Page 1 de 1
Régulièrement la médiathèque municipale organise des rencontres avec des écrivains. Il y a quelques années, j'avais pu rencontrer Claudie Gallay, encore accessible, encore enseignante, et qui parlait avec beaucoup d'humilité de son nouveau métier d'écrivain.
La semaine dernière, c'est encore un enseignant qui nous faisait gracieusement le plaisir de sa présence. Nous étions une bonne trentaine de lecteurs à attendre ce séduisant quadragénaire. D'emblée, on sent que c'est un homme habitué à prendre la parole en public (il est politologue et maître de conférence à l'université de Rouen).
Répondant aux questions maladroites d'une jeune journaliste, il a parlé de son enfance où il écrivait déjà des contes fantastiques ou des contes pour enfants "impubliables". Il a parlé du difficile parcours de la recherche d'éditeur; c'est d'ailleurs son statut d'auteur régional qui lui a offert la première publication de son roman "Code Lupin".
Puis ce sont des rencontres qui lui ont permis de continuer.
Après le succès de "Nymphéas noirs", il avait l'impression qu'il ne pourrait plus refaire un livre aussi réussi et qu'il avait "épuisé" le succès.
À la parution de "Comme un avion sans elle", succès relatif jusqu'à ce que le livre devienne le coup de coeur de Gérard Collard. Les ventes redécollent (!); son statut d'écrivain est assuré.
Curieusement, alors que les lieux tiennent un place importante dans ses romans, c'est pourtant ce qu'il choisit en dernier. Giverny ou Dieppe ont suivi l'écriture.
Seul le dernier roman imposait l'île de la Réunion, pour des raisons privées et parce qu'il nécessitait un huis clos.
Puis, il a confirmé l'achat de droits cinématographiques et télévisuels pour deux de ses romans; regrettant que les Nymphéas noirs n'en fassent pas partie, comparant le film qu'il pourrait devenir au film "Le sixième sens".
Une rencontre intéressante avec un homme qui ne semble pas douter de son métier d'écrivain.
La semaine dernière, c'est encore un enseignant qui nous faisait gracieusement le plaisir de sa présence. Nous étions une bonne trentaine de lecteurs à attendre ce séduisant quadragénaire. D'emblée, on sent que c'est un homme habitué à prendre la parole en public (il est politologue et maître de conférence à l'université de Rouen).
Répondant aux questions maladroites d'une jeune journaliste, il a parlé de son enfance où il écrivait déjà des contes fantastiques ou des contes pour enfants "impubliables". Il a parlé du difficile parcours de la recherche d'éditeur; c'est d'ailleurs son statut d'auteur régional qui lui a offert la première publication de son roman "Code Lupin".
Puis ce sont des rencontres qui lui ont permis de continuer.
Après le succès de "Nymphéas noirs", il avait l'impression qu'il ne pourrait plus refaire un livre aussi réussi et qu'il avait "épuisé" le succès.
À la parution de "Comme un avion sans elle", succès relatif jusqu'à ce que le livre devienne le coup de coeur de Gérard Collard. Les ventes redécollent (!); son statut d'écrivain est assuré.
Curieusement, alors que les lieux tiennent un place importante dans ses romans, c'est pourtant ce qu'il choisit en dernier. Giverny ou Dieppe ont suivi l'écriture.
Seul le dernier roman imposait l'île de la Réunion, pour des raisons privées et parce qu'il nécessitait un huis clos.
Puis, il a confirmé l'achat de droits cinématographiques et télévisuels pour deux de ses romans; regrettant que les Nymphéas noirs n'en fassent pas partie, comparant le film qu'il pourrait devenir au film "Le sixième sens".
Une rencontre intéressante avec un homme qui ne semble pas douter de son métier d'écrivain.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre