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Bravo Fanou pour ce commentaire ! Je l'ai conservé dans mes documents.
Le médecin, dont tu évoques le nom, n'est pas un personnage fictif. Il est né à Sorel et il y est enterré avec son frère Robert, médecin également. Les deux frères sont des anglophones qui ont lutté avec les francophones pour l'indépendance du Canada. Ils ont d'ailleurs organisé les batailles pour se débarrasser, en vain d'ailleurs, de la couronne britannique. Chez nous, ce chapitre de notre histoire est connu sous le nom de La Rébellion de 1837-1839.
On trouve l'histoire du cadet Robert Nelson sur le site
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/10312
Le médecin, dont tu évoques le nom, n'est pas un personnage fictif. Il est né à Sorel et il y est enterré avec son frère Robert, médecin également. Les deux frères sont des anglophones qui ont lutté avec les francophones pour l'indépendance du Canada. Ils ont d'ailleurs organisé les batailles pour se débarrasser, en vain d'ailleurs, de la couronne britannique. Chez nous, ce chapitre de notre histoire est connu sous le nom de La Rébellion de 1837-1839.
On trouve l'histoire du cadet Robert Nelson sur le site
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/10312
Libris, merci pour le lien vers la biographie de Georges Nelson !
Le titre porté par Antoine Tassy, "seigneur" de Kamouraska, m'a toujours intrigué dans le contexte québécois, sans que je prenne jusqu'ici le temps d'en chercher l'origine.
Mais j'ai trouvé récemment un éclaircissement dans "Une histoire du Québec" (Septentrion, 2002) de Jacques Lacoursière, que je vous livre ici:
"Dans l'espoir de remplir son engagement de peuplement, la compagnie de Nouvelle-France fait appel à un mode particulier de concession des terres. En 1634, elle concède à Robert Giffard une "seigneurie" qui prendra le nom de Beauport. Le nouveau seigneur, dont le territoire mesure une lieu de front sur une lieu et demie de profondeur, doit, à son tour, concéder des lots à de nombreux colons qu'il est chargé de recruter. De nombreuses seigneuries seront octroyées par la suite et ce système de peuplement, qui n'a rien à voir avec le féodalisme français, marquera une partie du territoire québécois."
Mais j'ai trouvé récemment un éclaircissement dans "Une histoire du Québec" (Septentrion, 2002) de Jacques Lacoursière, que je vous livre ici:
"Dans l'espoir de remplir son engagement de peuplement, la compagnie de Nouvelle-France fait appel à un mode particulier de concession des terres. En 1634, elle concède à Robert Giffard une "seigneurie" qui prendra le nom de Beauport. Le nouveau seigneur, dont le territoire mesure une lieu de front sur une lieu et demie de profondeur, doit, à son tour, concéder des lots à de nombreux colons qu'il est chargé de recruter. De nombreuses seigneuries seront octroyées par la suite et ce système de peuplement, qui n'a rien à voir avec le féodalisme français, marquera une partie du territoire québécois."
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