L’amour qui passe de Jean Louis MURAT
oh oh oh v'là l'amour qui passe
les magnifiques chevaux
non c'est l'amour qui passe
au galop
oh oh oh v'là la nuit qui passe
nue sous son grand manteau
non, c'est l'amour qui passe
convoqué au château
oh aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
oh oh oh le désir qui passe
quel énigmatique o
non c'est l'amour qui passe
qui vient te prendre au mot
oh oh oh des rivières de glace
on the rocks mon aimée
non c'est l'amour qui passe
qui vient nous désaltérer
oh aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
oh oh oh v'là l'azur qui passe
irons-nous nous y baigner
non c'est l'amour qui passe
qui vient vous décoiffer
oh oh oh les lions qui passent
allez-vous nous y jeter
non c'est l'amour qui passe
qui vient nous dévorer
aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
Et un petit MURAT pour la route. Faut pas se laisser abattre!
oh oh oh v'là l'amour qui passe
les magnifiques chevaux
non c'est l'amour qui passe
au galop
oh oh oh v'là la nuit qui passe
nue sous son grand manteau
non, c'est l'amour qui passe
convoqué au château
oh aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
oh oh oh le désir qui passe
quel énigmatique o
non c'est l'amour qui passe
qui vient te prendre au mot
oh oh oh des rivières de glace
on the rocks mon aimée
non c'est l'amour qui passe
qui vient nous désaltérer
oh aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
oh oh oh v'là l'azur qui passe
irons-nous nous y baigner
non c'est l'amour qui passe
qui vient vous décoiffer
oh oh oh les lions qui passent
allez-vous nous y jeter
non c'est l'amour qui passe
qui vient nous dévorer
aime-moi
mais mon souffle court
ne vient pas te dérober
oh aime-moi
si l'amour ne dure
moi je voudrais...
Et un petit MURAT pour la route. Faut pas se laisser abattre!
Je n'ai pas lu les treize pages de la discussion, mais j'ai vu des amateurs de HFT ! Jusque là je pensais être quasiment seule à lui reconnaître des talents littéraires (d'un certain style, j'avoue)!
Merci pour les partages des textes, ça donne envie d'entre les airs. Et de chanter!
Merci pour les partages des textes, ça donne envie d'entre les airs. Et de chanter!
Si tu vas à ses concerts Féeclos, tu devrais t'apercevoir que tu n'es pas la seule!
Si tu vas à ses concerts Féeclos, tu devrais t'apercevoir que tu n'es pas la seule!
Je me doute bien que je ne suis pas la seule ;o) , mais ça m'a fait plaisir de lire plusieurs textes de HFT comme ça. Ceci dit je ne suis jamais allée à un de ces concerts.
Si tu vas à ses concerts Féeclos, tu devrais t'apercevoir que tu n'es pas la seule!
Je me doute bien que je ne suis pas la seule ;o) , mais ça m'a fait plaisir de lire plusieurs textes de HFT comme ça. Ceci dit je ne suis jamais allée à un de ces concerts.
Tu devrais.
J'ai grapillée quelques paroles par-ci par-là, en générale très belles, mais je n'ai pas lu avec attention toutes les pages (le boulot!). Mais je me demandais si vous connaissiez le groupe "La Tordue". Je vous donne quelques paroles : je voudrais savoir ce que vous en penser. Pour ma part, j'adore!
En vers et contre vous
Je vous écris partout
Des mots dément, barbares
Que j’imprime au hasard
Le creux de votre cou
Est un endroit charmant
J’vous aime un peu, beaucoup
J’vous aime éperdument
A la folie je vous
Couvre de billets doux
Je vois la vie en prose
Quand mon regard se pose
Sur des vallons perdus
Des plages inattendues
De mes petits papiers
Vous êtes le plus chair
Je suis tout à l’envers
Tout à vous je perds pied
Sans vous le dire je vous
Fait des aveux sans voix
Vous vous prêtez au jeu
En vers et contre vous
Je vous écris partout
Des mots de tous les jours
Sur vos joues de velours
Je grave en gravissant
Votre mont de Vénus
Des cœurs et des serments
Dazibaos laïus
J’écris la météo
Là où tu mets tes bas
Voilà qu’à cet endroit
Précis je te tutoie
Comme un drôle de tatou
Je vous écris je vous
Envahis et vous
Couvre de mots choisis
En vers et contre vous
Je vous écris partout
J’écris la météo
Là où tu mets tes bas
Voilà qu’a cet endroit
Précis je te tutoie
En vers et contre vous
Je vous écris partout
Des mots dément, barbares
Que j’imprime au hasard
Le creux de votre cou
Est un endroit charmant
J’vous aime un peu, beaucoup
J’vous aime éperdument
A la folie je vous
Couvre de billets doux
Je vois la vie en prose
Quand mon regard se pose
Sur des vallons perdus
Des plages inattendues
De mes petits papiers
Vous êtes le plus chair
Je suis tout à l’envers
Tout à vous je perds pied
Sans vous le dire je vous
Fait des aveux sans voix
Vous vous prêtez au jeu
En vers et contre vous
Je vous écris partout
Des mots de tous les jours
Sur vos joues de velours
Je grave en gravissant
Votre mont de Vénus
Des cœurs et des serments
Dazibaos laïus
J’écris la météo
Là où tu mets tes bas
Voilà qu’à cet endroit
Précis je te tutoie
Comme un drôle de tatou
Je vous écris je vous
Envahis et vous
Couvre de mots choisis
En vers et contre vous
Je vous écris partout
J’écris la météo
Là où tu mets tes bas
Voilà qu’a cet endroit
Précis je te tutoie
La comédienne et chanteuse belge Karin Clercq signe de très beaux textes pour dire le mal-être au féminin (les musiques de Guillaume Jouan sont malheureusement un peu moins inspirées - c'est un peu toujours la même chose, mais ça se laisse écouter quand même...)
