Les lecteurs français accorde chaque année un prix au meilleur roman québécois. C'est le prix France-Québec. Comment sont choisis les membres de ce jury ? Aucune idée.
Informé par les Éditions Alto par courriel il y a un instant, j'ai appris que c'est Marie-Hélène Poitras qui a remporté le prix avec Griffintown. C'est l'histoire des cochers de la ville de Montréal qui promènent les touristes en été dans la partie historique de la ville. Marie-Hélène Poitras a exercé ce métier pendant deux ans. Évidemment, l'héroïne du roman porte les marques de sa créatrice.
Informé par les Éditions Alto par courriel il y a un instant, j'ai appris que c'est Marie-Hélène Poitras qui a remporté le prix avec Griffintown. C'est l'histoire des cochers de la ville de Montréal qui promènent les touristes en été dans la partie historique de la ville. Marie-Hélène Poitras a exercé ce métier pendant deux ans. Évidemment, l'héroïne du roman porte les marques de sa créatrice.
Les autres finalistes étaient:
Salut mon oncle ! de Marie-Paule Villeneuve (Triptyque)
Un léger désir de rouge d’Hélène Lépine (Hamac)
Étonnant que "La fiancée américaine" de Éric Dupont n'était pas en lisse.
Salut mon oncle ! de Marie-Paule Villeneuve (Triptyque)
Un léger désir de rouge d’Hélène Lépine (Hamac)
Étonnant que "La fiancée américaine" de Éric Dupont n'était pas en lisse.
J'ai lu beaucoup de livres québécois encensés par la critique qui ne valaient pas grand-chose. Espérons que celui-ci sera potable...
Je viens de l'emprunter à ma biblio en numérique, je le lirai donc après mon Balzac.
L'écriture me semble surchargé, erreur courante chez les jeunes auteurs québécois. ;-(
Surchargée...
Le jury est composé par des lecteurs volontaires dans les régions qui désignent leur livre préféré avant de confronter leur choix respectif au niveau national. J'ai été tenté de participer mais je n'ai pas assez de temps, une collègue de ma femme organisait le jury à Besançon.
C'est un peu bizarre de demander à la France d'élire un livre québécois...
Je comprends que le but est de faire connaître la littérature québécoise hors de nos frontières.. mais ça fait quand même colonisé.
Je doute que la Suisse ou la Belgique fasse ainsi.
Je comprends que le but est de faire connaître la littérature québécoise hors de nos frontières.. mais ça fait quand même colonisé.
Je doute que la Suisse ou la Belgique fasse ainsi.
Je viens de relire mon commentaire. Je le termine en prédisant un tel prix pour l'auteure toute menue que je connais. Nous connaissons les auteurs. On les rencontre aux nombreux salons du livre.
C'est un peu bizarre de demander à la France d'élire un livre québécois...
Je comprends que le but est de faire connaître la littérature québécoise hors de nos frontières.. mais ça fait quand même colonisé.
Je doute que la Suisse ou la Belgique fasse ainsi.
c'est un Prix organisé par l'ADELF (Association des Ecrivains de Langue Française), association qui décerne aussi :
le Prix littéraire des Caraïbes
Le Grand prix littéraire d'Afrique noire
Le Prix de lʼAfrique méditerranéenne/Maghreb
le Prix des Alpes et du Jura
le Prix littéraire de lʼAsie
Le Grand prix littéraire des écrivains belges francophones
Le Prix littéraire européen
Le Prix France-Liban
Le Grand prix de la mer
le Grand prix littéraire des océans Indien et Pacifique
J'ai lu une cinquantaine de pages et pour l'instant, il ne se passe pas grand-chose. Je m'ennuie...
Désolée mais la littérature québécoise me déçoit de plus en plus. Il ne faut pas s'attendre à un chef-d'oeuvre et ne pas être trop exigeant.
Désolée mais la littérature québécoise me déçoit de plus en plus. Il ne faut pas s'attendre à un chef-d'oeuvre et ne pas être trop exigeant.
Libris, ta critique est fabuleusement belle mais pourquoi dévoiler ainsi une partie importante de l'intrigue ? C'est dommage je trouve...
Au sujet du titre, il faut préciser que Griffintown est un ancien quartier ouvrier du sud-ouest de Montréal. Il existe même une légende urbaine qui veut que le fantôme d'une prostituée assassinée brutalement en 1879 revienne régulièrement dans le quartier à la recherche de sa tête !
Un autre livre d'une auteure québécoise a Griffintown pour thème : "Je compte les morts" de Geneviève Lefebvre.
Je ne connaissais pas ce quartier et son histoire. Il faut préciser que ma famille s'est implantée dans la ville de Québec et non à Montréal.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Griffintown
Un autre livre d'une auteure québécoise a Griffintown pour thème : "Je compte les morts" de Geneviève Lefebvre.
