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Je ne suis pas un fan de Louise Penny mais j'apprécie beaucoup que ces polars transgressent le genre. L'auteure situe l'action dans un milieu précis que les lecteurs québécois peuvent décrypter et que ses personnages aient une âme qui s'élève au-dessus de l'acte criminel qu'ils ont commis.
Quant au langage, il est normal au Québec de tout féminiser. On dit une agente, une députée, une auteure, une professeure, etc.
Quant au verbe asseoir, nous employons la forme o pour le conjuguer. On dit donc il s'assoyait en conformité avec la grammaire Grevisse au lieu de il s'asseyait. On ne critique pas la parlure d'un peuple. Les traducteurs ont respecté le langage parlé au Québec, ce qui donne une saveur à l'oeuvre. Quand je lis un roman américain traduit par des Français, je me bidonne tellement leur traduction semble fausse pour rendre la réalité.
Lire le commentaire élogieux d'un chroniqueur du sélect journal Le Devoir.
http://ledevoir.com/culture/livres/…
Quant au langage, il est normal au Québec de tout féminiser. On dit une agente, une députée, une auteure, une professeure, etc.
Quant au verbe asseoir, nous employons la forme o pour le conjuguer. On dit donc il s'assoyait en conformité avec la grammaire Grevisse au lieu de il s'asseyait. On ne critique pas la parlure d'un peuple. Les traducteurs ont respecté le langage parlé au Québec, ce qui donne une saveur à l'oeuvre. Quand je lis un roman américain traduit par des Français, je me bidonne tellement leur traduction semble fausse pour rendre la réalité.
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