Femme X (de l'album Femme X)
Pourquoi quand je marche dans la rue
je passe toujours inaperçue
Les gens ne me remarquent pas
comme si je n'existais pas
Peut-être suis-je transparente,
pas assez différente
J'aimerais pouvoir leur parler
j'arrive pas à les affronter
Je dois leur sembler insipide,
insignifiante et trop timide
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change...
Quand je suis seule chez moi le soir,
j'ose être quelqu'un dans mon miroir
Alors je retire ma carapace
Je me mets nue devant la glace
J'étale du rouge sur mes lèvres.
je souris, je me sens moins mièvre
Je me surprends des airs fougueux,
des sous-entendus langoureux
Je sais que ça ne durera pas longtemps
mais je me sens belle quelques instants
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change
Et dès demain, au matin gris,
je retrouverai ma vie sans bruit,
ma vie de triste anonymat,
de femme X qu'on ne voit pas
je reprendrai en solitaire
la marche de celle qui voudrait plaire
Mais sans épine et sans odeur,
difficile d'accrocher les coeurs
Et les regards sur mon corps glissent
Sans doute que je suis trop lisse
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change
Mais quand je serai seule ce soir,
Je serai quelqu'un dans mon miroir
Oui quand je serai seule ce soir,
je serai quelqu'un dans mon miroir
Femme X (de l'album Femme X)
Pourquoi quand je marche dans la rue
je passe toujours inaperçue
Les gens ne me remarquent pas
comme si je n'existais pas
Peut-être suis-je transparente,
pas assez différente
J'aimerais pouvoir leur parler
j'arrive pas à les affronter
Je dois leur sembler insipide,
insignifiante et trop timide
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change...
Quand je suis seule chez moi le soir,
j'ose être quelqu'un dans mon miroir
Alors je retire ma carapace
Je me mets nue devant la glace
J'étale du rouge sur mes lèvres.
je souris, je me sens moins mièvre
Je me surprends des airs fougueux,
des sous-entendus langoureux
Je sais que ça ne durera pas longtemps
mais je me sens belle quelques instants
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change
Et dès demain, au matin gris,
je retrouverai ma vie sans bruit,
ma vie de triste anonymat,
de femme X qu'on ne voit pas
je reprendrai en solitaire
la marche de celle qui voudrait plaire
Mais sans épine et sans odeur,
difficile d'accrocher les coeurs
Et les regards sur mon corps glissent
Sans doute que je suis trop lisse
Etre personne, ça me dérange
Oh je voudrais tant que ça change
Oui que ça change
Mais quand je serai seule ce soir,
Je serai quelqu'un dans mon miroir
Oui quand je serai seule ce soir,
je serai quelqu'un dans mon miroir
Ne connais ni LA TORDUE ni Karin CLERCQ, enfin LA TORDUE de nom quand même. Le problème avec les chansons mises à plat par écrit, c'est qu'on n'a qu'un tiers de la valeur. Manquent la musique et l'alchimie avec l'interprète.
Mais aussi bien pour LA TORDUE que Katrin CLERCQ, le texte est beau.
Mais aussi bien pour LA TORDUE que Katrin CLERCQ, le texte est beau.
Amour des feintes de Serge GAINSBOURG
Chanté par Jane BIRKIN
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Cartes en quinte
S'édifiant
Le palais d'un prince
Catalan
Amours des feintes
Seul un can-
Délabre scint-
Ille au vent
Où l'on emprunte
Des sentiments
Le labyrinthe
Obsédant
Et comme si de rien n'était
On joue à l'émotion
Entre un automne et un été
Mensonge par omission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Etrange crainte
En écoutant
Les douces plaintes
Du vent
Amours des feintes
Au présent
Et l'on s'éreinte
Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se mainte-
Nir longtemps
Le temps ne peut-il s'arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant
Amours des feintes
Au loin j'entends
Là-bas qui tinte
Le temps
De ces empreintes
De nos vingt ans
Ne restent que les teintes
D'antan
Qui peut être et avoir été
Je pose la question
Peut-être étais-je destinée
A rêver d'évasion
Belle alchimie entre Jane Birkin et le texte de Gainsbourg.
