Voici Syracuse, par Henri Salvador :
https://www.youtube.com/watch?v=8oCqn3mN2C8
https://www.youtube.com/watch?v=8oCqn3mN2C8
Voici ''Toronto (Don't wanna go)'' de Vaginal Croutons : https://www.youtube.com/watch?v=SycpgzVZwi0
Il s'agit d'un groupe punk n'ayant sorti qu'un unique album intitulé ''Obscene cuisine'', en 2002.
Un nom incroyable ! Une musique ... tonique. 2002 et puis plus rien ?
De Bob Dylan, Masters of war
https://www.youtube.com/watch?v=h2mabTnMHe8&t=18s
Traduction de cette chanson très actuelle :
Vous, les maîtres de la guerre
Qui fabriquez toutes ces armes,
Qui construisez ces engins de mort
Et mettez au point ces terribles bombes.
Vous qui vous cachez derrière des murs,
Qui vous abritez derrière des bureaux,
Je veux que vous sachiez
Que je vois au travers de vos masques.
Vous qui n’avez jamais rien fait
A part vous consacrer à tout détruire
Vous jouez avec ma Terre
Comme si ce n’était qu’un jouet.
Vous armez ma main
Et puis disparaissez de ma vue
Pour vous mettre à l’abri
Quand les balles commencent à siffler.
Comme Judas autrefois
Vous mentez, vous trompez…
Vous voulez nous faire croire
Qu’une guerre mondiale peut se gagner
Mais je vois dans vos yeux
Et je lis dans vos pensées
Comme à travers les eaux sales
Qui s’écoulent des égouts.
Vous armez les gâchettes
Pour que les autres fassent feu
Et vous vous retirez pour observer
Le nombre des morts qui ne cesse de croître.
Vous vous calfeutrez dans vos palais
Alors que le sang de jeunes hommes
Quitte leurs corps
Et se mélange à la boue.
Vous avez semé la pire terreur
Qui puisse exister :
Celle de mettre des enfants au monde.
Pour refuser la vie à mon enfant
Qui n’est pas encore né et ne porte même pas de nom,
Vous n’êtes pas digne du sang
Qui coule dans vos veines.
En sais-je assez
Pour prendre ainsi la parole ?
Vous avez beau dire que je suis jeune
Vous avez beau dire que je manque d’expérience
Il reste cependant une chose dont je suis certain
En dépit de mon âge,
C’est que même Jésus
Ne pardonnerait jamais ce que vous faites.
Permettez-moi de vous poser une question
Votre argent suffira-t-il
Pour racheter votre pardon.
Le pensez-vous vraiment ?
Je crois que vous comprendrez
Quand sonnera l’heure de votre mort
Que tout le fric que vous avez amassé
N’arrivera pas à sauver votre âme.
Et je souhaite votre fin
Qu’elle soit proche.
Je suivrai votre cercueil
Dans la pâleur de l’après-midi
Et je serai là, quand on vous descendra
Dans votre caveau.
Et je me tiendrai au-dessus de votre tombe
Le temps d’être sûr
Que vous n’êtes plus de ce monde.
https://www.youtube.com/watch?v=h2mabTnMHe8&t=18s
Traduction de cette chanson très actuelle :
Vous, les maîtres de la guerre
Qui fabriquez toutes ces armes,
Qui construisez ces engins de mort
Et mettez au point ces terribles bombes.
Vous qui vous cachez derrière des murs,
Qui vous abritez derrière des bureaux,
Je veux que vous sachiez
Que je vois au travers de vos masques.
Vous qui n’avez jamais rien fait
A part vous consacrer à tout détruire
Vous jouez avec ma Terre
Comme si ce n’était qu’un jouet.
Vous armez ma main
Et puis disparaissez de ma vue
Pour vous mettre à l’abri
Quand les balles commencent à siffler.
Comme Judas autrefois
Vous mentez, vous trompez…
Vous voulez nous faire croire
Qu’une guerre mondiale peut se gagner
Mais je vois dans vos yeux
Et je lis dans vos pensées
Comme à travers les eaux sales
Qui s’écoulent des égouts.
Vous armez les gâchettes
Pour que les autres fassent feu
Et vous vous retirez pour observer
Le nombre des morts qui ne cesse de croître.
Vous vous calfeutrez dans vos palais
Alors que le sang de jeunes hommes
Quitte leurs corps
Et se mélange à la boue.
