Magicite
avatar 08/05/2014 @ 18:07:56
Voici un texte de science fiction pour ceux qui ne veulent pas lire de science fiction intitulé: L'anniversaire de Kyoko

Suite à au fait que le forum ne se prête pas toujours à la lecture de texte long je joint une version epub de mon texte.
Cette version m'a permit d'agrémenter le texte d'image.

Pour obtenir le fichier:

http://www.fichier-epub.fr/2014/05/08/kyoko/


Si vous avez besoin d'un programme pour lire les fichiers epub:

extension pour firefox: https://addons.mozilla.org/fr/firefox/…
logiciel Calibre: http://calibre-ebook.com/download


Je mets quand même mon écrit sur le forum:

Magicite
avatar 08/05/2014 @ 18:08:49
L'anniversaire de Kyoko
*kyuku nô Kyoko*


J'ai acheté un casque d'écoute super.
Il est encore flambant neuf. Je l'ai prit parce que j'aime la musique forte et que je ne vais pas faire subir à l'entourage mon son tonitruant, rock rebelle et hystérique que j'aime écouter dans le confort d'une villa isolé sur le mur que j'ai construit moi même, les quelques 350watts assourdissants de mon agrégat d'enceintes.
J'ai passé une heure à en essayer des casques dans le grand magasin HIFI pour savoir lequel avait la meilleure qualité, le meilleur dynamisme en basse et moyenne fréquence. Quand je dit une heure c'est certainement plus, vu le prix et mon budget je voulait être sûr de mon choix.
C'est le vendeur du rayon qui m'a averti que la boutique fermait, j’eus juste le temps d'aller payer mon achat, la caissière pressée de finir la journée avait des cheveux longs et ondulés comme A-L.
A-L venait de me quitter et écouter de la musique à fond dans les écouteurs était aussi pour moi une façon de penser à autre chose.
Quand je suit sorti la boîte sous le bras il faisait nuit et il pleuvait. Averse d'automne, lente et glaçante.
J'ai donc couru en longeant les murs, protégeant mon acquisition des gouttes en le maintenant enveloppé dans son sac plastique.
Elle(A-L toujours dans mes pensées) avait emporté le parapluie et des souvenirs de nous deux ensemble serrés sous son l'hospice de toile protectrice, moi j'étais présentement trempé. La pluie était forte et mon cœur submergé, je me mis à l'abri sous une devanture de boutique.
''Il pleut sur la route... le cœur en déroute''.
L'applique lumineuse irradiait dans cette obscurité de soirée pluvieuse. Je n'avait jamais vu cette boutique et comme elle était ouverte malgré l'heure tardive je poussait la porte pour m'y réfugier en simulant un intérêt pour les marchandises.
Derrière le paravent de la vitre de la boutique j'y découvrit un magasin étranger, et curieusement ordonné.
Les murs et le plafonds étaient blanc et lumineux, bien éclairés. Deux étagères de bois acajou sculpté et laqué délimitait de courtes allées et au fond un minuscule japonais rabougri par les ans était assis à son comptoir sur un tabouret de bar trop haut pour lui.
Il me salua sans quitter son siège d'un inclinaison de la tête. Une moustache épaisse, des yeux laiteux et un sourire commerçant figé sur son visage.
Je me suis senti gêner de dégouliner dans l'entrée et frottait avec exagération mes chaussures sur le paillasson. Les étagères contenaient toutes des tiroirs de plastique transparent. Dans chaque tiroir il y avait un 'bidule' électronique inconnu.
Je regardait les étalages, devant parfois me hausser sur la pointe des pieds pour atteindre les tiroirs en hauteur. Comment le vieux nain pouvait il atteindre le haut de ses étagères demeurât un mystère.
Les articles étaient tous intrigants. On aurait dit des machins venus droit d'un film futuriste, comme si c'était le dernier i-phone 10 ans avant sa sortie dans les magasins.
Je me dit que la boutique devait importer ces choses de cet autre monde qui est le Japon, directement d'un des quartiers où la technologie ultra-moderne y pousse comme les pains le font dans les boulangeries de France.
Dans une des étagères un objet en particulier attira mon attention. C'était un lecteur audio mp3.
Parfait pour mon nouveau casque.
Je le sortit et l'examinait quand sans que je l'entendit se déplacer le vieil homme de la boutique apparut dans mon dos et me fit signe de le prendre.
Le prix étant marqué en yen, ou en tout cas je le pensait devant ma méconnaissance des idéogrammes de l'étiquette, je savait que je ne pouvait acheter ce bel objet neuf, coque en chrome bleu pâle. Le casque m'ayant déjà ruiné pour le mois je n'avait pas les moyens pour cette dépense.
Sans que je puisse réagir le commerçant enroula le bidule dans un sac de papier froissé et le fourra dans la poche de ma veste. D'un geste il me congédiait indiquant les traces d'eau que mes habits dégoulinants laissaient sur le sol de sa boutique.
Intrigué et remerciant je le quittait en le gratifiant d'un 'Alligato Gozaimaze' , le merci japonais et aussi mon seul rudiment en cette langue.
Il avait les yeux malicieux et m'aurait presque effrayé s'il n'avait pas eu aussi un rire bref et chaleureux qui accompagna mon départ.

