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Le journal Paris soir du dimanche 10 janvier 1937 titre sur trois colonnes à la Une : « Vingt jeunes instituteurs volontaires vont prendre la place des surveillants dans ce qui fut les bagnes d’enfants. La prison de Lamotte-Beuvron sera le 1er février une vraie maison d’éducation. »
http://rhei.revues.org/3023
http://rhei.revues.org/3023
Les bagnes d'enfants se présentent aussi au Québec sous forme d'institutions gouvernementales. Ce sont des orphelinats dirigés par des religieux ou des religieuses qui se comportent envers les orphelins avec une sévérité sans non. Deux écrivains (Pauline Gill et le regretté Bruno Roy) ont dénoncé ces établissements de la honte où les enfants étaient souvent taxés de maladie mentale afin de recevoir des subventions plus généreuses. Ces enfants malmenés sont connus au Québec sous le nom des orphelins de Duplessis. Deux oeuvres leur sont consacrées que l'on peut trouver sur ce site.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/825
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/16897
Ces prisons dorées pour orphelins n'existent plus. De plus, la Cour a condamné le gouvernement à dédommager les victimes pour les sévices subis.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/825
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/16897
Ces prisons dorées pour orphelins n'existent plus. De plus, la Cour a condamné le gouvernement à dédommager les victimes pour les sévices subis.
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