéressés, je vous relaye ci-dessous un lien vers le podcast de France culture, qui m'a été très gentiment communiqué via mail :
http://franceculture.fr/player/reecouter/…
Guy Goffette s'y exprime sur sa volonté de reprendre son recueil publié en 1991 (mais écrit d'un seul jet en une nuit en 1988) pour, d'une part, lui redonner vie chez Gallimard et pour, d'autre part, défendre l'honneur de "Mariana Alcoforado" contre la rumeur érudite qui réfute l'authenticité de ses lettres et les attribue à Guilleragues, initialement connu comme leur premier traducteur. L'émission permet également d'écouter deux autres écrivains, tout aussi intéressants même si moins connus que Guy Goffette, qui ont remis sur la table d'écriture un livre déjà publié.
http://franceculture.fr/player/reecouter/…
Guy Goffette s'y exprime sur sa volonté de reprendre son recueil publié en 1991 (mais écrit d'un seul jet en une nuit en 1988) pour, d'une part, lui redonner vie chez Gallimard et pour, d'autre part, défendre l'honneur de "Mariana Alcoforado" contre la rumeur érudite qui réfute l'authenticité de ses lettres et les attribue à Guilleragues, initialement connu comme leur premier traducteur. L'émission permet également d'écouter deux autres écrivains, tout aussi intéressants même si moins connus que Guy Goffette, qui ont remis sur la table d'écriture un livre déjà publié.
, défendre l'honneur de "Mariana Alcoforado" contre la rumeur érudite qui réfute l'authenticité de ses lettres et les attribue à GuilleraguesLe fait est qu'il y a dans la manière dont ces lettres sont désormais publiées quelques chose qui me chiffonne. Je ne suis pas compétent pour juger de l'attribution à Guilleragues et remettre en question le travail de Deloffre et Rougeot (dont, coïncidence, j'ai suivi les cours autrefois) mais sur mon édition GF des Lettres portugaises, le nom de Guilleragues est écrit en gros caractères, comme nom d'auteur. Or ce livre a été publié volontairement sans nom d'auteur, et il me semble que le mettre en couverture équivaut à trahir l'intention originale de l'auteur. Le statut du texte, flottant jusque-là (portugais et autobiographique ? français et fictif ?) lui était consubstantiel et en faire un roman assumé me paraît un abus éditorial.
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