Voici la tragi-comique histoire de Rocky Raccoon tel racontée et interprétée par les Beatles.
https://www.youtube.com/watch?v=sDcDCZGcZj8
... 'telle que racontée'
La version complète, c'est mieux :
https://www.youtube.com/watch?v=WoBLi5eE-wY
https://www.youtube.com/watch?v=WoBLi5eE-wY
Voici le Lac, de Julien Doré :
https://www.youtube.com/watch?v=9UXSWGsjAUQ
https://www.youtube.com/watch?v=9UXSWGsjAUQ
Petite ambiance estivale concoctée par The Kinks:
https://www.youtube.com/watch?v=PMHfYLZS4cI
https://www.youtube.com/watch?v=PMHfYLZS4cI
Voici Tracy Chapman:
https://youtube.com/watch/…
https://youtube.com/watch/…
Voici Gentleman, de Philippe Lavil :
https://www.youtube.com/watch?v=okuM6AwnXYg
https://www.youtube.com/watch?v=okuM6AwnXYg
Voici les Petites papiers, de Régine :
https://www.youtube.com/watch?v=xt8NEsOjjsI
https://www.youtube.com/watch?v=xt8NEsOjjsI
Voici 'I can see clearly now' une chanson de Johnny Nash ici interprétée par Jimmy Cliff.
https://www.youtube.com/watch?v=MrHxhQPOO2c
https://www.youtube.com/watch?v=MrHxhQPOO2c
Voici 'I can see clearly now' une chanson de Johnny Nash ici interprétée par Jimmy Cliff.
https://www.youtube.com/watch?v=MrHxhQPOO2c
J'aime beaucoup cette chanson.
Claude François en avait fait une adaptation, avec Toi et le soleil.
Voici Samba de Verao (Samba d'été), composée par Marcos Valle ici interprétée par Caetano Veloso:
https://www.youtube.com/watch?v=-jzHwhWeWCI
https://www.youtube.com/watch?v=-jzHwhWeWCI
Sortie tout droit des années 1960, voici une vision futuriste du monde de 'demain et d'après demain' par Zager & Evans:
https://www.youtube.com/watch?v=zKQfxi8V5FA
https://www.youtube.com/watch?v=zKQfxi8V5FA
Sortie tout droit des années 1960, voici une vision futuriste du monde de 'demain et d'après demain' par Zager & Evans:
https://www.youtube.com/watch?v=zKQfxi8V5FA
Et voici une traduction française des paroles de la chanson:
En L'An 2525
En l'an 2525
Si l'homme est encore en vie
Si la femme arrive encore à survivre
Ils pourraient trouver …
En l'an 3535
On n'aura plus besoin de dire la vérité, ni de mentir
Tout ce que tu penseras, feras et diras
Sera dans la pilule que tu auras prise le jour même
En l'an 4545
Tu n'auras plus besoin de tes dents, ni besoin de tes yeux
Tu ne trouveras plus rien à mâcher
Personne ne te regardera même plus
En l'an 5555
Tes bras pendront flasques sur les côtés
Tes jambes n'auront plus rien à faire
Une quelconque machine le fera pour toi
En l'an 6565
Tu n'auras plus besoin de mari ou besoin d’épouse
Tu iras prendre ton fils, aussi pendre ta fille
A la sortie d'un long tube en verre
En l'an 7510
Si Dieu vient comme Il devrait le faire aux alentours de cette période
Peut-être regardera-t'il autour de lui et dira
Je crois que qu'il est temps pour le jugement dernier
En l'an 8510
Dieu hochera sa puissante tête
ou bien Il se dira : je suis content de ce que l'homme a été
Ou bien Il détruira tout et recommencera woh oh
En l'an 9595
Je me demande bien si l'homme sera encore en vie
Il prend tout ce que cette bonne vieille terre peut offrir
Et ne remplace rien woh oh
Maintenant 10.000 ans sont passés
L'homme a versé un milliard de larmes
Sans jamais savoir pourquoi
Maintenant le règne de l'homme s’achève
Mais à travers la nuit éternelle
Le scintillement de la lumière stellaire
Tellement lointaine
Peut être est-on seulement hier
En l'an 2525
Si l'homme est encore en vie
Si la femme arrive encore à survivre
Ils pourraient trouver …
En l'an 3535
On n'aura plus besoin de dire la vérité, ni de mentir
Tout ce que tu penseras, feras et diras
Sera dans la pilule que tu auras prise quotidiennement ...
