Plus vu de femmes, de Jean-Louis Murat
dans "Parfum d'acacia au jardin"
On n'avait plus vu ces ports de têtes à midi
Autant vu d'étoiles au firmament
Jamais autant vu de colombines en taxi
Jamais autant vu finalement
(Refrain:)
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
De femmes ... nous trouver si sots.
Jamais autant vu de colombines à minuit
Autant de chamades, finalement
Jamais autant vu de ces princesses qu'on baratine
Jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
De femmes... nous trouver si sots
Jamais autant passer de marquis à quidam
Autant vu de nomades à bigoudis
Jamais autant vu le paradis avec dames
Non jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
Des femmes... nous trouver si sots.
https://youtu.be/tjshWGDAOrQ
Et avec Camille aux choeurs ! Que demander de plus ?!
dans "Parfum d'acacia au jardin"
On n'avait plus vu ces ports de têtes à midi
Autant vu d'étoiles au firmament
Jamais autant vu de colombines en taxi
Jamais autant vu finalement
(Refrain:)
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
De femmes ... nous trouver si sots.
Jamais autant vu de colombines à minuit
Autant de chamades, finalement
Jamais autant vu de ces princesses qu'on baratine
Jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
De femmes... nous trouver si sots
Jamais autant passer de marquis à quidam
Autant vu de nomades à bigoudis
Jamais autant vu le paradis avec dames
Non jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes au monde incertain
Faire autant fi des lois de l'hymen
De femmes d'un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser autant seuls
Aux commandes de la tendresse
Des femmes... nous trouver si sots.
https://youtu.be/tjshWGDAOrQ
Et avec Camille aux choeurs ! Que demander de plus ?!
Si tu pars ne dis rien, de Raphaël
dans "Haure Fidélité"
Si tu pars, ne dis rien
Ferme la porte, ne te retourne pas
Si tu pars, ne dis rien
Efface tes empreintes, tes pas
Si tu pars, ne dis rien
Laisse-moi brûler ton courrier
Si tu pars, ne dis rien
Détruis l'escalier, jette les clés
Et si tu veux revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Que tu appelleras l'avenir
Que tu appelleras l'avenir
Toi si tu pars, ne dis rien
Emporte tout, bon débarras
Si tu pars, ne dis rien
Chasse tes ombres et tes parfums
Si tu pars, ne dis rien
Efface jusqu'à ton prénom
Si tu pars, n'oublie rien
Si tu pars, fais-le pour de bon
Et si tu veux revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Que tu appelleras l'avenir
Que tu appelleras l'avenir
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
https://youtu.be/L-COyjrCa6Q
Radical !
dans "Haure Fidélité"
Si tu pars, ne dis rien
Ferme la porte, ne te retourne pas
Si tu pars, ne dis rien
Efface tes empreintes, tes pas
Si tu pars, ne dis rien
Laisse-moi brûler ton courrier
Si tu pars, ne dis rien
Détruis l'escalier, jette les clés
Et si tu veux revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Que tu appelleras l'avenir
Que tu appelleras l'avenir
Toi si tu pars, ne dis rien
Emporte tout, bon débarras
Si tu pars, ne dis rien
Chasse tes ombres et tes parfums
Si tu pars, ne dis rien
Efface jusqu'à ton prénom
Si tu pars, n'oublie rien
Si tu pars, fais-le pour de bon
Et si tu veux revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Que tu appelleras l'avenir
Que tu appelleras l'avenir
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
Quand tu voudras revenir
Tu ne trouveras que des cendres
https://youtu.be/L-COyjrCa6Q
Radical !
Physique et sans issue, de Jane Birkin (merci à Serge Gainsbourg !)
dans "Lost song"
Je sais qu'l'amour physique est sans issue
Je le sais mais si j'l'avais su à temps
Je ne serais pas, hélas, au point où tu m'as connue
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
Des beaux gosses, ouais, j'en ai connu
Qui m'traitaient de fille perdue
Quelque part, j'trouvais ça dégueulasse
Et toi, toi, qu'en penses-tu?
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
L'amour physique est sans issue
Tu le sais, ouais, toi non plus
À dire vrai, il n'y en a pas des masses
De belles histoires de cœur
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
Je sais qu'l'amour physique est sans issue
Je le sais mais si j'avais su à temps
Je ne serais pas, hélas, au point où tu m'as connue
Je t'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas
https://tinyurl.com/8pw2wtky
Quel compositeur ce Gainsbourg ! Et quelle belle interprète, Jane Birkin !
dans "Lost song"
Je sais qu'l'amour physique est sans issue
Je le sais mais si j'l'avais su à temps
Je ne serais pas, hélas, au point où tu m'as connue
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
Des beaux gosses, ouais, j'en ai connu
Qui m'traitaient de fille perdue
Quelque part, j'trouvais ça dégueulasse
Et toi, toi, qu'en penses-tu?
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
L'amour physique est sans issue
Tu le sais, ouais, toi non plus
À dire vrai, il n'y en a pas des masses
De belles histoires de cœur
J't'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas vrai
Je sais qu'l'amour physique est sans issue
Je le sais mais si j'avais su à temps
Je ne serais pas, hélas, au point où tu m'as connue
Je t'aime et toi-même, dis-moi que tu m'aimes
Dis-le-moi, si même cela n'est pas
https://tinyurl.com/8pw2wtky
Quel compositeur ce Gainsbourg ! Et quelle belle interprète, Jane Birkin !
Ne les réveillez pas, de Gérard Manset
dans "Obok"
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Comme de petits œufs
Comme de jeunes abeilles
De simples arbrisseaux
Poussant près des fontaines
D'où naissent toutes les eaux
Toutes les rivières idem
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Un ongle de mica
Et la lèvre vermeil
Tandis qu'au-dessus d'eux
Une forme attentive
Songe aux instants d'avant
Où elle était pareille
Elle était semblable
Rangée sous une table
Haute comme une chaise
Petit meuble bancal
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
On en a vu des équipages
S'endormir, s'endormir
S'endormir comme ça
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Comme de petits soldats
Raisins sur une treille
Qu'on ne cueillera pas
Au milieu des vallons
Et des vallées sans nombre
Regardez-les dans l'ombre
De jouets insignifiants
Dans la chambre lilas
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
J'ai refermé la porte
De ce monde-ci
Afin que rien ne sorte
Comme d'un petit enclos
Au flanc d'une colline
Où les choses poussent
Pour se couvrir bientôt
D'une toison rousse
Lorsque l'automne est là
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
On en a vu des équipages
S'endormir, s'endormir
J'ai refermé la porte
Ne me demandez pas
Si cette chambre existe
Si elle n'existe pas
Comme une place forte
Tandis que j'ai marché
Dans la chambre lilas
Ne les réveillez pas
Le reste est sans objet
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
https://youtu.be/SETFkkc5H1I
Poésie mansetnienne, passablement absconse ...
dans "Obok"
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Comme de petits œufs
Comme de jeunes abeilles
De simples arbrisseaux
Poussant près des fontaines
D'où naissent toutes les eaux
Toutes les rivières idem
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Un ongle de mica
Et la lèvre vermeil
Tandis qu'au-dessus d'eux
Une forme attentive
Songe aux instants d'avant
Où elle était pareille
Elle était semblable
Rangée sous une table
Haute comme une chaise
Petit meuble bancal
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
On en a vu des équipages
S'endormir, s'endormir
S'endormir comme ça
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Comme de petits soldats
Raisins sur une treille
Qu'on ne cueillera pas
Au milieu des vallons
Et des vallées sans nombre
Regardez-les dans l'ombre
De jouets insignifiants
Dans la chambre lilas
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
J'ai refermé la porte
De ce monde-ci
Afin que rien ne sorte
Comme d'un petit enclos
Au flanc d'une colline
Où les choses poussent
Pour se couvrir bientôt
D'une toison rousse
Lorsque l'automne est là
Ne les réveillez pas
Ils sont dans leur sommeil
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
On en a vu des équipages
S'endormir, s'endormir
J'ai refermé la porte
Ne me demandez pas
Si cette chambre existe
Si elle n'existe pas
Comme une place forte
Tandis que j'ai marché
Dans la chambre lilas
Ne les réveillez pas
Le reste est sans objet
Ce songe est indolore
Qui conduit là-bas
https://youtu.be/SETFkkc5H1I
Poésie mansetnienne, passablement absconse ...
