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"Les nouveaux chemins de la connaissance", sur France Culture, diffuse une émission sur les écrivains américains. Edith Wharton est la première :
http://franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chem…
Ce sera ensuite le tour d'Harrisson, Carver et Faulkner.
http://franceculture.fr/emission-les-nouveaux-chem…
Ce sera ensuite le tour d'Harrisson, Carver et Faulkner.
Merci Avada pour cette info
J'ai downloadé les podcast, je suis en train d'écouter celui sur Edith Wharton. Merci pour l'info.
Merci pour cette suggestion, j'aime bien ce genre de programme, et comme je ne suis pas à jour sur ce qui passe sur toutes les chaînes, ça fait plaisir de me faire servir l'information sur un plateau :-)
Le programme sur Edith Wharton m'a un peu déçu. Je ne connais pas cet auteur, je m'attendais donc à une sorte d'introduction, mais ça n'est apparemment pas le but du programme, donc je suis un peu passé à côté. J'ai eu du mal à suivre quoi!
En ce qui concerne le programme sur Raymond Carver, qui m'a paru un peu mieux balancé, pas de chance, l'émission était constamment interrompue (problème internet?), si bien que je me suis lassé.
J'essaierai les deux autres dans les jours qui viennent.
Le programme sur Edith Wharton m'a un peu déçu. Je ne connais pas cet auteur, je m'attendais donc à une sorte d'introduction, mais ça n'est apparemment pas le but du programme, donc je suis un peu passé à côté. J'ai eu du mal à suivre quoi!
En ce qui concerne le programme sur Raymond Carver, qui m'a paru un peu mieux balancé, pas de chance, l'émission était constamment interrompue (problème internet?), si bien que je me suis lassé.
J'essaierai les deux autres dans les jours qui viennent.
J'ai downloadé les podcast, je suis en train d'écouter celui sur Edith Wharton. Merci pour l'info.
Saule, tu nous diras ce que tu as pensé de cette émission.
Merci à Avada pour ces informations.
J'étais bloqué dans un embouteillage pendant une heure, malheureusement j'avais oublié de mettre le podcast sur mon iPod. Ce sera pour le prochain embouteillage...
J'essaierai les deux autres dans les jours qui viennent.
J'ai lancé le troisième volet hier soir. Il portait sur l'œuvre de Jim Harrison. Euh... bon et bien disons la vérité: je me suis endormi sur l'émission. Je crois que je n'insisterai pas... Sauf en cas d'insomnie...:-))
Faut dire qu'ils ont tous une voix feutré sur France Culture ^^...
feutréE
J'ai écouté l'émission qui est vraiment bien.
Elle consiste essentiellement en une explication de Chez les heureux du monde. Les intervenantes montrent bien les influences de Wharton et restent très prudentes sur l'interprétation de la fin du roman.
Est-ce que quelqu'un a vu le film de Scorsese sur Le Temps de l'innocence ?
Elle consiste essentiellement en une explication de Chez les heureux du monde. Les intervenantes montrent bien les influences de Wharton et restent très prudentes sur l'interprétation de la fin du roman.
Est-ce que quelqu'un a vu le film de Scorsese sur Le Temps de l'innocence ?
J'ai écouté aussi, c'est vrai que c'est bien. Il y a la journaliste, une prof de littérature anglaise (qui a écrit deux livres sur Wharton, dont un qui sort incessamment) et une actrice qui lit des extraits de manière admirable (et avec une voix adorable).
La prof de littérature a mis ce livre au programme des "bachelors" en littérature anglaise de cet année. Elle est marrante à écouter car elle parsème son discours de mots et d'expressions en anglais, de manière un peu comique avec un accent très british et très prononcé (je crois qu'elle est anglophone).
Sur le fond, je suis assez d'accord avec son point de vue, notamment quand elle dit que Selden n'est pas à la hauteur, le style "il voudrait bien mais il ne le fait pas", il est un peu faiblard. Ce genre de personnage masculin revient souvent dans les livres de Wharton. Que dire de Lily ? vu que j'en suis complètement amoureux, rien de plus que ça.
Elles ont mis en avant l'ambiguité du comportement de l'héroïne, mais moi j'insisterai encore plus : je crois que la réussite du livre tient en grande partie à cette ambivalence, le fait d'être pris entre des aspirations contraires, sans pouvoir déterminer ce que notre moi profond veut. Voila la tragédie humaine. Des lecteurs contemporains on parait-il du mal à comprendre les subtilités des strates sociales dans l'aristocratie New-Yorkaise de l'époque, et donc leur aspect contraignant, c'est une clé de lecture cruciale cependant.
Le style de Wharton est simple, ça fait partie de son génie littéraire. Par exemple Henry James est beaucoup plus complexe, j'ai envie de dire "lourd", et malgré son grand respect pour son ami et "maitre", Wharton a dit ne pas avoir pu lire certain des livres de James.
Il faudra que je me procure le nouvel essai sur Wharton de cette dame qui est fort sympathique.
Merci Avada pour le tuyau !
La prof de littérature a mis ce livre au programme des "bachelors" en littérature anglaise de cet année. Elle est marrante à écouter car elle parsème son discours de mots et d'expressions en anglais, de manière un peu comique avec un accent très british et très prononcé (je crois qu'elle est anglophone).
Sur le fond, je suis assez d'accord avec son point de vue, notamment quand elle dit que Selden n'est pas à la hauteur, le style "il voudrait bien mais il ne le fait pas", il est un peu faiblard. Ce genre de personnage masculin revient souvent dans les livres de Wharton. Que dire de Lily ? vu que j'en suis complètement amoureux, rien de plus que ça.
Elles ont mis en avant l'ambiguité du comportement de l'héroïne, mais moi j'insisterai encore plus : je crois que la réussite du livre tient en grande partie à cette ambivalence, le fait d'être pris entre des aspirations contraires, sans pouvoir déterminer ce que notre moi profond veut. Voila la tragédie humaine. Des lecteurs contemporains on parait-il du mal à comprendre les subtilités des strates sociales dans l'aristocratie New-Yorkaise de l'époque, et donc leur aspect contraignant, c'est une clé de lecture cruciale cependant.
Le style de Wharton est simple, ça fait partie de son génie littéraire. Par exemple Henry James est beaucoup plus complexe, j'ai envie de dire "lourd", et malgré son grand respect pour son ami et "maitre", Wharton a dit ne pas avoir pu lire certain des livres de James.
Il faudra que je me procure le nouvel essai sur Wharton de cette dame qui est fort sympathique.
Merci Avada pour le tuyau !
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