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Bonjour monsieur, je suis très surprise de votre lecture du livre Le cinquième corridor. Je suis d'avis que vous avez mal saisi ce que l'auteur voulait faire et que votre incompréhension transcende votre critique. Pour citer Bob Dylan, j'aimerais vous suggérer de ne pas critiquer ce que vous ne comprenez pas.
Cordialement
Louise D.
Cordialement
Louise D.
Chère Louise, bienvenue sur le site !
Mais permettez-moi de vous faire remarquer que votre première suggestion n'est pas du tout dans l'esprit de CritiquesLibres.
Tout commentaire sur la critique d'un autre est la bienvenue, tant qu'elle est conviviale ; mais votre suggestion de ne pas critiquer, sous prétexte qu'on aurait pas compris, témoigne d'une prétention qui n'est pas de mise, entre nous, sur le site. Même si elle s'agrémente d'un « cordialement »...
Mais permettez-moi de vous faire remarquer que votre première suggestion n'est pas du tout dans l'esprit de CritiquesLibres.
Tout commentaire sur la critique d'un autre est la bienvenue, tant qu'elle est conviviale ; mais votre suggestion de ne pas critiquer, sous prétexte qu'on aurait pas compris, témoigne d'une prétention qui n'est pas de mise, entre nous, sur le site. Même si elle s'agrémente d'un « cordialement »...
Louise, Libris Québecis n'ayant pas besoin d'avocat de la défense, je parle en mon propre nom et d’autant plus à l'aise que je n'ai pas lu le livre dont vous parlez.
Vous avez fait une critique louangeuse d'un livre que Libris n'a pas adoré : OK et ça se respecte !
Par contre, votre entrée, sans nuances, dans ce forum où vous vous affirmez comme la vérité infuse et où vous vous permettez de renvoyer l'autre vers " ne critiquez pas ce que vous ne comprenez pas" , ça me dérange vraiment !
Vous ne donnez aucun argument constructif mais vous permettez de rejeter ce que pense "l'autre", au nom de votre ressenti. Est-ce-que ça ne friserait pas l'intolérance ?
Louise, je crois que vous n'ayez pas bien compris ce site : le désaccord y a pleinement droit de cité encore faut-il le justifier par un argumentaire et non en jetant l'anathème sur votre "adversaire" et ce, le jour même de votre "intronisation".
Sans la jouer Mme Irma, je vous prédis, Louise, des moments et échanges douloureux dans un site que vous ne connaissez pas et dans lequel vous vous permettez de vous introduire sur un mode aussi cavalier et irrespectueux.
PFFFT, c'est dur pour moi de vouvoyer !
PS : Louise, je rentre dans ce débat en étant "la gentille". D'autres seront, avec raison si vous vous obstinez, beaucoup moins enveloppant.
Bonne chance !
Je pars en vacances, donc ne pourrai suivre ce qu'engendrera votre message provocateur, DOMMAGE !
J’essaierai quand même de me connecter !
Vous avez fait une critique louangeuse d'un livre que Libris n'a pas adoré : OK et ça se respecte !
Par contre, votre entrée, sans nuances, dans ce forum où vous vous affirmez comme la vérité infuse et où vous vous permettez de renvoyer l'autre vers " ne critiquez pas ce que vous ne comprenez pas" , ça me dérange vraiment !
Vous ne donnez aucun argument constructif mais vous permettez de rejeter ce que pense "l'autre", au nom de votre ressenti. Est-ce-que ça ne friserait pas l'intolérance ?
Louise, je crois que vous n'ayez pas bien compris ce site : le désaccord y a pleinement droit de cité encore faut-il le justifier par un argumentaire et non en jetant l'anathème sur votre "adversaire" et ce, le jour même de votre "intronisation".
Sans la jouer Mme Irma, je vous prédis, Louise, des moments et échanges douloureux dans un site que vous ne connaissez pas et dans lequel vous vous permettez de vous introduire sur un mode aussi cavalier et irrespectueux.
PFFFT, c'est dur pour moi de vouvoyer !
PS : Louise, je rentre dans ce débat en étant "la gentille". D'autres seront, avec raison si vous vous obstinez, beaucoup moins enveloppant.
Bonne chance !
Je pars en vacances, donc ne pourrai suivre ce qu'engendrera votre message provocateur, DOMMAGE !
J’essaierai quand même de me connecter !
Hello, SBJ !
Bises avant mon départ !
Bises avant mon départ !
Hello, SBJ !Bises aussi, De Gouge... mais, tu pars ?
Bises avant mon départ !
Ah ! De Gouge, je viens de lire ton post, tu pars en vacances... alors, bon vent !