Vous avez semé la pire terreur
Qui puisse exister :
Celle de mettre des enfants au monde.
Pour refuser la vie à mon enfant
Qui n’est pas encore né et ne porte même pas de nom,
Vous n’êtes pas digne du sang
Qui coule dans vos veines.
En sais-je assez
Pour prendre ainsi la parole ?
Vous avez beau dire que je suis jeune
Vous avez beau dire que je manque d’expérience
Il reste cependant une chose dont je suis certain
En dépit de mon âge,
C’est que même Jésus
Ne pardonnerait jamais ce que vous faites.
Permettez-moi de vous poser une question
Votre argent suffira-t-il
Pour racheter votre pardon.
Le pensez-vous vraiment ?
Je crois que vous comprendrez
Quand sonnera l’heure de votre mort
Que tout le fric que vous avez amassé
N’arrivera pas à sauver votre âme.
Et je souhaite votre fin
Qu’elle soit proche.
Je suivrai votre cercueil
Dans la pâleur de l’après-midi
Et je serai là, quand on vous descendra
Dans votre caveau.
Et je me tiendrai au-dessus de votre tombe
Le temps d’être sûr
Que vous n’êtes plus de ce monde.
De Bob Dylan, Masters of war
https://youtube.com/watch/?v=h2mabTnMHe8&t=18s
Traduction de cette chanson très actuelle :
Vous, les maîtres de la guerre
Qui fabriquez toutes ces armes,
Qui construisez ces engins de mort
Et mettez au point ces terribles bombes.
Vous qui vous cachez derrière des murs,
Qui vous abritez derrière des bureaux,
Je veux que vous sachiez
Que je vois au travers de vos masques.
Vous qui n’avez jamais rien fait
A part vous consacrer à tout détruire
Vous jouez avec ma Terre
Comme si ce n’était qu’un jouet.
Vous armez ma main
Et puis disparaissez de ma vue
Pour vous mettre à l’abri
Quand les balles commencent à siffler.
Comme Judas autrefois
Vous mentez, vous trompez…
Vous voulez nous faire croire
Qu’une guerre mondiale peut se gagner
Mais je vois dans vos yeux
Et je lis dans vos pensées
Comme à travers les eaux sales
Qui s’écoulent des égouts.
Vous armez les gâchettes
Pour que les autres fassent feu
Et vous vous retirez pour observer
Le nombre des morts qui ne cesse de croître.
Vous vous calfeutrez dans vos palais
Alors que le sang de jeunes hommes
Quitte leurs corps
Et se mélange à la boue.
Vous avez semé la pire terreur
Qui puisse exister :
Celle de mettre des enfants au monde.
Pour refuser la vie à mon enfant
Qui n’est pas encore né et ne porte même pas de nom,
Vous n’êtes pas digne du sang
Qui coule dans vos veines.
En sais-je assez
Pour prendre ainsi la parole ?
Vous avez beau dire que je suis jeune
Vous avez beau dire que je manque d’expérience
Il reste cependant une chose dont je suis certain
En dépit de mon âge,
C’est que même Jésus
Ne pardonnerait jamais ce que vous faites.
Permettez-moi de vous poser une question
Votre argent suffira-t-il
Pour racheter votre pardon.
Le pensez-vous vraiment ?
Je crois que vous comprendrez
Quand sonnera l’heure de votre mort
Que tout le fric que vous avez amassé
N’arrivera pas à sauver votre âme.
Et je souhaite votre fin
Qu’elle soit proche.
Je suivrai votre cercueil
Dans la pâleur de l’après-midi
Et je serai là, quand on vous descendra
Dans votre caveau.
Et je me tiendrai au-dessus de votre tombe
Le temps d’être sûr
Que vous n’êtes plus de ce monde.
Paroles d'un Nobel de Littérature, hélas d'actualité à toute époque.
La guerre consubstantielle au genre humain ? Avec d'autant plus de probabilités qu'on concentre les individus. 7,5 milliards aujourd'hui, 10 Milliards bientôt ...