Voici Le Sud, de Nino Ferrer :
https://www.youtube.com/watch?v=FgxwKEuy-pM
https://www.youtube.com/watch?v=FgxwKEuy-pM
Participe Présent, de François Béranger
dans "Participe Présent"
Participe présent
Je participe au présent
Recevant en pleine gueule
Comme des coups de poing des mots blessants
Le plus marrant c’est que ces mots
Viennent de mecs aussi crédibles
Que ceux qui gueulent au premier rang
« Pinochet, con, salaud, truand ! »
Assis sur leur cul et fumant
Des joints à prix exorbitant
Participe présent
Je participe au présent
J’entends "Chili, Chili, Chili !"
On crie Chili, je vois des chiloms
Je m’ dis y a quèque chose qu’est pas clair
Chili va pas avec chilom
Jusqu’où ira-t-on s’enfonçant
Dans l’absurdité des slogans
Derrière les slogans le néant
Les modes passent avec le temps
Participe présent
Je participe au présent
Chili s’en va dans les mémoires
Souffrances lointaines passant de mode
Cependant que les réfugiés
De là-bas aux gueules tragiques
S’enfoncent en grinçant des dents
Dans notre pays si accueillant
Vous savez bien, la terre d’asile
Des réprouvés de tous les temps
Participe présent
Je participe au présent
Me tenant là debout chantant
Du plus qu’ je peux avec mes tripes
Du plus qu’ je peux sincèrement
Me tenant là et regardant
Les purs et durs du premier rang
Les purs et durs qui n’ sont souvent
Qu’ des troubles et mous dissimulant
Tous leurs problèmes en les niant
Participe présent
Je participe au présent
Disant "Purs et durs, troubles et mous
Cessez de larguer sur les autres
Vos propres malaises angoissants"
Car, savez-vous, c’est étonnant
Ils pissent et chient comme les autres
Et disent que non, c’est un miracle
Non, ce n’est pas du tout-venant
La Nouvelle Race des Élus
Participe présent
Je participe au présent
Disant avec mes quarante ans
Mes quarante années de jeunesse
"Jeunesse, fais gaffe à tes arrières
Demain, les vieilles moules cosmiques
Venues des contrées de l’angoisse
Viendront te pincer dans tes jeans"
Pure dureté, dure pureté
Fondront comme une glace dans l’ métro
Participe présent
Je participe au présent
Revendiquant plus que jamais
Même me gourant, même déconnant
Le droit de dire ce que j’ ressens
Car je ne suis pas une image
Ni un gourou ni un slogan
Je ne suis pas votre alibi
Tarzan, Zorro ou Jésus-Christ
Je suis qu’un simple con chantant
Participe présent
Je participe au présent
Déchiffrant en me bidonnant
La prose poisseuse des critiques
La diarrhée des maîtres à penser
Sur les artistes, l’art et le monde
Pauvres débiles dont la tête
N’est souvent que vieille machine
À coller sur chacun de nous
Une étiquette indélébile
Participe présent
Je participe au présent
Voyant avec effarement
Qu’on croit encore dur comme fer
Qu’un poète c’est très différent
D’un prolo qui va au charbon
Alors que si poète il y a
C’est dans les combats qu’il se trouve
Dans le combat des p’tits matins
Dans les lendemains qui déchantent
https://youtu.be/w_v3T8Ku74M
Remettons dans le contexte ; 1978. Voilà pourquoi Chili, entre autres.
