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"La forêt des insoumis" est un roman historique qui s’inspire d’un journal tenu par René Jolicoeur lorsqu’il se cachait autour du troisième trimestre 1918 dans la région de Mont-Laurier (au sud de la province de Québec).
Mont-Laurier n'est pas au sud du Québec, mais au nord. C'est à 300km au nord de Montréal, ville située complètement au sud, à quelques kilomètres des États-Unis. Ce n'est pas grave. Les Québécois savent où est situé Mont-Laurier, le rendez-vous des pêcheurs, des chasseurs et des motoneigistes.
Bravo de nous faire connaître notre littérature.
Mont-Laurier n'est pas au sud du Québec, mais au nord. C'est à 300km au nord de Montréal, ville située complètement au sud, à quelques kilomètres des États-Unis. Ce n'est pas grave. Les Québécois savent où est situé Mont-Laurier, le rendez-vous des pêcheurs, des chasseurs et des motoneigistes.
Bravo de nous faire connaître notre littérature.
Pour moi Mont-Laurier est dans le tiers sud de la province, tout en étant à 300 km au nord de Montréal. Cette dernière étant à l'extrême-sud si on veut nuancer.
Merci pour la satisfaction, j'ai en effet recherché tous les romans historiques pour les jeunes qui ont pour héros des Canadiens entre 1914 et 1918.
Malheureusement je ne pourrais les présenter tous, pour des raisons que l'on connaît, toutefois j'ai tenu à proposer ici la critique de celui-ci car c'est le seul avec pour héros des canadiens français.
"Prisonniers de la grande forêt" de Marsha Forchuk Skrypuch se déroule certes au Québec, sur cette période, mais avec des gens qui descendant du bateau et viennent d'Ukraine.
Merci pour la satisfaction, j'ai en effet recherché tous les romans historiques pour les jeunes qui ont pour héros des Canadiens entre 1914 et 1918.
Malheureusement je ne pourrais les présenter tous, pour des raisons que l'on connaît, toutefois j'ai tenu à proposer ici la critique de celui-ci car c'est le seul avec pour héros des canadiens français.
"Prisonniers de la grande forêt" de Marsha Forchuk Skrypuch se déroule certes au Québec, sur cette période, mais avec des gens qui descendant du bateau et viennent d'Ukraine.
" Pour beaucoup de Canadiens, le déserteur ou l’insoumis n’était ni plus ni moins qu’un peureux, voire un lâche. Au Québec, au contraire, le déserteur a été longtemps valorisé, et nombreux sont ceux qui ont fait de lui le symbole du héros bravant l’autorité fédérale anglophone".
http://journal.forces.gc.ca/vo5/no4/…
http://journal.forces.gc.ca/vo5/no4/…
Michel Litalien, Écrire sa guerre. Témoignages de soldats canadiens-français (1914-1919), Outremont, Athéna éditions, 2011, 307 pages.
http://www.crid1418.org/bibli/?p=150
http://www.crid1418.org/bibli/?p=150
Pour commander ce livre "La forêt des insoumis" , si votre libraire européen habituel s'y refusait, vous pouvez passer par la Librairie du Québec à Paris.
Si vous êtes sur le Vieux continent, "Prisonniers de la grande forêt" de Marsha Forchuk Skrypuch se commande directement chez Scholastic, à partir de leur site francophone. Toutefois ils ne vendent qu'à des écoles ou des enseignants.
Avec des éditions canadiennes comme "La bagnole" ou "Dominique et compagnie", présentes aussi en Europe, on n'a pas de problème en commandant auprès de son libraire habituel.
Si vous êtes sur le Vieux continent, "Prisonniers de la grande forêt" de Marsha Forchuk Skrypuch se commande directement chez Scholastic, à partir de leur site francophone. Toutefois ils ne vendent qu'à des écoles ou des enseignants.
Avec des éditions canadiennes comme "La bagnole" ou "Dominique et compagnie", présentes aussi en Europe, on n'a pas de problème en commandant auprès de son libraire habituel.