Je sais que la terre est plate, de Raphaël
dans "Je sais que la terre est plate"
Je sais que la Terre est plate
Je sais les noms des nuages
Je sais qu'il n'y a pas de vie après la mort
Je ne suis pas si idiot
Je sais que je te connais d'avant,
Que le bateau arrive demain,
Que tout est déjà écrit quelque part
Même si on n' le savait pas
Je sais qu'un jour je ne me réveillerai pas
Je sais qu'on ne vieillira pas
Je l'ai vu dans ma Marlboro light
Les fumées prédisent l'avenir
Je sais qu'un jour nous serons invisibles
Je sais que je n'oublie pas
Je me réveille avec ton souffle
Mais cette vie dans cet état
Je sais que nous nous rencontrerons à nouveau
Dans cette vie ou dans une autre parallèle,
Retrouver la formule du rêve,
Tu me réveilles encore
Toute mince avec ton ventre rond,
Nous nous marierons
Quand les témoins seront partis
Et les étoiles dans la nuit
Je sais mon amour ce qui compte
Et je connais ta bouche
Et je connais ton âge
https://youtu.be/9pMqU5l1Zbo
Une vision toujours particulière que celle de Raphaël ...
dans "Je sais que la terre est plate"
Je sais que la Terre est plate
Je sais les noms des nuages
Je sais qu'il n'y a pas de vie après la mort
Je ne suis pas si idiot
Je sais que je te connais d'avant,
Que le bateau arrive demain,
Que tout est déjà écrit quelque part
Même si on n' le savait pas
Je sais qu'un jour je ne me réveillerai pas
Je sais qu'on ne vieillira pas
Je l'ai vu dans ma Marlboro light
Les fumées prédisent l'avenir
Je sais qu'un jour nous serons invisibles
Je sais que je n'oublie pas
Je me réveille avec ton souffle
Mais cette vie dans cet état
Je sais que nous nous rencontrerons à nouveau
Dans cette vie ou dans une autre parallèle,
Retrouver la formule du rêve,
Tu me réveilles encore
Toute mince avec ton ventre rond,
Nous nous marierons
Quand les témoins seront partis
Et les étoiles dans la nuit
Je sais mon amour ce qui compte
Et je connais ta bouche
Et je connais ton âge
https://youtu.be/9pMqU5l1Zbo
Une vision toujours particulière que celle de Raphaël ...
Voici Un être idéal, de Véronique Sanson :
https://youtube.com/watch/…
https://youtube.com/watch/…
Voici Un être idéal, de Véronique Sanson :
https://www.youtube.com/watch?v=PaBUozVpng8
https://www.youtube.com/watch?v=PaBUozVpng8
Demain nous ne serons plus jamais seuls, de Yves Simon
dans "Respirer, chanter"
Nous nous rencontrons autour des billards électriques
Autour des flippers, et des chromes des machines à café, des affiches de ciné.
Nous nous rencontrons sous les néons des nuits de la ville,
Dans les cafétérias, des bars, autour d'une bière française ou étrangère.
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Nous nous rencontrons dans des transits, des quais de départ,
Dans des cabines de téléphone, des salles de drugstore, des aéroports.
Nous nous rencontrons sur des vieux bateaux espagnols,
Qui vont du port d'Algésiras en Méditerranée, vers l'Afrique et Tanger.
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Nous nous rencontrons sur des sons, des fumées, des lumières,
Dans des galères de music-hall, sur des grands boulevards, ou des vieux hangars.
Nous nous rencontrons pour des mots, des idées, des chansons
Dans les ascenseurs de buildings, nous nous regardons et puis nous parlons
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
https://youtu.be/TUdXgIJCpgo
"Drugstore", voilà un mot qui fleure bon la fin XXème siècle.
dans "Respirer, chanter"
Nous nous rencontrons autour des billards électriques
Autour des flippers, et des chromes des machines à café, des affiches de ciné.
Nous nous rencontrons sous les néons des nuits de la ville,
Dans les cafétérias, des bars, autour d'une bière française ou étrangère.
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Nous nous rencontrons dans des transits, des quais de départ,
Dans des cabines de téléphone, des salles de drugstore, des aéroports.
Nous nous rencontrons sur des vieux bateaux espagnols,
Qui vont du port d'Algésiras en Méditerranée, vers l'Afrique et Tanger.
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Nous nous rencontrons sur des sons, des fumées, des lumières,
Dans des galères de music-hall, sur des grands boulevards, ou des vieux hangars.
Nous nous rencontrons pour des mots, des idées, des chansons
Dans les ascenseurs de buildings, nous nous regardons et puis nous parlons
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
Demain nous ne serons plus jamais seuls,
https://youtu.be/TUdXgIJCpgo
"Drugstore", voilà un mot qui fleure bon la fin XXème siècle.