Chanté par Jane BIRKIN
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Cartes en quinte
S'édifiant
Le palais d'un prince
Catalan
Amours des feintes
Seul un can-
Délabre scint-
Ille au vent
Où l'on emprunte
Des sentiments
Le labyrinthe
Obsédant
Et comme si de rien n'était
On joue à l'émotion
Entre un automne et un été
Mensonge par omission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Etrange crainte
En écoutant
Les douces plaintes
Du vent
Amours des feintes
Au présent
Et l'on s'éreinte
Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se mainte-
Nir longtemps
Le temps ne peut-il s'arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant
Amours des feintes
Au loin j'entends
Là-bas qui tinte
Le temps
De ces empreintes
De nos vingt ans
Ne restent que les teintes
D'antan
Qui peut être et avoir été
Je pose la question
Peut-être étais-je destinée
A rêver d'évasion
Belle alchimie entre Jane Birkin et le texte de Gainsbourg.
Je me suis fait tout petit de Georges BRASSENS
Je n'avais jamais ôté mon chapeau
Devant personne
Maintenant je rampe et je fait le beau
Quand ell' me sonne
J'étais chien méchant, ell' me fait manger
Dans sa menotte
J'avais des dents d'loup, je les ai changées
Pour des quenottes
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
J'était dur à cuire, ell' m'a converti
La fine bouche
Et je suis tombé tout chaud, tout rôti
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit
Quand elle chante
Et des dents de loup quand elle est furie
Qu'elle est méchante
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire
Bien qu'ell' soit jalouse au-delà de tout
Et même pire
Un' jolie pervenche qui m'avait paru
Plus jolie qu'elle
Un' jolie pervenche un jour en mourut
A coup d'ombrelle
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit sans malice
Qu'en ses bras en croix, je subirais mon
Dernier supplice
Il en est de pir's il en est d'meilleures
Mais à tout prendre
Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs
S'il faut se pendre
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Faut être bête quand même? vous en conviendrez?
Je n'avais jamais ôté mon chapeau
Devant personne
Maintenant je rampe et je fait le beau
Quand ell' me sonne
J'étais chien méchant, ell' me fait manger
Dans sa menotte
J'avais des dents d'loup, je les ai changées
Pour des quenottes
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
J'était dur à cuire, ell' m'a converti
La fine bouche
Et je suis tombé tout chaud, tout rôti
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit
Quand elle chante
Et des dents de loup quand elle est furie
Qu'elle est méchante
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire
Bien qu'ell' soit jalouse au-delà de tout
Et même pire
Un' jolie pervenche qui m'avait paru
Plus jolie qu'elle
Un' jolie pervenche un jour en mourut
A coup d'ombrelle
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit sans malice
Qu'en ses bras en croix, je subirais mon
Dernier supplice
Il en est de pir's il en est d'meilleures
Mais à tout prendre
Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs
S'il faut se pendre
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
Faut être bête quand même? vous en conviendrez?
Ne connais ni LA TORDUE ni Karin CLERCQ, enfin LA TORDUE de nom quand même. Le problème avec les chansons mises à plat par écrit, c'est qu'on n'a qu'un tiers de la valeur. Manquent la musique et l'alchimie avec l'interprète.
Mais aussi bien pour LA TORDUE que Katrin CLERCQ, le texte est beau.
Tu devrais t'y coller à La Tordue Tistou, ou du moins y coller ton oreille, c'est vraiment très très très bien ce qu'ils font. Essaie l’album « Chanp Libre », c’est du tout bon !
Ne connais ni LA TORDUE ni Karin CLERCQ, enfin LA TORDUE de nom quand même. Le problème avec les chansons mises à plat par écrit, c'est qu'on n'a qu'un tiers de la valeur. Manquent la musique et l'alchimie avec l'interprète.
Mais aussi bien pour LA TORDUE que Katrin CLERCQ, le texte est beau.
J'essaierai ainsi que KANDID, pour lequel je ne t'ai même pas répondu! Merci pour l'extrait!
Tu devrais t'y coller à La Tordue Tistou, ou du moins y coller ton oreille, c'est vraiment très très très bien ce qu'ils font. Essaie l’album « Chanp Libre », c’est du tout bon !
Jacques DUTRONC : "Je suis un aventurier"
Je suis un aventurier
Et j'ai beaucoup bourlingué.
J'ai fait la vie à Varsovie.
J'ai fait le mort à Baltimore.
J'ai fait le rat à Camberra.
J'ai joué aux dés à Yaoundé.
J'ai joué aux dames à Amsterdam.
J'ai fait des games à Binningham.
Je suis un aventurier
Avec lequel il faut compter.
Je suis un aventurier
Avec lequel il faut compter.
J'ai été à Bornéo.
J'ai été pompette à Papeete.
J'ai bu de l'eau à Bordeaux.
J'ai dit tant pis à Tampico.
J'ai fait l'soldat à Bogola
Et des calculs à Calcutta.
A moi, faut pas m'en raconter,
Parce que, vraiment, j'en ai bavé.
A moi, faut pas m'en raconter,
Parce que, vraiment, j'en ai bavé.
J'ai été errant à Téhéran
Et au sana à Saana.
J'ai fait l'chasseur à Kinshassa
Et la nounou à Cotonou.