L'éditeur vend aussi cette oeuvre.
http://editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/…
http://editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/…
"Claudius Corneloup prend position et écrit une lettre destinée au nationaliste Henri Bourassa, directeur du journal Le Devoir, pour lui faire part de son opposition à une telle mesure si impopulaire au Québec. Cette lettre, interceptée par le commandant de son unité, ne sera jamais envoyée, et lui vaudra un procès en cour martiale et une condamnation humiliante à la peine du piquet. Après la guerre, Claudius publie dans la presse québécoise des extraits de ses témoignages de guerre."
http://crid1418.org/temoins/2009/…
http://crid1418.org/temoins/2009/…
Oubli du début de la phrase, mettre avant :
"En janvier 1917, alors qu’au Canada est débattue la question de la conscription,"
ce qui donne
"En janvier 1917, alors qu’au Canada est débattue la question de la conscription, Claudius Corneloup prend position et écrit (...)"
"En janvier 1917, alors qu’au Canada est débattue la question de la conscription,"
ce qui donne
"En janvier 1917, alors qu’au Canada est débattue la question de la conscription, Claudius Corneloup prend position et écrit (...)"
Voici des romans pour alimenter ton riche bagage sur la Première Guerre mondiale entourant la conscription de 1917.
Caron, Louis. L’Emmitouflé (Déserteur)
Charland, Jean-Pierre. Le Prix du temps (Conscription à Québec)
Delisle, Jean-François. La Guerre, Montréal (Conscription)
Deslongchamps, F.-M. La Maudite Guerre (Déserteur)
Lewis, Luc. Le Proscrit (Refus de participer à la guerre)
Caron, Louis. L’Emmitouflé (Déserteur)
Charland, Jean-Pierre. Le Prix du temps (Conscription à Québec)
Delisle, Jean-François. La Guerre, Montréal (Conscription)
Deslongchamps, F.-M. La Maudite Guerre (Déserteur)
Lewis, Luc. Le Proscrit (Refus de participer à la guerre)
Un grand merci, dans ces 5 titres y en aurait-il un qui aurait été écrit pour un lectorat jeune?
Je ne le pensais pas mais je préférais demander le nombre de pages, afin de le rajouter si besojn à ma bibliographie.
J'ai rajouté le nombre de pages et l'année.
Caron, Louis. L’Emmitouflé, 1977. 241 pages
Charland, Jean-Pierre. Le Prix du sang, 2011. 574 pages
Delisle, Jean-François. La Guerre, Montréal, 2012. 220 pages
Deslongchamps, F.-M. La Maudite Guerre, 2008. 303 pages
Lewis, Luc. Le Proscrit, 2009, 109 pages.
Ce dernier titre serait-il abordable par des 15/18 ans ? Je me le demande.
Je ne le pensais pas mais je préférais demander le nombre de pages, afin de le rajouter si besojn à ma bibliographie.
J'ai rajouté le nombre de pages et l'année.
Caron, Louis. L’Emmitouflé, 1977. 241 pages
Charland, Jean-Pierre. Le Prix du sang, 2011. 574 pages
Delisle, Jean-François. La Guerre, Montréal, 2012. 220 pages
Deslongchamps, F.-M. La Maudite Guerre, 2008. 303 pages
Lewis, Luc. Le Proscrit, 2009, 109 pages.
Ce dernier titre serait-il abordable par des 15/18 ans ? Je me le demande.
Merci pour la présentation de "L'Emmitouflé"
Toutes mes références s'adressent à un large public. Je penche pour L'Emmitouflé de Louis Caron qui convient parfaitement aux jeunes. L'auteur a une plume qui va chercher rapidement le lecteur. Il raconte une histoire comme pas un.
L'oeuvre de Jean-PIerre Charland est trop longue car il se répète.
La bibliographie ne compte pas d'oeuvres exceptionnelles.
L'oeuvre de Jean-PIerre Charland est trop longue car il se répète.
La bibliographie ne compte pas d'oeuvres exceptionnelles.
"Le Proscrit" de Luc Lewis, a une action également au Mont-Laurier et à peu près les mêmes années de guerre.
Voici le résumé de mes dossiers :
La guerre de 1914-1918 a entraîné au combat des citoyens de pays qui n'avaient, au départ, rien à voir avec les enjeux de ce conflit. Le Canada, pour sa part, a dû y contribuer comme colonie de l’Angleterre envoyant ses célibataires à la guerre.