Je me souviens encore de la première fois que j'ai entendu cette chanson, c'était à Bruay en Artois, en concert en 1978 probablement ... et j'étais dans les premiers rangs ... et pas bien fier.
On pourrait transposer cette chanson qui n'a pas franchement vieilli. Mais bon, faudrait trouver un gars de la trempe de Béranger, associé à son jeune guitariste de l'époque ; Jean-Pierre Alarcen.
Il y en a d'autres actuellement, vous me direz. C'est vrai. Mais Béranger reste Béranger.
dans "Participe Présent"
Participe présent
Je participe au présent
Recevant en pleine gueule
Comme des coups de poing des mots blessants
Le plus marrant c’est que ces mots
Viennent de mecs aussi crédibles
Que ceux qui gueulent au premier rang
« Pinochet, con, salaud, truand ! »
Assis sur leur cul et fumant
Des joints à prix exorbitant
Participe présent
Je participe au présent
J’entends "Chili, Chili, Chili !"
On crie Chili, je vois des chiloms
Je m’ dis y a quèque chose qu’est pas clair
Chili va pas avec chilom
Jusqu’où ira-t-on s’enfonçant
Dans l’absurdité des slogans
Derrière les slogans le néant
Les modes passent avec le temps
Participe présent
Je participe au présent
Chili s’en va dans les mémoires
Souffrances lointaines passant de mode
Cependant que les réfugiés
De là-bas aux gueules tragiques
S’enfoncent en grinçant des dents
Dans notre pays si accueillant
Vous savez bien, la terre d’asile
Des réprouvés de tous les temps
Participe présent
Je participe au présent
Me tenant là debout chantant
Du plus qu’ je peux avec mes tripes
Du plus qu’ je peux sincèrement
Me tenant là et regardant
Les purs et durs du premier rang
Les purs et durs qui n’ sont souvent
Qu’ des troubles et mous dissimulant
Tous leurs problèmes en les niant
Participe présent
Je participe au présent
Disant "Purs et durs, troubles et mous
Cessez de larguer sur les autres
Vos propres malaises angoissants"
Car, savez-vous, c’est étonnant
Ils pissent et chient comme les autres
Et disent que non, c’est un miracle
Non, ce n’est pas du tout-venant
La Nouvelle Race des Élus
Participe présent
Je participe au présent
Disant avec mes quarante ans
Mes quarante années de jeunesse
"Jeunesse, fais gaffe à tes arrières
Demain, les vieilles moules cosmiques
Venues des contrées de l’angoisse
Viendront te pincer dans tes jeans"
Pure dureté, dure pureté
Fondront comme une glace dans l’ métro
Participe présent
Je participe au présent
Revendiquant plus que jamais
Même me gourant, même déconnant
Le droit de dire ce que j’ ressens
Car je ne suis pas une image
Ni un gourou ni un slogan
Je ne suis pas votre alibi
Tarzan, Zorro ou Jésus-Christ
Je suis qu’un simple con chantant
Participe présent
Je participe au présent
Déchiffrant en me bidonnant
La prose poisseuse des critiques
La diarrhée des maîtres à penser
Sur les artistes, l’art et le monde
Pauvres débiles dont la tête
N’est souvent que vieille machine
À coller sur chacun de nous
Une étiquette indélébile
Participe présent
Je participe au présent
Voyant avec effarement
Qu’on croit encore dur comme fer
Qu’un poète c’est très différent
D’un prolo qui va au charbon
Alors que si poète il y a
C’est dans les combats qu’il se trouve
Dans le combat des p’tits matins
Dans les lendemains qui déchantent
https://youtu.be/w_v3T8Ku74M
Remettons dans le contexte ; 1978. Voilà pourquoi Chili, entre autres.
Je me souviens encore de la première fois que j'ai entendu cette chanson, c'était à Bruay en Artois, en concert en 1978 probablement ... et j'étais dans les premiers rangs ... et pas bien fier.
On pourrait transposer cette chanson qui n'a pas franchement vieilli. Mais bon, faudrait trouver un gars de la trempe de Béranger, associé à son jeune guitariste de l'époque ; Jean-Pierre Alarcen.