Voici Comment ça s'arrête, de Louis-Ronan Choisy :
https://www.youtube.com/watch?v=q1wgRGVTpOY
https://www.youtube.com/watch?v=q1wgRGVTpOY
Perce-neige, de Jean-Louis Murat
dans "Dolorès"
Ce jour, mon cœur se mit à saigner
Comme le lapin de garenne,
Qu'il vous fallut un jour égorger
Pour sacrifier à la haine.
Court le renard, court la fiancée,
Non, nous ne vivions pas un rêve.
Même si les frimas épargnent les blés,
Jamais ne cessera ma peine.
Notre troupeau devait donner du lait au goût
De réglisse et d'airelles.
Quand ce souvenir vient m'attrister,
Je pense à vous perce-neige.
Alors de la Godivelle à Compains,
On me jure que c'est sortilège.
Que si Belzébuth habite mes reins,
Je peux dire adieu à perce-neige.
Peine perdue pour aimer mon prochain,
Je ne suis plus que congère.
Mon âme triste s'étire au loin
Comme s'étire au loin la jachère.
Rien n'est important, j'écris des chansons
Comme on purgerait des vipères.
Au diable mes rêves de paysan,
Je ne veux plus que cesse la neige.
Si un jour béni qu'à dieu ne plaise
Devait voir cesser nos misères,
Votre assomption mon adorée
Nous aura plongés en enfer.
https://youtu.be/xDHzoKARPf8
Que dire ... ?
dans "Dolorès"
Ce jour, mon cœur se mit à saigner
Comme le lapin de garenne,
Qu'il vous fallut un jour égorger
Pour sacrifier à la haine.
Court le renard, court la fiancée,
Non, nous ne vivions pas un rêve.
Même si les frimas épargnent les blés,
Jamais ne cessera ma peine.
Notre troupeau devait donner du lait au goût
De réglisse et d'airelles.
Quand ce souvenir vient m'attrister,
Je pense à vous perce-neige.
Alors de la Godivelle à Compains,
On me jure que c'est sortilège.
Que si Belzébuth habite mes reins,
Je peux dire adieu à perce-neige.
Peine perdue pour aimer mon prochain,
Je ne suis plus que congère.
Mon âme triste s'étire au loin
Comme s'étire au loin la jachère.
Rien n'est important, j'écris des chansons
Comme on purgerait des vipères.
Au diable mes rêves de paysan,
Je ne veux plus que cesse la neige.
Si un jour béni qu'à dieu ne plaise
Devait voir cesser nos misères,
Votre assomption mon adorée
Nous aura plongés en enfer.
https://youtu.be/xDHzoKARPf8
Que dire ... ?
On a rainy sunday afternoon, de Jacques Higelin
dans "Champagne pour tout le monde, caviar pour les autres"
Tu dors ?
Quel temps pourri
Enfin
Comme une image un peu floue
Une plage loin d'ici
Une algue qui s'enroule
Tes bras noués autour de mon cou
Comme une ombre sur ta joue
Le nuage de la jalousie
Comme ce parfum qui me saôule
Ton ivresse qui m'anéantit
On a rainy Sunday Afternoon
On a rainy Sunday Afternoon
L'oasis de ton île
Source au milieu du désert
Lumière dans la nuit
Tendre langueur fragile
Lueur d'amour en exil
Sous tes cils entr'ouverts
Le bruit du tonnerre qui roule
Et aussi et surtout
Le goût de tes lèvres sous la pluie
Rien qu'une image un peu floue
On a rainy Sunday Afternoon
https://youtu.be/G5HYw1_mEPQ
Ah ces dimanches après-midis sous la pluie ... Déjà même sans la pluie, un dimanche après-midi ...
dans "Champagne pour tout le monde, caviar pour les autres"
Tu dors ?
Quel temps pourri
Enfin
Comme une image un peu floue
Une plage loin d'ici
Une algue qui s'enroule
Tes bras noués autour de mon cou
Comme une ombre sur ta joue
Le nuage de la jalousie
Comme ce parfum qui me saôule
Ton ivresse qui m'anéantit
On a rainy Sunday Afternoon
On a rainy Sunday Afternoon
L'oasis de ton île
Source au milieu du désert
Lumière dans la nuit
Tendre langueur fragile
Lueur d'amour en exil
Sous tes cils entr'ouverts
Le bruit du tonnerre qui roule
Et aussi et surtout
Le goût de tes lèvres sous la pluie
Rien qu'une image un peu floue
On a rainy Sunday Afternoon
https://youtu.be/G5HYw1_mEPQ
Ah ces dimanches après-midis sous la pluie ... Déjà même sans la pluie, un dimanche après-midi ...