;-))
;-))
Pour conseiller à quelqu'un de s'abstenir de faire une critique parce qu'il n'aurait pas compris le livre qu'il a commenté, il faudrait connaître au moins à peine l'auteur de cette critique, son niveau de culture et son niveau intellectuel et littéraire. Un océan me sépare de Libris mais je suis un peu ce qu'il écrit ici et ailleurs et j'ai l'impression qu'il n'écrit pas n'importe quoi. Je serais même étonné qu'il ait pu écrire une critique sans avoir compris le livre.
Je reproduis un extrait de ce que l'on peut lire des conventions qui régissent les membres de CL.
La liberté qu'a chacun d'aimer ou de ne pas aimer un livre ou une BD est la clef de notre site. Chaque critique est subjective bien sûr, puisque l'objectif est de donner son opinion, cependant nous essayons de dégager le bon et le mauvais dans tout livre ou BD. Et tout le monde est libre ensuite de donner son avis sur un livre déjà critiqué, qu'il soit d'accord ou non sur le contenu de la première critique et sur la manière de voir du critiqueur, pour autant qu'il ne critique pas ce dernier, ni directement, ni indirectement.
En terminant, ma femme et moi avons la même formation, reçue dans la même institution et avons enseigné le même programme. Pourtant nous ne partagions pas toujours la même opinion à propos des oeuvres que nous mettions à l'étude.
La liberté qu'a chacun d'aimer ou de ne pas aimer un livre ou une BD est la clef de notre site. Chaque critique est subjective bien sûr, puisque l'objectif est de donner son opinion, cependant nous essayons de dégager le bon et le mauvais dans tout livre ou BD. Et tout le monde est libre ensuite de donner son avis sur un livre déjà critiqué, qu'il soit d'accord ou non sur le contenu de la première critique et sur la manière de voir du critiqueur, pour autant qu'il ne critique pas ce dernier, ni directement, ni indirectement.
En terminant, ma femme et moi avons la même formation, reçue dans la même institution et avons enseigné le même programme. Pourtant nous ne partagions pas toujours la même opinion à propos des oeuvres que nous mettions à l'étude.
Heureusement que nous n'avons pas tous le même avis sur les livres que nous lisons, à chaque lecteur naît un nouveau livre selon Marcos Malavia que je cite toujours dans ces circonstances.
Récemment une auteure m'a dit qu'elle n'avait pas pensé à mon interprétation de son livre quand elle l'avait écrit et pourtant elle a apprécié mon commentaire.
Récemment une auteure m'a dit qu'elle n'avait pas pensé à mon interprétation de son livre quand elle l'avait écrit et pourtant elle a apprécié mon commentaire.
Bonjour les lecteurs.
Je pense aussi que c'est la diversité des avis qui fait la richesse de "critiques libres".
Je pense aussi que c'est la diversité des avis qui fait la richesse de "critiques libres".
De quelques critiques parues sur le WEB
À l’image de son narrateur qui déambule toujours le long des mêmes rues, Le cinquième corridor tourne un peu en rond. L’écriture brute, exaltée et sans fard ne parvient pas à pallier l’essoufflement de l’histoire. Après avoir tout perdu, il ne reste au narrateur qu’à se remémorer encore et encore les mêmes événements, comme si les pièces du casse-tête ne s’emboîtaient jamais parfaitement. Mais à trop jouer sur la carte du passé qui hante, Leblanc-Poirier semble oublier que le roman, lui, continue de s’écrire et qu’il faut le nourrir de temps en temps.
http://lesmeconnus.net/le-cinquieme-corridor-quand…
Un peu mince, parfois surchargé de métaphores jusqu’à l’opacité.
http://ledevoir.com/culture/livres/…
À l’image de son narrateur qui déambule toujours le long des mêmes rues, Le cinquième corridor tourne un peu en rond. L’écriture brute, exaltée et sans fard ne parvient pas à pallier l’essoufflement de l’histoire. Après avoir tout perdu, il ne reste au narrateur qu’à se remémorer encore et encore les mêmes événements, comme si les pièces du casse-tête ne s’emboîtaient jamais parfaitement. Mais à trop jouer sur la carte du passé qui hante, Leblanc-Poirier semble oublier que le roman, lui, continue de s’écrire et qu’il faut le nourrir de temps en temps.
http://lesmeconnus.net/le-cinquieme-corridor-quand…
Un peu mince, parfois surchargé de métaphores jusqu’à l’opacité.
http://ledevoir.com/culture/livres/…
Au risque de faire des suppositions, je dirais bien que Madame Louise est venue sur ce site uniquement pour donner son avis sur ce livre et puis... c'est tout.
On verra si ses pas la mènent ailleurs.
D'ici-là, lisons ce qui nous plait! :-) Et soyons subjectifs à n'en plus pouvoir, youhou !
On verra si ses pas la mènent ailleurs.
D'ici-là, lisons ce qui nous plait! :-) Et soyons subjectifs à n'en plus pouvoir, youhou !
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