J'ai fait de la tôle à Dôle.
J'ai été lourdé à Lourdes.
Je suis un aventurier.
J'en ai vrairnent beaucoup bavé.
Je suis un aventurier.
J'en ai vrairnent beaucoup bavé.
J'ai été crétin à Créteil.
J'ai eu la ber1ue à berlin.
J'ai été gentil à Port-Gentil
Et malpoli à Tripoli.
J'ai fait la vie à Varsovie
Et le mort à Baltimore.
J'étais un aventurier.
Maintenant, c'est terminé.
J'étais un aventurier.
Maintenant, c'est terminé.
----------------------------------------------
De KILIS : "Ya pas photo" :
J’ai perdu mon Kodak à Pékin,
Mon Nikon à Hong Kong,
Mon Leica à Rabbat,
Mes Réflexes à Trieste,
Mes complexes à Anvers,
Mes illusions à Boston sur l’Hudson.
Y a pas photo
A Toronto
Je suis un aventurier
Et j'ai beaucoup bourlingué.
J'ai fait la vie à Varsovie.
J'ai fait le mort à Baltimore.
J'ai fait le rat à Camberra.
J'ai joué aux dés à Yaoundé.
J'ai joué aux dames à Amsterdam.
J'ai fait des games à Binningham.
Je suis un aventurier
Avec lequel il faut compter.
Je suis un aventurier
Avec lequel il faut compter.
J'ai été à Bornéo.
J'ai été pompette à Papeete.
J'ai bu de l'eau à Bordeaux.
J'ai dit tant pis à Tampico.
J'ai fait l'soldat à Bogola
Et des calculs à Calcutta.
A moi, faut pas m'en raconter,
Parce que, vraiment, j'en ai bavé.
A moi, faut pas m'en raconter,
Parce que, vraiment, j'en ai bavé.
J'ai été errant à Téhéran
Et au sana à Saana.
J'ai fait l'chasseur à Kinshassa
Et la nounou à Cotonou.
J'ai fait de la tôle à Dôle.
J'ai été lourdé à Lourdes.
Je suis un aventurier.
J'en ai vrairnent beaucoup bavé.
Je suis un aventurier.
J'en ai vrairnent beaucoup bavé.
J'ai été crétin à Créteil.
J'ai eu la ber1ue à berlin.
J'ai été gentil à Port-Gentil
Et malpoli à Tripoli.
J'ai fait la vie à Varsovie
Et le mort à Baltimore.
J'étais un aventurier.
Maintenant, c'est terminé.
J'étais un aventurier.
Maintenant, c'est terminé.
----------------------------------------------
De KILIS : "Ya pas photo" :
J’ai perdu mon Kodak à Pékin,
Mon Nikon à Hong Kong,
Mon Leica à Rabbat,
Mes Réflexes à Trieste,
Mes complexes à Anvers,
Mes illusions à Boston sur l’Hudson.
Y a pas photo
A Toronto
Noir et Blanc de Bernard LAVILLIERS
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais.
Y a du sang sur le trottoir
C'est sa voix, poussière brûlée
C'est ses ongles sur le blindé.
Ils l'ont battu à mort, il a froid, il a peur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu'on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux.
Il jouait d'la dérision
Comme d'une arme de précision.
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur,
La musique a parfois des accords majeurs
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d'ton attitude
C'est cent ans de solitude.
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo.
Au-dessous du volcan, je l'entends, je l'entends
J'entends battre son cœur.
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble.
C'est la voix de Mendela
Le tempo docteur Fela
Ecoute chanter la foule
Avec les mots qui roulent et font battre son cœur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso... Pe Na Pikolo Nionso
LAVILLIERS a le don de nous sortir de ces petits bijoux de texte et de musicalité.
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais.
Y a du sang sur le trottoir
C'est sa voix, poussière brûlée
C'est ses ongles sur le blindé.
Ils l'ont battu à mort, il a froid, il a peur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu'on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux.
Il jouait d'la dérision
Comme d'une arme de précision.
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur,
La musique a parfois des accords majeurs
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d'ton attitude
C'est cent ans de solitude.
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo.
Au-dessous du volcan, je l'entends, je l'entends
J'entends battre son cœur.
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble.
C'est la voix de Mendela
Le tempo docteur Fela
Ecoute chanter la foule
Avec les mots qui roulent et font battre son cœur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso... Pe Na Pikolo Nionso
LAVILLIERS a le don de nous sortir de ces petits bijoux de texte et de musicalité.
de Pierre Barouh
A l'ombre de nous
A l'ombre de nous
Restera toujours
Au noms de l'amour
Un goût d'éternité
Au nom de notre amour
Une ombre va rester.
Cette ombre de nous
Combien de soleils
Brûlant notre ciel
Ont du se concerter
Qu'au nom de ces soleils
Une ombre va rester.
REFRAIN:
Ces soleils...
Ils sont si chauds
Ils sont si forts
Qu'ils nous brûlent
Et qu'ils nous dévorent
Encore, encore, encore.
Ils ont des noms de pacotille
L'amour, le respect, la folie
C'est la confiance et le courage
C'est le bleu des livres d'images
C'est tout c’que tu attends de moi
C'est tout ce qui j'attends de toi.