D'un dimanche après-midi à l'autre, celui de Dick Annegarn à Coutances
Un dimanche après-midi, à Coutances
Dans une chambre d'hôtel moyen, sans étoiles
Le soleil passait à travers des rideaux de voiles
Un soleil frais
Je me suis levé bien tard, ce matin
Trop tard pour le petit déjeuner
Je suis sorti, sans rien manger
Je me suis rangé derriére la queue de la boulangerie
La ville était toute habillée de dimanche et de soleil
Un soleil frais
Sur un banc d'un jardin public, je me suis recueilli
Avec un sablé et un pain raisin comme seule compagnie
Mais qu'est ce que je suis venu faire ici ?
Entre deux vacances
Un dimanche aprés-midi à Coutances
https://www.youtube.com/watch?v=je3MYlpuBAc
Matrice, de Gérard Manset
dans "Matrice"
Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Alignés comme radis
Contre leur mère
Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Aux paupières arrondies
A l´iris délétère
L´iris délétère
Ils sont venus sur terre
Sans rien demander
Comme une pluie d´hiver
Sur une ville inondée
Est-ce pour nous aider
A supporter la peur du noir
Le tremblement de nos mémoires
Le choc de nos mâchoires?
Renvoyez-nous d´où on vient
D´où on est né d´où on se souvient
Des perles de tendresse
Des sanglots de l´ivresse
Renvoyez-nous d´où on vient
Sans le moindre mal vous le savez bien
Qu´on n´a pas vraiment grandi
Le sang nous frappe les tempes
Matrice tu m´as fait
Dans son lit défait
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Matrice
Renvoyez-nous d´où on vient
Par le même canal le même chemin
De l´éternelle douleur
De la vallée des pleurs
Renvoyez-nous pour notre bien
On n´en veut pas plus on demande rien
Que nager dans le grand liquide
Comme un têtard aux yeux vides
Matrice tu m´as fait
Dans un moule parfait
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Matrice
Matrice tout compte fait
Tu sais le monde est tout fait
Plus tu vas vers l´infini
Plus tu sais que c´est fini
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Plus tu vas vers l´infini
Plus tu sais que c´est fini
Matrice...
Matrice...
Matrice...
Matrice tu m´as...
https://youtu.be/NpNcYfaDQbM
Gérard Manset, fidèle à son incognito revendiqué, au point qu'une photo de lui relève de l'exception ...
dans "Matrice"
Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Alignés comme radis
Contre leur mère
Les enfants du paradis
Sont les enfants sur terre
Aux paupières arrondies
A l´iris délétère
L´iris délétère
Ils sont venus sur terre
Sans rien demander
Comme une pluie d´hiver
Sur une ville inondée
Est-ce pour nous aider
A supporter la peur du noir
Le tremblement de nos mémoires
Le choc de nos mâchoires?
Renvoyez-nous d´où on vient
D´où on est né d´où on se souvient
Des perles de tendresse
Des sanglots de l´ivresse
Renvoyez-nous d´où on vient
Sans le moindre mal vous le savez bien
Qu´on n´a pas vraiment grandi
Le sang nous frappe les tempes
Matrice tu m´as fait
Dans son lit défait
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Matrice
Renvoyez-nous d´où on vient
Par le même canal le même chemin
De l´éternelle douleur
De la vallée des pleurs
Renvoyez-nous pour notre bien
On n´en veut pas plus on demande rien
Que nager dans le grand liquide
Comme un têtard aux yeux vides
Matrice tu m´as fait
Dans un moule parfait
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Matrice
Matrice tout compte fait
Tu sais le monde est tout fait
Plus tu vas vers l´infini
Plus tu sais que c´est fini
Matrice tu m´as fait
Mal... le mal est fait
Plus tu vas vers l´infini
Plus tu sais que c´est fini
Matrice...
Matrice...
Matrice...
Matrice tu m´as...
https://youtu.be/NpNcYfaDQbM
Gérard Manset, fidèle à son incognito revendiqué, au point qu'une photo de lui relève de l'exception ...