Le coeur Australie, de Eiffel
dans "A tout moment"
Je gobe les mouches dans la vallée des couleuvres
Et n'entrave que couic à la manoeuvre
De vous à moi, la vie est ailleurs : tout au bout de nous
Le Yin et le Yang, ce kangourou
Qui bondit à la sauvage hors des rangs
La poche pleine de résistants
Tant que le rêve embrase nos jours
Et que l'aigle croise des foudres d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami,
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Seigneur, j'ai pêché une perle à Broome
A-wop-bop-a-loo-bop a-lop bam boom
Et pour sa robe de sang coquelicot
Je prends les courants d'El Niño
Mon âme émane, je crève, mais avant j'aime
Dans les pâleurs fliquées de nos villes-carême
Tant que le rêve embrase nos jours
Et que l'aigle croise des foudres d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami,
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Le coeur Australie
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Paroles ailées, branleur, je n'connais rien de ces
Terres qui s'arc-boutent sous la voûte Australe
Ni des aurores à l'autre bout boréal
Paroles ailées, c'était
Juste pour être ensemble
Et la sentir qui tremble
Cette paix noire de toujours
Aux croisées d'enfer et d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Nos solitudes
https://youtu.be/t5mYmZCRA14
2009 déjà, ça me semblait hier ...
dans "A tout moment"
Je gobe les mouches dans la vallée des couleuvres
Et n'entrave que couic à la manoeuvre
De vous à moi, la vie est ailleurs : tout au bout de nous
Le Yin et le Yang, ce kangourou
Qui bondit à la sauvage hors des rangs
La poche pleine de résistants
Tant que le rêve embrase nos jours
Et que l'aigle croise des foudres d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami,
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Seigneur, j'ai pêché une perle à Broome
A-wop-bop-a-loo-bop a-lop bam boom
Et pour sa robe de sang coquelicot
Je prends les courants d'El Niño
Mon âme émane, je crève, mais avant j'aime
Dans les pâleurs fliquées de nos villes-carême
Tant que le rêve embrase nos jours
Et que l'aigle croise des foudres d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami,
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Le coeur Australie
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Paroles ailées, branleur, je n'connais rien de ces
Terres qui s'arc-boutent sous la voûte Australe
Ni des aurores à l'autre bout boréal
Paroles ailées, c'était
Juste pour être ensemble
Et la sentir qui tremble
Cette paix noire de toujours
Aux croisées d'enfer et d'amour
Le coeur Australie
Désert de poussière rouge
Rosemary's baby
Vous y êtes, il bouge
Mon amour, mon ami
Ô prairies d'altitude
On se tient à la vie
À mélanger nos solitudes
Nos solitudes
https://youtu.be/t5mYmZCRA14
2009 déjà, ça me semblait hier ...
(À ma mère) Perce les nuages, de Paul Daraîche
Paru sur l'album T'envoler
Perce les nuages
D'ici jusqu'au large
Oh grand soleil, tu m'émerveilles
Jusqu'à l'horizon
Porte tes rayons
Réchauffe-moi, j'en ai besoin
Toi le vent de la mer
Va dire à ma mère
Combien je l'aime et comme elle est belle
Va vers l'horizon
Porte mes chansons
Chante-les lui à son oreille
Elle se repose aujourd'hui
Où elle vécut avec lui
La plus grande partie de sa vie
Mais seule elle est retournée
Au village où je suis né
Là où mon père est enterré
Étoile de la nuit
Dis-lui bien ceci
Qu'on est toujours auprès de lui
Qu'il dort en nos cœurs
Comme une lueur
Qui brillera toute la vie
Elle se repose aujourd'hui
Où elle vécut avec lui
La plus grande partie de sa vie
Mais seule elle est retournée
Au village où je suis né
Là où mon père est enterré
Là où mon père est enterré
Là où mon père est enterré
https://youtube.com/watch/…
https://residence-funeraire.coop/avis-de-deces/…
Paru sur l'album T'envoler
Perce les nuages
D'ici jusqu'au large
Oh grand soleil, tu m'émerveilles
Jusqu'à l'horizon
Porte tes rayons
Réchauffe-moi, j'en ai besoin
Toi le vent de la mer
Va dire à ma mère
Combien je l'aime et comme elle est belle
Va vers l'horizon
Porte mes chansons
Chante-les lui à son oreille
Elle se repose aujourd'hui
Où elle vécut avec lui
La plus grande partie de sa vie
Mais seule elle est retournée
Au village où je suis né
Là où mon père est enterré
Étoile de la nuit
Dis-lui bien ceci
Qu'on est toujours auprès de lui
Qu'il dort en nos cœurs
Comme une lueur
Qui brillera toute la vie
Elle se repose aujourd'hui
Où elle vécut avec lui
La plus grande partie de sa vie
Mais seule elle est retournée
Au village où je suis né
Là où mon père est enterré
Là où mon père est enterré
Là où mon père est enterré
https://youtube.com/watch/…
https://residence-funeraire.coop/avis-de-deces/…
Voici une chanson que j'ai découverte grâce au film "Sur l’Adamant", un documentaire qui fait chaud au cœur : on y voit une centre de soin pour personnes atteintes de difficultés psychiques, l’Adamant étant une péniche sur la Seine au centre de Paris. Un film qui fait du bien, et la chanson "La bombe humaine" (de Téléphone) y est chantée par un des soignés. On sort du film en se disant que tout n’est pas perdu tant qu’il existe encore des structures qui soignent les blessures de la vie avec une telle humanité. Et on y voit l'importance de la chanson dans les thérapies.