A l'ombre de nous
Ne pourra fleurir
Aux jours à venir
Rien d'autre que beauté
Même en pensant au pire
Une ombre va rester.
Cette ombre de nous
Les mille soleils
D'un amour pareil
N'y pourront rien changer
Car des premiers soleils
Une ombre va rester.
REFRAIN
Ils ont des noms de pacotille
C'est la passion, c'est le délire
C'est le panache et la tendresse
C'est le bleu de notre jeunesse
C'est tout ce qui me survivra
Tout ce qui, a jamais, vivra...
A l'ombre de nous
A l'ombre de nous
A l'ombre de nous
Restera toujours
Au noms de l'amour
Un goût d'éternité
Au nom de notre amour
Une ombre va rester.
Cette ombre de nous
Combien de soleils
Brûlant notre ciel
Ont du se concerter
Qu'au nom de ces soleils
Une ombre va rester.
REFRAIN:
Ces soleils...
Ils sont si chauds
Ils sont si forts
Qu'ils nous brûlent
Et qu'ils nous dévorent
Encore, encore, encore.
Ils ont des noms de pacotille
L'amour, le respect, la folie
C'est la confiance et le courage
C'est le bleu des livres d'images
C'est tout c’que tu attends de moi
C'est tout ce qui j'attends de toi.
A l'ombre de nous
Ne pourra fleurir
Aux jours à venir
Rien d'autre que beauté
Même en pensant au pire
Une ombre va rester.
Cette ombre de nous
Les mille soleils
D'un amour pareil
N'y pourront rien changer
Car des premiers soleils
Une ombre va rester.
REFRAIN
Ils ont des noms de pacotille
C'est la passion, c'est le délire
C'est le panache et la tendresse
C'est le bleu de notre jeunesse
C'est tout ce qui me survivra
Tout ce qui, a jamais, vivra...
A l'ombre de nous
Emmanuelle
Pierre Bachelet
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
Tu es encore
Presque une enfant
Tu n'as connu
Qu'un seul amant
Mais à vingt ans
Pour rester sage
L'amour étant
Trop long voyage
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
L'amour à cœur
Tu l'as rêvé
L'amour à corps
Tu l'as trouvé
Tu es en somme
Devant les hommes
Comme un soupir
Sur leur désir
Tu es si belle
Emmanuelle
Cherche le cœur
Trouve les pleurs
Cherche toujours
Cherche plus loin
Viendra l'amour
Sur ton chemin
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
En guise d'hommage à ce grand monsieur disparu récemment...
Pierre Bachelet
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
Tu es encore
Presque une enfant
Tu n'as connu
Qu'un seul amant
Mais à vingt ans
Pour rester sage
L'amour étant
Trop long voyage
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
L'amour à cœur
Tu l'as rêvé
L'amour à corps
Tu l'as trouvé
Tu es en somme
Devant les hommes
Comme un soupir
Sur leur désir
Tu es si belle
Emmanuelle
Cherche le cœur
Trouve les pleurs
Cherche toujours
Cherche plus loin
Viendra l'amour
Sur ton chemin
Mélodie d'amour chantait le cœur d'Emmanuelle
Qui bat cœur à corps perdu
Mélodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle
Qui vit corps à cœur déçu
En guise d'hommage à ce grand monsieur disparu récemment...
Les coeurs purs de Jean Roger CAUSSIMON
Ils ne sont pas encore amis
Des notaires et des notables
Ils ne sont pas encore admis
A dîner, le soir, à leur table
Ils ne sont pas encore polis
Comme Papa le fut toujours
Ils ne sont pas encor salis
Par les combines au jour le jour...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Ils ne sont pas encor rusés
Ni blasés d'être un peu bohèmes
Ils ne sont pas encor usés
Par le métro des matins blêmes
Ils ne sont pas encor conscrits
Bien qu'ils soient souvent "engagés"
Ils ne sont pas encor inscrits
Ni au chômage, ni aux congés...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Ils ne sont pas encor lassés
D'écouter chanter leur idole
Ils ne sont pas encor blessés
Par le Temps qui tant nous désole
Ils chantent des "songs" sur un banc
Ils n'ont pas honte de la rue
Ils ne sont pas encore perdants
Ils ne sont pas encor perdus...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Vieille chanson. Immortelle, hélas pour le thème.
Ils ne sont pas encore amis
Des notaires et des notables
Ils ne sont pas encore admis
A dîner, le soir, à leur table
Ils ne sont pas encore polis
Comme Papa le fut toujours
Ils ne sont pas encor salis
Par les combines au jour le jour...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Ils ne sont pas encor rusés
Ni blasés d'être un peu bohèmes
Ils ne sont pas encor usés
Par le métro des matins blêmes
Ils ne sont pas encor conscrits
Bien qu'ils soient souvent "engagés"
Ils ne sont pas encor inscrits
Ni au chômage, ni aux congés...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Ils ne sont pas encor lassés
D'écouter chanter leur idole
Ils ne sont pas encor blessés
Par le Temps qui tant nous désole
Ils chantent des "songs" sur un banc
Ils n'ont pas honte de la rue
Ils ne sont pas encore perdants
Ils ne sont pas encor perdus...
Mais on leur dit que ça viendra
Et, bien sûr, ils ne le croient pas
Les cœurs purs
Les cœurs purs...
Vieille chanson. Immortelle, hélas pour le thème.
L'été où est-il ? Paroles et musique de Boby Lapointe, 1975
B/ Boby
F/ La Fée
B/Tiens v'là, la pluie
Ah ! quel sal' temps
Où est-il l'été ? l'été où est-il ?
Oh ! là mais que vois-je apparaître
En regardant à ma fenêtre
La cette dame qui vole en voiles de nylon
Et qui tient un bâton tout plein rempli d'étoiles
Si cette dame est flic, l'est au moins générale
F/Non mon enfant je suis la fée
B/Ah bonjour, Madame la Fée
F/Mon dieu qu'il est bien élevé cet enfant
Je veux le récompenser
Que voudrais-tu, formule un souhait
J'ai le pouvoir de l'exaucer
Vrai
B/! Vrai ?
Bon j'voudrais qu'on se paie du bon temps
F/Du bon temps ?
Qu'entends-tu par là mon enfant ?
B/Du bon temps !
Ben ben ben...
Je voudrais avancer l'été
F/Eh ! té ch té ! ch té
B/! Qu'il fasse avant la St Jean bon
F/Jambon jambon jambon
B/Qu'il fasse beau dès le dix juin
F/Dis-joint dis-joint dis-joint
B/Ça s'rait bien s'il faisait beau dès mai
F/C'est beau dès mai beau d'aimer
B/Et que cesse enfin cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il ou est-il l'été ?
L'été ou est-il ?
Qu'il fasse chaud dès mai chaud, oui
F/Méchoui méchoui méchoui
B/Qu'il fasse beau dès Pâques beau
F/Paquebot paquebot
B/Que le soleil tape en mars tôt
F/Marteau marteau marteau
B/Ça s'rait bien qu'il fasse dès l'hiver beau
F/Délits verbaux !!
B/Et que cesse enfin cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il où est-il l'été ?
L'été où est-il ?
Si de plus un climat chaud cett'...
F/Ma chausset' ma chaussett' ...
B/Cette année dès l'automne liait
F/Tonnelier tonnelier
B/Tous les étés les uns aux autr'
F/Sozet Sozet Sozet
B/Ça s'rait le genr' de temps qu'on béni
F/Qu'on béni Hm hm hm
B/Surtout qui aurait plus cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il ou est-il l'été ?
L'été où est-il ?
Ah ! ff ! ah ! eh ! ff !
F/Mon enfant ne soit plus' haletant
B/Sal' temps sal'temps sal' temps
F/Ton joli souhait m'a beaucoup plus
B/Beaucoup plu beaucoup plu
F/Et je vais pouvoir l'exaucer
B/Saucé saucé saucé
F/Oui, je peux oui, ce pouvoir, je l'ai
B/Gelégelé Gla gla gla
F/Abracadabra
Cesse pluie soleil d'été resplendit
B/Oh ! Miracle un astre éclatant
Irradie rose au firmament
Ah dis donc quelle affair' papa
C'est madame la fée qu'a fait ça
F/Alors heureux ?
B/Oh oui madame la fée
F/Charmant enfant
B/Merci madame la fée
F/Et si poli !
Adieu mon enfant
B/Au revoir madame la fée
F/Charmant Eh
B/! le bonjour à Monsieur la fée
F/Crétin ! tiens !
(L'orage éclate à nouveau)
B/Tiens v'là la pluie !
B/ Boby
F/ La Fée
B/Tiens v'là, la pluie
Ah ! quel sal' temps
Où est-il l'été ? l'été où est-il ?
Oh ! là mais que vois-je apparaître
En regardant à ma fenêtre
La cette dame qui vole en voiles de nylon
Et qui tient un bâton tout plein rempli d'étoiles
Si cette dame est flic, l'est au moins générale
F/Non mon enfant je suis la fée
B/Ah bonjour, Madame la Fée
F/Mon dieu qu'il est bien élevé cet enfant
Je veux le récompenser
Que voudrais-tu, formule un souhait
J'ai le pouvoir de l'exaucer
Vrai
B/! Vrai ?
Bon j'voudrais qu'on se paie du bon temps
F/Du bon temps ?
Qu'entends-tu par là mon enfant ?
B/Du bon temps !
Ben ben ben...
Je voudrais avancer l'été
F/Eh ! té ch té ! ch té
B/! Qu'il fasse avant la St Jean bon
F/Jambon jambon jambon
B/Qu'il fasse beau dès le dix juin
F/Dis-joint dis-joint dis-joint
B/Ça s'rait bien s'il faisait beau dès mai
F/C'est beau dès mai beau d'aimer
B/Et que cesse enfin cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il ou est-il l'été ?
L'été ou est-il ?
Qu'il fasse chaud dès mai chaud, oui
F/Méchoui méchoui méchoui
B/Qu'il fasse beau dès Pâques beau
F/Paquebot paquebot
B/Que le soleil tape en mars tôt
F/Marteau marteau marteau
B/Ça s'rait bien qu'il fasse dès l'hiver beau
F/Délits verbaux !!
B/Et que cesse enfin cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il où est-il l'été ?
L'été où est-il ?
Si de plus un climat chaud cett'...
F/Ma chausset' ma chaussett' ...
B/Cette année dès l'automne liait
F/Tonnelier tonnelier
B/Tous les étés les uns aux autr'
F/Sozet Sozet Sozet
B/Ça s'rait le genr' de temps qu'on béni
F/Qu'on béni Hm hm hm
B/Surtout qui aurait plus cette pluie
Où est-il l'été ?
L'été où est-il ou est-il l'été ?
L'été où est-il ?
Ah ! ff ! ah ! eh ! ff !
F/Mon enfant ne soit plus' haletant
B/Sal' temps sal'temps sal' temps
F/Ton joli souhait m'a beaucoup plus
B/Beaucoup plu beaucoup plu
F/Et je vais pouvoir l'exaucer
B/Saucé saucé saucé
F/Oui, je peux oui, ce pouvoir, je l'ai
B/Gelégelé Gla gla gla
F/Abracadabra
Cesse pluie soleil d'été resplendit
B/Oh ! Miracle un astre éclatant
Irradie rose au firmament
Ah dis donc quelle affair' papa
C'est madame la fée qu'a fait ça
F/Alors heureux ?
B/Oh oui madame la fée
F/Charmant enfant
B/Merci madame la fée
F/Et si poli !
Adieu mon enfant
B/Au revoir madame la fée
F/Charmant Eh
B/! le bonjour à Monsieur la fée
F/Crétin ! tiens !
(L'orage éclate à nouveau)
B/Tiens v'là la pluie !
La petite idée derrière la tête de Jean louis MURAT
Dans Parfum d’acacia au jardin.
Il s'est penché à la fenêtre, puis il a appelé un ami
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Il serait donc parti le 16, quelqu'un l'aurait vu à Roissy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère, mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
La p'tite idée derrière la tête a souri
Elle a visité la Toinette, on l'aurait vue près du Sancy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Elle a garé son Audi verte place Gaillard à 10h06
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-elle faire dans cette galère oh mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Il s'est penché à sa fenêtre, il a rappelé un ami
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Il serait donc parti le 16, quelqu'un l'aurait vu à Roissy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère, mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Elle a visité la Toinette, on l'aurait vue près du Sancy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Elle a garé son Audi verte place Gaillard à 10h06
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-elle faire dans cette galère oh mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Allant Pessade Courbanges à pied, je marchais pourtant sans répit
La p'tite idée derrière la tête m'aura suivi
Murmurant "saut de la pucelle" toute l'âme murmura aussi
La p'tite idée derrière la tête m'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Voilà donc l'histoire de grand-mère qui obsèdera toute ma vie
Ce chat ronronnant à l'envers de la vie
Ce chat noir qui lui a dit : "merci m'a bien pourto ma mie"
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
Qu'allait-il faire dans cette galère mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Jolie chanson entêtante et inquiétante de MURAT, chanson que je n'ai toujours pas bien compris!
You know what? Il repasse à côté de Grenoble courant Mars! Guess what?
Dans Parfum d’acacia au jardin.
Il s'est penché à la fenêtre, puis il a appelé un ami
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Il serait donc parti le 16, quelqu'un l'aurait vu à Roissy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère, mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
La p'tite idée derrière la tête a souri
Elle a visité la Toinette, on l'aurait vue près du Sancy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Elle a garé son Audi verte place Gaillard à 10h06
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-elle faire dans cette galère oh mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Il s'est penché à sa fenêtre, il a rappelé un ami
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Il serait donc parti le 16, quelqu'un l'aurait vu à Roissy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère, mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Elle a visité la Toinette, on l'aurait vue près du Sancy
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Elle a garé son Audi verte place Gaillard à 10h06
La p'tite idée derrière la tête l'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-elle faire dans cette galère oh mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Allant Pessade Courbanges à pied, je marchais pourtant sans répit
La p'tite idée derrière la tête m'aura suivi
Murmurant "saut de la pucelle" toute l'âme murmura aussi
La p'tite idée derrière la tête m'aura suivi
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de jalousie
Qu'allait-il faire dans cette galère mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Voilà donc l'histoire de grand-mère qui obsèdera toute ma vie
Ce chat ronronnant à l'envers de la vie
Ce chat noir qui lui a dit : "merci m'a bien pourto ma mie"
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Les juges ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
Qu'allait-il faire dans cette galère mes amis ?
Les gens ont dit c'est une affaire, c'est une affaire de maladie
C'te p'tite idée qui s'rait l'envers de la vie
Jolie chanson entêtante et inquiétante de MURAT, chanson que je n'ai toujours pas bien compris!
You know what? Il repasse à côté de Grenoble courant Mars! Guess what?
Une de mes préférées du grand Georges.
L'ancêtre
Notre voisin l'ancêtre était un fier galant
Qui n'emmerdait personne avec sa barbe blanche,
Et quand le bruit courut qu'ses jours étaient comptés,
On s'en fut à l'hospice afin de l'assister.
On avait apporté les guitar's avec nous
Car, devant la musique, il tombait à genoux,
Excepté toutefois les marches militaires
Qu'il écoutait en se tapant le cul par terre.
Qu'il écoutait en se tapant le cul par terre.
Émules de Django, disciples de Crolla,
Toute la fine fleur des cordes était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime audition.
En guis' de viatique, une ultime audition.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçus,
Les guitar's sont resté's à la porte cochère,
Et le dernier concert de l'ancêtre déçu
Ce fut un pot-pourri de cantiques, peuchère!
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Pas de musique d'orgue, oh! non,
Pas de chants liturgiques
Pour qui aval' sa chique,
Mais des guitar's, cré nom de nom!
Mais des guitar's, cré nom de nom!
On avait apporté quelques litres aussi,
Car le bonhomme avait la fièvre de Bercy
Et les soirs de nouba, parol' de tavernier,
A rouler sous la table il était le dernier.
A rouler sous la table il était le dernier.
Saumur, Entre-deux-mers, Beaujolais, Marsala,
Toute la fine fleur de la vigne était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime libation.
En guis' de viatique, une ultime libation.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçus,
Les litres sont restés à la porte cochère,
Et l' coup de l'étrier de l'ancêtre déçu
Ce fut un grand verre d'eau bénite, peuchère !
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Ne nous faites pas boire, oh ! non,
De ces eaux minéral's, bénites ou lustrales,
Mais du bon vin, cré nom de nom !
Mais du bon vin, cré nom de nom !
On avait emmené les belles du quartier,
Car l'ancêtre courait la gueuse volontiers.
De sa main toujours leste et digne cependant
Il troussait les jupons par n'importe quel temps.
Il troussait les jupons par n'importe quel temps.
Depuis Manon Lescaut jusques à Dalila
Toute la fine fleur du beau sexe était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime érection.
En guis' de viatique, une ultime érection.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçu's,
Les belles sont restées à la porte cochère,
Et le dernier froufrou de l'ancêtre déçu
Ce fut celui d'une robe de soeur, peuchère !
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Pas d'enfants de Marie, oh ! non,
Remplacez-nous les nonnes
Par de belles mignonnes
Et qui fument, cré nom de nom
Et qui fument, cré nom de nom
L'ancêtre
Notre voisin l'ancêtre était un fier galant
Qui n'emmerdait personne avec sa barbe blanche,
Et quand le bruit courut qu'ses jours étaient comptés,
On s'en fut à l'hospice afin de l'assister.
On avait apporté les guitar's avec nous
Car, devant la musique, il tombait à genoux,
Excepté toutefois les marches militaires
Qu'il écoutait en se tapant le cul par terre.
Qu'il écoutait en se tapant le cul par terre.
Émules de Django, disciples de Crolla,
Toute la fine fleur des cordes était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime audition.
En guis' de viatique, une ultime audition.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçus,
Les guitar's sont resté's à la porte cochère,
Et le dernier concert de l'ancêtre déçu
Ce fut un pot-pourri de cantiques, peuchère!
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Pas de musique d'orgue, oh! non,
Pas de chants liturgiques
Pour qui aval' sa chique,
Mais des guitar's, cré nom de nom!
Mais des guitar's, cré nom de nom!
On avait apporté quelques litres aussi,
Car le bonhomme avait la fièvre de Bercy
Et les soirs de nouba, parol' de tavernier,
A rouler sous la table il était le dernier.
A rouler sous la table il était le dernier.
Saumur, Entre-deux-mers, Beaujolais, Marsala,
Toute la fine fleur de la vigne était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime libation.
En guis' de viatique, une ultime libation.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçus,
Les litres sont restés à la porte cochère,
Et l' coup de l'étrier de l'ancêtre déçu
Ce fut un grand verre d'eau bénite, peuchère !
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Ne nous faites pas boire, oh ! non,
De ces eaux minéral's, bénites ou lustrales,
Mais du bon vin, cré nom de nom !
Mais du bon vin, cré nom de nom !
On avait emmené les belles du quartier,
Car l'ancêtre courait la gueuse volontiers.
De sa main toujours leste et digne cependant
Il troussait les jupons par n'importe quel temps.
Il troussait les jupons par n'importe quel temps.
Depuis Manon Lescaut jusques à Dalila
Toute la fine fleur du beau sexe était là
Pour offrir à l'ancêtre, en signe d'affection,
En guis' de viatique, une ultime érection.
En guis' de viatique, une ultime érection.
Hélas! les carabins ne les ont pas reçu's,
Les belles sont restées à la porte cochère,
Et le dernier froufrou de l'ancêtre déçu
Ce fut celui d'une robe de soeur, peuchère !
Quand nous serons ancêtres,
Du côté de Bicêtre,
Pas d'enfants de Marie, oh ! non,
Remplacez-nous les nonnes
Par de belles mignonnes
Et qui fument, cré nom de nom
Et qui fument, cré nom de nom
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