L'appareil était d'un joli ton pastel dans une peinture aux reflets métallisé. Plutôt petit et ovale c'était le lecteur de musique idéal, surtout qu'il y avait une carte mémoire intégré avec et qu'il s'alluma de suite. Un unique câble permettait de recharger la batterie et de charger la carte mémoire.
Arrivé chez moi et m'étant changé pour des vêtements secs je le branchait de suite pour y déposer mes musiques préférées.
J’eus un peu d'inquiétude quand j'y vis un fichier aux caractères indéchiffrables et que je ne pouvait le formater. J’espérai que les normes du japon ne soient pas un problème.
Ce ne fût pas le cas, l'appareil fonctionnait bien et se trouvait compatible avec tout les formats de audio que j’utilisai.
En peu de temps je m'endormis sur un rythme de caisse claire effréné le casque sur les oreilles, possédant un lecteur audio gratuit.
Je me suit réveillé au milieu de la nuit, le casque vissé sur les oreilles.
Il y avait un son étrange. Lorsque je retirait le casque je m’aperçus que celui ci venait de mon casque.
Intrigué j'écoutais le son, cyclique et régulier, doux aussi. Je reconnu le battement d'un cœur.
Plus j'écoutais et plus le son devint chaleureux, plus je me sentit proche de la personne, de sa pulsation envoûtante.
J’étais à moitié éveillé et je fermait les yeux. Une voix parla par dessus ces battements de cœur.
Une voix de femme, des mots indéchiffrables en japonais.
Je me rendormit en rêvant de cette femme, une qui me laisserait pas tomber comme A-L. Une qui serait plus douce et plus gentille qu'A-L la femme de mes rêves, une japonaise à qui j’apprendrai ma langue et qui me ferait découvrir les traditions de son pays.
Le lendemain je passait devant la boutique pour demander au vieil homme s'il savait ce qu'était cet enregistrement, l'enregistrement de ce cœur qui bat incrusté dans l'appareil.
Je ne sait par quelle sorcellerie mais dans la rue où je m'étais abrité de la pluie il n'y avait rien. Pas une absence ou une vitrine vide mais seulement la rue, d'autres boutiques, des bâtiments d'habitation mais nulle trace de la devanture. Hier, je devait être plus fatigué que ce que je ne le pensait me dis je.
Le soir je me mit dans mon lit avec casque et bidule lecteur. Je sélectionnais directement la piste en langue inconnue. J'y retrouvais le battement de cœur pourtant quelque chose avait changé. Il était plus rapide, plus fort aussi. La voix me semblât adresser directement un message. Je faillit faire un bond hors du lit en sursaut lorsque je l'entendit dire mon prénom, dans mon appareil il y avait quelqu'un qui me parlait, si près comme si elle était dans la pièce tout près.
Intuitivement je tendis les bras en avant, cherchant à rencontrer la personne qui me parlait dans l'oreille.
Nouveau sursaut évité lorsque les yeux clos je touche quelque chose devant moi.
Pas quelque chose! Quelqu'un.
J'étreins sa main, sent sa peau chaude et douce sur la mienne.
J'ouvre les yeux, elle est là ma Kyoko.
C'est en effet la femme parfaite et nous vivons le parfait amour. Son français est impeccable à présent.
Elle commence à m'enseigner le japonais, ce qui est difficile pour moi car l'ordre des mots est chamboulé par rapport à celui que je connais.
Aujourd'hui cela va faire 4 ans que nous sommes ensemble, 4 ans depuis que ma princesse nippone est sortie de son appareil.
Chaque jour j'essuie d'un chiffon propre son appareil, le casque y est toujours branché. Il y a un super son. Elle va me préparer des nouilles Soba, celles que j'aime tant.
Et moi j'ai aussi une surprise pour notre anniversaire: la bague avec la demande au moment du dessert. Nos enfants seront magnifiques.
Elle doit savoir qu'aujourd'hui est un jour spécial car elle a vraiment fait les choses en grand à la maison.
Il y a des décorations en origamis et guirlandes tressés partout dans la pièce, des serviettes de soie ornés de broderies, les légumes sont taillés en fleurs et animaux ordonnés en paysages sur des plats apétisants.
Cette soirée est l'une de nos plus réussies parmi une longue série, avant le dessert et ma demande je décèle avec la connaissance de l'être qui partage ma vie un voile de chagrin rapide sur son visage.
_'Qu'il y a t-il ma chérie, ce soir c'est le grand soir, notre anniversaire mais aussi...je vais... '.
bredouillais je, en essayant de jongler avec l'assiette de gâteaux et la boîte qui contient l'alliance tout en me mettant à genoux devant elle.
Son cœur tressaute.
Quatre temps frappés à la grosse caisse dans sa poitrine: Boum Boum Bodom!
Il bat, lent régulier puis rapide et de plus en plus fort tandis que coulent des larmes silencieuses le long de ses joues. Perles de pluie sur le nacre du visage de ma poupée.
_'Tu sait je ne suit pas vraiment humaine. Cet anniversaire c'est la fin d'autonomie de ma batterie.'.
Et je pleures avec elle tandis que je l'étreint et qu'elle disparaît soudainement comme elle est venue, bulles de savon s'évanouissant dans l'air, ritournelle s'affaiblissant dans le lointain.