Jusqu’à quand ?
La Bombe humaine (Téléphone)
Je veux vous parler de l'arme de demain
Enfantée du monde elle en sera la fin
Je veux vous parler de moi, de vous
Je vois à l'intérieur des images, des couleurs
Qui ne sont pas à moi, qui parfois me font peur
Sensations qui peuvent me rendre fou
Nos sens sont nos fils, nous pauvres marionnettes
Nos sens sont le chemin qui mène droit à nos têtes
La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur juste à côté du cœur
La bombe humaine, see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
See'est la fin, la fin
Mon père ne dort plus sans prendre ses calmants
Maman ne travaille plus sans ses excitants
Quelqu'un leur vend de quoi tenir le coup
Je suis un électron bombardé de protons
Le rythme de la ville, see'est ça mon vrai patron
Je suis chargé d'électricité
Si par malheur au cœur de l'accélérateur
J'rencontre une particule qui m'mette de sale humeur
Oh, faudrait pas que j'me laisse aller
Faudrait pas que j'me laisse aller, non
La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur juste à côté du cœur
La bombe humaine, see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
See'est la fin
Bombe humaine see'est l'arme de demain
Bombe humaine tu la tiens dans ta main
Bombe humaine see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre ce qui te tient
See'est la fin
Pour l’écouter : https://google.com/search/…
Jusqu’à quand ?
La Bombe humaine (Téléphone)
Je veux vous parler de l'arme de demain
Enfantée du monde elle en sera la fin
Je veux vous parler de moi, de vous
Je vois à l'intérieur des images, des couleurs
Qui ne sont pas à moi, qui parfois me font peur
Sensations qui peuvent me rendre fou
Nos sens sont nos fils, nous pauvres marionnettes
Nos sens sont le chemin qui mène droit à nos têtes
La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur juste à côté du cœur
La bombe humaine, see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
See'est la fin, la fin
Mon père ne dort plus sans prendre ses calmants
Maman ne travaille plus sans ses excitants
Quelqu'un leur vend de quoi tenir le coup
Je suis un électron bombardé de protons
Le rythme de la ville, see'est ça mon vrai patron
Je suis chargé d'électricité
Si par malheur au cœur de l'accélérateur
J'rencontre une particule qui m'mette de sale humeur
Oh, faudrait pas que j'me laisse aller
Faudrait pas que j'me laisse aller, non
La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur juste à côté du cœur
La bombe humaine, see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
See'est la fin
Bombe humaine see'est l'arme de demain
Bombe humaine tu la tiens dans ta main
Bombe humaine see'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre ce qui te tient
See'est la fin
Pour l’écouter : https://google.com/search/…
Cyclo, je plussoie, c'est un très beau documentaire !
Chanson du jour, Bernard - Jeffrey Silverstein (Tistou c'est toi qui me décides à la partager ici ;) ) https://youtube.com/watch/…
Chanson du jour, Bernard - Jeffrey Silverstein (Tistou c'est toi qui me décides à la partager ici ;) ) https://youtube.com/watch/…
Nous autres - 2 Frères
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut, nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh
Entre l'Abitibi pis le Lac-Saint-Jean
Y a un p'tit village où on en a vécu tant
Des feux dans l'pit de sable pis toutes les niaiseries au p'tit parc
Quand on y r'pense, c'était vraiment pas plate
Là on n'est plus des enfants, oh non
On n'a pas perdu d'temps pis on est devenus parents
Depuis qu'ces p'tites âmes sont arrivées ici, on s'entend
Qu'on partage encore plus de beaux moments
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh
Pas besoin d'demander au ciel
Qu'cet amour là soit éternel
C'qui nous tient, c'est plus fort que tout
On a compris ça d'puis longtemps qu'la vie, ça s'passe entre nous
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut, nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh...
https://youtube.com/watch/…
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut, nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh
Entre l'Abitibi pis le Lac-Saint-Jean
Y a un p'tit village où on en a vécu tant
Des feux dans l'pit de sable pis toutes les niaiseries au p'tit parc
Quand on y r'pense, c'était vraiment pas plate
Là on n'est plus des enfants, oh non
On n'a pas perdu d'temps pis on est devenus parents
Depuis qu'ces p'tites âmes sont arrivées ici, on s'entend
Qu'on partage encore plus de beaux moments
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh
Pas besoin d'demander au ciel
Qu'cet amour là soit éternel
C'qui nous tient, c'est plus fort que tout
On a compris ça d'puis longtemps qu'la vie, ça s'passe entre nous
Y a rien d'plus important qu'l'amour qui nous rassemble
Rien qui traverse le temps si bin qu'la vie ensemble
Les tristesses, les chagrins, on l'sait qu'ça passera
En famille, entre amis depuis toujours, c'est comme ça
À chaque fois qu'on l'peut, nous aut', on s'prend dans nos bras
Wô oh oh, oh oh, wô oh oh
Wô oh oh, oh oh, oh oh...
https://youtube.com/watch/…
L'immense Tina Turner vient de nous quitter. Elle était la dernière de mes amours adolescentes : Freddy Mercury, Prince, David Bowie et Tina. Je suis triste.
Et moi je pleurerai quand Neil Young disparaîtra... Cela dit je regrette aussi Tina Turner.
Et moi je pleurerai quand Neil Young disparaîtra... Cela dit je regrette aussi Tina Turner.
Et bien il n'a pas fallu attendre longtemps pour pleurer ! Non pas que le bon Neil soit mort (en tout cas ce n'est pas venu à mes oreilles) mais un autre, notable, de mes chouchous, qui reventiquait en outre Neil Young comme référence, Jean-Louis Murat est mort. A 71 ans. Et je pleure ...
revendiquait, bien sûr !
Amours débutants, de Jean-Louis Murat
dans Cheyenne autumn
Je venais retrouver
Entre ces peupliers
L'état de grâce
L'ombre fugace
Que l'on pourchasse
Suivre sa parfaite trace
Voir ce curieux gibier
Que l'on ne peut noyer
Sous la menace
Du temps qui passe
J'ai la vision tenace
Du vierge espace
Que prenaient
Nos amours débutants
Sous de multiples souvenirs
J'ai l'unique plaisir
De ton silence
De ta confiance
Viens je serai sage
Si tu m'embrasses
Nos amours débutants
Qu'en est-il maintenant
Dis as-tu des enfants
Est-ce que leur innocence
Parfois te tente
Et leurs silences
Et leur confiance
https://youtu.be/RWiCBgyTHqE
Dans Cheyenne autumn, de 1989, le premier album qui a révélé Murat. Ce serait la chanson de Murat préférée de Dominique A ? D'ailleurs ...
https://youtu.be/MLtCE4o_7YA
dans Cheyenne autumn
Je venais retrouver
Entre ces peupliers
L'état de grâce
L'ombre fugace
Que l'on pourchasse
Suivre sa parfaite trace
Voir ce curieux gibier
Que l'on ne peut noyer
Sous la menace
Du temps qui passe
J'ai la vision tenace
Du vierge espace
Que prenaient
Nos amours débutants
Sous de multiples souvenirs
J'ai l'unique plaisir
De ton silence
De ta confiance
Viens je serai sage
Si tu m'embrasses
Nos amours débutants
Qu'en est-il maintenant
Dis as-tu des enfants
Est-ce que leur innocence
Parfois te tente
Et leurs silences
Et leur confiance
https://youtu.be/RWiCBgyTHqE
Dans Cheyenne autumn, de 1989, le premier album qui a révélé Murat. Ce serait la chanson de Murat préférée de Dominique A ? D'ailleurs ...
https://youtu.be/MLtCE4o_7YA
Tina Turner et Bernard Murat viennent de nous quitter.