Il y en a d'autres actuellement, vous me direz. C'est vrai. Mais Béranger reste Béranger.
Voici Le Temps de l'amour, de Françoise Hardy :
https://www.youtube.com/watch?v=F9we8i2Lj5w
https://www.youtube.com/watch?v=F9we8i2Lj5w
Voici Nuit magique, de Catherine Lara :
https://youtube.com/watch/…
https://youtube.com/watch/…
Semana Santa, de Dominique A
dans "Eleor"
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche, elle attendait mutique
Au soleil, elle semblait par son ombre tenue
C'était un jour d'avril ; sur le sol en damier
Des vieilles devisaient ; autour, des enfants
Couraient après des chats et l'odeur de l'encens
Montait, lourde, à la tête et faisait suffoquer
La musique pleurait en agitant ses chaînes
Mimait la pénitence et des larmes de sang
Epaisses lui échappait et couraient sur ses flancs
Brûlant de ranimer les douleurs anciennes
Les vagues remuaient les histoires lointaines
Où des bateaux gavés d'or hantaient l'océan
Et la femme fumait et l'odeur de l'encens
Montait, lourde, en son âme où cliquetaient les chaînes
Semana Santa
Semana Santa
Semana Santa
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche elle attendait mutique
Au soleil elle semblait par son ombre tenue
Semana Santa
Semana Santa
Semana Santa
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche elle attendait mutique
Au soleil elle semblait par son ombre tenue
https://youtu.be/ZQvw_i1ttic
Tout l'art de Dominique A. Une courte vision chantée sur une mélodie adaptée ...
dans "Eleor"
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche, elle attendait mutique
Au soleil, elle semblait par son ombre tenue
C'était un jour d'avril ; sur le sol en damier
Des vieilles devisaient ; autour, des enfants
Couraient après des chats et l'odeur de l'encens
Montait, lourde, à la tête et faisait suffoquer
La musique pleurait en agitant ses chaînes
Mimait la pénitence et des larmes de sang
Epaisses lui échappait et couraient sur ses flancs
Brûlant de ranimer les douleurs anciennes
Les vagues remuaient les histoires lointaines
Où des bateaux gavés d'or hantaient l'océan
Et la femme fumait et l'odeur de l'encens
Montait, lourde, en son âme où cliquetaient les chaînes
Semana Santa
Semana Santa
Semana Santa
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche elle attendait mutique
Au soleil elle semblait par son ombre tenue
Semana Santa
Semana Santa
Semana Santa
Une femme fumait au seuil d'une boutique
Guettant la procession à l'angle de la rue
Main sur la hanche gauche elle attendait mutique
Au soleil elle semblait par son ombre tenue
https://youtu.be/ZQvw_i1ttic
Tout l'art de Dominique A. Une courte vision chantée sur une mélodie adaptée ...
Le long du Léthé, de Feu! Chatterton
dans "Ici le jour"
Tire. La ville s'époumone
Et je n'suis plus moi-même
Marcher
Pour rentrer chez soi
Des plaques de gaz
Ponctuent le chemin de mes Doc
Martens
La ville s'époumone
Et je n'suis plus moi-même
Oh! Marcher
Des plaques de gaz
Ponctuent le chemin de mes Doc
Et les caisses imitent
Le bruit de la mer
Bercent mes pensées
Blanches pensées
Quand le feu de mes jambes
Passe de l'orange au vert
L'Aurore est déjà là...
Petite sans échalas
Touche le sol
Neige écrue qui amadoue
Te voila boue
Debout! Debout!
Comme les arbres de la ville
Petite, sans échalas
Tu tombes. Tu tombes.
https://youtu.be/b4YSKKT4KqE
Feu! Chatterton, parmi les plus créatifs de ces dernières années ...
dans "Ici le jour"
Tire. La ville s'époumone
Et je n'suis plus moi-même
Marcher
Pour rentrer chez soi
Des plaques de gaz
Ponctuent le chemin de mes Doc
Martens
La ville s'époumone
Et je n'suis plus moi-même
Oh! Marcher
Des plaques de gaz
Ponctuent le chemin de mes Doc
Et les caisses imitent
Le bruit de la mer
Bercent mes pensées
Blanches pensées
Quand le feu de mes jambes
Passe de l'orange au vert
L'Aurore est déjà là...
Petite sans échalas
Touche le sol
Neige écrue qui amadoue
Te voila boue
Debout! Debout!
Comme les arbres de la ville
Petite, sans échalas
Tu tombes. Tu tombes.
https://youtu.be/b4YSKKT4KqE
Feu! Chatterton, parmi les plus créatifs de ces dernières années ...
De" L'auberge du cheval blanc", la chanson de Célestin remixée et chantée par Marcel Amont (92 ans en ce moment), on peut préférer Alibert qui la chanta dans les années 30 !
https://www.youtube.com/watch?v=-cQ2FvwpCv0
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
Petit enfant dans mon berceau
J'étais déjà très beau
Depuis en vérité
Ça n'a fait qu'augmenter
Des femmes de tous les pays
Je suis le favori
La petite minouche
Et le coco chéri
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
Lorsque j'arrive au restaurant
Tout le monde est à son rang
Pour me regarder passer
Dans mon veston pincé
La femme du monde est ébahie
La servante ahurie
Répand partout la sauce du rôti
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
https://www.youtube.com/watch?v=-cQ2FvwpCv0
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
Petit enfant dans mon berceau
J'étais déjà très beau
Depuis en vérité
Ça n'a fait qu'augmenter
Des femmes de tous les pays
Je suis le favori
La petite minouche
Et le coco chéri
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
Lorsque j'arrive au restaurant
Tout le monde est à son rang
Pour me regarder passer
Dans mon veston pincé
La femme du monde est ébahie
La servante ahurie
Répand partout la sauce du rôti
On a l'béguin, on a l'béguin pour ma silhouette
Mon élégance, ma souplesse et mon maintien
On a l'béguin pour la couleur de mes chaussettes
Mon frais sourire et mon profil athénien
On a l'béguin pour mon esprit, mes belles manières
Ma taille de guêpe, mon teint de lis, ma peau de satin
Je n'y peux rien et j'aime autant me laisser faire
On a l'béguin, on a l'béguin pour Célestin
Rouge gorge, de Gérard Manset
dans "Y'a une route"
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Viens manger du pain dans la main
De celui qui t'aime.
Ouvre tout grand les ailes
Et vole ainsi au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Continue de chanter l'été,
La gorge serrée.
Ouvre tout grand les yeux
A mille lieux au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Gorge rouge et fatiguée,
Combien faudra-t-il te donner
Pour que tu puisses monter
En haut de l'escalier
Du dernier des paliers alignés
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Viens manger du pain dans la main
De celui qui t'aime.
Ouvre tout grand les ailes
Et vole ainsi au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge...
https://youtu.be/5wojD_2qzPE
Gérard Manset première époque, époque (très) lointaine ...
dans "Y'a une route"
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Viens manger du pain dans la main
De celui qui t'aime.
Ouvre tout grand les ailes
Et vole ainsi au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Continue de chanter l'été,
La gorge serrée.
Ouvre tout grand les yeux
A mille lieux au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Gorge rouge et fatiguée,
Combien faudra-t-il te donner
Pour que tu puisses monter
En haut de l'escalier
Du dernier des paliers alignés
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge.
Viens manger du pain dans la main
De celui qui t'aime.
Ouvre tout grand les ailes
Et vole ainsi au-dessus des moulins
De la vie, de la vie, de la vie, de la vie,
De la vie, de la vie, de la vie,
De la...
Rouge-gorge,
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge
Ouvre ta gorge rouge
Gorge...
https://youtu.be/5wojD_2qzPE
Gérard Manset première époque, époque (très) lointaine ...
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