Je ne connaissais pas ce quartier et son histoire. Il faut préciser que ma famille s'est implantée dans la ville de Québec et non à Montréal.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Griffintown
Je suis bien d'accord avec ton commentaire. Ton deuxième paragraphe décrit bien l'atmosphère du roman. J'aime bien les univers glauques. Celui de la journaliste Marie-Hélène Poitras m'a bien plu. Elle s'est attaquée à l'image idyllique que les touristes se font de Montréal en parcourant en calèche le quartier historique de la ville. C'est bien beau, mais qui sont ceux qui les promènent à travers les rues ? De cet angle, elle décrit un monde fascinant. Et l'auteure connaît à fond ce métier peu rémunérateur que seuls acceptent ceux qui vivent d'emplois occasionnels ou précaires, tels les ex-bagnards, les chômeurs, les étudiants et les SDF que l'on paie au noir. L'auteure m'a remercié pour mon commentaire en me témoignant son appréciation par courriel.
Le quartier Griffintown n'est plus connu, même des Montréalais. Il faut connaître l'histoire de la ville pour savoir qu'il était habité au 19e siècle par les immigrants irlandais. Aujourd'hui, on le désigne sous l'appellation de Pointe-Saint-Charles, quartier ouvrier situé entre le Vieux-Montréal et St-Henri.
Voici les 4 romans qui se déroulent totalement ou en partie dans ce quartier.
Cousture, Arlette. Petals’ Pub (Griffintown en1884)
Collectif. Dans l’antre de Griffintown (Recueil de nouvelles)
Lefebvre, Geneviève. Je compte les morts (Polar)
Poitras, Marie-Hélène. Griffintown.
Le quartier Griffintown n'est plus connu, même des Montréalais. Il faut connaître l'histoire de la ville pour savoir qu'il était habité au 19e siècle par les immigrants irlandais. Aujourd'hui, on le désigne sous l'appellation de Pointe-Saint-Charles, quartier ouvrier situé entre le Vieux-Montréal et St-Henri.
Voici les 4 romans qui se déroulent totalement ou en partie dans ce quartier.
Cousture, Arlette. Petals’ Pub (Griffintown en1884)
Collectif. Dans l’antre de Griffintown (Recueil de nouvelles)
Lefebvre, Geneviève. Je compte les morts (Polar)
Poitras, Marie-Hélène. Griffintown.
Voici les 4 romans qui se déroulent totalement ou en partie dans ce quartier.
Cousture, Arlette. Petals’ Pub (Griffintown en1884)
Collectif. Dans l’antre de Griffintown (Recueil de nouvelles)
Lefebvre, Geneviève. Je compte les morts (Polar)
Poitras, Marie-Hélène. Griffintown.
Merci Libris... ;-)
Les autres finalistes étaient:
Salut mon oncle ! de Marie-Paule Villeneuve (Triptyque)
Un léger désir de rouge d’Hélène Lépine (Hamac)
Étonnant que "La fiancée américaine" de Éric Dupont n'était pas en lisse.
J'ai téléchargé "Un léger désir de rouge"... à suivre...
J'ai commenté Un léger désir de rouge d'Hélène Lépine sur ce site.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/32740
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/32740
Je lis le livre de Geneviève Lefebvre "Je compte les morts" et je suis agréablement surprise. J'aime beaucoup l'humour sarcastique de l'auteure. Je craignais la déception et l'ennui mais ils ne sont pas au rendez-vous.
Pierre Samson remporte le Grand Prix du livre de Montréal 2013 avec son roman "La Maison des pluies" (Éditions Les Herbes Rouges). Je l'ai réservé en ebook sur mon réseau biblio. Je pourrai le lire dans une semaine.
Les finalistes étaient :
Martine Audet pour "Des voix stridentes ou rompues" (Les Éditions du Noroît)
Alain Farah pour "Pourquoi Bologne ?" (Le Quartanier)
Marcel Labine pour "Promenades dans nos dépôts lapidaires" (Éditions Les Herbes Rouges)
Catherine Leroux pour "Le mur mitoyen" (Les Éditions Alto)
Les finalistes étaient :
Martine Audet pour "Des voix stridentes ou rompues" (Les Éditions du Noroît)
Alain Farah pour "Pourquoi Bologne ?" (Le Quartanier)
Marcel Labine pour "Promenades dans nos dépôts lapidaires" (Éditions Les Herbes Rouges)
Catherine Leroux pour "Le mur mitoyen" (Les Éditions Alto)
Pierre Samson est l'un des meilleurs auteurs québécois. Je vais commenter Arabesques quand mon dernier commentaire passera en page 2 des critiques. Je ne veux pas inonder le site de mes commentaires.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre