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A la lecture de ce livre "Enfants de dictateurs" la question, pour moi, est de plus en plus ouverte.
Contrairement à beaucoup de races animales, le bébé d' homme est fragile et ne se construit que s'il trouve autour de lui des moyens physiques et affectifs pour se développer.
Et quand son univers et ses perspectives de vie sont uniquement constitués d'un monde où Papa est Dieu, quels sont les moyens d'échapper au réel ?
Papa peut être cruel et destructeur en diable, mais dans le pire des cas, quand il aime son bébé, et veut en faire son successeur, donc le prépare à cette mission dictatoriale, avec la puanteur que recouvre ce choix élitiste (entre les enfants entre autres),ou se situe chez l'enfant le droit à penser ?
Beurk !
Çà me fait fuir !
Et pourtant,moi qui aime l' histoire, j'ai vu ce phénomène exister depuis que le monde est monde, peut-être est-ce plus douloureux parce que les personnages de ce livre nous sont plus proche dans le temps ?
Contrairement à beaucoup de races animales, le bébé d' homme est fragile et ne se construit que s'il trouve autour de lui des moyens physiques et affectifs pour se développer.
Et quand son univers et ses perspectives de vie sont uniquement constitués d'un monde où Papa est Dieu, quels sont les moyens d'échapper au réel ?
Papa peut être cruel et destructeur en diable, mais dans le pire des cas, quand il aime son bébé, et veut en faire son successeur, donc le prépare à cette mission dictatoriale, avec la puanteur que recouvre ce choix élitiste (entre les enfants entre autres),ou se situe chez l'enfant le droit à penser ?
Beurk !
Çà me fait fuir !
Et pourtant,moi qui aime l' histoire, j'ai vu ce phénomène exister depuis que le monde est monde, peut-être est-ce plus douloureux parce que les personnages de ce livre nous sont plus proche dans le temps ?
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