Plusieurs jeunes Québécois en désaccord avec cette situation prirent le parti de se soustraire à leur enrôlement. Fuyant les recherches policières, ils trouvèrent dans les forêts de l'arrière-pays un refuge et un abri. C'est la vie aventureuse - ou plutôt la survie - de l'un d'eux que raconte Luc Lewis, grâce à des renseignements très précis recueillis auprès de celui que l'armée qualifiait alors de proscrit.
Une lumière sur les dessous de la conscription de 1917.
La guerre de 1914-1918 a entraîné au combat des citoyens de pays qui n'avaient, au départ, rien à voir avec les enjeux de ce conflit. Le Canada, pour sa part, a dû y contribuer comme colonie de l’Angleterre envoyant ses célibataires à la guerre.
Plusieurs jeunes Québécois en désaccord avec cette situation prirent le parti de se soustraire à leur enrôlement. Fuyant les recherches policières, ils trouvèrent dans les forêts de l'arrière-pays un refuge et un abri. C'est la vie aventureuse - ou plutôt la survie - de l'un d'eux que raconte Luc Lewis, grâce à des renseignements très précis recueillis auprès de celui que l'armée qualifiait alors de proscrit.
Une lumière sur les dessous de la conscription de 1917.
Il s'agit du résumé de Proscrit de Lewis.
Né le 21 mars 1959 à Créteil (France), André Marois étudie deux mois en arts plastiques et cinéma à l’université Paris VIII, puis deux ans par correspondance pour obtenir le brevet de technicien supérieur (BTS) en publicité, en 1981. Il effectue ensuite son service militaire comme dessinateur chez les pompiers de Paris, puis démarre une carrière de concepteur-rédacteur publicitaire en 1982, dans diverses agences parisiennes. Il émigre à Montréal en 1992 avec ses deux enfants, pour travailler comme publicitaire pigiste jusqu’en 2006. Il y habite toujours, en plein cœur du Plateau-Mont-Royal.
Depuis 1999, il publie des romans noirs pour les adultes, des romans policiers et de science-fiction pour les enfants et les adolescents, ainsi que des nouvelles pour tirer sur tout ce qui bouge. En 2013, son roman Les Voleurs de mémoire a gagné le Prix jeunesse des Libraires du Québec. Depuis, 2006, il donne des ateliers / conférences auprès d’étudiants de primaires, secondaires, cégeps et universitaires sur l’écriture, le polar, la nouvelle noire : Edmundston, Gatineau, Montréal, Vancouver, Winnipeg, UQAM, Bordeaux (France), Sudbury, Gatineau, Québec, Toronto, Windsor, and Calgary. Depuis 2010, il est chargé de cours à l’Université de Sherbrooke : créativité et rédaction.
http://numerocinqmagazine.com//…=
Depuis 1999, il publie des romans noirs pour les adultes, des romans policiers et de science-fiction pour les enfants et les adolescents, ainsi que des nouvelles pour tirer sur tout ce qui bouge. En 2013, son roman Les Voleurs de mémoire a gagné le Prix jeunesse des Libraires du Québec. Depuis, 2006, il donne des ateliers / conférences auprès d’étudiants de primaires, secondaires, cégeps et universitaires sur l’écriture, le polar, la nouvelle noire : Edmundston, Gatineau, Montréal, Vancouver, Winnipeg, UQAM, Bordeaux (France), Sudbury, Gatineau, Québec, Toronto, Windsor, and Calgary. Depuis 2010, il est chargé de cours à l’Université de Sherbrooke : créativité et rédaction.
http://numerocinqmagazine.com//…=
À JulesRomans,
j'ai trouvé par hasard un petit essai sur les déserteurs québécois lors de la Première Guerre mondiale.
Bouvier, Patrick. Déserteurs et insoumis. Éd. Athéna, 2003, 149 p.
j'ai trouvé par hasard un petit essai sur les déserteurs québécois lors de la Première Guerre mondiale.
Bouvier, Patrick. Déserteurs et insoumis. Éd. Athéna, 2003, 149 p.
Le début de "La Forêt des insoumis"
http://google.fr/url/…
Des explications de l'auteur sur son livre
http://andremarois.blogspot.fr/2012/02/…
http://google.fr/url/…
Des explications de l'auteur sur son livre
http://andremarois.blogspot.fr/2012/02/…
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