Je ne peut plus écouter de musique et chaque jour je passe un chiffon sur le casque et son appareil.
Le casque est flambant neuf. Il n'y a plus de son, de batterie.

Débézed

avatar 09/05/2014 @ 01:22:19
Quelle imagination prolifique, tu écris comme tu respires, à la même vitesse ! Et toutes ces descriptions, ton Japonais m'a fait penser au maître bonzaï d'Antoine Bueno et ton magasin éphémère à celui qu'Hélène Grimaud installe dans une vieille rue d'Hambourg, dans "Retour à Salem", enrichissent grandement le texte. Tu possèdes un vrai art de la description des lieux et des personnages. Mais il faut que tu achètes vite des piles pour faire renaître cette fille !

Débézed

avatar 09/05/2014 @ 01:24:34
Question sans aucun vice : est-ce que le fait de mettre un "t" aux verbes à la première personne a une signification dans ta fiction ? Comme il n'y a aucune faute dans ton texte, cet usage du "t" m'interpelle.

Provisette1 09/05/2014 @ 18:24:40
C'est terriblement touchant, Magicien, emouvant mais si triste, si triste comme le sont trop souvent nos desirs, nos reves quand le reel frappe au coeur.

Magicite
avatar 09/05/2014 @ 20:30:52
Pour la conjugaison c'est hélas pas mon fort et je voit que j'aurai(t?) du me lire plus voire peaufiner tout cela.
Pour une fois j'ai une excuse de ne pas l'avoir fait assez, j'étais occupé à faire cette image:

http://mediareference.olympe.in/images/…

Merci de vos commentaires ça fait plaisir.
La fin triste c'était un parti pri(s/t?) pour tomber dans le mélodrame et moi aussi je me pose la question pourquoi il n'a pas essayer de change rles piles ;)

Même si c'était inconscient tu a tout à fait compri(s/t?) ce que je voulais exprimer sur ce texte Provisette1.