Voici Le Premier jour (du reste de ta vie), d'Etienne Daho :
https://www.youtube.com/watch?v=AlwgC9yqNcw
https://www.youtube.com/watch?v=AlwgC9yqNcw
Ma petite footballeuse de Sherbrooke, de Mickey 3 d
dans "La grande évasion"
Avec son chignon sur sa tête
Et son petit short un peu serre
Ses chaussures blanches et ses chaussettes
Jusqu'aux genoux bien remontées
La petite footballeuse de Sherbrooke
Avait les jambes un peu musclées
Plus proches de celles de Ribeiry
Que celles d'Angelina Jolie
Mais moi j'avoue qu'elle me plaisait
Au stade de l'université
J'ai toujours préféré les filles
Avec un style bien démarqué
C'était pas la plus efficace
Et pas non plus la plus virile
Mais la qualité de ses passes
La distinguait de ses copines
Parfois sa tète se retournait
Un petit regard elle me lançait
Alors mon cœur s'accélérait
Et tout a coup je me voyais
Passer ma vie à ses cotés
De nos enfants je m'occupais
Pendant qu'elle allait s'entrainer
Des sucres lents je préparais
Et tous les dimanches, en famille
On s'en allait l'encourager
On mangeait des glaces aux myrtilles
Pendant qu'maman prenait son pied
Puis, mon téléphone a sonné
Et le campus j'ai du quitter
Mais dans les vestiaires j'ai filé
Et sur son casier j'ai marqué :
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
J'ai pas le choix, je t'abandonne
Parfois on se dit au revoir
Bien avant de se dire bonjour
Il se peut qu'un jour je revienne
Pour essayer de te croiser
Mais je sais bien qu'c'est pas la peine
Et que j'te reverrai jamais"
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
Je me souviens, je me souviens
Des arbres tout au long de la route
De ton pays, dans le matin
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
Je me souviens, je me souviens
Et parfois mon cœur se déroute
Vers ton Québec un peu lointain
Vers ce Québec un peu trop loin
https://youtu.be/KK6Q4XKyuic
De la nostalgie comme est habitué à en distiller Mickey 3 d.
dans "La grande évasion"
Avec son chignon sur sa tête
Et son petit short un peu serre
Ses chaussures blanches et ses chaussettes
Jusqu'aux genoux bien remontées
La petite footballeuse de Sherbrooke
Avait les jambes un peu musclées
Plus proches de celles de Ribeiry
Que celles d'Angelina Jolie
Mais moi j'avoue qu'elle me plaisait
Au stade de l'université
J'ai toujours préféré les filles
Avec un style bien démarqué
C'était pas la plus efficace
Et pas non plus la plus virile
Mais la qualité de ses passes
La distinguait de ses copines
Parfois sa tète se retournait
Un petit regard elle me lançait
Alors mon cœur s'accélérait
Et tout a coup je me voyais
Passer ma vie à ses cotés
De nos enfants je m'occupais
Pendant qu'elle allait s'entrainer
Des sucres lents je préparais
Et tous les dimanches, en famille
On s'en allait l'encourager
On mangeait des glaces aux myrtilles
Pendant qu'maman prenait son pied
Puis, mon téléphone a sonné
Et le campus j'ai du quitter
Mais dans les vestiaires j'ai filé
Et sur son casier j'ai marqué :
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
J'ai pas le choix, je t'abandonne
Parfois on se dit au revoir
Bien avant de se dire bonjour
Il se peut qu'un jour je revienne
Pour essayer de te croiser
Mais je sais bien qu'c'est pas la peine
Et que j'te reverrai jamais"
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
Je me souviens, je me souviens
Des arbres tout au long de la route
De ton pays, dans le matin
Ma petite footballeuse de Sherbrooke
Je me souviens, je me souviens
Et parfois mon cœur se déroute
Vers ton Québec un peu lointain
Vers ce Québec un peu trop loin
https://youtu.be/KK6Q4XKyuic
De la nostalgie comme est habitué à en distiller Mickey 3 d.