Tina Turner et Bernard Murat viennent de nous quitter.
Le chanteur Jean-Louis Murat, pardon.
J'suis qu'un grain de poussière, de Jacques Higelin
dans "Alertez les bébés !"
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Qui colle à tes bottines
Qui bloque la machine
Qui fait d'une ville un désert
Un grain de poussière
Le fils de la terre et du vent
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Perdu comme un enfant
Dans l'oeil du firmament
Prisonnier d'un courant d'air
Un grain de poussière
Le fils du soleil et du vent.
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Qui erre à la lisière
De l'enfer et du ciel
Un ange gardien du néant
Un grain de poussière
Infiniment petit ou grand
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Perdu comme un enfant
Dans l'oeil du firmament
Prisonnier d'un courant d'air
Un grain de poussière
Le fils de la terre et du vent.
https://youtu.be/GN8nt48lEzc
Et le grain de poussière s'en est allé ...
dans "Alertez les bébés !"
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Qui colle à tes bottines
Qui bloque la machine
Qui fait d'une ville un désert
Un grain de poussière
Le fils de la terre et du vent
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Perdu comme un enfant
Dans l'oeil du firmament
Prisonnier d'un courant d'air
Un grain de poussière
Le fils du soleil et du vent.
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Qui erre à la lisière
De l'enfer et du ciel
Un ange gardien du néant
Un grain de poussière
Infiniment petit ou grand
J'suis qu'un grain de poussière,
Un grain de poussière,
Perdu comme un enfant
Dans l'oeil du firmament
Prisonnier d'un courant d'air
Un grain de poussière
Le fils de la terre et du vent.
https://youtu.be/GN8nt48lEzc
Et le grain de poussière s'en est allé ...
Ce qui n'est pas donné est perdu, de Jean-Louis Murat
dans "Parfum d'acacia au jardin"
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Nous chuchotent au fond du bois les violettes
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Qu'abonde au chapiteau brun le sang vermeil
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Humecte tes lèvres arides, d'un peu de sève
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
A honorer trois fois jour dit la princesse
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Va au baiser comme on va à la fontaine
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Voilà le contrepoison des chants funèbres
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
https://youtu.be/IVB4J3Z70lU (à partir de 13mn)
Jean-Louis Murat a beaucoup donné et c'est fini maintenant ...
dans "Parfum d'acacia au jardin"
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Nous chuchotent au fond du bois les violettes
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Qu'abonde au chapiteau brun le sang vermeil
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Humecte tes lèvres arides, d'un peu de sève
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
A honorer trois fois jour dit la princesse
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Va au baiser comme on va à la fontaine
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Voilà le contrepoison des chants funèbres
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
Ce qui n'est pas donné est perdu
Ce que tu gardes est foutu
https://youtu.be/IVB4J3Z70lU (à partir de 13mn)
Jean-Louis Murat a beaucoup donné et c'est fini maintenant ...
Le buffet de la gare de Metz, de Bernard Lavilliers
dans "Le Stéphanois"
Aquarium sans musique dirigeable échoué
M'ouvrant la porte de son unique bras de fumée
Séparant deux engeances d'une barrière muette
D'un côté le couteau de l'autre la fourchette
Au milieu de ma nuit torride inévitable
Il avance sournoisement ses tables
Ses garçons ses caissières sa bière son pinard
Sa crasse ses mégots son rire son regard
La poésie est là Verlaine ressuscité
Trône en lettres d'or sur la salle à manger
Verlaine au ventre creux au regard caustique
Ton nom va tournoyant vers le néon gothique
La fête des fêtards s'englue dans un sourire
Un coup de main raté sur la croupe du désir
Les cigares s'allument entre deux seins géants
Où l'on plonge les bras comme dans le néant
Solitude solaire pour rêveurs de banquise
Militaires châtrés dormant sur des marquises
Plaines d'échafaudages et de ravalements
Entourées de café au lait et de croissants
Et je restais cloué à ces tables sans charme
J'attendais le matin et la femme inouïe
Un vieux baron déchu tombait dans le vacarme
Que la caissière rétablit.