Nathafi
avatar 09/05/2014 @ 20:53:26
Je le trouve touchant ton texte, Magicite, pas habituée à ça chez toi et j'ai été agréablement surprise ! Emouvant, ce jeune homme affaibli par sa rupture.

Et les détails, on n'en manque pas, ça, c'est comme d'hab !

Le dessin, j'adore ! Le fond, génial ! , comment as-tu fait ce fond, dis-moi ?

Provisette1 09/05/2014 @ 21:11:17
moi aussi je me pose la question pourquoi il n'a pas essayer de change rles piles ;)



Ahahah!!!!
Je n'y avais même pas penser non plus:-)))))))))))
On ne peut vivre dans la Lune, Magicien et...penser à des trucs si materialistes!!!

Saule

avatar 10/05/2014 @ 08:27:24
Vraiment très bien, le texte est enlevé avec du rythme et beaucoup d'imagination et une belle surprise à la fin. La description du magasin japonais est super, on s'y croirait vraiment. A l'un ou l'autre moment j'ai été perturbé par l'ordre des mots, je ne comprenais pas le sens de la phrase, par exemple " que j'aime écouter dans le confort d'une villa isolé sur le mur que j'ai construit moi même,". Au niveau des détails, il me semble aussi que tu hésites par moment entre l'imparfait et le passé simple ou composé, sans être tout à fait cohérent.

Sissi

avatar 10/05/2014 @ 08:56:59
Oui Saule Magicite a des petits soucis avec les verbes: concordance des temps, conjugaison, il ne s'en cache pas d'ailleurs et c'est dommage, vraiment dommage (sur ce texte c'est très flagrant et pour ma part ça me dérange, quand même..) parce qu'il a deux points forts, et ils le sont beaucoup (beaucoup fort? non, ça ne va pas, mais bref il possède deux fantastiques qualités) selon moi: une imagination foisonnante, et un art de la description (duquel découle un univers très spécial à chaque fois).
C'est toujours complètement barré, fantastique à souhait, c'est parfois bancal au niveau de la construction des phrases mais je ne ressens jamais, quand je te lis, Magicite, ce qu'on ressent parfois en lisant et qui est sans doute ce que redoutent le plus l'auteur et le lecteur: l'ennui.
Tu m'emmènes à chaque fois dans ton monde, dans lequel je resterais bien encore un peu. Je te sens authentique quand tu écris.
Et quelle chute!! J'ai adoré.
(Mais quand même, bosse un peu tes verbes...:-))

Pieronnelle

avatar 10/05/2014 @ 12:54:51
Ce coeur qui bat est une vraie belle idée ! D'autant plus forte qu'il sort d'une technologie pointue ! Et ce vieux japonais qui est capable de voir la détresse d'un coeur et en offre un...Au milieu de tout ce matériel qui donne accès aux échappatoires, ici comme la musique, la vie est là qui cherche sa petite place. Le bonheur ne durerait-il que le temps d'une batterie ? Je comprends qu'il ne l'ait pas rechargée , elle a duré..le temps d'une guérison ! Du fantastique dans l'humain , bravo !

Guigomas
avatar 15/05/2014 @ 12:13:13
Joli texte, qu'on a du mal à lâcher une fois qu'on en a commencé la lecture. C’est également une bonne idée d’avoir japonisé l’intrigue : il y a un peu de la boutique de Gremlins dans le magasin du vieux Japonais et on les sait très en pointe pour tout ce qui est robotique et humanoïdes. Du coup on se laisse emporter sans réticence, hormis peut-être au niveau de la grammaire, mais cela se corrige.