Pourquoi, de Miossec
dans "Brûle"
Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour
C'est un sujet inabordable
Pourquoi se toucher rend-t-il sourd
A-t-on des preuves irréfutables
Pourquoi faire les courses au Carrefour
Me rend l'humanité infréquentable
Pourquoi les fruits tombent-ils toujours
Quand on ne secoue pas l'arbre
Pourquoi ceux qui t'ont déjà fait l'amour
Ne me paraissent pas si désirables
Pourquoi suis-je devenu si lourd
Regarde je m'enfonce dans le sable
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour
C'est un sujet indécrottable
Pourquoi n'as-tu jamais crié au secours
Quand tu étais encore fréquentable
Pourquoi faut-il que je savoure
Tes larmes te rendent si désirable
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Pourquoi faut-il que tu coures
Après des hommes si vulnérables
Pourquoi t'ai-je donc fait un jour la cour
Mon sens de l'humour est lamentable.
https://youtu.be/ZhzcliqFdsE
Comme on ne pose jamais les bonnes questions Et si c'était ça le problème ? Je veux dire le vrai problème ...
dans "Brûle"
Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour
C'est un sujet inabordable
Pourquoi se toucher rend-t-il sourd
A-t-on des preuves irréfutables
Pourquoi faire les courses au Carrefour
Me rend l'humanité infréquentable
Pourquoi les fruits tombent-ils toujours
Quand on ne secoue pas l'arbre
Pourquoi ceux qui t'ont déjà fait l'amour
Ne me paraissent pas si désirables
Pourquoi suis-je devenu si lourd
Regarde je m'enfonce dans le sable
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Pourquoi les chansons parlent-elles toujours d'amour
C'est un sujet indécrottable
Pourquoi n'as-tu jamais crié au secours
Quand tu étais encore fréquentable
Pourquoi faut-il que je savoure
Tes larmes te rendent si désirable
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Comme on ne pose jamais les bonnes questions
Pourquoi aurait-on un jour les bonnes réponses ?
Pourquoi faut-il que tu coures
Après des hommes si vulnérables
Pourquoi t'ai-je donc fait un jour la cour
Mon sens de l'humour est lamentable.
https://youtu.be/ZhzcliqFdsE
Comme on ne pose jamais les bonnes questions Et si c'était ça le problème ? Je veux dire le vrai problème ...
Les pauvres et les riches, de Pierre Vassiliu
dans "Roulé boulé"
A peine arrivé dans c'bazar,
Je sentais les odeurs des boulevards,
La sueur, la chaleur du métro
Dans le ventilo du tango.
Y avait tellement d'monde au comptoir
Que je pouvais pas voir,
J'pouvais pas voir la fille qui chantait,
Qui buvait son désespoir.
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
J'ai réussi à v'nir près du bar
Et j'ai pu la voir,
Enfin j'ai vu filer les perles
De ses nattes noires
Qui balayèrent mon verre sur le comptoir,
Qui tomba sur mon pantalon de cuir.
Elle m'a r'gardé,
Elle m'a dit : "Excuse-moi pour le verre."
V'là que je me mets à boire.
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
Et comme il était vraiment tard,
Ils nous ont dit d'aller nous faire voir.
On s'est retrouvés sur le trottoir
Elle m'a dit : "Qu'est-ce que tu fais ?"
Je lui dit : "J'sais pas, on va voir."
On va voir. On va voir quoi,
Plutôt que d'rester planté là ?
Emmène-moi quelque part,
Tu comprends
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
Les riches seront toujours aussi riches
Et les pauvres encore plus pauvres
On t'apprend ça quand tu nais.
https://youtu.be/vgv8Nwt7PV4
Toute la tendresse de Pierre Vassiliu, RIP.
dans "Roulé boulé"
A peine arrivé dans c'bazar,
Je sentais les odeurs des boulevards,
La sueur, la chaleur du métro
Dans le ventilo du tango.
Y avait tellement d'monde au comptoir
Que je pouvais pas voir,
J'pouvais pas voir la fille qui chantait,
Qui buvait son désespoir.
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
J'ai réussi à v'nir près du bar
Et j'ai pu la voir,
Enfin j'ai vu filer les perles
De ses nattes noires
Qui balayèrent mon verre sur le comptoir,
Qui tomba sur mon pantalon de cuir.
Elle m'a r'gardé,
Elle m'a dit : "Excuse-moi pour le verre."
V'là que je me mets à boire.
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
Et comme il était vraiment tard,
Ils nous ont dit d'aller nous faire voir.
On s'est retrouvés sur le trottoir
Elle m'a dit : "Qu'est-ce que tu fais ?"
Je lui dit : "J'sais pas, on va voir."
On va voir. On va voir quoi,
Plutôt que d'rester planté là ?
Emmène-moi quelque part,
Tu comprends
Y a pas moyen d'être avec un mec
Sans qu'il pense que tu pars avec.
Où va l'amitié ? C'est toujours,
Toujours les mêmes qu'ont l'fric.