https://youtu.be/FMVoCbLKX68
Etrange, non ?
dans "Le Stéphanois"
Aquarium sans musique dirigeable échoué
M'ouvrant la porte de son unique bras de fumée
Séparant deux engeances d'une barrière muette
D'un côté le couteau de l'autre la fourchette
Au milieu de ma nuit torride inévitable
Il avance sournoisement ses tables
Ses garçons ses caissières sa bière son pinard
Sa crasse ses mégots son rire son regard
La poésie est là Verlaine ressuscité
Trône en lettres d'or sur la salle à manger
Verlaine au ventre creux au regard caustique
Ton nom va tournoyant vers le néon gothique
La fête des fêtards s'englue dans un sourire
Un coup de main raté sur la croupe du désir
Les cigares s'allument entre deux seins géants
Où l'on plonge les bras comme dans le néant
Solitude solaire pour rêveurs de banquise
Militaires châtrés dormant sur des marquises
Plaines d'échafaudages et de ravalements
Entourées de café au lait et de croissants
Et je restais cloué à ces tables sans charme
J'attendais le matin et la femme inouïe
Un vieux baron déchu tombait dans le vacarme
Que la caissière rétablit.
https://youtu.be/FMVoCbLKX68
Etrange, non ?
Le pont, de Gérard Manset
dans "Royaume de Siam"
Aujourd'hui ou demain
On a tous rendez-vous avec le destin
Et quand il te tient
Il n'a pas dit son dernier mot
Il vole vite, vole vite, dans ton dos
Dans ton dos
Ton dos
Et je me souviens, que,quand on s'est connu
J'avais le cœur vide, je ne l'ai plus
Et quand je passe
Le pont
Je me dis :
"Tiens bon."
Et je parle peu, personne ne sait ou je vis
Y a que mon ombre qui me suit
Et quand il faut
Descendre au fond du tunnel
Quelqu'un tient la lampe droit devant elle
Et quand je passe
Le pont
Elle me dit :
"Tiens bon."
Au-dessous, c'est le vide
Au-dessous, c'est le vide
Et t'as besoin de vivre encore
Et t'as besoin de vivre encore
Et pas un jour, loin d'elle ou loin d'ici
Sans être encore à sa merci
Et tout est ainsi
Pas moyen de se défendre
Sans voir le pont, le pont se fendre
Pont se fendre
Se fendre...
Et pourtant je sais
Qu'hier, aujourd'hui ou demain
Et sur la tête et sur les mains
Si je passe
Le pont
Elle me dira
Tiens bon
Alors je tiens bon
Oui je tiens bon
Un poil énigmatique, à la mesure des écrits de Gérard Manset ...
https://youtu.be/jzA__2qF_3o
dans "Royaume de Siam"
Aujourd'hui ou demain
On a tous rendez-vous avec le destin
Et quand il te tient
Il n'a pas dit son dernier mot
Il vole vite, vole vite, dans ton dos
Dans ton dos
Ton dos
Et je me souviens, que,quand on s'est connu
J'avais le cœur vide, je ne l'ai plus
Et quand je passe
Le pont
Je me dis :
"Tiens bon."
Et je parle peu, personne ne sait ou je vis
Y a que mon ombre qui me suit
Et quand il faut
Descendre au fond du tunnel
Quelqu'un tient la lampe droit devant elle
Et quand je passe
Le pont
Elle me dit :
"Tiens bon."
Au-dessous, c'est le vide
Au-dessous, c'est le vide
Et t'as besoin de vivre encore
Et t'as besoin de vivre encore
Et pas un jour, loin d'elle ou loin d'ici
Sans être encore à sa merci
Et tout est ainsi
Pas moyen de se défendre
Sans voir le pont, le pont se fendre
Pont se fendre
Se fendre...
Et pourtant je sais
Qu'hier, aujourd'hui ou demain
Et sur la tête et sur les mains
Si je passe
Le pont
Elle me dira
Tiens bon
Alors je tiens bon
Oui je tiens bon
Un poil énigmatique, à la mesure des écrits de Gérard Manset ...
https://youtu.be/jzA__2qF_3o
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