Lobe
avatar 17/05/2014 @ 15:53:39
Ce texte m'évoque un peu le film Her: on sait bien que ce n'est pas possible, voué à l'échec, ça n'empêche pas d'y placer espoir, d'y croire, d'y croire en cette relation amoureuse bizarre. Le tout sur fond de rupture qu'on sent encore à vif. Le texte est entrainant, au point que je n'ai pas vu les fautes d'accord (oui, c'est fort!). A mon sens plus entrainant que ton autre écrit, que j'ai du mal à finir - mais je ne m'avoue pas vaincue.

Magicite
avatar 17/05/2014 @ 19:00:49
Merci de m'avoir lu.
Mes humbles excuses de tant de fautes de temps, c'est vrai parfois je devrait me relire mais même ainsi je sait que je devrais faire un travail fastidieux pour arriver à tout 'nettoyer' et je suis par trop fainéant.
Double merci de m'avoir lu et commenté.
Je voulais dire l'idée est 'plagiée', ou plutôt inspirée sur ceci:
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/41249
D'ailleurs la boutique et son vieux bonhomme nippon en viens
http://k2r.it/Le_gallerie/Video_Girl_Ai/… alors cela ne m'a pas étonné qu'il évoque des boutiques de livres déjà fait(que d'ailleurs je ne connais pas)
Mais l'essentiel des idées sont de moi(d'ailleurs l'histoire originale a une fin heureuse et s’étend sur les sentiments amoureux, façon feuilleton, ce que j'ai essayé de pas faire).

Et c'est vrai que cette histoire est plus réussie que l'autre(et plus courte ce qui y participe sûrement), mais j'y tenais à écrire de la SF avec de l'espace et des aliens à tentacules pour m'essayer à ce style.

Tistou 19/05/2014 @ 23:38:05
Ah le Japon, source inépuisable de surprises pour nous autres. Et d'incompréhension aussi. Quel beau pays et quelle civilisation (avec ses faiblesses hélas, me soufflent dans l'oreille Chinois, Coréens, Philippins ...)
Ben on est toujours un peu en territoire S.F. hein ? Si Thomasdesmond lisait ceci, je pense que ça le botterait.
Tu confirmes ta richesse d'imagination - et ton obstination à mettre des "t" aux 1eres personnes du singulier : je voit, je prit ... Magicite !! Thomasdesmond d'ailleurs, si je me souviens bien était aussi un peu en délicatesse avec la grammaire ...

Belle histoire, variation sur un thème déjà traité ailleurs, mais plaisant, bien campé et crédible.

Provisette1 02/06/2014 @ 19:41:44
Ouhouh, Magicien!

Je viens de lire un article passionnant sur une eventuelle teleportation...(c'est s/bibliobs)

En fait, c'est aux Pays Bas qu'ils viennent de realiser une teleportation d'information pendant 3'

Bon, la SF, c'est bien a lire parfois mais ainsi que le souligne l'article, depuis "La mouche", ca craint quand meme;-)

Magicite
avatar 02/06/2014 @ 20:19:59
Les obsessions (bizarres) de Cronenberg pour la chair(difforme) permettent aussi (parfois) de dénoncer certaines choses.

Pour la téléportation ça serait pratique et résoudrait quelle problèmes important inventés par les humains comme les embouteillages et la pollution des voitures et avions, un de mes rêves: pouvoir aller dans les îles ensoleillés des Caraïbes, au sommet du Kilimandjaro, à Bruxelles(oui c'est exotique pour moi) pour y déguster un chocolat liégeois...
en un clin d’œil et pour le prix d'un ticket de bus.
Cela reste de la fiction, peut être un jour ce sera de la science et on relégueras les routes goudronnés(et moches) comme on regarde à reléguer les charrettes à foin et les malles postes(même si c'était classe).

Aux pays bas cela m'étonnes pas, j'avais essayé l'invention inverse: la machine à rester immobile et ralentir le temps, mais ça venais d'une autre industrie dont le pays est spécialisé.

Provisette1 10/06/2014 @ 20:01:36
Incroyable(pour moi!) mais terriblement horribilis!

http://m.nouvelobs.com/article/20140609.OBS9909/…

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