Les riches seront toujours aussi riches
Et les pauvres encore plus pauvres
On t'apprend ça quand tu nais.
https://youtu.be/vgv8Nwt7PV4
Toute la tendresse de Pierre Vassiliu, RIP.
Beds are burning, de Midnight Oil
dans "Diesel and dust"
Out where the river broke
The blood-wood and the desert oak
Holden wrecks and boiling diesels
Steam in forty-five degrees
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
Let's give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
Now to pay our share
Four wheels scare the cockatoos
From Kintore East to Yuendemu
The western desert lives and breathes
In forty-five degrees
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
Let's give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent now
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
We're gonna give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
https://youtu.be/jpkGvk1rQBI
Voilà un groupe australien dont la sensibilité à l'écologie et à la catastrophe climatique en cours ne se dément pas depuis leur création. Celle-ci date de 1987 !
dans "Diesel and dust"
Out where the river broke
The blood-wood and the desert oak
Holden wrecks and boiling diesels
Steam in forty-five degrees
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
Let's give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
Now to pay our share
Four wheels scare the cockatoos
From Kintore East to Yuendemu
The western desert lives and breathes
In forty-five degrees
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
Let's give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
The time has come
To say fair's fair
To pay the rent now
To pay our share
The time has come
A fact's a fact
It belongs to them
We're gonna give it back
How can we dance
When our earth is turning
How do we sleep
While our beds are burning
https://youtu.be/jpkGvk1rQBI
Voilà un groupe australien dont la sensibilité à l'écologie et à la catastrophe climatique en cours ne se dément pas depuis leur création. Celle-ci date de 1987 !
Paris est une fête, de Raphaël
dans "
Pas rentrer ce soir, voir de la vie des visages
N'importe où de la lumière et du passage
Des gens vivants, de la musique et des chants
Dans les bars laisser des pourboires exorbitants
Pas rentrer ce soir, se perdre dans la ville
Dans l'ivresse du moment simplement être vivant
Se dire que ce soir pour une fois on aime les gens
Frôler des inconnus, l'amour des passants
Les vêtements légers mais encombrants
Se sentir nu et brûlant pourtant
Aux fenêtres des voitures les chants de la fête
Chercher une devanture la main sur la braguette
Sur les Batignolles les phares des bagnoles
Chercher l'amour dans des coins bizarres
Là où il peut encore vous brûler
Traîner en robe du soir
Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian
Et Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête
Pas rentrer ce soir, les ravissantes qui vous regardent
Comme une pièce de musée, une espèce rare à épingler
Pas rentrer ce soir, croiser les deniers fêtards qui vont se coucher
Vous klaxonnent et vous traitent de pédé
Vous dire que vous avez rêvé, dormir sur le trottoir, avez été renversé
Aux fenêtres des voitures les chants de la fête
Chercher l'amour dans des coins bizarres
Là où il peut encore vous brûler
Traîner en robe du soir
Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian
Et Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête
https://youtu.be/eZKZy5iKuUg
Mais la fête est finie, dit-il ...
dans "
Pas rentrer ce soir, voir de la vie des visages
N'importe où de la lumière et du passage
Des gens vivants, de la musique et des chants
Dans les bars laisser des pourboires exorbitants
Pas rentrer ce soir, se perdre dans la ville
Dans l'ivresse du moment simplement être vivant
Se dire que ce soir pour une fois on aime les gens
Frôler des inconnus, l'amour des passants
Les vêtements légers mais encombrants
Se sentir nu et brûlant pourtant
Aux fenêtres des voitures les chants de la fête
Chercher une devanture la main sur la braguette
Sur les Batignolles les phares des bagnoles
Chercher l'amour dans des coins bizarres
Là où il peut encore vous brûler
Traîner en robe du soir
Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian
Et Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête
Pas rentrer ce soir, les ravissantes qui vous regardent
Comme une pièce de musée, une espèce rare à épingler
Pas rentrer ce soir, croiser les deniers fêtards qui vont se coucher
Vous klaxonnent et vous traitent de pédé
Vous dire que vous avez rêvé, dormir sur le trottoir, avez été renversé
Aux fenêtres des voitures les chants de la fête
Chercher l'amour dans des coins bizarres
Là où il peut encore vous brûler
Traîner en robe du soir
Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian
Et Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie, mais la fête est finie
Paris est une fête
https://youtu.be/eZKZy5iKuUg
Mais la fête est finie, dit-il ...
Et c'est dans "Anticyclone".
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